Parentèle (Parentèle)

On le sait, et on en a déjà pas mal parlé sur le podcast, devenir parent peut chambouler notre vision de la vie professionnelle, et c’est encore plus vrai quand on est une femme.

Beaucoup d’entreprises ne sont pas formées ni équipées pour les femmes enceintes et les jeunes mamans, et les femmes se retrouvent projeter dans un monde où elle doivent, après leur congé maternité, reprendre leur travail comme si elles n’avaient pas eu d’enfant, et de l’autre côté s’occuper d’un petit être comme si elles ne travaillaient pas. 

Trouver son équilibre peut alors devenir compliqué, et certaines femmes font le choix de l’entrepneuriat, en rêvant de liberté, de flexibilité et de souplesse avec des horaires de travail plus adaptées à une vie de maman. 

Emilie, que je reçois cette semaine accompagne ces femmes dans cette transition. Elle les aides à faire décoller leur business, et elle vient de créer un programme gratuit en ce sens, complètement financé par des partenaires, qui va permettre à 20 femmes d’être coachées personnellement pour faire grandir leur entreprise et atteindre leurs objectifs. 

Emilie nous raconte son pourquoi et son comment, ce qui l’anime dans le fait d’aider les entrepreneuses, elle nous parle aussi de sa maternité et de son parcours pro, qui l’a elle aussi amenée à monter sa propre boîte.

/// Si vous êtes enpreneuses, vous pouvez candidater au programme Mères, un accompagnement personnalisé gratuit pour faire décoller votre business.

Toutes les informations ici : https://maison-mere.co

Retrouvez Emilie sur Linkedin https://www.linkedin.com/in/emilie-friedli/

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Ya t-il une meilleure introduction à cet épisode qu’entendre Laurie nous chanter du Angèle ? Je ne crois pas. 

Bienvenue dans le 3eme hors série de Parentèle. Aujourd’hui on est avec Laurie et on parle boulot. On se pose les questions de beaucoup de femmes qui deviennent maman, comment allier vie pro et vie perso, comment je fais pour travailler et réussir à passer du temps avec mes enfants, à être un maximum présente le soir, à se dégager des moments de qualité et pas qu’un enchaînement de devoirs/bain/repas/dodo. 

On espère que cet épisode vous plaira, voire même qu’il vous aidera ! Je vous souhaite, une très bonne écoute.  

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Dans la vie, ça vaut pour tout, il y a la théorie et la pratique. Je n’y échappe pas avec Parentele, qui est théoriquement un podcast sur lequel on parle d’enfants de plus de 3 ans, mais dans la pratique, il y a quand même certaines histoires qui, par leur singularité, méritent d’être partagées.  

C’est le cas de Julie, que j’ai rencontré à Bruxelles en juillet dernier. Julie a bravé les normes, défié l'horloge biologique, et a décidé de devenir mère en solo. Comme le chantait Goldman, elle a fait un bébé toute seule. Elle était en couple et amoureuse, mais il arrive parfois que les situations ne soient pas autant compatibles que l’on peut l’imaginer de l’extérieur. 

Dans cet épisode, on parle de cryoconservation, de deuil de la famille idéalisée et projetée depuis toujours

On parle aussi de famille recomposée, de ce que c’est d’être une maman carriériste, de la vie de maman solo et toute l’organisation que cela implique. 

L’épisode est absolument passionnant, l’histoire est poignante. Je vous laisse plonger dans ma conversation avec Julie, et je vous promets que vous ne serez pas déçu. Je vous souhaite, une très bonne écoute. 

Hôte et production : Johana Cinturao

Musique composée par Jonathan Davenport

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C’est parti pour le 3eme et dernier épisode du dossier de rentrée. Cette semaine, on passe de l’autre côté de l'estrade avec une maîtresse d'école. J’ai enregistré avec Dune le 1er septembre, soit le soir après la rentrée scolaire.  

A l’heure où 4000 postes de l’éducation nationale sont vacants et où l’on embauche des contractuels sans expérience, formés en quelques jours, qui vont se retrouver devant des classes d’une trentaine d’enfants, comme si devenir enseignant pouvait s’improviser du jour au lendemain, j’ai voulu interroger une maîtresse d'école pour savoir comment se prépare la rentrée du côté du corps professoral.  

Dans cet épisode, on parle de d’organisation, de décoration de la classe, de sortie scolaire, de rapport avec les parents, des salaires et évolutions possibles au sein de l’éducation nationale. On évoque aussi tout le parcours qu’il faut (normalement) suivre pour faire ce métier, les études, les stages, les différents statuts.  

Je vous souhaite, une très bonne écoute.  

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Si vous êtes parent, parisien ou parisienne et que vous aimez partir en vadrouille avec votre tribu, vous connaissez certainement mon invitée.    

Aujourd’hui je reçois Anaïs, maman de 3 enfants, voyageuse endurcie, autrice du blog Parisianavores. Si vous habitez Paris et sa région et que le nom ne vous dit rien, foncez sur son site, vous y trouverez plein d’idées de sorties en famille à moins de 2h de Paris, mais aussi des bonnes adresses de restaurants parisiens qui vous feront voyager et des récits de ses expéditions familiales avec plein de bons plans et d’idées pour vos futures destinations.  

Je l’ai rencontrée via Instagram, son compte est une pépite avec plein de bons conseils et d’idées, toujours sur un ton humoristique saupoudré de quelques punchlines et j’avais très envie de la recevoir à mon micro pour évoquer avec elle sa vie de maman, ses voyages, ses combats.  

Anaïs est connue pour son engagement, notamment sur la charge mentale qui pèse sur les épaules de beaucoup de femmes à l’arrivée des enfants.  

Dans cet épisode, on parle donc de voyages et de charge mentale, mais aussi de répartition des tâches, d’indépendance, de la gestion d’une famille nombreuse quand on a très peu de relai, de mixité, de comment et quand sensibiliser nos enfants au racisme et aussi de voyage. Je l’ai déjà dit ?  

Bienvenue dans un épisode à la parentalité décomplexée, je vous souhaite, une très bonne écoute.  

Si vous souhaitez soutenir le podcast, abonnez-vous à Parentèle sur votre plateforme d’écoute, mettez-lui 5 étoiles et un petit commentaire sur Apple podcast et partagez cet épisode sur vos réseaux sociaux de prédilection.  

Vous pouvez retrouver Anaïs sur Instagram via son pseudo Parisianavores, et également son blog du même nom si vous souhaitez faire le plein d’idées et de conseil avant de partir en vadrouille en famille.  

On parle de plein de choses dans cet épisode, pour aller plus loin, vous pouvez retrouver les liens & références ici :

Son blog : 

https://parisianavores.paris 

Les escampettes (pour des escapades à moins de 2h de Paris) : 

https://www.lesescampettes.com 

Éditions talents hauts : 

http://www.talentshauts.fr 

BD Awa de Zélia Abadi & Gwanëlle Doumont :

https://www.cultura.com/p-awa-9782362664403.html?utm_source=google&utm_medium=cpc&utm_campaign=FM_PLA_Autre_TouslesProduits&gclid=Cj0KCQjw-daUBhCIARIsALbkjSaTUYBOofIR9KWmzTsxNvK-qelkMQWdAwZrgAFuIMXsYyPNPSYjqCsaAuMyEALw_wcB 

"Comme un million de papillons noirs" Laura Nsafou & Barbara Brun :

https://www.cultura.com/p-comme-un-million-de-papillons-noirs-9782366243529.html 

"Le chemin de Jada" Laura Nsafou & Barbara Brun :

https://livre.fnac.com/a13860364/Laura-Nsafou-Le-chemin-de-Jada 

Article blog qui recense les livres pour enfants avec des représentations des personnes racisées :

https://parisianavores.paris/education-anti-raciste-livres-jeunesse-heros-noirs/ 

Livre Céline Alvarez, "Les lois naturelles de l'enfant" :

https://www.cultura.com/p-les-lois-naturelles-de-l-enfant-9782367622934.html 

Après notre enregistrement, Anaïs m'a aussi parlé d'un autre livre qui avait changé sa vision de l'éducation - Un manifeste pour une éducation féministe de Adichie Chimamanda Ngozi :   

https://www.cultura.com/p-chere-ijeawele-ou-un-manifeste-pour-une-education-feministe-9782072721977.html 

Podcast Méta de choc : 

https://metadechoc.fr 

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Vous vous souvenez d'Aurore? Elle avait participé au podcast au tout début. A l'époque elle était sur la fin de son long voyage en bateau en famille. Aujourd'hui et depuis notre épisode elle s'est installée au Mexique. Et quand avant on suivait les aventures et péripéties de sa vie à bord, aujourd'hui elle nous tient en haleine avec sa nouvelle vie plus sédentaires, les travaux de sa maison et autres chocs culturels qu'elle nous partage toujours à sa manière, avec huour et beaucoup d'auto dérision.

