VOIES (Artisans d'Avenir)

Peintre en décor depuis plus de vingt ans, Astrid de Chaillé nous explique toutes les clés quand on est artisan du patrimoine, de l’organisation d’un chantier, à la gestion des compétences, du taux journalier quand on débute à celui d’un peintre en décor expérimenté. Astrid nous décrit aussi avec l’empathie qu’elle a pour son métier l’importance du compagnonnage et de l’entraide.

Cet entretien a été réalisé au Campus Versailles dans le cadre du parcours Devenir Artisan que nous avons créé ensemble pour éclairer les personnes en voie de reconversion.

Bonne écoute !

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Cet épisode est produit grâce à l’implication de Ville et Métiers d’Art, association qui a pour vocation de favoriser le développement et la transmission des savoir-faire d’exceptions en France.

Aujourd’hui nous recevons Alix Depondt-Reynis. Alix est modeleuse, c’est-à-dire qu’elle fabrique des modèles en plâtre pour être coulés en porcelaine ; elle est aussi bijoutière. Avant cela, elle a été sculpteur, et encore avant cela clerc de notaire. Alix a toujours aimé fabriquer avec ses mains, elle a aussi le goût, celui de l’action et du beau. Elle a développé sa marque patronymique en 2011, Alix D. Reynis. Avec ton style intemporel, raffiné, inspiré du XIVIIIe et XIXe siècle, Alix revisite les objets du quotidien tout en finesse et en élégance.

Nous allons parler du parcours entrepreneurial d’une créative, d’une entrepreneuse qui a trouvé son public qui lui est très fidèle. Entre 2011 et aujourd’hui, Alix s’est installée progressivement dans cinquante points de vente, a ouvert deux boutiques à Paris et va en ouvrir bientôt une autre en France.

Nous allons parler notamment de ce qu’Alix a mis en place petit à petit, de son déclic, de ses débuts avec Céline Turpin, d’une association ratée, et de tout ce qui a amené progressivement son entreprise patronymique à devenir Alix D. Reynis telle qu’on la connaît aujourd’hui.

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Liens de l’épisode :

instagram d’Alix: @alix.d.reynis

instagram de Magali: @lesmainsbaladeuses_paris

site web d’Alix : alixdreynis.com

site web de Magali : lesmainsbaladeuses.com

Aujourd’hui, rue Charlemagne à Paris dans la boutique-atelier de Samuel Gassmann, nous avons la joie de l’entendre parler de sa reconversion inattendue vers un un marché de niche, les boutons de manchettes.

Samuel est un ancien journaliste spécialisé dans l’art contemporain, il travaillait notamment pour l’émission Metropolis de Arte. En 2008, c’est son dernier documentaire qui le mène sur la piste des boutons de chemises, puis des boutons de manchettes. Une aventure dans laquelle il se plonge sans même se demander s’il allait être capable d’apprendre le savoir-faire. Il dit que c’est la bidouille qu’il aime, c’est pourtant loin d’être un bidouilleur, quand on voit les pièces qu’il crée et fabrique dans les matériaux les plus nobles et les plus rares. Il raconte une histoire dans chaque collection.

Nous allons parler évidemment de ce marché de niche, les boutons de manchettes et comment lui et son épouse Donatienne ont fait pour devenir les spécialistes français, vendus dans tous les plus grands magasins dans le monde.

Nous allons parler des collections, notamment de la nouvelle, la collection RVB, comment Samuel l’a imaginée et comment elle est traduite dans chacune de ses pièces.

Enfin nous allons parler du positionnement prix alors que Samuel jusqu’à la crise COVID travaillait presque exclusivement avec des revendeurs.

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Liens :

site web : samuelgassmann.com

instagram : @samuelgassmannparis

Aujourd’hui, nous revivons une discussion qui a eu lieu au Salon Révélations en 2023 avec la pétillante Fanny Boucher de l'Atelier Heliog, celle qui a fait revivre l’héliogravure et qui a tant à partager sur son expérience.

Cette conversation animée par Laure Chollat Namy, présidente d’Artisans d’Avenir, met à l’honneur l’entrepreneuriat autour du livre Profession artisan d’art, édité chez Eyrolles. C’est pour cela que les auteurs du livre et co-fondateurs d'Artisans d'Avenir, Philippe Hazet et Aude Augais, sont également les invités du jour !

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Elsa Dray Farges est une artiste pluridisciplinaire qui donne une place centrale à la sculpture.

A Montreuil, dans l’atelier Commode, espace partagé avec d’autres créatifs, Elsa modèle des créatures fascinantes, des villages sculpturaux et des masques fantastiques.

Formée aux Arts Appliqués, Elsa travaille aussi bien à la recherche et développement, qu’à la fabrication de sa matière, le papier mâché, qu’à la production complète de ses œuvres.

La mise en volume constitue dans sa démarche un axe majeur.

Infatigable défricheuse, Elsa est aussi une « semeuse ». Des nombreuses graines qu’elle a plantées, sont nées des prestigieuses collaborations avec des maisons qu’elle a su fidéliser et qui lui ont offert un beau tremplin.

Dans ce portrait, on retiendra 3 grands jalons :

- Travailler d’arrache-pied pour s’approprier la technique

- Diversifier son activité pour être pérenne

- Être en posture du coureur de fond pour tenir la distance.

Voila, j’espère que vous passerez un moment aussi apaisé que moi avec le chat Banane, la mascotte de l’atelier lovée sur mes genoux pendant tout le temps de l’entretien.

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C’est l’histoire d’une simple rencontre entre deux passionnés de la restauration qui se poursuit en discussion de plusieurs heures et qui se termine par une reprise d’atelier.

L’un c’est Alain de Lavalade, un des plus grands restaurateurs en ébénisterie, qui a travaillé pour les plus grands musées, avec les plus grands conservateurs et collectionneurs. Il a employé une dizaine de personnes, puis l’âge avançant a ralenti son activité.

L’autre c’est Sarah Cellier. Fraîchement diplômée en ébénisterie, elle cherchait à travailler comme employée dans un atelier de restauration. Elle lui a écrit, ils se sont rencontrés et au premier échange, il lui a proposé de reprendre son atelier !! C’était il y a 2 ans. 

Vous allez comprendre qu’en mettant du coeur à l’ouvrage, du sens à ses actions, une rencontre peut transformer une direction professionnelle.

Cet épisode a été enregistré lors du parcours Devenir Artisan que nous avons créé avec le Campus Versailles pour éclairer les personnes en voie de reconversion.

Ecoutez-les et si vous avez aimé l'épisode, n'oubliez pas les 5 étoiles sur Apple podcast ou Spotify ;)

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Vincent Breed est designer et maître verrier. Il dompte la matière à chaud grâce à la technique traditionnelle du soufflage à la canne. 

Il nous invite dans son atelier du Cercle Verre à Brussieu près de Lyon, le plus grand espace collaboratif de France, remarquable pour la qualité de sa Recherche et Développement. Au titre des nombreux prix dont Vincent est lauréat figure celui des Jeunes Créateurs des Ateliers d’Art de France ainsi que le Trophée des Trésors Vivant de l’Artisanat. 

Collectionnant les collaborations exceptionnelles, Vincent se désigne comme un faiseur de rêves qui conçoit des sculptures très en rondeur souvent uniques avec un rapport évident au corps humain.

Cet artiste mécène nous raconte pourquoi il s’est engagé dans l’art verrier, il nous explique comment il pilote ses projets, et souligne enfin l’importance de l’hyper créativité et des lieux mutualisés grâce à son association Hotshop France. 

Très belle écoute !

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Nous sommes très heureux d’aborder un thème qui fait de plus en plus de bruit et qui est très pertinent pour un artisan d’art : comment le réemploi et / ou le sur-cyclage peuvent être utilisés avec un savoir-faire artisanal. Le sujet étant tellement vaste, que nous avons choisi de traiter le sujet selon deux axes. Le premier que nous abordons aujourd’hui, autour des sources d’approvisionnement et nous aborderons le prochain autour du process de création et de fabrication.

Virginie Ducatillon, après avoir passé une dizaine d’années à travailler au sein des plus grandes marques de maroquinerie (Hermes, Chanel, Céline) a pris conscience du rôle que pouvaient prendre les surplus dormants des maisons de luxe. En créant adapta, elle veut repenser la valorisation des matières les plus nobles. Elle déniche pour les créateurs une sélection de peaux de haute qualité dont elle peut assurer la traçabilité.

Christine Noyer, en fondant La Tisserie Parisienne, souhaite donner une seconde vie aux textiles de seconde main en les valorisant par le tissage artisanal, destiné aux professionnels de la mode et de la décoration, auprès de qui elle source ses matières premières.

Louise Dagorne confectionne des bijoux uniques en offrant une seconde vie à des perles et pierres antiques chinées dans les brocantes.

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Juliette Vivien est céramiste et représente la nouvelle génération des artisans d’art mis en lumière en 2020 grâce au Prix de la Création Métiers d’art des Ateliers d’Art de France.

Elle a compris rapidement que sa créativité s’épanouirait dans son propre atelier.

Aujourd’hui, elle imagine des réalisations qui s’appuient sur des techniques exigeantes que sont les miniatures et la cristallisation, qu’elle fait habilement dialoguer.

Artisane accomplie, elle combine la création, la production, la communication, sans pour autant négliger la gestion de son entreprise.

Juliette souligne l’importance du retour d’expérience de ses pairs et de ses proches, elle dévoile ses nouvelles orientations  créatives, et sans tabou elle évoque le temps qu’elle aimerait prendre pour elle.

Très belle écoute.

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Nous avions hâte de partager avec vous l’interview réalisée avec Louis Biron, artiste plasticien et artisan designer, distingué par le prix de la Création des Ateliers d’Art de France en 2020.

Louis réalise des projets artistiques singuliers et des œuvres uniques connectées avec la nature.

Dans cet épisode, il raconte comment il a fondé l’atelier mutualisé Edward Tison à Pantin. Il parle du fonctionnement de ce pôle qui mêle recherche et innovation et représente une expérience humaine et sociale unique.

Passé au sein de belles maisons patrimoniales, et fort de son expérience Louis mène de front plusieurs projets et met ses compétences de designer, de bronzier d’art et de chef de projet au service de diverses entreprises.

Il nous explique comment il réussit à atteindre son juste équilibre financier.

Ecoutez Louis jusqu’au bout, il nous invite à découvrir encore 1001 choses et nous transporte par son enthousiasme et sa passion débordante !

Très belle écoute !

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Yohann a fait ses premières armes à Limoges, où il s'est converti au travail de la céramique. Artisan et entrepreneur pluriel, il a travaillé pour de belles manufactures françaises au sein desquelles il a développé une compréhension globale de l'entreprise et une envie tenace d’avoir sa propre marque. 

Laura est architecte d’intérieur et s’est passionnée très vite pour la porcelaine. Entrepreneure dans l’âme, elle rêvait aussi d’avoir sa propre entreprise. 

Lorsque leurs destins se croisent, ils décident de capitaliser sur leurs expériences et leurs complémentarités et créent leur propre marque de céramique ODO, ainsi que leur studio de création Ombre d’or qui leur ouvre des portes pour décorer des intérieurs de particuliers.

En menant de front plusieurs activités très complémentaires le duo réussit à développer et à produire ses propres collections et avec peu de fonds propres Laura et Yohann nous expliquent sans langue de bois comment ils parviennent à financer leur atelier tout neuf situé à Vincennes.

Écoutez- les et inspirez-vous de leur parcours singulier guidé à la fois par une passion commune pour l’artisanat d’exception et l’amour du design !

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Aujourd’hui, nous avons la joie d’être avec Marie Drouet. Marie est devenue artiste vannière alors qu’elle ne souhaitait pas en faire son métier. Enseignante, architecte d’intérieur dans une première partie de vie professionnelle, Marie apprend à ses enfants qu’il est possible d’avoir un métier de passion et d’avoir plusieurs métiers dans sa vie.

Elle nous livre avec beaucoup d’honnêteté ses 5 ans d’expérience, de doutes, de succès et ce qu’elle a appris qui font que sa passion est devenue un métier.

Ecoutez cette artiste qui nous parle de son art avec les mots d’une entrepreneuse.

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Chacun à leur manière, nos invités du jour usent de leurs atouts pour saisir des opportunités ou les provoquer. Avec eux, nous allons aborder plusieurs techniques qui permettent de mieux vendre.

Dimitri Gru, ébéniste-tapissier fabrique des fauteuils clubs depuis Saint-Sauveur. En proposant une collaboration à un influenceur, il a assuré 3 mois de commandes.

Aldo Peaucelle, restaurateur de tableaux à Lyon, en voulant partager sa passion pour son art s’est pris au défi des réseaux sociaux. Aujourd’hui, il a plus de 100k abonnés sur Tik-tok et 150k sur Instagram.