Je vous laisse (re)découvrir Aurore et sa famille, dans leur vie d'avant à bord de leur bateau Tropicool. 

Vous vous êtes déjà imaginés partir et tout quitter pour voyager ? En van, en sac à dos, en bateau ? Peut-être que vous faîtes partie des personnes pour qui c’est une idée complètement folle et ce n’est même pas la peine d'y penser, alors que pour d’autres c’est naturel, comme une évidence. Dans ce 7e épisode, on embarque à bord Tropicool avec Aurore et sa famille.  

Elle est française, son mari, Franck, est allemand, et ils se sont rencontrés dans une auberge de jeunesse dans un petit village du Panama. On annonce la couleur, le couple adore voyager. C’est avec leurs 2 enfants qu’ils ont pris le large il y a maintenant 3 ans, qu’ils ont signé pour une vie nomade en marge du reste du monde et qu’ils voyagent depuis en tour du monde qui, avec le covid, s’est transformé en tour d’Atlantique.  

Aurore m’a raconté comment c’était la vie à 4 sur un bateau, on a parlé de traversée de l’Atlantique, d’école à la maison, d’un génie maléfique et même de l'utilité de mettre des chaussures. Elle nous explique comment on concilie une vie de femme et de maman au rythme des navigations, comment on occupe les enfants et comment on fait pour trouver du temps pour soi. 

 Si vous suivez déjà leurs aventures sur Instagram, sachez qu’Aurore est exactement la même dans la vraie vie : drôle et sincère  

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Les Coulisses du Podcast : Pause, Retour et Réflexions

Je vous ai manqué ? Vous aussi !

Après une absence de près de trois mois, je reviens en solo pour un épisode spécial consacré aux coulisses du podcast. Découvrez les défis de la production d'un podcast en jonglant avec un emploi à temps plein et une vie de famille.

Au programme :

- Les raisons derrière cette pause inattendue

- Les hauts et les bas d'un parent-podcasteur

- Les moments de doute, les coups de boost, et tout ce qui fait le sel de cette aventure

- Les projets à venir et les solutions envisagées pour maintenir un rythme régulier

Un épisode intimiste et sincère qui vous plongera dans mes réflexions et mon envie de poursuivre. Ne manquez pas ce retour que j’ai tant attendu et préparez-vous à une saison estivale riche en épisodes incroyables !

Parce que oui, je reviens en force, et j’ai hâte de partager tout ça avec vous !

Dans cet épisode on mentionne :

Rosa Bursztein et son podcast Les mecs que je veux ken

Clémentine sarlat et son podcast La Matrescence

Le dernier épisode de Parentele avec Lydia : dispo ici

Vanessa, ancienne avocate qui va intervenir sur le podcast dans le prochain épisode #PASLETIME

Sophie

Clin d’oeil à Vince dans le bêtisier, meilleur coach Dynamo

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En cette semaine de rentrée, c’est aussi la reprise du podcast, et même si je ne veux pas vous spoiler je dois vous l’annoncer : cet épisode est GÉNIAL ! J’ai adoré l’enregistrer, j’ai adoré le réécouter pour le montage donc je n’ai aucun doute sur le fait qu’il va vous plaire à vous aussi. 

Je reçois à mon micro Marie, coach parental, qui nous explique son métier. La formation qu’elle a faite pour l’exercer, le chemin qui l’a menée aujourd’hui à aider des parents et des familles. On parle de comment bien choisir son coach et Marie nous donne quelques astuces universelles qu’on peut mettre en place avec nos enfants. On parle aussi d’éducation sexuelle, de consentement, de neuro-atypie, de comment formuler nos phrases pour qu’elles soient plus audibles et comprises par nos enfants. Bref on parle de la vie. 

Je vous laisse avec Marie et je vous souhaite une très bonne écoute. 

Liens et références de l'épisode : 

// Vous pouvez suivre Marie sur instagram : https://www.instagram.com/parentalid/ 

// Dans l'épisode, Marie parle du fait qu'elle a conscience que le coaching a un coût et qu'il n'est pas abordable pour toutes les familles. Elle explique que pour pallier à ça elle a créé des ateliers, plus de 50% moins chers qu'une heure de coaching avec elle, qui donnent des conseils assez universels (donc moins personnalisés qu'une série de séances avec un coach) en fonction d'un thème donné. 

Marie n'a pas de nouveaux ateliers de prévus pour l'instant, mais elle a créé un pack de 3 ateliers en visio, un peu comme une masterclass, que vous pouvez retrouver ici : https://laviolettemarie.systeme.io/a352daed 

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La vie c’est un peu comme une course après le temps, dans laquelle on a l’impression de courir beaucoup plus vite une fois qu’on a des enfants. Quand ils sont tous petits on a envie qu’ils grandissent pour que eux gagnent en en autonomie et nous en liberté. Et quand ils sont grands on a peut-être parfois envie de ralentir voir arrêter le temps pour qu’ils restent un peu plus au creux de nous.  

Mon invitée de cette semaine s’appelle Rachel, elle est franco uruguyaine et maman de 3 ados. Courir après le temps et les âges, elle connait. Rachel et son mari ont toujours su qu’ils voulaient une famille nombreuse. Quand ils se sont rencontrés à la fac et qu’ils ont vite évoqué le sujet enfant, ils étaient partis sur 4.  

Famille de sportifs, ils partagent tous les 5 une passion pour la natation et partent tous les étés à vélo en itinérance.  

Dans cet épisode, on parle de la dynamique que ça crée d’avoir 3 enfants, des relations et rapprochements entre frères et sœurs selon les périodes de vie, de nostalgie, des premières et dernières fois, de vacances reposantes (ou pas), des rapports aux écrans, de l’âge auquel avoir un téléphone et de maman poule.  

Je vous laisse écouter cette discussion avec Rachel, et vous souhaite une très bonne écoute  

Notes de l'épisode : 

- Podcast Change ma vie de Clotilde Dusoulier et notamment l'épisode sur les segments d'intention
https://changemavie.com/episodes/loa4

- Serge Tisseron, psychiatre, docteur en psychologie habilité à diriger des recherches, membre de l’Académie des technologies. Il a imaginé en 2007 les repères « 3-6-9-12 (https://www.3-6-9-12.org/), pour apprivoiser les écrans, portés par l’association "Trois, Six, Neuf, Douze"

- Livre La fabrique du crétin digital de Michel Desmurget, aux éditions du Seuil

Production et hôte : Johana Cinturao 

Musique composée par Jonathan Davenport

Instagram Parentèle  

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je ne veux pas vous spoiler je dois vous l’annoncer : cet épisode est GÉNIAL ! J’ai adoré l’enregistrer, j’ai adoré le réécouter pour le montage donc je n’ai aucun doute sur le fait qu’il va vous plaire à vous aussi. 

Je reçois à mon micro Marie, coach parental, qui nous explique son métier. La formation qu’elle a faite pour l’exercer, le chemin qui l’a menée aujourd’hui à aider des parents et des familles. On parle de comment bien choisir son coach et Marie nous donne quelques astuces universelles qu’on peut mettre en place avec nos enfants. On parle aussi d’éducation sexuelle, de consentement, de neuro-atypie, de comment formuler nos phrases pour qu’elles soient plus audibles et comprises par nos enfants. Bref on parle de la vie. 

Je vous laisse avec Marie et je vous souhaite une très bonne écoute. 

Liens et références de l'épisode : 

// Vous pouvez suivre Marie sur instagram : https://www.instagram.com/parentalid/ 

// Dans l'épisode, Marie parle du fait qu'elle a conscience que le coaching a un coût et qu'il n'est pas abordable pour toutes les familles. Elle explique que pour pallier à ça elle a créé des ateliers, plus de 50% moins chers qu'une heure de coaching avec elle, qui donnent des conseils assez universels (donc moins personnalisés qu'une série de séances avec un coach) en fonction d'un thème donné. 

Marie n'a pas de nouveaux ateliers de prévus pour l'instant, mais elle a créé un pack de 3 ateliers en visio, un peu comme une masterclass, que vous pouvez retrouver ici : https://laviolettemarie.systeme.io/a352daed 

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Certaines destinées, certaines trajectoires de vies sont imprévisibles, et Shelley en fait complètement partie. 

Née aux États-Unis, elle a grandi en France et est partie vivre en Israël à 25 ans. Là-bas, elle a rencontré son mari et le futur père de ses 4 enfants. 

Et un jour, tout bascule. Elle part en vacances avec ses enfants et avec une partie de sa famille, mais sans son mari. 10 jours. 10 jours à gérer 4 enfants, leurs envies, leurs besoins, les « mamans mamans » qui ne s’arrêtent jamais. Elle rentre de ces vacances et elle craque. Elle l’apprendra des années plus tard mais elle a fait un burn out parental. 

Alors comment on sort de cette impasse, quand on ne sait même pas la nommer et qu’on a l’impression qu’on est juste une mauvaise mère ou une mère qui ne sait pas gérer? Comment on fait quand on se sent seule, qu’on croit être la seule à vivre ça, à ne pas aimer aller au parc ou à redouter le fameux tunnel du soir ? 

Shelley nous raconte à quel point les comptes Instagram qui déculpabilisent et montrent la vraie vie des mamans lui ont permis de réaliser que ce qu’elle ressentait était normal. Elle nous explique comment la méditation et le développement personnel l’ont aidée à s’en sortir, et comment elle en est arrivée à publier son premier livre intitulé « Le chemin du bonheur est parsemé de cailloux (et de crottes de chiens) », inspiré de son histoire et romancé. 

Je vous laisse avec Shelley et je vous souhaite une très belle écoute. 

Notes et réfénces de l'épisode : 

Le livre qui traite du "growth mindset vs fixed mindset". Il est traduit en français et vous le trouverez via le lien juste en dessous. 

https://www.amazon.fr/Changer-détat-desprit-nouvelle-psychologie/dp/2804700348/ref=asc_df_2804700348/?tag=googshopfr-21&linkCode=df0&hvadid=194954591937&hvpos=&hvnetw=g&hvrand=12420227027913123585&hvpone=&hvptwo=&hvqmt=&hvdev=c&hvdvcmdl=&hvlocint=&hvlocphy=9056275&hvtargid=pla-138275962635&psc=1

Film le tourbillon de la vie réalisé par Olivier Treiner

Film sliding doors réalisé par Peter Howitt

Hôte et production : Johana Cinturao 

Musique composée par Jonathan Davenport

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Toutes les mamans qui travaillent ont une double casquette. Mais qu’en est-il de celle dont le travail et d’être avec nos enfants tous les jours toute la journée

Ces personnes qui passent leur journée à apprendre à nos enfants, à lire, à compter alors apprendre l’histoire la géographie.

Nous sommes en plein mois d’août et je suis sûre que beaucoup d’entre vous pensent déjà à la rentrée scolaire. Aujourd’hui je reçois mon micro Sophie maîtresse d’école et Maman de deux enfants.

Dans un premier temps, Sophie nous raconte sa vision de l’école de l’apprentissage. Elle a mis en place une classe flexible ou l’apprentissage se fait de manière innovante et peut-être plus adapté aux besoins des élèves. Qu’est-ce qu’on connaît depuis toujours et qui est ancré tellement fort que c’est parfois difficile . D’imaginer que ça pourrait se passer autrement.

Elle nous parle aussi tu t’aimes qu’elle a mis en place pour ses élèves tout au long de l’année Harry Potter et nous dévoile comment elle utilise la magie de cette saga pour activer et motiver ses élèves

On Aborde les écrans leur danger. Les difficultés de certains parents à surveiller ou limiter leur utilisation et on parle ensemble ensemble. Des solutions qu’on a ou qu’on imagine pour utiliser les écrans de manière ludique et éducative

Ensuite, Sophie nous parlera de son rôle de maman de ce qu’implique la double casquette de Maman, maîtresse d’école, surtout dans cette année si particulière particulière particulière particulière ou son enfant à l’âge de ses élèves .

Je vous souhaite une très bonne écoute

Retrouvez Sophie sur Instagram : https://www.instagram.com/latribudesrenards/

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Je vous présente cette semaine le deuxième hors série du podcast. Un nouveau format, plus court, dans lequel je parle un peu de ce qu’il se passe de l’autre côté du micro. Et quel meilleur évènement que le cap des 10000 écoutes cumulées franchi pour lancer le premier épisode des coulisses du podcast. 

J’espère que ça vous plaira, j’ai hâte d’avoir vos retours. 

Bon mercredi à tou.te.s les daron.ne.s pour qui c’est pas un jour de la semaine comme les autres. 

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Aujourd'hui sur parentèle, on plonge dans la vie extraordinaire d’une maman.

Attention, je pense que cet épisode rentre dans le classement des histoires les plus incroyables du podcast. Mon invitée de la semaine d’appelle Samantha, elle a 8 enfants. Je vous laisse prendre une petite inspiration, parce que c’est pas fini. Elle nous partage son parcours, de l’éducation qu’elle a reçue jusqu’à aujourd’hui, à la tête d’une famille très nombreuse et en rémission d’un cancer. 

Dans cet épisode, on parle (un peu) d’accouchement, de gémellité au sein d’une grande fratrie, de la logistique d’une famille (très) nombreuse, des vacances et du challenge que ça représenter de trouver des lieux qui accueillent tout le monde, de la question des finances quand on a 8 enfants. Samantha nous raconte aussi comment elle a vécu la maladie, comment elle en a parlé à ses enfants, ce que ça implique de recevoir des traitements lourds chez soi et à quel point dans de telles situations, la générosité et la solidarité dont peut faire preuve l’entourage est un cadeau inestimable. 

Je vous souhaite, une très bonne écoute.

Dans cet épisode, on mentionne 

La Fourche  

Too good to go  

Stomiebusy 

Livre : "Il n’y a pas de parent parfait" Isabelle filiozat 

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Catherine Painvin. Vous avez découvert la semaine dernière cette femme au destin incroyable. Vous l’avez entendu vous raconter le début de sa maternité, l’arrivée de ses 3 premiers enfants, sa séparation avec leur papa, ses années de hippie à Martha’s Vineyard et vous connaissez même les coulisses de la création de Tartine et chocolat.  

Je voudrais d'ailleurs rectifier quelques informations car je me suis un peu mélangée les pinceaux dans les dates et les âges sur la première introduction. Catherine s’est mariée à 17 ans, est tombée enceinte de son 3e enfant à 19 ans et lui a donné naissance l’année de ses 20 ans.  

Si vous n’avez pas encore écouté la première partie de cette histoire, je vous conseille d’arrêter tout ce que vous êtes en train de faire et de lancer dès maintenant l’épisode de mercredi dernier, au risque de vous faire spoiler dans très peu de temps.  

Dans cet épisode, on parle de vacances de rêve, de 2 articles du Figaro Madame qui ont changé sa vie, de sa maison d’hôtes en Aubrac, de ses cancers et de sa solutide.  

Et à chaque fois, à chaque sujet, ses enfants et sa famille sont les acteurs principaux de ses choix, les épaules sur lesquelles elle peut s’appuyer, comme le fil conducteur d’une vie extraordinaire.  