Lola Pradeilles consacre sa vie au vitrail et à la peinture sur verre. Parce qu’elle sait saisir les opportunités en posant les bonnes questions, elle a pu décrocher une résidence artistique à Los Angeles, enseigner à des étudiants en Lituanie…  En deux ans d'expérience, elle a son atelier à Millau et fait tourner son activité.

Laurentine Perilhou est une artiste, artisane du fil, spécialisée dans les techniques de macramé. Elle sait dans quelle direction elle va  et elle sait s’appuyer sur les personnes qui vont l’aider à y arriver, coach, agent, associés…

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Notre invitée aujourd’hui est Alexandra des Aulnois,qui dirige l'Atelier ARCOA, un des premiers ateliers français dédié à la restauration des oeuvres peintes et à la peinture décorative, membre du groupe Ateliers de France.

Dans cet échange, Alexandra nous parle de son parcours et des défis des chantiers du patrimoine. Elle partage aussi son regard sur la formation, l’importance du compagnonnage et les opportunités pour celles et ceux qui souhaitent se lancer dans ce domaine exigeant mais passionnant.

Cet interview a été réalisée au⁠Campus Versailles⁠, lors du parcours ⁠⁠Devenir Artisan⁠⁠ que nous avons créé ensemble pour éclairer les personnes qui envisagent de prendre la voie de l’artisanat et des métiers d’art !

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Aujourd’hui ce que nous voulons mettre en lumière c’est la variété des modèles économiques dans une entreprise d’artisanat d’art . Notre objectif est de montrer que le choix d’un modèle est très lié à ses moteurs personnels quelque soit le savoir-faire. Ensuite, il y a des bonnes pratiques à connaître, des questions à se poser pour s’assurer de la solidité de son positionnement. Même si chaque modèle est singulier et doit être singulier pour se différencier des autres, il y a des éléments qui méritent d’être mise en valeur.

Nous avons la chance d’avoir Flavie Paris et Aliénor Frolet qui sont bijoutières joaillières vont illustrer dans leur métier deux modèles différents.

Aliénor Frolet est bijoutière depuis 10 ans, elle a un atelier à Bordeaux et un atelier à Paris. Elle crée ses bijoux et aujourd’hui elle a choisi d’axer surtout son activité autour des cours.

Flavie Paris est joaillière. Même si elle a une activité de formatrice aussi, elle a choisi de développer sa marque dans la bijouterie haut-de-gamme.

Enfin, nous avons la chance d’avoir Edouard Eyglunent, co-fondateur de Wecandoo qui a rencontré énormément d’artisans et qui va pouvoir enrichir la discussion pour nous faire part des observations qu’il a faites à la rencontre de ces artisans.

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Liens de l'épisode :

Sites web :

lesateliersdalienor.com

flavparis.com

wecandoo.fr

Instagram :

@flav_joaillerie

@lesateliersdalienor

@wecandoo

Comment le savoir-faire français rayonne, en particulier aux Etats-Unis ? Plus particulièrement, comment les artisans d’art français peuvent-ils pénétrer le marché américain et pour quelles raisons ? Ce sont deux spécialistes installés à New York qui nous en parlent et d’ailleurs c’est la première fois que nous enregistrons une conférence transfrontalière !

Nous sommes avec Odile Hainaut, cofondatrice de Wanted Design, une plateforme dédiée à la promotion du design par les collaborations créatives internationales, un des premiers forums en quelque sorte qui a mêlé rencontres, discussions et expositions lors de journées dédiées au design à New York. Odile a également été nommée par le Gouvernement Français référente pour l’international dans la stratégie nationale en faveur des métiers d’art.

Nous sommes également avec Pierre Finkelstein est fondateur de l’atelier Grand Illusion Decorative Painting, de peinture décorative. Installé à New-York, il est reconnu mondialement comme faisant partie des plus illustres peintres en décor. 

Nos deux spécialistes vont nous emmener dans le coeur battant des Etats-Unis où le savoir-français a toute sa place, à condition de respecter certaines pratiques… Ecoutons-les !

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Aujourd’hui nous souhaitons vous aider à déterminer votre prix de vente, en tenant compte de vos réseaux de distribution, du coût de revient en-deça duquel l’entreprise n’est pas viable et du marché dans lequel vous évoluez. Vendre au bon prix est au coeur de la stratégie d’une entreprise artisanale.

Dans cet épisode, nous avons invité deux artisanes qui ont revu leurs stratégies de prix en s’apercevant que leur entreprise n’était pas rentable et Christine Dubuisson qui les a accompagnées :

Yaël Malignac a créé avec son compagnon Guillaume Descoings Atelier Passage Secret. Ils conçoivent des créations en porcelaine et des objets uniques destinés à des projets inédits d’architecture.

Estelle Matczac explore l’acier et crée des sculptures murales en acier patiné pour des projets destinés aux hotels et restaurants notamment. Elle travaille également en collaboration avec l’artisan ébéniste Romuald Fleury sous la marque Studio Pluriel, Design et Poésie.

Christine Dubuisson co-fondatrice d’AMEADE est consultante et formatrice, spécialisée dans l’accompagnement au développement commercial des professionnels métiers d’art depuis 30 ans et depuis près de 15 ans a développé une expertise et des outils pour aider les créateurs à vendre au juste prix.

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Liens de l'épisode :

sites web :

ameade.org/project/vendre-au-bon-prix/

atelierpassagesecret.fr

Instagram :

@atelierpassagesecret

@estellematczak

Aujourd’hui, nous parlons identité de marque avec Mathilde de Saint-Lager qui a créé la marque de bijoux Carthage. Pour Mathilde, Carthage est bien plus qu’une marque de bijoux, c’est un terrain d’expression dans lequel elle inscrit les valeurs de liberté, de féminité et de voyages qui lui sont chères.

Pour exprimer cet univers, Mathilde a travaillé sur ce qu’on appelle une plateforme de marque. Elle a mis des mots sur ce qui relie tout ce qui constitue l’univers de sa marque Carthage. Écoutez-la, c’est passionnant de comprendre comment se construit une identité de marque !

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Pour cette 5eme promotion Impulser, nous avons la chance d’avoir deux marraines qui vont accompagner les 20 artisans d’art durant leur programme.

Vous connaissez peut être déjà Juliette Vivien, intervenue au micro de VOIES ? Elle est céramiste et développe des projets toujours plus fous. Ecoutez cet épisode pour savoir comment elle a mené de front une production de 2500 pièces !

Quant à Stéphanie Bouisset, elle dirige les ateliers ARKAL. Cette entreprise de 40 salariés accompagne architectes et designers d’exception dans la conception et la réalisation d’agencements et mobiliers sur mesure. 

Découvrez le parcours et les conseils de nos deux marraines, plongées toutes les deux dans l’univers de l’artisanat et des métiers d’art.

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Cet épisode est produit grâce à l’implication de ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Ville et Métiers d’Art⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, association qui a pour vocation de favoriser le développement et la transmission des savoir-faire d’exceptions en France.

Avec Silver Sentimenti, vous découvrez le parcours d’un artiste qui se revendique artisan. Pourquoi ? car il croit, au plus profond de lui-même, que l’art ne vient qu’à travers la maîtrise parfaite des techniques qui permettent la transformation de la matière.

Son art, c’est l’ennoblissement de la céramique. Son parcours, c’est celui d’une personne en recherche permanente de l’accomplissement de soi par l’excellence et la singularité. Il a fait les choix de vie qui lui permettent d’être en accord avec cet objectif. 

Sa voix chantante va vous faire voyager ! Ecoutez-le !

Cet interview a été réalisée au Campus Versailles, lors du parcours ⁠Devenir Artisan⁠ que nous avons créé ensemble pour éclairer les personnes qui envisagent de prendre la voie de l’artisanat et des métiers d’art !

Ecoutez-la et si vous avez aimé l'épisode, n'oubliez pas les 5 étoiles sur Apple podcast ou Spotify ;)

Tous les mois, nous proposons un nouveau thème de discussion, pour éclairer une spécificité de l’artisanat d’art. Nous diffusons l’échange ici, mais si vous voulez poser vos propres questions, inscrivez-vous à l’événement, nous le communiquons via notre newsletter, et nos réseaux sociaux. 

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Le temps est un luxe, bien le gérer devait être possible pour tous. Pourtant ! Pour les artisans d’art, plus que dans n’importe quel autre secteur d’activité, le temps est une denrée rare, qu’il soit consacré à l’exercice de leur savoir-faire, ou au développement et à la gestion de leur entreprise.

Gagner du temps, c’est aussi s’entourer des bonnes personnes qui vont vous apporter des réponses ! 

C’est pour cela que nous avons invité Hélène Pierucci qui a créé l’atelier Po Maroquinerie. Elle propose tous les services de maroquinerie et elle a mis en place une organisation pour garder le contrôle du développement de son entreprise. Avec elle, nous avons Claire Vitoux, coach en organisation et structuration pour les entrepreneurs. Elle est également auteur du podcast Bye Bye procrastination.

Avec Hélène et Claire, vous ne manquerez pas de bons conseils pour mieux organiser votre planning !

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Voies, le podcast d’Artisans d’Avenir.

Florian Sicard, initialement formé aux Beaux Arts est devenu maroquinier en 2014 après une première vie professionnelle. Il a créé sa marque Etablissements Pardi en 2016. Vous pouvez découvrir ses sacs et ses pochettes qui sont très modernes, très colorées, très contemporaines dans plusieurs points de vente, dont l’appartement français, le printemps Haussmann et bien sûr sur Instagram 

Avez Florian, nous allons aborder sa transition vers sa nouvelle vie professionnelle, nous allons parler des rencontres clés qui lui ont permis de professionnaliser son métier, de ses qualités d’entrepreneur qui lui ont permis de savoir saisir les opportunités, et nous allons parler des alternatives qui lui ont permis de générer des revenus réguliers tout en développant sa marque.

Aujourd’hui, vous écoutez l’échange qui a eu lieu lors de l’événement où nous avons accueilli Florian au micro de Magali Perruchini, auteure du livre Nouveaux Artisans et du blog "les mains baladeuses. Ecoutez bien car Florian a beaucoup d’humour et le partage !

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Liens : 

Florian Sicard : @etablissements_pardi, etablissements-pardi.com

Magali Perruchini : @lesmainsbaladeuses_paris, lesmainsbaladeuses.com

Comment les outils numériques et quels outils numériques peuvent être mis au service des artisans d’art sans pour autant remettre en question leur savoir-faire ? C’est le sujet qui nous intéresse aujourd’hui. Nous avons autour de nous pour nous aider à répondre à cette question 3 artisans d’art :

• Raphaelle Collette, créatrice de l’atelier Cocoroca. Raphaëlle utilise le verre et le vitrail pour proposer des projets de décoration d’intérieur.
• Baptiste Doublet Degrémont a créé la marque de vêtements ultra-créative Degremont. 
• Agnes Sevestre est bronzière d’art et ciseleuse.

Enfin, notre spécialiste est Antonin Fournier. Il a été manager au Simplon lab. Le Simplon lab est un réseau de fabriques numériques. Parmi toutes les formations qu’ils proposent en France et à l’international, ils en ont une dédiée à l’artisanat.

Bonne écoute !

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Aujourd'hui, l’objectif de cette discussion est de comprendre le pouvoir du merchandising et les techniques pour mettre en valeur son travail quel que soit le lieu de vente. Pour parler de ce sujet, nous avons la chance d’avoir avec nous :

Catherine Paoli - Catherine est la fondatrice de Expérience Collective, une galerie exposant artisans d'art, artistes et designers français. Catherine a plus de 20 ans d'expérience dans le monde du retail en Vente, Visuel merchandising, Achat, Marketing et Communication.

Clélia Chotard - Clélia est créatrice et fabricante de bijoux spécialisée dans la faïence de récupération. Elle a créé sa marque, l’atelier Vézanne, en avril 2021.

S’il y a un message que nous retenons de cette conversation, c’est que le merchandising doit pouvoir raconter visuellement l’histoire de la marque et ses valeurs.

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Références :

• Trudon

• La Réserve des Arts

Les outils numériques sont un formidable tremplin pour les artisans d’art. La beauté du geste fascine, les pièces créées sont photogéniques et l’univers des ateliers intrigue. Tous les ingrédients sont présents pour inspirer les acheteurs mais il faut s’approprier les codes. Pourquoi utiliser Instagram : se faire connaître, prospecter ou vendre ?

Aurélie Moulin, experte en marketing sur instagram, et auteure du livre “Le guide Instagram” aux éditions Eyrolles va nous expliquer quelles sont les bonnes pratiques à connaître pour un artisan d’art. => Découvrez sa formation gratuite sur cette page.

Astrid Lecornu, créatrice de contes de fer et d’histoires textiles, partagera avec nous son expérience d’utilisation d’Instagram pour développer la notoriété de ses créations.