Je vous souhaite une très bonne écoute.  

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Pour le premier épisode rediff de cet été, je ressors le premier épisode ever de Parentèle, que vous aimez beaucoup (et moi aussi!) 

Elle s’appelle Émilie, vous l’entendrez rapidement à son accent charmant, elle est belge. Elle vit à Bruxelles avec son mari et ses 3 enfants de 10, 8 et 4 ans. Vous avez  peut-être vu passer sur Instagram Théa Jewelry, sa marque de bijoux personnalisés qui cartonne et fait de nombreuses collabs hyper cools.  

À la tête de ce projet depuis une dizaine d’années, Émilie ne s’arrête pas là. Elle anime aussi des lives hebdos sur Instagram avec des entrepreneurs qui l’inspirent, elle a un podcast où ses clientes racontent l’histoire de leur bijoux commandé sur Théa Jewerly, elle a sorti une masterclass avec des ateliers pour les créateurs et créatrices de start up et elle propose aussi des séances de coaching sur l’utilisation des réseaux sociaux qu’elle connaît très bien car ils l’accompagnent depuis le début de son parcours.  

Bref, vous l’aurez compris, Émilie a plusieurs casquettes en plus de celle de maman de famille nombreuse. Je la suis depuis un moment, j’adore son univers et je suis très fière qu’elle soit la première personne à intervenir sur mon podcast. Je suis fascinée par la multitude de choses qu’elle gère en même temps. J’ai voulu la rencontrer pour en savoir plus, on l’a pas mal entendue sur des podcast sur l’entrepreunariat mais moi j’avais envie de creuser un peu sur sa vie de maman, et sur comment elle fait pour tout mener de front, en donnant presque l’impression que c’est facile.  

Dans cet épisode, on parle de la liberté (ou pas) d’être son propre patron, on parle de charge mentale, de semaines de retraites pour se ressourcer, de Madonna à la sortie de l’école, de petite enfance, de bébé surprise, de temps pour soi et de plein d’autres choses. Parce qu’enregistrer un épisode de podcast avec Émilie c’est un peu comme boire le thé avec une copine, on s’est laissées porter par notre discussion et ça fait du bien.  

Notes de l'épisode : 

La retraite de jeûne dont parle Émilie est "La pensée sauvage", vous pouvez la retrouver sur Instagram @lapenseesauvage

Le livre sur les règles c'est "Tout sur les règles" de Anna Roy et Mamoiselle Caroline

Hôte et production : Johana Cinturao 

Musique : Composée par Jonathan Davenport

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Bonjour, et bienvenue sur le 2e épisode de PAS LE TIME, le format de Parentèle pour celles et ceux qui n’ont pas toujours le temps d’écouter des épisodes d’une heure, et qu’on ne peut que comprendre. 

Aujourd’hui on va parler de vacances au ski. On va parler des valises hein, parce que gros sujet les valises quand on part en famille. On va parler du trajet, de comment on fait nous et de ce qu’on a mis en place pour que les heures de route se passent au mieux pour tout le monde. On va parler aussi de l’organisation que l’on a eue sur place, et de comment elle nous a aidés à profiter pleinement de nos vacances à nous aussi les parents. Parce que c’est vrai que partir en vacances avec des enfants, en général, ce n’est pas de tout repos pour les parents. Et enfin on va parler budget, et du coup forcément privilège. Parce que oui, j’ai bien conscience que partir une semaine au ski est un réel privilège. 

Je vous souhaite une très bonne écoute.

Intervention :

Hélène, du compte @sootsy

Mentions de l'épisode :

Solen, du compte @tripandtwins

Retrouvez son passage sur Parentèle ici

Jill, du compte @jill_et_sa_tribu

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Parfois on est sur la même longueur d’ondes en tant que couple, puis une fois parents on peut retrouver des dysfonctionnements, des désaccords et notamment sur l’éducation.

Cette semaine, Lydia va nous raconter son expérience à ce sujet. Comment les différences dans la vision de l’éducation peuvent mener à une séparation, et comment on gère la suite.

Est ce qu’on arrive à lâcher prise quand son enfant est chez l’autre parent ? Comment on se sent quand on est le parent chez qui il y a le plus de règles, et surtout comment on fait pour limiter les impacts que ça peut avoir sur la relation qu’on a avec nos enfants?

Lydia n’aura peut être pas toutes les réponses à ces questions, mais elle nous parle du chemin qu’elle a parcouru, et des embûches qu’elle a rencontré.

Si vous êtes de près ou de loin dans une situation similaire, j’espère que le récit de Lydia vous fera vous sentir moins seul.e, vous aidera d'une manière ou d'une autre.

Lydia je te remercie profondément d’être passée au micro de Parentele et de m’avoir raconté tout ca. C’est déjà souvent difficile pour les invité.e.s de parler de leur parentalité, qui peut être un sujet très intime, alors j’ai vraiment conscience du don de soi que c’est de venir raconter quand les choses ne se passent pas comme on le souhaite, ni comme on s’y attend.

Merci merci

Je vous souhaite une très bonne écoute

Hôte et production : Johana Cinturao

Musique composée par Jonathan Davenport

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Je vous l’ai annoncé la semaine dernière, on part sur un dossier de 3 épisodes pour préparer la rentrée. . Cette semaine, je reçois au micro de Parentele la maman d’une famille qui s’apprête à vivre une rentrée un peu particulière cette année car ils seront début septembre à un peu plus d’un mois de leur voyage en tour du monde. Parce qu’on est encore un peu en vacances mais qu’on voit septembre arriver à grands pas, ce sujet tombe à pic.  

J’ai enregistré cet épisode avec Céline la veille de leur départ, pour prendre la température d’une famille à un jour de partir pour le grand voyage de leur vie. Une maman, un papa et 3 filles qui ont entre 8 et 18 ans qui d’apprêtent à décoller pour une petite année de voyage à travers le monde.  

Dans cet épisode, on parle de l’organisation qu’un tour du monde en famille implique, de comment on se prépare pour faire l’école aux enfants, et de comment on les prépare à être déscolarisés pendant une année scolaire, de l’état d’esprit dans lequel on est la veille de quitter son monde, son cocon, sa zone de confort...  

Je vous souhaite une très bonne écoute  

Notes de l'épisode : Céline parle de la méthode Françoise Picot, plus d'infos via ce lien https://www.bienenseigner.com/methode-picot/ 

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Burnout, santé mentale et maternité : le parcours inspirant d’Alice

Alice revient sur le podcast après son passage dans l’épisode 14. Depuis, son chemin a pris une nouvelle direction. Après avoir vécu un burnout, elle a décidé d’agir pour aider les femmes qui, comme elle, traversent des périodes difficiles sans toujours oser en parler.

Après avoir touché le fond, elle a choisi de transformer cette épreuve en force. Elle s’est formée à la sophrologie, est devenue thérapeute et accompagne désormais les femmes qui, comme elle, ont ressenti un jour cette fatigue écrasante, ce mal-être dont on parle trop peu.

Dans cet épisode, on parle aussi de sa vie de maman, de belle-maman et de sa famille recomposée, des défis liés à l’éducation des ados et de la protection qu’on essaie, tant bien que mal, de leur apporter.

Un échange sincère, puissant et plein de ressources pour celles et ceux qui se reconnaîtront dans son histoire.

Un échange puissant, intime et essentiel sur la santé mentale des femmes.

Bonne écoute !

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Instagram Bonher

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Contactez-moi (ou Alice) sur les réseaux pour recevoir le pdf à afficher dans toutes les salles d'attente des médecins/gynecos/sage femmes...

Mentions dans l'épisode :

Episode 14 Parentèle

Enorme de Anna Roy

Rêvez osez créez

Podcast Ressentir de Jessica Troisfontaine

Podcast Pauline Laigneau - Episode avec la fondatrice de La Rosée

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Vous êtes-vous déjà demandé ce qui se passe réellement dans la tête d'un auteur jeunesse et comment il fait pour captiver les enfants et les adolescents ?