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C’est au cœur de leur terre natale à Tréguier dans les Côtes d’Armor, que les sœurs Audrey et Delphine Le Poupon ont choisi de jeter l’ancre.

L’union fait la force car suite à un changement de cap les créatrices se sont associées afin de se consacrer au travail de la nacre pour leur propre marque YS PARIS dans leur atelier boutique.

Ayant obtenu le titre de maître d’art et référencées dans le guide HOMO FABER, elles innovent en valorisant de manière éco responsable la coquille de l’ormeau de Bretagne, ce coquillage à la chair prisée, dont elles sont les seules à utiliser la nacre de manière exclusive en France.

Le SF de nacrier par ailleurs détenu dans l’hexagone par une poignée d’irréductibles passionnés appartient au domaine de la tabletterie.

Découvrez au fil de cet échange les 4 points cardinaux de l’aventure entrepreneuriale de Audrey et Delphine :  la reconversion professionnelle, le parcours initiatique, le choix de modèle d’entreprise et les axes de développement.

Très belle écoute !

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Ebéniste depuis 2013, Maxime Perrolle est tourneur d’art sur bois depuis 2016, et aujourd’hui il est aussi sculpteur. Exerçant son art depuis Yvry-sur-Seine où est situé ton atelier, il ne cesse de se déposséder des machines pour se rapprocher du bois qu’il aime passionnément. Il a été lauréat en 2019 du Prix de la Jeune Création Métiers d’Art porté par Ateliers d’Art de France. Il est vu comme un artiste, et il a aussi le pragmatisme des artisans.

Avec Maxime, nous allons parler notamment :

• du bois qu’il travaille et des raisons qui le conduisent à choisir des fournisseurs français, des techniques de sculpture et de tournage sur bois,
  
• des prix qu’il a remportés en répondant à des appels à candidature, notamment le prix de la Jeune création Métiers d’Art dont il a été lauréat en 2019,
  
• de la transition dans le processus créatif de Maxime, qui l’a amené à fabriquer davantage de pièces uniques alors qu’il avait commencé en fabriquant des pièces plus utilitaires, ce qui lui a permis de toucher une nouvelle clientèle et de développer son chiffre d’affaires
  
• Ce qu’apporte à Maxime d’être membre de la Maison des Artistes
  

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Liens de l’épisode :

Instagram de Maxime: @maxime.perrolle

Facebook de Maxime : retourauxsouchesmp

site web de Maxime: maximeperrolle.com

Nous avons eu le plaisir d’accueillir Eve George qui a créé l’Atelier George en 2016 avec son conjoint Laurent. Leur atelier est le fruit d’une collaboration heureuse entre le design et le savoir-faire pointu dans le soufflage de verre.  Issus de parcours différents, leurs savoir-faire à chacun se mêlent et s’enrichissent pour donner vie à chaque projet de leur atelier.

Eve, issue d’une solide formation de design (Boulle, ENSCI) s’est formée au soufflage de verre au CERFAV et Laurent formé dans les plus grandes cristalleries (Saint-Louis, Lalique) et les ateliers d’art (Biot) fait naître des contraintes techniques un espace de créativité nourricier.

L’Atelier George travaille pour les décorateurs d’intérieur, les galeries d’art et développe également sa propre clientèle. Ils imaginent et fabriquent des luminaires, des carreaux de verre  et des projets sur-mesure.

Ce qui nous a intéressé c’est comment Eve et son associé gèrent leur atelier. Leur activité très spécifique de souffleurs de verre repose essentiellement sur la vente de pièces de leur propre collection, les projets sur-mesure représentant une part plus marginale de leur chiffre d’affaires.

Guilhem Vallery-Radot, co-fondateur de la gestion d’atelier Fabeo est intervenu dans la discussion pour nous aider à comprendre pourquoi c’est important de tracer les flux dans un atelier artisanal, quelle que soit sa taille et comment optimiser cette gestion.

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Liens de l'épisode :

site web :

atelier-george.fr

fabeo.me

instagram :

@ateliergeorge

Cet épisode a été enregistré lors de la visioconférence qui a réuni Liza Bergara, dirigeante de l’entreprise Makhila Ainciart Bergara qui fabrique des bâtons de marche basques et Chloé Battistolo, responsable du dispositif maîtres d’art-Elèves à l’Institut National des Métiers d’art.

Nous avons découvert Liza Bergara parce qu’elle a participé au concours du Tour de France des artisans, édition 2023, organisé avec Meillart. Nous avons été enthousiasmés par l’ancrage de son activité dans la culture basque. Elle fabrique des bâtons de marche basque ! En nous y intéressant un peu plus, nous avons été séduits par la multiplicité des savoir-faire réunis dans les makhilas. L’histoire de cette belle entreprise qui se transmet depuis 7 générations a également plu au jury qui a choisi Liza comme lauréate. Aujourd’hui, c’est Liza qui vous la raconte et aucun doute qu’elle vous plaira aussi !

Chloé Battistolo, chef de projet du programme Maîtres d'art-Elèves à l'Institut National des métiers d'art enrichit cette discussion autour de la transmission en expliquant, à la lumière de l’entreprise Makhila Ainciart Bergara, pourquoi ce dispositif existe et comment il accompagne merveilleusement les entreprises bénéficiaires.

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Aujourd’hui, nous sommes à Toulouse, chez Les Imbriqués, un tiers-lieu qui abrite une quinzaine d’ateliers d’artisans d’art. Dans cette ambiance colorée et joyeuse, nous avons invité Laura Demichelis et Samuel Latour à partager leurs parcours à une assemblée d’artisans en quête de nouvelles approches.

Laura et Samuel se sont formés et rencontrés à l’école Boulle, où ils ont tous deux étudié le tournage d’art sur bronze. Par la suite, chacun a suivi son chemin, en exprimant sa créativité à sa façon. 

Laura est devenue bronzière d’art, se spécialisant dans des projets sur mesure. Samuel, quant à lui, s'est orienté vers la sculpture sur bois, s’adressant principalement à des collectionneurs. 

Ecoutez comment deux artisans passionnés et talentueux s’enrichissent l’un et l’autre car vous décrouvrirez qu’ils partagent bien plus d’un métier… Je n’en dis pas plus. Belle écoute !

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Nous lançons la série “Je vis de mon métier et je vous explique comment” pour parler des sujets qui trop souvent sont tabous : le chiffre d’affaires, le salaire, au bout de combien de temps un artisan d’art vit de son métier ?

Nous remercions infiniment Florian Sicard, fondateur de la marque de maroquinerie Établissements Pardi et Juliette Vivien artiste céramiste qui se sont portés volontaires pour ce jeu de questions/ réponses à bâtons rompus ! D’ailleurs si comme eux, vous vivez de votre métier comme artisan d’art, contactez-nous pour des prochains épisodes ! Nous nous ferons une joie de démystifier ces sujets !

• Juliette Vivien est une artisane céramiste spécialisée dans les émaux à cristallisation et la miniature. Sensibilisée jeune par son grand-père qui exerçait le même métier, puis formée à l’école Duperré, elle a développé son entreprise qui a trouvé son modèle et son public.
• Florian Sicard est fondateur de la marque Établissements Pardi qui crée des pièces uniques à partir de cuirs récupérés. Issu de l’art contemporain, Florian a appris le métier de maroquinier auprès d’un atelier qui développe des prototypes pour des grandes maisons. Une appétence pour le fait-main et une belle rencontre ont créé l’opportunité.

Très belle écoute !

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Avec Jean-Baptiste Béchu, nous partons à la découverte de la restauration de meubles anciens. Depuis 23 ans, Jean-Baptiste a vu évoluer le marché, il a restauré des milliers de meubles, il connaît toutes les essences, les signatures, les placages, les techniques modernes et anciennes. Il a développé sa clientèle de particuliers autour de Nantes, une clientèle qui apprécie l’ancien et les meubles de famille. Résident chez Make Ici à Nantes, il aime le dialogue, les métiers du bois ne semblent pas avoir de secret pour lui. Il dit pourtant celui qui connaît tous les métiers du bois n’est pas né ! 

Ecoutons-le en parler !

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Aujourd’hui, nous faisons une rencontre pas tout à fait comme les autres. C’est Augusto Tozzola qui nous reçoit dans son atelier, dans son école où il a formé des centaines d’élèves au tournage en céramique, à l’exigence et au goût de l’apprentissage.

Augusto Tozzola a 94 ans et il nous reçoit à peine quelques jours avant de prendre sa retraite dans son pays d’origine, l’Italie. C’est Maurane Closier notre invitée sur l’épisode consacré au processus créatif qui reprend son école et c’est elle qui nous a introduit auprès de son maître.

Avec Augusto, nous voyageons dans le temps, au temps où les ateliers artisanaux employaient des tourneurs, des émailleurs, des modeleurs, où les commandes arrivaient de toute la France quand l’exigence était au rendez-vous.

C’est un amoureux de l’art qui nous parle, un grand tourneur, failli être pianiste, qui enseigne le tournage comme une succession de gammes d’une richesse infinie. Maîtrise tes classiques, tu feras l’artiste après, nous dit-il.

Allez jusqu’au bout de l’épisode pour découvrir ce qu’il dit et pense du talent.

Mais n’en disons pas plus et écoutons la voix chantante d’Augusto Tozzola !

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Rencontre exceptionnelle avec une jeune femme qui fait tomber les clichés. C’est Alice Bonora qui nous parle. Elle est maçonne dans le secteur de la restauration, métier qu’elle est l’une des rares à exercer en France.

Alice est pleinement engagée dans son métier. Elle nous explique sa pratique, l’importance de la transmission et elle aborde aussi le sujet de la parité.

On se laisse guider avec bonheur et son accent chantant du sud-ouest et on part à la découverte des monuments exceptionnels sur lesquels elle ouvre, tel que le chantier de Notre Dame de Paris.

On vous souhaite une très très belle écoute !

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Un lieu est un créateur d’opportunités et un vecteur d’entraide. Aujourd’hui nous sommes chez Make Ici à Montreuil pour vous en faire la démonstration. Dans cette manufacture de 1800m2, 70 artisans résidents partagent au-delà des espaces de travail, bons plans, machines numériques et opportunités commerciales.

Le sujet qui nous intéresse aujourd’hui c’est le rôle des tiers-lieux dans l’artisanat d’art et également les opportunités commerciales, générées à travers les tiers-lieux et au-delà !

Nous sommes avec deux résidents de Ici Montreuil :

• Marion Claracq a créé sa marque de bijoux pour créer des collections. Elle a fait évoluer son activité vers les commandes sur-mesure. Résidente chez Ici Montreuil depuis sept ans, elle développe en ce moment également un projet autour de la céramique. Un tiers-lieu pour elle est un accélérateur de développement car il facilite l'échange que ce soit pour résoudre des problématiques techniques, pour s'entraider ou pour développer son activité.
• Eric Perez est un des deux "Boys in the wood" à avoir créé cet atelier de menuiserie, agencement et création et fabrication de mobiliers. Les deux associés se sont rencontrés chez Ici Montreuil où ils sont résidents depuis sept ans. Après plusieurs collaborations, ils ont créé leur atelier pour mettre en commun leurs compétences de designers ébénistes. Ils nous expliqueront comment ils décrochent leurs chantiers et comment l'entraide chez Ici Montreuil leur permet de résoudre tout type de problématiques.

Nous sommes également avec Nicolas Bard, co-fondateur du réseau de manufactures Make ici. Il a voulu créer un écosystème où chaque artisan résident peut trouver les ressources pour mieux vivre de son métier. Les opportunités commerciales en font partie. Il nous expliquera comment les artisans peuvent y répondre.

Bonne écoute !

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Nous avons réalisé cet épisode pour célébrer le lancement du livre “Profession artisan d’art” édité aux librairies Eyrolles, dont nous, Aude Augais et Philippe Hazet, sommes les auteurs. Ce livre s’adresse aux personnes qui envisagent de s’orienter vers l’artisanat d’art, aux artisans d’art qui se lancent et à ceux déjà installés qui veulent donner un nouveau souffle à leur activité. Dans cette discussion, nous allons aborder les sujets qui nous ont semblé importants de creuser dans ce livre. Pour illustrer son contenu et enrichir la discussion, nous avons invité Lison de Caunes, celle qu’on ne présente plus, qui œuvre depuis 40 ans pour développer la marqueterie de paille comme un savoir-faire pointu au service de la décoration d’intérieur. Ecoutons cette discussion animée par Audrey Caillet !

Le livre “Profession artisan d’art” est une véritable boîte à outils pour répondre à vos interrogations.

Depuis trois ans, nous collectons, analysons, organisons et synthétisons toutes les ressources et témoignages provenant des artisans d’art et des professionnels du secteur. C’est donc avec une grande joie que nous avons accepté d’écrire ce livre, dans lequel nous avons rassemblé tout ce qui nous semblait le plus pertinent pour accompagner la vie d’un artisan d’art.

Se connaître, avoir une posture d’entrepreneur, étudier le marché, poser les fondations d’une marque forte, définir sa stratégie de prix, ses canaux de distribution et de communication, choisir un statut et le faire évoluer, organiser son temps, son atelier, répondre à une commande, recruter, protéger ses créations, se former et s’inspirer….

A travers onze chapitres, illustrés par des interventions d’experts et des entretiens avec des artisans, cet ouvrage se donne pour ambition de faire gagner du temps et d’offrir les meilleurs outils.

Le livre est disponible dans toutes les librairies et peut se commander depuis notre site internet.

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Aujourd’hui nous poussons la porte d’un atelier d’excellence situé tout près de la place Vendôme, l’Atelier de l’objet. Labellisé Joaillerie de France et Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV) cet atelier remarquable associe des savoir-faire traditionnels et des  technologies de pointe.

L’atelier de l’objet conçoit des pièces de haute joaillerie unique, et sublime les gemmes en les sculptant.

Stéphane Bondu, le fondateur et gérant, ancien professeur de DMA à l’Ecole Boulle nous raconte comment il a tracé son sillon dans un secteur qui évolue et innove constamment. Il nous explique aussi pourquoi il est devenu maitre d’art et il nous livre sa raison d’être et les valeurs de son entreprise. 

Très bonne écoute !

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Liens de l'épisode :

maitredart.fr/maitre-art/stephane-bondu

Maxime Bellaunay, d’abord formé à l’ébénisterie est devenu un artisan de la pierre et des matériaux bruts. Il aime révéler leurs aspérités pour montrer que ce sont des éléments vivants. En cela il est aussi l’artiste qui a séduit le fonds de dotation Verrechia dès ses débuts. Cette discussion entre Maxime et Anastasia Andrieu, la directrice du fonds, nous projette dans un projet artistique montrant que la pierre de taille peut avoir d’autres usages que la construction, qu’elle peut vibrer avec du son et s’illuminer avec du mouvement. 

Une conversation passionnante, que nous sommes heureux de partager dans ce nouvel épisode !

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Cet épisode est produit grâce à l’implication de Ville et Métiers d’Art, association qui a pour vocation de favoriser le développement et la transmission des savoir-faire d’exceptions en France.

Leslie Villiaume, première femme horlogère du château de Versailles, lauréate 2023 du prix ELLE des artisanes, dans la catégorie sauvegarde du patrimoine, est tombée dans l’horlogerie par la magie… Cette scientifique née, accroc à la recherche, a découvert dans l’horlogerie le parfait métier qui lui permet de ne jamais se sentir arrivée ! Avec elle on découvre le secteur de l’horlogerie, mais aussi toute la curiosité qui le nourrit.

Cet interview a été réalisée au Campus Versailles, lors du parcours⁠ ⁠Devenir Artisan⁠⁠ que nous avons créé ensemble pour éclairer les personnes qui envisagent de prendre la voie de l’artisanat et des métiers d’art !

Ecoutez-la et si vous avez aimé l'épisode, n'oubliez pas les 5 étoiles sur Apple podcast ou Spotify ;)

Tous les mois, nous proposons un nouveau thème de discussion, pour éclairer une spécificité de l’artisanat d’art. Nous diffusons l’échange ici, mais si vous voulez poser vos propres questions, inscrivez-vous à l’événement, nous le communiquons via notre newsletter, et nos réseaux sociaux. 

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Les galeries d’art évoquent la beauté. En puisant leurs inspirations dans des univers artistiques différents, elles proposent des sélections de pièces issues  de leurs recherches esthétiques. Travailler avec une galerie d’art c’est pouvoir répondre à la singularité recherchée par les clients de la galerie.

Comment se faire connaître par une galerie ? Comment la choisir ? Pour quelle finalité ? Quels sont les autres services apportés par une galerie ?

Nous avons la chance de recevoir :

• Eloïse Gilles a co-fondé et dirige la maison Mayaro depuis 2018. A la fois galeriste, éditeur et sourceur de savoir-faire d’exception, la vocation de Mayaro est de créer des ponts entre entre art, design et métiers d'art. Eloïse nous expliquera sa vision d'une relation heureuse entre un artisan d'art et une galerie.
• Morgane Baroghel-Crucq explore le tissage de matériaux non textiles en créant des œuvres uniques et précieuses. Elle conjugue une maîtrise des savoir-faire textiles à une volonté de constante expérimentation et d’innovation.
• Solenne Jolivet est artiste textile et brodeuse. Ses œuvres sont réalisées à partir du fil qu'elle travaille à la façon d'un peintre. Son savoir-faire est ennobli par la création d'une œuvre picturale, développant les transversalités entre art, artisanat d'excellence et arts appliqués.

Morgane et Solenne, toutes les deux artistes et artisanes ont notamment co-organisé le showroom professionnel "Confluences" en Juin 2021, soutenu et accueilli par Mayaro. Elles sont également exposées jusqu'en juillet 2022 chez Mayaro pour l’exposition “rêver la matière”. Elles nous expliquent comment elles perçoivent la relation avec une galerie d'art et quelles sont les ingrédients de sa réussite.

Belle écoute !

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“Acheter ou vendre c’est construire une relation. Pour donner envie à l’autre de discuter, il faut avoir quelque chose à lui raconter et pour bien négocier, il faut le comprendre.” 

Quand on a dit ça, j’espère qu’on vous donne envie d’écouter la discussion entre Pierre Flouvat-Clavier, expert de la négociation, travaillant chez notre partenaire Matrice et Samuel Gassmann, le spécialiste français des boutons de manchette.

Tous les deux se donnent la parole pour rendre cette discussion vivante, avec des propos complémentaires. Et surtout elle permet de comprendre à quoi est utile la négociation et quels sont les ingrédients de sa réussite.

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Collaborer avec un agent, est-ce le secret d’un développement commercial garanti ?

Dans cet épisode, ce sont Véronique de Soultrait qui travaille la corde comme une oeuvre d’art pour des projets décoratifs et Isabelle de Lasteyrie, qui a créé l’Agence d’Isabelle qui vont partager leur expérience de collaboration.

On note que ce sont souvent des relations de confiance que naissent toutes les collaborations réussies. L’exemple de Véronique de Soultrait et de Isabelle de Lasteyrie est une parfaite illustration.

Au milieu de cela, l’envie d’innover ensemble pour proposer des projets qui vont pousser toujours plus loin les expérimentations techniques.

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Muzéo met en scène partout dans le monde des propositions artistiques et culturelles sur-mesure. Spécialistes d’éditions d’art, ils disposent d’un art shop référençant plus de 60 000 œuvres. Pour cela, Eric Angiboust, fondateur et président de Muzeo s’appuie sur une équipe composée de consultants-chefs de projet, de créatifs et d’artisans imprimeurs et encadreurs.

Animé par l’envie de sortir des cadres, Eric montre comment il a créé son chemin et appelle à inventer le sien. Eric est également Vice-Président de l’Association Nationale des Entreprises du Patrimoine Vivant et nous explique comment ce label récompense des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence. 

Cet entretien a été réalisé au Campus Versailles dans le cadre du parcours Devenir Artisan que nous avons créé ensemble pour éclairer les personnes en voie de reconversion.

Laissons maintenant la parole à Eric Angiboust !

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Nous abordons aujourd’hui le thème des statuts juridiques. Selon votre profil d’artisan d’art, et votre stade de développement, plusieurs solutions vont être possible.

Julien Goffinet, métallier d’art a récemment fait évoluer le statut de son entreprise de la micro-entreprise, elle est devenue SARL Unipersonnelle (SARLU/EURL) et Maxime Perrolle qui est sculpteur sur bois est artisan d'art inscrit à la Maison des Artistes. Chacun d’eux a témoigné des raisons qui ont motivé leurs choix. Enfin Julien Steinberg, associé du cabinet Perspectives et membre fondateur du collectif Impact Lawyers éclaircit d’autres questions autour des statuts que vous pouvez vous poser en tant qu’artisan d’art.

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Liens de l'épisode :

Sites web :

maximeperrolle.com

impactlawyers.fr

Instagram :

@lesateliersgoffinet

@maxime.perrolle

Les métiers d'art pèsent 8 milliards d'euros de chiffre d'affaires et emploient 150 000 personnes. Ce secteur a été fortement fragilisé par la crise sanitaire, l'annulation des salons, a privé les artisans d'art de leur principal canal de vente, les obligeant à trouver d’autres formes de vente en ligne pour survivre. En effet, être artisan d’art suppose d’être polyvalent aussi bien créateur que vendeur, l’artisan d’art doit définir une stratégie commerciale singulière, ce qui n’est pas toujours évident, quand on n’est pas familiarisé avec les techniques de la vente.

L'art de la vente est une thématique très plébiscitée au sein de notre communauté, vous étiez 180 participants à vous inscrire, ce qui montre l’importance que revêt cette thématique au sein des problématiques du quotidien de votre entreprise.

Les témoignages de nos intervenants passionnants et concrets, ont mis en lumière les bonnes pratiques à adopter et l’importance de mettre en place une stratégie commerciale par étape pour favoriser la vente:

• Antoine Baudouin, associé chargé du développement commercial de La Compagnie du Verre. Il œuvre pour vendre l’expertise de transformation à froid du verre dans un but décoratif et ornemental à des professionnels de la décoration. L’atelier est organisé pour dissocier le travail de l’artisan et du développement. Antoine nous dévoile ses techniques commerciales.
• Sarah Boyeldieu, reconvertie en 2019 à la céramique, multiplie les projets. Le dernier s’appelle le Studio Primitif et a ouvert à Bordeaux début 2020. En très peu de temps et en pleine crise sanitaire, Sarah a réussi à convaincre banquier et associée à ouvrir ce studio de 160m2 qui accueille artisans et passionnés pour des cours et de la pratique libre ainsi que des professionnels pour des projets sur-mesure. Ancienne du monde de la publicité, elle va nous expliquer comment elle a convaincu partenaires et clients.
• Valentine d’Espouy, avec Million Dollar Baby, accompagne les entreprises dans leur stratégie commerciale et les clés de sa mise en œuvre. Elle aime les savoir-faire des artisans, tout en étant convaincue qu’il ne suffit pas de créer du beau pour le vendre. Elle va nous donner les bonnes pratiques à appliquer absolument quand on est artisan d’art.

Très belle écoute !

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Poursuivons notre pérégrination à travers les Puces de Saint Ouen, qui nous mène à l’atelier de restauration de luminaires de Marc Jorno, où règne un merveilleux éclectisme.

Marc, qui n’était pas destiné à exercer cette profession porte un regard amusé sur ses débuts : entrepreneur récidiviste, il a monté plusieurs entreprises, soldées par des faillites qui l’ont menées de manière heureuse aux luminaires et aux Puces.

En remontant son entreprise grâce à une poignée de clients qui lui ont fait confiance, Marc est un expert technique auprès duquel marchands architectes et particuliers se pressent car  c’est un infatigable défricheur qui repousse sans cesse les frontières techniques.

Marc est aussi un passeur qui forme, transmet et guide, c’est le passage de relai qui le rend heureux. Ce qui ressort de son parcours c’est que finalement tout est histoire de rencontres, de curiosité, et qu’il ne faut pas craindre l’échec. Une belle leçon de sagesse en somme.

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Aujourd’hui, nous allons rencontrer une fée dans son atelier, un rêve pour les petits et aussi les grands. Combien de petites danseuses en fil de fer, de cartes postales du Paris qu’on aime, de contes de fer et d’histoires textiles nous découvrons dans ce paradis ?

Dans cet épisode, nous allons à la rencontre de Astrid Lecornu, celle que nous connaissons moins, la designeuse textile qui s’est perfectionnée au fil des 8 collections par an pour les grandes maisons de luxe et qui a laissé petit à petit l’espace pour faire grandir ses propres créations.

Vous allez découvrir Astrid, à l’image de la poésie qui se dégage de son univers et de ses pièces féeriques. Elle a construit son entreprise grâce à sa générosité. Il faut l’écouter pour comprendre comment les cadeaux qu’elle a fait se sont transformés en beaux projets. Elle va nous expliquer qu’une communauté se construit par les liens tissés presque personnellement avec chaque personne, par son authenticité.

Astrid a été aussi généreuse dans le partage de son expérience que dans sa vie de tous les jours, écoutez-la pour vous inspirer !

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Liens :

site web : astridlecornu.bigcartel.com

instagram : @astrid.lecornu

Aujourd’hui Anne-Charlotte Saliba nous a donné Rendez-vous dans son atelier à Lyon, qu’elle appelle son alcôve secrète. Anne-Charlotte  est désigner et sculpte dans le papier des créations délicates et durables, parfois protéiformes, qu’on peut manipuler et tordre comme la lampe Boa, l’une de ses créations emblématiques. Ses luminaires géométriques pliés et ses bas-relief ennoblis grâce à des techniques d’incisions, et de perforations naissent de sa fascination pour la faune marine et la flore. Lauréate en 2020 du PRIX DE LA JEUNE CREATION METIERS D’ART, Anne-Charlotte revient sur ses débuts, elle nous explique aussi son processus créatif, son modèle d’entreprise, et comment elle a collaboré avec la Maison de Champagne Ruinart. 