J’ai rencontré Vincent Mondiot, auteur de livres pour les enfants et les ados, et j’ai pu lui poser toutes mes questions. croyez-moi, c'est passionnant !

Alors, comment arrive-t-on à accrocher un ado par les mots ? Quels sont les secrets pour créer ces histoires qui le passionne ? Comment on fait pour rester à la page sur les sujets, les centres d’intérêts, le langage ? Et surtout, existe-t-il vraiment des sujets tabous en littérature jeunesse ?

Vincent lève aussi le voile sur un aspect particulièrement réservé à la littérature jeunesse : dans ce monde unique où le lecteur n'est pas l'acheteur, comment éviter le piège d'écrire pour les parents plutôt que pour leurs ados ?

Un épisode riche en révélations qui vous donnera un nouveau regard sur les lectures de vos ados... et peut-être même de nouvelles clés pour mieux les comprendre !

Pensez à vous abonner au podcast, faites le maintenant sinon vous allez oublier. Mettez 5 étoiles et un commentaire sur Apple podcast pour faire remonter Parentele dans les classements, ça m’aide vraiment et ça me donne beaucoup de force.

Je vous laisse avec un épisode que j’adore et je vous souhaite une très bonne écoute

Retrouvez Vincent Mondiot sur Instagram

Le gang du CDI

Les autres livres de Vincent Mondiot

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Cette semaine je reçois Flavie à mon micro, et croyez-moi, elle en a des choses à nous raconter. Flavie a 22 ans quand elle rencontre son mec et tombe folle amoureuse de lui. Oui mais voilà, lui il a déjà eu une vie avant, une vie dans laquelle il a eu 2 enfants.  

Ils s’installent ensemble et elle devient la belle-mère, puis ils décident d’agrandir cette jolie famille recomposée. Un 3e petit mec va rejoindre la fratrie en septembre 2019. 

Comme toutes les mamans, la question de la reprise du travail se pose. Que ce soit à 2 mois et demi après le congé maternité ou à 3 ans après un congé parental, qu’on ait eu hâte de reprendre ou qu’on ait repoussé l’échéance au maximum, on y est toutes confrontées. Il faut alors trouver un mode de garde, laisser nos enfants à des personnes que l’on ne connaît pas, et pour certaines ça peut être compliqué.  

Flavie n’a pas pu se résoudre à laisser son fils, personne n’arrivait pas à gagner assez sa confiance pour s’occuper de la prunelle de ses yeux. Elle a décidé de devenir assistante maternelle, métier qui lui permettait d’avoir son fils avec elle tous les jours.  

C’est donc avec une femme à la triple casquette que je vais échanger, on va parler de la place de la belle-mère, celle qu’on lui laisse et celle qu’elle doit prendre, de garde alternée, d’amour, du fait d’être maman et assistante maternelle. On va beaucoup rire et un peu pleurer, mais il paraît que c'est ça la vie.  

Je vous souhaite une très bonne écoute.  

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Vous n’avez pas pu passer à côté, il y a un an une loi a été votée pour ouvrir la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules. Jusqu’ici réservée aux couples hétérosexuels qui ne parvenaient pas à avoir un enfant naturellement, la seule PMA envisageable pour les couples homosexules et les femmes seules était en dehors de nos frontières.  

C’est ce qu’ont vécu Claire et Céline pour avoir leurs 3 enfants. Des AR en Espagne, à Barcelone. Des piqûres, des hormones. Des billets d’avions, des nuits d’hôtel. Des déceptions. Puis la magie qui finit par opérer. Jeanne qui débarque dans cette famille ou il n’y a que de l’amour et où l’homoparentalité n’est même pas un sujet. Puis ce n’est pas fini, il y a l’adoption, parce qu’aux yeux de la loi Jeanne est la fille de Claire, qui l’a portée. Céline n’a aucun droit, elle devra prouver sa place, son rôle et sa bienveillance. Mais c’est si fort qu’on y retourne. On revit tout. Et 4 ans plus tard ce sont des jumeaux qui les rejoignent.  

Je me tais, et je laisse Claire vous raconter son histoire. Belle écoute !  

Notes de l'épisode : 

Retrouvez le travail de Claire sur instagram  

Lectures enfants rescensées par le collectif familles 

Production et hôte : Johana Cinturao

Musique composée par Jonathan Davenport

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On le sait dès la naissance, être parent c’est vivre pendant la petite enfance toutes les premières fois de son enfant, et quand il grandit on a davantage l’impression de le voir passer des vraies étapes de vie.

L’une d’entre elle, et pas des moindres, c’est quand même l’école et les entrées dans différents niveaux, les changement d’établissements et l’apprentissage qui évolue. Quel meilleur exemple que l’entrée au collège, passer de « toute la journée avec ta maitresse » à un professeur par matière, changer de classe toutes les heures… un gros chamboulement dans le quotidien scolaire ce ceux qu’on voit encore parfois comme nos petits bébés. 

Aujourd’hui je reçois à mon micro Aurore, qui a vécu l’entrée en 6e de sa fille il y a 3 mois. Comment elle s’est préparée à la rentrée, comment elle a appréhendé les changements, les devoirs, les leçons quotidiennes à réviser… 

Aurore je l’ai connue via son compte Instagram il y a presque 2 ans, à l’époque elle était en tour du monde en famille et je crois que vous commencez à comprendre ma passion pour les voyages. 

Alors forcément, on a un peu évoqué le sujet : ce que le voyage a apporté à sa famille, comment les filles ont vécu ce périple, l’école à distance … tout un programme pour cet épisode qui, je l’espère, vous plaira autant que le plaisir que j’ai eu à l’enregistrer.

Je vous souhaite une très belle écoute 

Retrouvez Aurore sur instagram https://www.instagram.com/bogotarangun/ 

Hôte et production : Johana Cinturao

Musique composée par Jonathan Davenport

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Il y a des tsunamis qui balaient des vies, des familles qui voient leurs quotidiens chamboulés par des annonces. Celles qu’on redoute plus que tout, pour nous et nos proches. Qu’est-ce qu’on fait quand le ciel nous tombe sur la tête, assise sur une chaise pas confortable d’un cabinet médical ? On dit que l’annonce d’un cancer hôte l’insouciance de celui ou celle, qui sait que plus jamais sa vie ne sera la même.  

Nathalie a appris il y a un an qu’elle était atteinte d’une tumeur sur les voies biliaires, à l’intérieur du foie. Elle la grande sportive, la non fumeuse, la nouvelle lui fait l’effet d’un choc. Mais on n’a pas vraiment le temps d’être choquée dans ces moments-là, il faut faire vite, implanter une chambre dans son corps, enchaîner les rdvs médicaux et commencer les traitements au plus vite. Au milieu de tout ça, il faut annoncer à ses proches, et notamment à ses enfants, que notre vie a basculé et que la leur aussi. Nathalie a 2 filles de qui elle est très proche, 2 jeunes femmes qui sont parties de la maison et font leur vie.  

Dans cet épisode, on parle de l’annonce, de l’amour, d’une famille qui se soude encore plus qu’elle ne l’était. On parle aussi des différences entre les enfants d’une même fratrie, des enfants qui partent de la maison et de beaucoup, beaucoup de sport.  

Je vous laisse découvrir l’épisode avec Nathalie et son histoire, belle écoute.  

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Catherine Painvin. Si ce nom ne vous dit rien, peut-être que celui de Tartine et Chocolat vous parle un peu plus ? Vous savez, cette marque de luxe pour enfants, qui a l’époque faisait des vêtements et accessoires rayés rose & blanc pour les filles, bleu & blanc pour les garçons ? Rien qu’à en parler, j’ai l’impression de sentir l’odeur de leur parfum pour enfants.  

Catherine, c’est une femme qui a une vie incroyable. Je dirais même des vies incroyables.  