Bonne écoute !

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Liens de l'épisode :

annecharlottesaliba.com

@annecharlottesaliba.designer

Connaissez-vous l’entreprise qui fabrique à la main et vend 1 500 000 millions bougies par an ? Créée en 2007 par Joelle et Jean-Paul Corgnet, deux passionnés de l’action, amoureux du terroir et de leur région, ils fondent Les Bougies de Charroux, dans l’Allier. Ce sont des bougies créées à partir de parfums conçus à Grasse et développées dans les ateliers de la maison. Labellisés RAL, ils revendiquent la qualité de leurs bougies, les plus respectueuses de l’environnement et de la santé !

Depuis 2017, Pierre Corgnet leur fils reprend les rennes et ajoute sa touche geek ! Cette entreprise artisanale ajoute à son savoir-faire celui du commerce de détail. Pierre a structuré tous les process pour gérer les stocks en temps réels et améliorer les performances des boutiques. Insatiable, Il a fait le pari réussi de digitaliser les Bougies de Charroux.

Ecoutez Pierre parler de ce développement et des actions qui ont contribué à la performance de l’entreprise. Enfin, entendez-le parler de sa conviction à faire dialoguer artisanat et outils digitaux. C’est un plaisir !

Très belle écoute.

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Quand l’art contemporain rencontre l’artisanat d’art ? Que se racontent-ils ?

Qui de mieux pour en parler qu’une famille issue de maîtres verriers vivant aujourd’hui entre l’art contemporain et l’artisanat d’art ?

Constance Remy, cofondatrice de Artransfer, plateforme de revente et d’échange d'œuvres d’art entre particuliers va nous expliquer le fonctionnement du marché de l’art contemporain. 

Sa mère Silvie Brière, va nous expliquer comment l’artisanat d’art et l’art contemporain se lient autour de LSB Atelier, qu’elle a créé avec son frère et sa soeur. Les pièces convoquent en effet une technique ancestrale de peinture sur verre pour s’ancrer dans une oeuvre contemporaine.

Bonne écoute !

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Quels sont les avantages et inconvénients de vivre en milieu rural ? Quelles sont les opportunités à connaître pour tirer partie d’une vie riche à la campagne quand on est artisan d’art ?

C’est le sujet que nous rediffusons aujourd'hui !

Pour cela, trois regards vont se croiser :

• Celui de ⁠Léna Morelli⁠, tisseuse d’assises ! Elle a décidé de quitter Paris pour s’installer à Saint-Victor-la-Coste, un village de 2000 habitants, à 20km d’Avignon.
• Celui de François Piccione : co-fondateur du ⁠magazine Bobine⁠, cette revue de 160 pages qui met en lumière nos anciens, nos terroirs et nos savoir-faire.
• Celui de Julie Plassat, qui s’est engagée dans la revitalisation de la ⁠Poterie des Chals⁠ en Isère qui date du XIXème siècle en créant un projet associatif qui permettra notamment d’accompagner de jeunes artisans potiers dans leur installation sur le territoire.

Retrouvez dans la discussion mille conseils avisés, témoignages sincères, initiatives intéressantes ! Parmi celles-ci, ⁠Récits de savoir-faire⁠, un dispositif de médiation culturel lancé par Terre et Fils et Familles Rurales.

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Olivier Finaz est un chef d’entreprise très engagé qui nous reçoit aujourd’hui à Lyon au siège de son entreprise ATS.

ATS conçoit et fabrique sur mesure des petites séries de packaging pour les maisons du luxe. Depuis peu, l’Atelier du Luxe est venu consolider le positionnement du groupe avec un bel espace multi matériaux  entièrement dédié au fait à la main et renforcé par un pôle innovation et conception.

Cette manufacture de 50 salariés qui anticipe depuis longtemps déjà les nouveaux codes du luxe, a su attirer  des clients d’exception dans le secteur des spiritueux, horlogerie et cosmétique.

Labellisée Origine France Garantie, l’atelier du luxe fait de la responsabilité sociétale et environnementale son socle.

Olivier Finaz nous raconte avec beaucoup de conviction comment son entreprise s’est transformée, pourquoi il a choisi de faire le pari du Made In France, et enfin comment l’inclusivité est devenue l’une des valeurs fondamentales de son entreprise.

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Nous allons nous entretenir aujourd’hui avec Philippe Courtois, qui dirige Mériguet Carrère, l’une des 41 entreprises du groupe Ateliers De France, réunissant 55 savoir-faire de la restauration du patrimoine et du luxe. Frère du Président et fondateur, Antoine Courtois, Philippe nous fait voyager à travers les chantiers de la haute-décoration.

Nous découvrons au-delà d’un groupe qui laisse la part belle aux entreprises souvent historiques qui le composent, un secteur aux chantiers exceptionnels et avec un besoin gigantesque de main d'œuvre.

Cet entretien a été réalisé au Campus Versailles dans le cadre du parcours Devenir Artisan que nous avons créé ensemble pour éclairer les personnes en voie de reconversion.

La parole à Philippe Courtois !

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Cet épisode très court pour vous annoncer que nous lançons le Concours du Tour de France des artisans avec Meillart, plateforme écrin des savoir-faire d’exception. Ce concours est un moyen d’aller à votre rencontre, à la rencontre des artisans d’art qui parsèment nos territoires, qui en font la richesse culturelle et économique.

Si vous êtes artisan d'art ou vous connaissez des artisans d’art situés dans un département où passe le Tour de France 2023 et que vous n’êtes pas déjà référencé sur la plateforme Meillart, vous êtes éligible pour concourir !

Concourir, c’est prendre quelques minutes seulement pour faire découvrir votre savoir-faire, et la dynamique qu’il implique sur votre territoire. Un jury exceptionnel présidé par Franck Ferrand, celui qui n’est autre que Monsieur Patrimoine du Tour de France examinera les candidatures !

Vous avez jusqu’au 10 juillet 2023 pour concourir, et l’annonce des deux lauréats sera proclamée le 23 juillet à l’arrivée du Tour de France.

Découvrez les détails du concours sur cette page et candidatez !

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Nous savons oh combien il est important de bien parler de son travail quand on le présente à une cible potentielle. C’est donc ce sujet de pitch que nous traitons aujourd’hui, avec : 

• Sophie Inard - Elle est une artiste textile et imagine des créations en emballant des objets du quotidien de carrés de coton crocheté. Elle a collaboré avec des marques telles que Merci et Harley-Davidson Paris Bastille, ainsi que sur des pièces sur mesure pour des hôtels et des collectionneurs internationaux.
• Donatienne du Jeu -Elle accompagne les chefs d'entreprise, cadres dirigeants et managers pour leur redonner puissance et liberté dans le cadre professionnel. Pour cet exercice, elle nous apporte ses conseils en tant qu’experte de la prise de parole en public ! 

Ce qu’on retient : Un pitch réussi repose sur l’authenticité et savoir l’adaptater à son interlocuteur.

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Références :

• Livre 'Gravitas', Caroline Goyder
  

Aujourd’hui nous avons la chance d’être avec Laure Chollat-Namy. Laure est la Présidente d’Artisans d’Avenir, c’est aussi celle qui nous a ouvert tant de portes. Aujourd’hui c’est pour les opportunités qu’elle offre aux artisans d’art que nous l’écoutons.

Après 25 ans d'expérience au sein de la Maison Chanel, riche de son expertise Luxe et Artisanat d'Art, elle a fondé La Fabrique Singulière en 2020, collaborant avec des artisans d'art pour façonner des projets sur-mesure pour des Maisons telles que Ruinart, La Prairie, Guerlain ou Moët & Chandon. 

Pour traiter ce sujet de la collaboration avec les maisons de luxe, nous avons également invité Anouchka Potdevin, artiste métallière designer, qui a également l’habitude de travailler avec des clients prestigieux.Vous pouvez retrouver les projets issus des collaborations de Laure Chollat-Namy et Anouchka Potdevin sur les comptes instagram de @La_Fabrique_Singulière et @anouchka_potdevin !

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Karl Mazlo est un jeune joaillier qui accorde une grande importance à la recherche. Il amène la création de bijoux vers une approche plus contemporaine et plus responsable. Son travail a été récompensé en 2021 par le Prix Liliane Bettencourt pour l’intelligence de la main.

Karl a accepté d’être le parrain de notre 4eme promotion IMPULSER. C’est dans ce cadre qu’il nous parle aujourd’hui des difficultés qu’il a traversées, mais aussi la façon dont il poursuit ses rêves en les réalisant.

Ecoutons donc Karl Mazlo !

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Cet épisode est produit grâce à l’implication de Ville et Métiers d’Art, association qui a pour vocation de favoriser le développement et la transmission des savoir-faire d’exceptions en France.

L’épisode d’aujourd’hui aborde la thématique de la propriété intellectuelle. Le sujet est particulièrement intéressant dans un secteur où la création est intimement liée à la personne créatrice. Connaître les droits apportés par la protection juridique permet de juger si c’est nécessaire d’y avoir recours.

Nous avons la joie d’avoir avec nous deux artisanes :

• Julie Said, est co-fondatrice et créatrice des accessoires de mariées Lizeron. Elle conçoit avec sa cousine Sidonie des pièces entièrement réalisées à la main en porcelaine froide, poudre de nacre et laiton écroui.
  
• Alice Hubert est ciseleuse et créatrice de sa marque de bijoux éponyme. Ces pièces fortes et décalées conjuguent des savoir-faire et techniques très variés en métal et émaux.
  

Toutes les deux ont été copiées sans avoir recours à des procédures.

Nous avons également Catherine Huynh avocate spécialisée dans la propriété intellectuelle. Elle va nous éclairer sur les différents moyens de protéger sa marque. Sachez que les adhérents Artisans d’Avenir bénéficient de 20 min de consultation gratuite par an, ainsi qu’un tarif préférentiel pour toute assistance juridique si vous souhaitez creuser une question.

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Liens de l'épisode :

Sites web :

alicehubert.com

lizeron.com

catherinehuynh-avocat.weebly.com

Instagram :

@lizeronparis

@alice_hubert

François-Xavier Richard, c’est celui qui vous accueille dans son bleu de travail, tout en vérifiant la couleur de ses teintures, en réglant sa graveuse numérique et en donnant des conseils à ses artisans. Rien ne semble lui échapper dans son atelier où sont suspendus des mètres de papier peint, des reconstitutions historiques, des créations contemporaines ou encore des décors en carton pierre.

C’est également celui qui parle de tout, aussi bien des échecs, que des succès avec décontraction, humour et humilité. Très intuitif, guidé par la passion du papier et de l’innovation, on comprend qu’il a su grâce à sa persévérance, son exigence et son savoir-faire créer une demande venant des plus grands de la décoration.

Ecoutez-le parler de son parcours et de l’atelier d’Offard. Vous allez vous régaler !

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Marie Grillo, est vitrailliste et elle a accepté d’être la marraine de notre 3eme promotion IMPULSER. Les 20 artisans d’art qui en font partie vont pouvoir pendant les 4 mois de leur programme lui poser des questions concrètes sur chaque thème qu’ils vont aborder. Aujourd’hui, nous partons avec elle sur le trajet de son entreprise de vitrail. Elle a commencé en travaillant avec des syndics d’immeubles pour restaurer des cages d’escalier et aujourd’hui, elle crée des vitraux contemporains. Pas après pas, elle met en place des actions qui lui permettent de viser son objectif. Ecoutez-là jusqu’au bout pour connaître ses rêves !

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Et si l’IA permettait de faire gagner du temps aux artisans d’art ? 

Dans les 150 questions que nous avons reçues, voici celles qui reviennent souvent : Comment l’IA peut m’aider administrativement ? Comment l’IA peut m’apprendre des méthodes de travail ? Quels sont les exemples concrets d’utilisation de l’IA dans le quotidien d’un artisan d’art ? 

Nos invités vont nous éclairer sur ces questions : 

Thomas Dariel, fort de son expérience de designer lance en 2023 un nouveau centre de création et de formation autour des métiers d'art, du design et de l'architecture, le Campus MaNa, en Bourgogne. Dans son approche de la pluridisciplinarité, le campus MaNA cherche les outils innovants qui peuvent nourrir le travail de la main. L'IA en fait partie. *

Et Yves Mérillon, designer également, en chemin vers l'artisanat d'art, a totalement intégré l'IA dans son processus créatif (conception, prototypage, développement...)

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Avec Damien, nous apprenons que c’est possible de ne pas faire de compromis, Damien fait ce qu’il aime parce qu’il a tout mis en œuvre pour y arriver. Dans cette discussion, Damien va nous décrire tout ce qu’il a mis en place pour gérer son entreprise et se donner les moyens de la développer autour du produit qui fait sa réputation, les sacs façonnés de cuir et de bois. Nous allons parler de ses débuts et de la façon dont il a attiré l’attention d’une mécène qui lui a facilité le démarrage, nous allons parler des salons, qui lui ont permis d’attirer une clientèle professionnelle, de sa boutique qui a eu impact fort sur l’évolution de son chiffre d’affaires et enfin nous terminerons cet entretien par quelques conseils donnés par Damien aux personnes qui veulent lancer leur entreprise artisanale.

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Liens de l’épisode :

Instagram de Damien: @damien_beal

Facebook de Damien : damienbeal.beal

site web de Damien: damienbeal.fr

Nous avons la joie d’avoir à notre micro Marguerite Courtois. Cette jeune femme, vient d’être sélectionnée par Forbes dans le classement des 30 talents de moins de 30 ans représentant les étoiles montantes de l’entrepreneuriat français. Quelle joie quand on sait qu’elle a créé en 2014 la Maison Courtois Paris, une entreprise de chapellerie qui vend des modèles au grand public et qui travaille également en B to B comme fabricant.

Marguerite est jeune, dynamique, vous l’avez compris et fourmille d’idées qui vont vous inspirer ! Marguerite va nous expliquer comment, sans formation initiale dans la mode ou l'artisanat mais formée dans une école de commerce, elle a été inspirée par un chapelier expérimenté, a établi un partenariat avec lui pour redonner de l’élan à un savoir-faire artisanal traditionnel, tout en l'adaptant aux exigences du marché.

Cette discussion a été enregistrée lors du parcours Devenir Artisan que nous avons créé avec le Campus Versailles.

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Raphael Vergeade, 30 ans, responsable de l’Institut Européen de la menuiserie, de l’agencement et de l’ébénisterie chez Les Compagnons. Quand on a dit ça, on n’a rien dit de ce qu’est la vie d’un compagnon pour Raphael. Cette discussion nous fait traverser le parcours d’un jeune qui décide après la troisième d’aller chez Les Compagnons attiré par le goût du défi. On comprend la force de cette communauté qui a apporté à Raphaël bien plus qu’un métier. A chaque étape, dans chaque ville, les compagnons sont là pour filer le coup de main qui va soutenir celui qui veut aller plus loin. Ecoutez cette discussion si vous voulez savoir ce que signifie “Ok Gâtinais” Enfin, si vous voulez décrypter l’artisanat d’art avec nous, inscrivez-vous à notre⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ newsletter⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ et rejoignez-nous sur les réseaux sociaux @⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠artisansdavenir⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ (⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Instagram⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠,⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Facebook⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠,⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Linkedin⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠).

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Aujourd’hui, nous sommes à la Cité du Faire à Jarville dans la région de Nancy.  Notre invité est Sacha Tognolli, ébéniste d’art. Il a fondé son entreprise il y a cinq ans après la formation “concepteur-créateur” très réputée du CERFAV. À ses côtés, Jill Poullin, jeune ébéniste, vient de terminer cette même formation tout en collaborant avec Sacha dans son atelier.

L’objectif de cette discussion est de revenir sur les cinq années d’activité de Sacha : les leçons apprises, les étapes clés, et les conseils qu’il a pu partager avec Jill.

Ce dialogue nous montre à quel point l’entrepreneuriat dans les métiers d’art est un chemin fait de passion, de défis et d’apprentissages.

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Aujourd’hui nous rencontrons Christophe Antoine dit KITO, un artiste sculpteur qui travaille la matière avec son cœur et avec ses tripes. Dans son atelier de Plouézec sur le littoral magnifique des Côtes d’Armor, il redessine le paysage breton.

Ses œuvres souvent monumentales sont présentes en France et dans le monde entier. Il a gravé son histoire dans la Vallée des Saints en Bretagne où il a donné naissance à plusieurs géants de granit.

Kito est autodidacte, quand on lui demande comment il est devenu le sculpteur qu’il est aujourd’hui il répond « Il faut lire, regarder énormément de choses. Et un jour, ça sort de la main. » Une vocation donc.

Ce formidable conteur se livre avec générosité et sans fard sur son parcours, ses rencontres, et les moments décisifs de sa carrière. Bonne écoute.

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Liens de l'épisode :

site web : kito-antoine.com

Instagram : @kitoantoine

Comment démarcher des professionnels de l’aménagement et la décoration d’intérieur et les maisons de haute-couture ? Joséphine Depoers (Filwood) tapissière résidente chez Make Ici à Wasquehal et Brigitte Bonnave (Bridge), souffleuse de verre au chalumeau nous livrent leur façon de faire !

Toutes les deux à leur manière, elles nous expliquent qu’elles n’ont rien lâché ! Et les efforts ont payé… Autour d’anecdotes drôles et sur un ton libre et enjoué, Joséphine et Brigitte illustrent ce que doit être une bonne posture de démarchage commercial !

Cet épisode a été réalisé lors de l’événement qui s’est tenu chez Make ICI à Wasquehal et qui a réuni nombreux artisans d’art de la région lilloise !

Belle écoute !

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Comment la conception d'un objet s’intègre dans des projets territoriaux et comment cela peut bénéficier aux artisans ? Voilà la question à laquelle le designer Laurent Godart répond dans cet échange, rendu possible grâce à la French Craft Guild. 

Nous avons enregistré cette interview pour accompagner une réflexion sur la façon dont les artisans sont à l’avant-garde de la transition écologique. Cet atelier faisait partie du parcours Devenir Artisan que nous avons créé avec le Campus Versailles.

Bonne écoute ! 

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Aujourd'hui nous partons à la rencontre de Long Liu, l’homme qui se sent le plus riche du monde quand de la fenêtre de son atelier il prend son café en regardant l’arc de Triomphe.

Cet ancien banquier jongle avec ses missions de conseil en finances et avec Les Beaux Souliers qu’il a créé en 2017 avec un associé compagnon du Tour du France. Les Beaux Souliers c’est un atelier comme il en existe peu, jusqu’au boutiste dans l’art de la fabrication à la main, du soulier sur-mesure à la toute petite série.

Avec Long, nous découvrons une équipe de passionnés qui ont su convaincre par l’âme qu’ils ont donné à ce projet bailleurs, banquiers et amateurs pour créer leur atelier. Nous partons dans une exploration touchante d’un parcours né dans les salles de marché, mûri dans les cordonneries de quartier qu’on ne connaît pas toujours assez et qui se termine à deux pas de l’étoile dans la boutique Les Beaux Souliers.

Bonne écoute !

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Nous avons eu le plaisir d’interroger Elodie Gervet qui a créé Flowrette il y a à peine plus d’un an. En très peu de temps, la jeune pousse Flowrette qui créée des bouquets de fleurs séchées est devenue la maison Flowrette avec trois salariés, bientôt six, un concept store à Paris et un atelier en banlieue parisienne !

Elodie n’est pas un artisan d’art classique car son processus de fabrication est beaucoup plus court que celui de la plupart des artisans d’art, mais ce qui nous a intéressé c’est comment la communication digitale peut aider une entreprise artisanale à se développer. Aidée par son expertise digitale et son intuition, Elodie nous a expliqué très naturellement comment elle a fait grandir Flowrette grâce à ces outils digitaux et la cohérence de sa communication.

Tiphaine Chouillet, fondatrice du studio La Racine qui aide les marques de savoir-faire à révéler leur identité inspirée de leurs racines a permis d’élargir la discussion pour nous expliquer pourquoi il est important de réfléchir à la raison d’être de sa marque le plus en amont possible.

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Liens :

Elodie Gervet: @flowrette_com

Tiphaine Chouillet : @studio_la_racine

Aujourd’hui partons à la rencontre de Janaina Milheiro. Janaïna voulait être costumière. Finalement c’est dans la plume qu’elle a trouvé comment créer la magie.

Issue d’une formation de design textile, Duperré puis à l’ENSCI, où elle a appris comment la créativité peut être mise au service d’un usage, elle développe son propre savoir-faire plumassier qu’elle consacre au secteur de la mode et de la décoration d’intérieur.

Janaïna a été lauréate du prix ELLE des artisanes en 2021. C ‘est dans ce cadre que nous sommes allés à sa rencontre, pour qu’elle nous explique en particulier la façon dont elle aborde son processus créatif, seule, avec d’autres artisans d’art et aussi avec ses clients.

Belle écoute !

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Marianne Anselin fait partie des artisans d’art qui ne font pas de compromis. Forte d’une solide formation, élève de maître d’art, elle travaille le bijou comme une matière brute qu’elle distribue en galerie. Elle n’aurait pas fait un autre métier, au prix de quelques compromis. 

Encore une fois, on retrouve l’importance de sortir de son atelier pour aller au devant des rencontres variées. Pour Marianne, c’est ce qui a nourri sa créativité !

Cet interview a été réalisée au ⁠⁠Campus Versailles⁠⁠, lors du parcours ⁠⁠⁠Devenir Artisan⁠⁠⁠ que nous avons créé ensemble pour éclairer les personnes qui envisagent de prendre la voie de l’artisanat et des métiers d’art !

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TiPii est un atelier urbain entièrement dédié au soufflage de verre à la canne, où chaque création est pensée, dessinée et fabriquée à la main. Grâce à cet artisanat exigeant et ce cadre de proximité, nous sommes les verriers qui créent de l'exceptionnel au bout de la rue.

Dans ces deux phrases découvertes sur le site internet de TiPii, on a déjà beaucoup compris, mais quand on rentre dans l’univers TiPii, dans cet atelier en plein Toulouse, coloré de 1000 teintes, les fours en premier plan et la boutique juste derrière et que Thibaut Nussbaumer, l’artisan, le créateur et l’entrepreneur vous emmène à travers un parcours complet allant de la technique des arts verriers, aux arts appliqués et aux voyages exploratoires, vous n’avez plus qu’à vous émerveiller.

Alors écoutons Thibaut !

Notre entretien s’est déroulé à Toulouse, pendant le salon Fragments organisé par la CMA Occitanie.

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On a la joie d'avoir avec nous :

• Philippe Huppé, Président de l'association Ville et Métiers d'art (VMA), derrière l'organisation du salon Souflle. Philippe est aussi ancien député de l'Hérault, en charge des métiers d'art.

• Rozenn Alapetite, artisane fresquiste. Formée à la mosaïque, Rozenn utilise la mosaïque comme médium mais elle travaille le verre, le ciment... et elle expose sur le salon Souffle !

Ce qui nous intéresse en particulier aujourd'hui, c'est comment on vend à travers les salons et en particulier sur ce nouveau salon qui aura lieu donc du 24 au 26 mai en Seine-Eure à Louviers. Quelle place a ce nouveau salon dans le paysage des salons métiers d'art en France ?

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Aujourd’hui, nous avons la joie d’être avec Hélène Pierucci. Hélène est maroquinière depuis presque 10 ans. Elle a créé l’atelier PO! Maroquinerie après une première vie professionnelle où elle a occupé des postes à responsabilité dans des grandes entreprises.

Avec Hélène, nous parlons cheminement, positionnement, enseignement de dix ans à développer une entreprise où la maroquinerie est pour elle un savoir-faire qu’elle destine à d’autres professionnels ou des particuliers qui veulent réparer leurs jolies pièces en cuir. Merci Hélène pour ce message, accepter la lenteur du métier et s’investir pleinement.

Cet interview a été réalisée au Campus Versailles, lors du parcours ⁠Devenir Artisan⁠ que nous avons créé ensemble pour éclairer les personnes qui envisagent de prendre la voie de l’artisanat et des métiers d’art !

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Tous les mois, nous proposons un nouveau thème de discussion, pour éclairer une spécificité de l’artisanat d’art. Nous diffusons l’échange ici, mais si vous voulez poser vos propres questions, inscrivez-vous à l’événement, nous le communiquons via notre newsletter, et nos réseaux sociaux. 

Enfin, si vous voulez décrypter l’artisanat d’art avec nous, inscrivez-vous à notre⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ newsletter⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ et rejoignez-nous sur les réseaux sociaux @⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠artisansdavenir⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ (⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Instagram⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠,⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Facebook⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠,⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Linkedin⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠).

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Après une première vie professionnelle comme architecte, Cécile Gray a mis au point son propre savoir-faire autour du travail minutieux de la maille métallique. Elle décline sa technique associant broderie, tissage, joaillerie. Ses parures sont comme des bijoux qu’elle applique à l’univers de la mode, de la décoration, du packaging… Tout en travaillant en freelance pour la maison Lemarié , elle a exploré son savoir-faire et fonde le Studio Cécile Gray

En 2021, elle constate que l’activité du studio n'est pas rentable, malgré une belle visibilité. Elle décide de se donner un an pour se consacrer à 100% au développement du studio et mettre le paquet pour déclencher plus de commandes

Aujourd'hui, la majorité de son chiffre d’affaires vient de son activité de designer-artisane et elle envisage d’embaucher.