Je l’ai découverte dans un podcast. Elle a commencé un genre d’auto entrepreunariat à l’âge de 7 ans, en confectionnant des poupées de coquillages qu’elle vendait pour mettre du beurre dans les épinards de ses parents. Et toute sa vie, elle va travailler d’arrache pied pour faire de ses idées des succès  

Malgré tout ça, elle reste très accessible et disponible, tellement qu’elle a accepté de participer à mon podcast avant même sa sortie et alors que je n’avais aucun épisode à lui faire écouter pour qu’elle puisse se faire une idée  

 Mariée et maman pour la première fois à tel âge, elle accouche de son 3e enfant à 19 ans. Ça peut paraître fou aujourd’hui, mais on se parle d’un temps que les moins de 70 ans ne peuvent pas connaître et à l’époque elle se laisse porter par son premier amour, qui lui permet de s’émanciper de ses parents.  

Je l’ai rencontrée pour enregistrer cet épisode dans son manoir dans le perche, un endroit fabuleux dans lequel elle a rassemblé les vestiges de ses vies, ses voyages et ses tableaux.  

Elle m’a raconté ses amours, ses emmerdes, ses années de hippie à Boston, ses succès et ses malheurs.  

 Cet épisode aurait pu durer 12 heures tellement il y a de choses à dire et à raconter. Il est déjà bien assez long pour être coupé en deux, voici donc la première partie de l’épisode de Catherine Painvin.  

Je vous souhaite une très bonne écoute .  

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En France, il y a le commun des mortels dont vous faîtes peut-être partie avec leur 5 semaines de congés payés par an, et il y a les saisonniers, ces gens qui s’affairent l’hiver à la montagne ou l’été sur les côtes pour que le commun des mortels puisse justement profiter de ses précieuses semaines de vacances.  

Solen fait partie de ces personnes à la vie un peu décalée. Elle a une école de surf en Gironde, qu’elle gère avec James, son mec et le papa de leur jumeaux de 8 ans. Du coup pour elle et sa famille, l’été c’est travail intensif, déménagement dans un mobile home pour louer leur maison, fille au pair, et l’hiver, c’est 3 mois de voyage autour du monde. Ça fait rêver hein ?  

Dans cet épisode, Solen nous raconte les voyages, l’école, la gémellité, le mode de vie et la routine annuelle. On y parle parentalité sereine, organisation au poil autour de la vie qu’on a rêvé, surf, travail à la maison et sacs à dos plein de jeux.  

Un épisode qui fait du bien et ouvre les perspectives pour celles et ceux qui ont envie et qui n’osent pas. Je vous souhaite une très bonne écoute 

Instagram Solen - @tripandtwins 

Blog Solen  

Hôte + Montage : Johana Cinturao 

Instagram Parentele  

Musique composée par : Jonathan Davenport

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Retrouvez l'intégralité de l'épisode de Julie dès demain sur Parentèle.

Hôte et production : Johana Cinturao

Musique composée par Jonathan Davenport

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l y a celles qui veulent des enfants tôt, et celles qui préfèrent attendre, profiter de leur jeunesse et de n’avoir qu’elles à s’occuper. Il y a celles qui reproduisent les schémas familiaux, et celles qui au contraire savent qu’elles se construiront à l’opposé de ce qu’elles ont connu. Et puis il y a la vie, qui décide parfois pour nous ou qui sème des petits obstacles sur notre chemin tout tracé.  

Alice est née alors que ses parents avaient 40 ans. Et déjà, elle savait qu’elle ne voulait pas écrire son histoire de la même façon. Elle serait maman jeune, et à 27 ans elle avait déjà 3 enfants. Mais le risque des amours de jeunesse, ceux qui nous lient alors qu’au fond nous ne sommes encore que des enfants, c’est de parfois prendre des chemins de vies qui diffèrent, et qui impliquent qu’on se sépare. C’est ce qui est arrivé à Alice, qui est partie avec ses enfants pour s’offrir une liberté et un autre quotidien. Puis elle a rencontré Thibault, avec qui elle a construit une jolie famille recomposée et avec qui elle a eu Margaux, sa petite dernière, le trait d’union comme elle l’appelle, d’un amour et d’une seconde vie dans laquelle Alice s’épanouit aujourd’hui, en regardant avec tendresse le chemin semé d’embûches qu'elle a parcouru pour en arriver là.  

Si vous avez grandi dans les années 90-2000, vous devez connaître la famille Camden de 7 à la maison. Cette semaine sur Parentèle, Alice nous raconte son seventh heaven à la lyonnaise. Dans cet épisode, on parle des difficultés financières d’une maman solo, de la place des enfants dans la fratrie, des questions qu’on se pose quand on a envie d’un autre enfant après avoir recomposer une famille à 6, de tips de maman, de punitions, d’adolescence, de règles... Bref on parle de la vie !

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Je suis très contente de vous retrouver et de vous présenter cet épisode aujourd’hui, le 2e de notre dossier de rentrée, car c’est un papa que je reçois cette semaine, et un de ceux qui gagnent à être connus. Jonathan je le connais depuis plusieurs années, daron dévoué et fusionnel avec sa fille de 4 ans, son image de batteur métalleux s’évapore comme par magie quand il s’agit de sa petite Gaïa.  

Avec Jonathan on échange beaucoup sur la parentalité, et en dehors d’être un des mecs les plus drôles que je connaisse, je le trouve toujours pertinent dans ses remarques et j’ai pensé qu’il serait parfait pour nous parler de la rentrée des classes, de comment il a vécu l’entrée à l’école de sa fille l’année dernière et comment il appréhende cette deuxième rentrée.  

Dans cet épisode, déjà on rit beaucoup. Et on parle de celui qui pleure devant la porte de l’école le jour de la rentrée des classes, de ce qui a changé chez sa fille depuis qu’elle passe ses journées avec sa maîtresse et ses copains et copines, de la conception de l’amitié quand on a 3 ans, de sortie scolaire et de la fée des tétines. 

Je vous souhaite une très bonne écoute  

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C'est le dernier épisode de la série spéciale rentrée scolaire en petite section de maternelle. On retrouve JB début d'année 2024-2025, soit un peu après la rentrée d'Esteban en petite section.

On se remémore l'année et l'épisode passés, on parle de l'évolution d'un fils et d'un père, de vacances d'été plus sportives que cérébrales, et de la nouvelle rentrée en moyenne section.

J'espère que cette série vous a plu, j'espère que si vous avez un bébé de 2021 qui est rentrée en petite section de maternelle cette année le podcast vous a aidé.

On reprends les épisodes plus classiques dès la semaine prochaine, prenez soin de vous

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REDIFF D'ÉTÉ : Un épisode que j'adore, avec Solen du compte Instagram Tripandtwins.

En France, il y a le commun des mortels dont vous faîtes peut-être partie avec leur 5 semaines de congés payés par an, et il y a les saisonniers, ces gens qui s’affairent l’hiver à la montagne ou l’été sur les côtes pour que le commun des mortels puisse justement profiter de ses précieuses semaines de vacances.  

Solen fait partie de ces personnes à la vie un peu décalée. Elle a une école de surf en Gironde, qu’elle gère avec James, son mec et le papa de leur jumeaux de 8 ans. Du coup pour elle et sa famille, l’été c’est travail intensif, déménagement dans un mobile home pour louer leur maison, fille au pair, et l’hiver, c’est 3 mois de voyage autour du monde. Ça fait rêver hein ?  

Dans cet épisode, Solen nous raconte les voyages, l’école, la gémellité, le mode de vie et la routine annuelle. On y parle parentalité sereine, organisation au poil autour de la vie qu’on a rêvé, surf, travail à la maison et sacs à dos plein de jeux.  

Un épisode qui fait du bien et ouvre les perspectives pour celles et ceux qui ont envie et qui n’osent pas. Je vous souhaite une très bonne écoute 

Retrouvez le blog de Solen ici

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Mon invitée de la semaine s’appelle Carole, elle est maman de 3 enfants. Le chiffre 3, c’était son goal de maternité depuis toujours, elle qui est issue d’une fratrie de 3 et qui se voyait bien reproduire le schéma familial. Mais pour en arriver à leur famille rêvée, Carole et son mari sont passés par des épreuves auxquelles ils n’étaient pas vraiment préparés. Ces épreuves qu’on redoute, sans trop y penser.  

Quand elle accouche de son premier enfant en 2015, Carole ne s’attendait pas à ce qu’il arrive avec un chromosome supplémentaire sur la 21e paire. Marcel est atteint de trisomie 21.  

Son monde s’effondre, puis elle est très vite embarquée dans ce rôle de maman d’un enfant porteur de handicap, un monde dans lequel on court entre les rdv médicaux, dans lequel on n’a pas le temps de profiter de sa maternité comme on le voudrait. Un monde qu’elle ne connaît pas et dans lequel elle va pénétrer tête baissée, portée par l’amour d’une maman pour son fils.  

Marcel a aujourd’hui 7 ans, il est en CP et il est le grand frère de Basile et Colette, qui sont venus compléter cette famille bretonne. Dans cet épisode, Carole nous raconte l’annonce de la pathologie, l’école, les relations entre frères et sœurs. 

Je vous laisse avec la super ordinaire Carole, son extraordinaire Marcel, et le reste de leur tribu. Bonne écoute ! 

Intagram Carole : 

https://www.instagram.com/lextraordinairemarcel/ 

Lien de son livre : 

https://livre.fnac.com/a14039591/Carole-Deschamps-L-extraordinaire-Marcel 

Production et hôte : Johana Cinturao 

Musique composée par Jonathan Davenport  

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C’est parti ! Premier épisode de parentèle, je vous avais promis du lourd pour la première invitée et je ne vous ai pas menti.  

Elle s’appelle Émilie, vous l’entendrez rapidement à son accent charmant, elle est belge. Elle vit à Bruxelles avec son mari et ses 3 enfants de 10, 8 et 4 ans. Vous avez  peut-être vu passer sur Instagram Théa Jewelry, sa marque de bijoux personnalisés qui cartonne et fait de nombreuses collabs hyper cools.  

À la tête de ce projet depuis une dizaine d’années, Émilie ne s’arrête pas là. Elle anime aussi des lives hebdos sur Instagram avec des entrepreneurs qui l’inspirent, elle a un podcast où ses clientes racontent l’histoire de leur bijoux commandé sur Théa Jewerly, elle a sorti une masterclass avec des ateliers pour les créateurs et créatrices de start up et elle propose aussi des séances de coaching sur l’utilisation des réseaux sociaux qu’elle connaît très bien car ils l’accompagnent depuis le début de son parcours.  

Bref, vous l’aurez compris, Émilie a plusieurs casquettes en plus de celle de maman de famille nombreuse. Je la suis depuis un moment, j’adore son univers et je suis très fière qu’elle soit la première personne à intervenir sur mon podcast. Je suis fascinée par la multitude de choses qu’elle gère en même temps. J’ai voulu la rencontrer pour en savoir plus, on l’a pas mal entendue sur des podcast sur l’entrepreunariat mais moi j’avais envie de creuser un peu sur sa vie de maman, et sur comment elle fait pour tout mener de front, en donnant presque l’impression que c’est facile.  

Dans cet épisode, on parle de la liberté (ou pas) d’être son propre patron, on parle de charge mentale, de semaines de retraites pour se ressourcer, de Madonna à la sortie de l’école, de petite enfance, de bébé surprise, de temps pour soi et de plein d’autres choses. Parce qu’enregistrer un épisode de podcast avec Émilie c’est un peu comme boire le thé avec une copine, on s’est laissées porter par notre discussion et ça fait du bien.  

Notes de l'épisode :
La retraite de jeûne dont parle Émilie est "La pensée sauvage", vous pouvez la retrouver sur Instagram @lapenseesauvage

Le livre sur les règles c'est "Tout sur les règles" de Anna Roy et Mamoiselle Caroline

Musique : Composée par Jonathan Davenport 

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2 petites minutes de votre temps pour découvrir le premier épisode de 2024 de Parentèle. Au micro cette semaine, Coelia, prof de yoga et maman de Lou, 4 ans.

Coelia nous raconte son cheminement et comment elle en est arrivée aujourd'hui à être sûre de ne vouloir qu'un seul enfant.

L'épisode complet arrive très vite, j'espère que ce petit extrait, nouveauté 2024, vous aura donné encore plus envie de le découvrir !

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Chers enfants des années 80-90, cet épisode devrait vous parler ! On en a tous plus ou moins conscience, les méthodes d’éducation et les comportements des adultes envers les enfants en général ont beaucoup évolué depuis notre propre enfance. Qu'on applique ou pas toutes les nouvelles approches qui existent en matière d’éducation, on se rend bien compte qu’on traite rarement les enfants d’aujourd’hui comme on a pu être traité nous, et pour certains d’entre nous je pense que ce n’est pas si mal.  

Apparemment je ne suis pas la seule, car l’invitée que je reçois aujourd’hui en a fait un combat, qu’elle mène avec acharnement via des dessins qui sont devenus des bandes dessinées. 

Au micro de Parentèle cette semaine, mesdames, messieurs, faites un maximum de bruit pour s’il vous plait pour Fanny Vella, illustratrice et autrice de bandes dessinées, dans lesquelles elle aborde des sujets pas toujours très rigolos mais ô combien importants comme la violence conjugale et l’éducation. Son travail et ses dessins sont précieux et d’utilité publique.  

Vous allez rapidement vous en rendre compte, Fanny c’est une boule d’énergie et de bonne humeur.  

Je l’ai découverte via sa BD “Et si on changeait d’angle” aux éditions Leduc et je suis hyper contente de l’avoir en invitée sur ce podcast car je voulais savoir quelle histoire et quelle parentalité se cache derrière cette brillante artiste.  

Quelle maman elle est ? Quelle est sa vision de l’éducation ? Comme elle l’applique au quotidien ? 

On l’entend hyper souvent mais je tiens à le repréciser ici, il n’y a aucun mode d’emploi pour être parent ni de jugement pour les formes d'éducation que chacun donne à ses enfants. On fait tous et toutes comme on peut, avec nos moyens, nos passés, nos bagages et nos humeurs du jour. C’est aussi le principe et le but de ce podcast, d’explorer un peu comment ça se passe chez les autres, sans jamais dire que c’est mieux ou moins bien que chez vous.  

Je m’intéresse ici avec Fanny à une forme d’éducation, que j’aimerais moi-même être en mesure d'appliquer au quotidien mais comme tout le monde, je fais au mieux avec ce que j’ai à l’instant T. Et même si ce n'est pas toujours parfait, on est souvent le meilleur parent pour notre enfant.  

Un grand podcasteur que j’adore, Matthieu Stéfani, dit qu’on est la moyenne des personnes que l’on fréquente. Si en tant que parent on est aussi la moyenne des parents qu’on fréquente, je suis persuadée que cette discussion avec Fanny augmentera ma moyenne et la vôtre.  

Je vous souhaite une très bonne écoute  

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4 enfants. C’est pour certains impensable et pour d’autres pas assez. Je n’ai personnellement pas d’avis mais je suis fascinée par les familles nombreuses et j’aimerais être une petite souris pour voir comment ça se passe dans des maisons aussi remplies. Et surtout, savoir comment on s’organise, comment on gère les besoins et envies des enfants avec les différences d’âges ou encore comment se passent les repas.  

Et grâce à Mylène, que je reçois cette semaine sur le podcast, j'ai pu avoir un petit aperçu de ce que ça donne la vie d’une famille nombreuse.  

Dans cet épisode, on parle de l’augmentation du temps pour soi quand tes enfants sortent de la petite enfance, de tips pour cuisiner des plans sains et familiaux en 10 minutes, de bombecs, de patience, de logistique, de projets familiaux, et aussi de l’impact des réseaux sociaux sur les mères et des cadres idylliques qu’on dépeint, qui sont exposés à la vue de beaucoup de parents qui peuvent parfois avoir du mal à s’identifier à tant de paillettes.  

Je vous souhaite une très bonne écoute  

Je remercie à nouveau Mylène pour cet échange que j’ai adoré, du cash et sans filtre, tout ce qu’on aime.  