Nous avons enregistré cette interview lors du ⁠parcours Devenir Artisan⁠ que nous avons créé avec le ⁠Campus Versailles⁠.

Bonne écoute ! 

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Aujourd’hui, nous recevons Bruno de Maistre. Ebéniste depuis près de 15 ans après une formation à l’école Boulle et une première vie professionnelle, il fait partie de ces passionnés, acharnés, qui ne transigent pas sur l’exigence.

Son atelier grandit au gré des opportunités qu’il sait saisir. Son travail est présent autant au mobilier national que dans les églises. Il développe ses compétences et savoir–faire autant que son entreprise. Ecoutez-le, il est venu témoigner avec générosité lors du parcours Devenir Artisan que nous avons créé avec le Campus Versailles !

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Florent Blanchard, créateur d’objets lumineux et de mobilier nous accueille au sein de Dod Objets une entreprise aux intentions vertueuses qu’il a créée en 2012. 

Engagé en faveur de l’éco-conception et du surcyclage, Florent conçoit dans son atelier à Ivry-sur-Seine des pièces permanentes et sur mesure en bois, et prône un design durable et traçable sans pour autant perdre son potentiel esthétique. ✨️

Les étapes importantes dans sa trajectoire d’entrepreneur et qui ont permis à l’entreprise de décoller sont : le financement participatif, l’orientation stratégique vers le marché professionnel, et la participation intensive aux salons. 🤝

Rencontre avec un entrepreneur dans le secteur du faire bien ancré dans son époque et qui cultive l’espoir de changer nos modes de consommation. 

Ecoutez-le, Florent est passionnant !

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Aujourd’hui, nous sommes heureux de nous retrouver au Mobilier National pour accueillir cet événement autour de la transmission d’entreprises dans le secteur des métiers d’art !

Nos invités sont :

• Marc Bayard, Directeur de la Recherche et de l’Innovation pour les Manufactures Nationales.

• Valérie Malfay. Après une première vie professionnelle dans des grandes entreprises, Valérie change de cap en passant par un CAP d'encadrement à La Bonne Graine. Avec une camarade de promotion, elles rachètent le fond de commerce d'un artisan d'art encadreur.

• Marie-Hélène Poisson. Son atelier se consacre depuis 4 générations à la restauration des meubles et objets en marqueterie Boulle des XVII, XVIIIe et XIXe siècle. 

• Anne Anquetin. Ingénieure de formation, Anne a repris la Passementerie Verrier en 2018.

Veuillez excuser les quelques turbulences sonores, mais nous ne voulions pas manquer l’opportunité de faire raisonner ce sujet. 😉

Merci à nos invités, la transmission d’ateliers est une voie indispensable à connaître quand on veut partir d’un savoir-faire existant, de compétences, d’outils ou encore de réseaux de clients et partenaires de confiance.

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Marie-Pascale Guiraud est déléguée CRA (Cédants et Repreneurs d'Affaires) et animatrice du groupe Reprise Savoir-Faire d'Excellence. Elle a elle-même eu l'expérience de reprise et revente de Bobin-Tradition, entreprise qui nettoie, conserve et restaure tapis, tapisseries et textiles délicats. 

Elizabeth Lebegue a repris en 2017 la Poterie Normand, manufacture normande datant du XVIIIème, qui a malheureusement été mise en liquidation judiciaire en 2022.

Reprise, revente, difficultés, mais aussi opportunités : comment s'y prend-on pour reprendre une entreprise aux savoir-faire d'excellence ? 

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Lyon, la ville aux deux collines accueille notre nouvel épisode.

C’est du côté de la Croix-Rousse le quartier qui pérennise l’histoire des Canuts qu’on a l’immense plaisir de rencontrer Guillaume Verzier, PDG et représentant de la huitième génération de la Manufacture Prelle, qui perpétue avec éclat la tradition des soyeux depuis plus de 250 ans.

Dotée d’un patrimoine d’archives inestimable et Labellisée Entreprise du Patrimoine vivant la Maison Prelle conjugue la création contemporaine et la tradition. Elle possède encore des métiers à bras anciens associés à des métiers modernes ultra performants.

Son histoire se tisse à Lyon mais aussi à Paris et à New York, pour une clientèle très exigeante.

Guillaume Verzier nous parle de l’héritage de cette entreprise patrimoniale, comment il a défini sa stratégie en allant toujours de l’avant, et il nous livre sa vision de chef d’entreprise. Très bonne écoute !

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Les savoir-faire s’exportent ! Quels types de projets ? à quoi faut-il être vigilent ? et comment faire ?

Aujourd’hui, nous allons parler développement international. Cela représente une opportunité de business pour les métiers d’art, qui nécessite avant tout d’évaluer son potentiel à l’export puis de mettre en place une stratégie afin de réussir ce grand virage.

Aujourd’hui, deux artisans d’art nous livrent leur expérience dans le secteur de la décoration d’intérieur. Cette conversation sera enrichie de l’expertise et des conseils avisés d’une professionnelle de l’export spécialisée dans les métiers d’art.

• Steaven Richard, ferronnier créateur, à la tête d’un atelier de 10 personnes a développé des techniques innovantes qui permettent au métal de prendre des aspects de bois, de végétaux ou de coraux. Aujourd’hui 50% de son chiffre d’affaires est réalisé à l’export. Pour lui, le fait de se développer à l’international doit faire partie d’une stratégie d’ensemble.
• Fabienne Fabre, spécialiste de l’art mural. Elle réalise ses œuvres artistiques monumentales sur toile peinte. C’est en exposant au salon Maison & Objet en 2011 qu’elle a commencé à développer des relations avec des prescripteurs étrangers. Aujourd’hui, la majorité de son chiffre d’affaires est réalisé avec l’international.
• Dominique Andreani est spécialisée dans le développement commercial à l’export depuis plus de 25 ans. Ella a créé le cabinet International Development en 2005 pour accompagner plus spécifiquement les entreprises métiers d’art vers des nouveaux marchés.

Bonne écoute !

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Nous allons vous raconter l'histoire d'une faïencerie créée à la fin du XIXe siècle qui se développe aujourd’hui dans la modernité du XXIe siècle. La Faïencerie Georges parle à travers ses décors. C'est ce qui a séduit notamment Atelier Particulier, les dénicheurs du savoir-faire français. Ensemble ils ont créé une collection qui s’est déjà vendue à plusieurs centaines d’exemplaires.

Comment une marque raconte-t-elle son histoire au service de sa stratégie ?

• Jean-François Dumont est un des deux dirigeants de la Faïencerie Georges dont l’origine date de 1898. C’est en 2010 que Jean-François et Carole Georges reprennent l’entreprise familiale. Tout en conservant le savoir-faire traditionnel - le calibrage des pièces et l’illustration à main levée - ils posent un nouveau regard, spontané et décalé, sur la création des décors. Jean-François va nous expliquer comment ils ont fidélisé leur communauté de clients depuis plus d’un siècle.

• Jolhane Leite est responsable de la marque Atelier Particulier. Il s’investit tous les jours dans le développement d’actions cohérentes avec l’identité de l’entreprise dont la mission est de dénicher les meilleurs ateliers et révéler leurs savoir-faire. Pour lui, l’histoire racontée doit être un fil rouge pour stimuler les émotions d’une communauté de clients potentiels, au service de la stratégie de la marque.

Bonne écoute !

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Aujourd’hui, nous allons essayer de comprendre comment les métiers de designer et d’artisan peuvent être complémentaires et comment ils peuvent s’inspirer l’un de l’autre. Nous allons aborder ces questions à travers l’illustration du totem lumineux ALBA né de la collaboration de l’artiste designer Constance Guisset et de Paul Macheret, l’un des deux dirigeants de la Fonderie d’art Macheret.

Un mot sur l’origine du totem lumineux ALBA qui est né dans le cadre du projet Les MétamorFoses. Il a été lancé par Valérie Accary et Sandrine Couroyer pour créer des œuvres d’art à partir de matières imparfaites issues d’une entreprise du patrimoine vivant.

Ecoutons la discussion !

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Aujourd’hui, nous parlons reconversion. Se reconvertir vers l’artisanat et les métiers d’art est une voie de plus en plus recherchée si on en écoute les 30% d’entreprises individuelles créées ces 10 dernières années. 

C’est une voie merveilleuse, mais c’est aussi une voie engageante car c’est un nouveau métier et souvent un nouveau secteur à découvrir.

Aujourd’hui, écoutons Yoann Courant, ébéniste en devenir nous parler de son cheminement et Isabelle Neveux, coach et et formatrice en gestion de carrière nous donner ses meilleurs conseils.

Et pour ceux qui souhaitent être accompagné dans ce chemin, inscrivez-vous à notre programme Devenir Artisan co-créé avec le Campus Versailles.

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Références :

• Garance & Moi ⁠

• Chance ⁠

• Questionnaire RIASEC Studyrama⁠

• Convention de stage PMSMP FranceTravail 

• Conseil en évolution professionnelle (CEP)

• Rebondir : ‘Les secteurs de la mode et du luxe recrutent’ ⁠

• Stage ébénisterie BdM Ateliers

• Dispositif TransitionsPro Démission-Reconversion

• @atelier_karasu

• @soya.paris

Etre artisan d’art parce qu’on peut compter sur le revenu de son conjoint n’écarte pas le désir d’en vivre le mieux possible. Mais deux artisans d’art qui vivent en famille ne laissent aucun doute sur le fait de ne compter que sur les revenus de leur art.

C’est le cas de Marie Gourault et Benoit Peyrous que nous accueillons aujourd’hui. Ils vivent à Layrisse, une petite commune des Hautes-Pyrénées avec leurs deux enfants. Marie est bronzière. Elle crée des sculptures miniatures et Benoit crée du mobilier contemporain sur-mesure en bois et en acier.

Cet événement s'inscrit dans la série “Je vis de mon métier et je vous explique comment” pour parler des sujets qui trop souvent sont tabous : le chiffre d’affaires, le salaire, au bout de combien de temps un artisan d’art vit de son métier ?

Merci infiniment Marie et Benoit de vous être manifestés pour témoigner ! On vous souhaite une très très belle écoute !

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Aujourd’hui, nous sommes dans l’atelier Lafont, situé derrière la boutique historique du lunetier éponyme rue Vignon à Paris. En traversant la boutique, nous découvrons un univers hyper créatif, depuis les lunettes historiques exposées en vitrine jusqu’aux modèles optiques ou solaires contemporains. Il n’est pas rare de croiser Thomas ou Matthieu, dirigeants et petits-fils de Louis Lafont qui a créé la maison en 1923.

Nous avons la chance de nous entretenir avec Nicolas Roux qui met son talent au service du sur-mesure et du fait-à-la-main. Amoureux du savoir-faire lunetier, meilleur ouvrier de France, Nicolas nous emmène à la découverte de son métier spécifique et révélé grâce à la maison Lafont.

Bonne écoute !

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Aujourd’hui nous partons à la rencontre d’une magicienne. Marine Fargetton est restauratrice en céramique. Toute oeuvre que vous lui confiez, fissurée, cassée, accidentée, Marine lui redonne vie tout en gardant l’empreinte du temps si importante dans ce métier.

Marine est créative et elle a choisi comme métier l’ennemi de la créativité car son job consiste à rendre une oeuvre à l’identique, en s’interdisant la moindre interprétation. Marine nous expliquera pourquoi elle a fait ce choix et ce qu’elle aime dans ce métier imprégné d’histoire de l’art.

Avec Marine, nous parlerons également du secteur, des sciences qui nourrissent son métier, de l’importance de se tenir à jour des avancées, de la recherche. Nous irons à la découverte de certaines oeuvres qu’elle a restaurées et de leur histoire enchanteresse.

Marine vous emporte avec charme et enthousiasme dans l’histoire de son art. Belle écoute !

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Florence Pantin travaille les perles tissées et le verre fusionné depuis 2010 sous sa marque "Bijoux Evidence", des bijoux d’art et d’histoire. Travaillant essentiellement pour les boutiques de musées, elle nous explique comment elle les a démarchés. 

Convaincue par son produit, elle sait en parler. Convaincue par le prix de ses produits et par l’histoire qu’ils racontent, elle sait s’adresser à sa cible. Elle nous explique sa démarche, ses techniques de vente. Elle est aussi vivante que convaincante, alors écoutez-la car cette discussion recèle d’une mine de conseils. 

Cet interview a été réalisée au Campus Versailles, lors du parcours Devenir Artisan que nous avons créé ensemble pour éclairer les personnes qui envisagent de prendre la voie de l’artisanat et des métiers d’art !

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Aujourd’hui, nous avons le plaisir d’être avec Cerise Bentz qui a créé la Cerise sur le Chapeau en 2007. Dès le début, Cerise a construit l'identité de son entreprise autour de l'élégance intemporelle en proposant des formes traditionnelles, et des couleurs rapportées de ses voyages. Elle s'appuie sur des savoir-faire artisans qu'elle sous-traite. Un atelier en Italie crée les formes qu'elle dessine, un artisan français moule les cônes (matière première en feutres et en paille) à partir des formes et Cerise source les gros grains (les rubans qui entourent le chapeau ) auprès d'un atelier de tissage du Sud de la France. Elle accorde beaucoup de place à la matière, qu'elle source au Portugal pour le feutre et en Equateur pour la paille. 

Ce qu’il y a d’intéressant avec Cerise, c’est qu’elle est entrepreneure sans le savoir. Elle dit qu’elle n’est pas business woman. Pourtant elle en a la posture. Elle démarre en testant à petite échelle son projet. En installant sa boutique dans le 6ème à Paris elle fait grandir son marché et c'est le bouche à oreilles qui constitue son principal levier de développement. Aujourd'hui, elle a 5 salariés.

Nous parlerons aussi de l'importance de la diversification vers d'autres produits pour pouvoir garder les formes traditionnelles de ses chapeaux et de l'innovation digitale qu'elle prépare pour améliorer l'expérience client. Nous allons également parler du positionnement prix et de l’erreur qu’elle ne referait pas si elle recommençait aujourd’hui.

Si vous ne l'avez pas déjà fait, allez découvrir la Cerise sur le Chapeau rue du Cherche Midi, la boutique est magnifique ! Des outillages comme la presse sont même exposés pour comprendre les étapes de fabrication d’un chapeau !

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Liens :

site web : lacerisesurlechapeau.com

instagram : @la_cerise_sur_le_chapeau

L’apprentissage du savoir-faire, le perfectionnement de son savoir-faire, l’apprentissage de nouvelles techniques, la recherche d’innovation dans les matériaux choisis ou dans l’entremêlement des savoir-faire sont des sujets qui touchent au cœur du métier des artisans d’art.

Aujourd’hui, nous avons la chance d’avoir deux artisans d’art qui ont eu chacun un parcours très singulier :

• Karl Mazlo est artiste joaillier. Il est né d’un père joaillier qui lui a transmis à la fois une grande exigence des techniques et un amour pour l’art qui l’a invité à repousser les limites de son savoir-faire. Ancien diplômé de l’école Boulle “art du bijou et du joyau”, résident de la Villa artistique Kujoyama au Japon et des Ateliers de Paris, il continue à développer des collaborations pour continuer son exploration. Avec Karl, nous parlerons parcours initiatique et financement de la recherche.

• Sabine Pedrero, tapissière et décoratrice, reconvertie vers ce métier après une première vie professionnelle d’entrepreneuse. Sabine, formée à l’Ecole de La Bonne Graine et à l’école Boulle, c’est aussi au contact d’autres artisans qu’elle approfondit son savoir-faire. Avec Sabine, férue d’apprentissage et de découverte, nous parlerons formation en deuxième partie de vie professionnelle.

• Adelaide Belmonte, responsable du développement commercial au Greta des métiers d’art et de la création enrichira cette discussion par ses connaissances dans les dispositifs de formation et de son financement tout au long de sa vie.

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Liens de l'épisode :

Sites web :

karlmazlo.com

sabinepedrero.com

cdma.greta.fr

Instagram :

@sabine_pedrero

@karlmazlo

Elise Bougy est vigneronne depuis 2016 quand elle a repris le domaine viticole de ses parents en Champagne. Elle décide d’être en conversion biologique et biodynamique sur ses terres pour leur apporter du vivant. C’est le Champagne Elise Bougy !

Elle aborde son métier comme un équilibre entre terroir, tradition et créativité, un peu comme un artisan d’art.

Elle est également impresario de vignerons car chineuse passionnée, elle aime être inspirée et faire partager. Son agence “les bouchons d’Elise” lui permet de nourrir l’écosytème qu’elle crée autour d’elle. Ce qu’elle avait déjà entrepris quand elle a créé l’association “les pétillantes du vin” en 2011 pour transmettre sa connaissance du vin.

Elle a été lauréate du prix ELLE des artisanes en 2021. C ‘est dans ce cadre que nous sommes allés à sa rencontre, pour qu’elle nous explique son parcours, ses enseignements, et comment elle aborde sa vie professionnelle avec passion et créativité.

Belle écoute !

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C’est à La REcyclerie que nous nous retrouvons ! Implantée au sein d’une ancienne gare de la Petite Ceinture réhabilitée en lieu de vie, ce lieu magique a pour ambition de sensibiliser le public aux valeurs éco-responsables, de manière ludique et positive !

A cette occasion, nous accueillons :

Sylvie Betard, co-fondatrice de la Réserve des Arts en 2018, et consultante fondatrice de l’Upcyclerie depuis 2012, Sylvie est une spécialiste des relations entre l’art et l’écologie. Elle travaille avec des designers, des artisans et des entreprises spécialisées dans la transformation des matériaux pour imaginer comment les déchets peuvent être transformés pour être réutilisés et rendus désirables. Elle pourra nous inspirer sur la façon dont les artisans d'art peuvent exercer leur savoir-faire à partir de matériaux recyclés.

Arnold d’Alger, fondateur du Bazar d’Alger a choisi non pas de transformer, mais d’utiliser l’existant pour le rendre plus beau, plus contemporain, et surtout fidèle à l’univers graphique qu’il a créé. Arnold chine de la vaisselle et propose de la personnaliser. Il nous expliquera sa démarche et ses projets !

Très belle écoute !

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Aujourd'hui, nous avons le plaisir d’accueillir Jean-Baptiste Saint Criq. Il a terminé en 2010 sa formation de sept années dans les métiers d’art du Bois à Revel. Avec un Diplôme des Métiers d’Art (DMA), une spécialité dans la marqueterie et une maîtrise parfaite de la technique, il a élaboré son propre savoir-faire et a affirmé un style très contemporain. En 2015, il crée son entreprise Cercus.

Ce qui nous a intéressé dans cette discussion c’est l’approche du collectif que Jean-Baptiste a développé à chaque étape de son parcours.

A double titre, car :

• D’une part, c’est très important pour lui de ne pas s’isoler,
  
• D’autre part, il s’appuie sur des professionnels pour gérer ce qu’il dit ne pas être son métier, cela lui a permis d’économiser presque 50% de son temps qu’il peut consacrer à l’atelier.
  

Nous allons notamment parler du grand rôle joué par son agent Agathe Bourdrez (Tout-un-Art).

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Liens de l’épisode :

Instagram de Jean-Baptiste: @cercus.marqueterie

site web de Jean-Baptiste: cercus.fr

Site web de Tout-un-Art : tout-un-art.fr

Aujourd’hui nous recevons celui qui fait la pluie et le beau temps dans la création contemporaine. Vincent Grégoire est directeur des tendances chez Nelly Rodi. Nelly Rodi, c’est une agence qui aide les marques à comprendre les nouveaux standards de consommation et les nouveaux usages. Ils décryptent tout ce qu’il se passe et surtout les signaux faibles, annonciateurs d’une tendance à venir.

Aujourd’hui, nous parlons méthode, pour que les artisans d’art puissent mieux comprendre et anticiper les attentes de leurs clients. Merci Vincent pour la générosité que tu mets à expliquer ton métier.

Ecoutez…

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Tous les mois, nous proposons un nouveau thème de discussion, pour éclairer une spécificité de l’artisanat d’art. Nous diffusons l’échange ici, mais si vous voulez poser vos propres questions, inscrivez-vous à l’événement, nous le communiquons via notre newsletter, et nos réseaux sociaux. 

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Cet épisode est produit grâce à l’implication de ⁠⁠⁠⁠⁠⁠Ville et Métiers d’Art⁠⁠⁠⁠⁠⁠, association qui a pour vocation de favoriser le développement et la transmission des savoir-faire d’exceptions en France.

Quels sont les avantages et inconvénients de vivre en milieu rural ? Quelles sont les opportunités à connaître pour tirer partie d’une vie riche à la campagne quand on est artisan d’art ?

C’est le sujet qui nous intéresse aujourd’hui.

Pour cela, trois regards vont se croiser :

• Celui de Léna Morelli, tisseuse d’assises ! Elle a décidé de quitter Paris pour s’installer à Saint-Victor-la-Coste, un village de 2000 habitants, à 20km d’Avignon.
• Celui de François Piccione : co-fondateur du magazine Bobine, cette revue de 160 pages qui met en lumière nos anciens, nos terroirs et nos savoir-faire.
• Celui de Julie Plassat, qui s’est engagée dans la revitalisation de la Poterie des Chals en Isère qui date du XIXème siècle en créant un projet associatif qui permettra notamment d’accompagner de jeunes artisans potiers dans leur installation sur le territoire.

Retrouvez dans la discussion mille conseils avisés, témoignages sincères, initiatives intéressantes ! Parmi celles-ci, Récits de savoir-faire, un dispositif de médiation culturel lancé par Terre et Fils et Familles Rurales.

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Aujourd’hui, en pénétrant dans cet atelier de passementerie installé depuis le début du XXème siècle rue Orfila à Paris, nous assistons à la rencontre du dynamisme et de la tradition. Deux caractéristiques qui ne sont pas contradictoires, bien au contraire, surtout quand elles sont incarnées par Anne Anquetin.

Anne, après une première carrière dans de grands groupes informatiques et un long parcours de recherche d’entreprise en lien avec le « bon » ou le « beau », est tombée sous le charme de la Passementerie Verrier. Un marché de niche certes, mais un horizon des possibles pour Anne.

Nous allons parler de l’entreprise elle-même, de son évolution et du marché, nous allons parler innovations, collaborations et également association avec Yves Dorget, maître d’art en passementerie qui a dirigé l’entreprise pendant 25 ans avant de la céder tout en continuant à y travailler.

Nous allons bien sûr parler de Anne dont le parcours nous intrigue ! Débarquant à la tête de cette entreprise traditionnelle en 2018 sans connaissance des métiers d’art avec l’ambition de protéger cet atelier unique et extraordinaire. Elle met toute son énergie et ses compétences dans son entreprise qu’elle chérit pour la faire grandir chaque jour.  Bonne écoute !

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Aujourd’hui, nous abordons les collaborations entre architectes d’intérieur et artisans d'art.

Pour cela nous avons la joie d'être avec Charlotte Biltgen, architecte d’intérieur et designer. Après 13 ans chez India Mahdavi comme directrice artistique, elle a fondé en 2015 son propre studio, puis son mobilier, explorant l’équilibre entre classicisme et modernité à travers des créations mêlant mobilier sur mesure et espaces chaleureux. Sa démarche artistique s’appuie sur des collaborations avec artisans et artistes pour offrir des univers uniques.

Avec elle, Sonja de Monchy, céramiste et ancienne designer textile, qui explore la matière dans une démarche expérimentale, mêlant terre, tissu et végétal. Inspirée par la nature environnante de son atelier à Samois-sur-Seine, elle crée des pièces uniques allant des revêtements muraux aux plateaux de table, célébrant l’imprévu grâce à des techniques de cuisson comme le raku.

C'est avec joie que nous leur donnons la parole !

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Pour nous rejoindre, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ c'est par ici⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ !

Nous avons rendez-vous aujourd’hui dans le plus grand marché du monde : Les Puces de St Ouen.

Un lieu de plus d’un siècle, atypique et éclectique où l’on retrouve les marchands, les brocanteurs, les antiquaires et les artisans.

Armel Simon ébéniste et restaurateur inaugure notre série – Les artisans de St Ouen.

On croise dans l’atelier d’Armel situé non loin de la fameuse Rue des Rosiers qui irrigue les 7 hectares du marché, ses clients professionnels mais aussi particuliers chineurs et collectionneurs venus parfois de très loin lui confier leurs précieuses trouvailles.

Armel se raconte avec bonheur et nous ouvre les coulisses de ce lieu classé Monument historique depuis 2001, qui ne cesse d’évoluer lançant les courants et précédant souvent les modes.

Bienvenue aux Puces !

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C’est aujourd’hui chez ICI Nantes, qui appartient au réseau Make Ici que nous sommes. Ce lieu où nous avons la chance d’avoir réuni les artisans d’art de la région abrite une cinquantaine de résidents dans 1600m2 d’ateliers partagés. Se retrouvent menuisiers, ébénistes, métalliers, tapissier, bijoutiers etc etc

Nos invités du soir sont Simon Cabrol et Malvin Gaborit. Tous les deux ébénistes designers, ils se sont associés au tout début de leur aventure entrepreneuriale. Ils ont créé Millimètre pour répondre à des chantiers d’agencement haut-de-gamme, qu’ils ont développé et structuré pour s’en émanciper peu et à peu et créer leur marque d’ébénisterie UNI Habitat. Ecoutez-les !

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