Si vous ne connaissez pas Frangin Frangine, allez faire un tour sur leur site, vous y trouverez des vêtements trop stylés et produits de manière éco responsable pour les enfants et les adultes. Je vous mets toutes les infos dans les notes de l’épisode.  

Notes : 

Frangin Frangine : https://www.franginfrangine.com 

Ressources évoquées par Mylène : 

Application Alma studio  

Podcast Nino et Tamara 

Podcast et si on se parlait  

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Depuis que je suis maman, j’ai parfois été débordée par l’organisation qu’il faut avoir pour faire garder ses enfants, que ce soit pour aller travailler, partir en week-end en amoureux ou passer du temps avec les copains et les copines. Et je suis absolument fascinée par les parents qui ont des métiers qui imposent des horaires décalés, ceux qui travaillent quand le commun des mortels sort du bureau à 18-19h.  

Camille et son mari font partie de ces personnes car non seulement ils travaillent en restauration, mais ils ont carrément ouvert à 2 leur propre bistrot. Ils sont donc restaurateurs, responsables du bon fonctionnement de leur business ET parents de 2 enfants. Je vous laisse imaginer les plages horaires de leur temps de travail et ce que ça implique en terme d’organisation pour leur vie de famille.  

Dans cet épisode, on parle de reconversion professionnelle, de temps de qualité avec les enfants, de fille au pair, de liberté, d’éducation non genrée et 3e enfant, ou pas.  

Je vous souhaite, une très bonne écoute  

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Cette semaine, on retrouve JB d’abord 2 semaines après la rentrée, et dans un 2e temps au mois de janvier, après les vacances de Noël.

On suit donc l’évolution et l’adaptation d’Esteban pendant sa première année à l’école.

Il y a une chose que je n’avais pas vraiment tilté en enregistrant ces conversations, c’est qu’en dehors de suivre l’évolution d’un enfant, c’est que j’allais aussi suivre l’évolution d’un papa.

Et je ne veux pas vous spoiler mais, clairement ce n’est pas le même papa entre la rentrée qui n’a pas été aussi facile qu’il l’aurait espéré, et le début d’année quand Esteban a pris ses marques et que les choses se passaient de manière beaucoup plus fluides.

On commence donc avec l’enregistrement de mi-septembre 2023.

C’est un papa assez soucieux que je retrouve, un peu plus de 2 semaines après notre premier enregistrement. La rentrée a été un peu plus difficile

On sent l’émotion dans sa voix, et on sent que ce n’est pas facile de savoir que son fils n’a pas envie de passer ses journées là où il le dépose.

Vous le verrez, JB et Stephanie ont fait des ajustements sur certains modes de garde à venir, pour essayer de se mettre au niveau de l’adaptation dont Esteban a besoin.

Et on enchaîne direct sur l’enregistrement du début d’année, Esteban a pris ses marques, c’est la découverte des activités extra scolaires aussi.

Encore une fois ça montre que tout passe, et si vous êtes dans un tunnel compliqué de rentrée, gardez confiance je suis sûre que ça va aller

Je vous laisse avec JB, retour vers le futur il y a un an presque jour pour jour.

Je vous souhaite une très bonne écoute, et j’en profite pour vous rappeler que si vous voulez soutenir le podcast et m’aider à percer, pensez à vous abonner au podcast et à mettre 5 étoiles et un petit commentaire, suivez moi sur Instagram et sur TikTok… Eeetttt voilà quoi ! Allez montez le son bisous

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"Pourquoi un seul enfant ?", est une question qu’on pose peu et pourtant, elle concerne, selon les derniers chiffres, 3,6 millions de familles (en 2019).

Dans l’épisode de cette semaine, c’est le sujet au coeur de notre échange avec Coelia.

Dans cette conversation authentique, Coelia nous ouvre la porte sur un monde où la décision d'avoir un seul enfant devient une aventure plutôt simple. Elle nous partage son parcours, ses réflexions, et les choix qui ont façonné sa vision de la maternité. Un voyage intime et profondément humain qui nous invite à remettre en question les stéréotypes et à célébrer la diversité des choix parentaux.

Dans cet épisode, on parle d'accouchement à haut risque, d'adoption, des mamans parfaites sur les réseaux sociaux et d’un univers où la pression sociale pèse souvent plus lourd que les conseils bien intentionnés ?

Bienvenue, dans le premier épisode 2024 de Parentèle, je vous souhaite une très bonne écoute

Coelia sur Instagram : https://www.instagram.com/coelia.pelletier/

Podcast - Les méditations de Coelia : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/les-m%C3%A9ditations-de-coelia/id1465903057

Hôte et production : Johana Cinturao

Musique composée par Jonathan Davenport

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L’ambivalence de la préadolescence – entre crises et moments complices

La préadolescence, ce drôle de passage où nos enfants ne sont plus tout à fait des petits… mais pas encore des ados. Dans cet épisode, Marisa, maman de deux enfants, nous partage son expérience de cette phase charnière qu’elle traverse avec sa fille aînée.

Les sautes d’humeur, les bouderies, le besoin d’indépendance… mais aussi les fous rires, les discussions plus profondes, la complicité qui se transforme et toutes les nouvelles choses qu'on peut partager. Marisa nous raconte avec sincérité et humour ce grand écart émotionnel qui définit la préadolescence.

Un épisode authentique et décomplexant pour tous les parents qui vivent (ou appréhendent) cette période déroutante et fascinante à la fois.

Bonne écoute !

Mentions dans l'épisode :

Films Lolita Malgré Moi, Freaky friday, Lol, Senior year

Musique : album MESDAMES de Grand Corps Malade (chanson un verre à la main)

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Je ne sais pas vous mais moi je dis souvent, en rigolant à moitié “Oh la la, vivement qu’ils prennent leur appart”. Mes enfants ont 1 an et 3 ans et demi, autant vous dire que le moment ou ils vont partir de la maison me paraît bien assez loin pour que je puisse en rire quand ils empiètent sur mon espace vital.  

Mais on l’a compris, le temps passe vite, tu ne les vois pas grandir, et un jour tu te réveilles et tes enfants ont quitté leur chambre de toujours dans ta maison pour investir leurs propres lieux, commencer une nouvelle étape de leur vie, encore un peu plus loin de toi.  

Françoise a 53 ans, et elle nous raconte cette semaine comment ça s’est passé pour elle, quand ses enfants ont quitté le domicile familial pour s’installer. Sa fille, l’aînée, pour commencer, un peu comme pour préparer le terrain. Puis son fils, quelques années plus tard, qui partira s’installer avec sa copine pour revenir quelques mois plus tard, et finalement repartir.  

Parce que c’est la vie, parce qu’on le sait depuis le début et qu’on dit souvent qu’on ne fait pas des enfants pour soi. Parce que dès l’accouchement on sait qu’un jour il partira faire et vivre sa propre vie. Et parce que c’est difficile à imaginer tellement ça parait lointain quand on a des enfants en bas âge.  

Je vous souhaite une très bonne écoute.  

Production et hôte : Johana Cinturao 

Musique composée par Jonathan Davenport 

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

PAS LE TIME

Nouveau format sur le podcast. Pour les parents qui n'ont pas le time d'écouter des conversations d'une heure, mais qui quand même sont preneurs de retours d'expériences, de tips, de réflexions autour de la parentalité des enfants de 3 à 77 ans.

Format plus court pour les oreilles pressées, le premier épisode sort demain, et j'espère que ça vous plaira et que vous serez au RDV.

Hôte et production : Johana Cinturao

Musique composée par Jonathan Davenport

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Aujourd'hui, on aborde un sujet qui nous fait tous un peu peur, mais qu'il est essentiel de ne pas éviter : la sécurité de nos enfants à la maison. Car oui, notre cocon familial peut parfois cacher des dangers insoupçonnés.

J'ai le plaisir de recevoir Géraldine, responsable du programme 'premier secours et prévention' à la Croix-Rouge, mais aussi maman d'une petite fille de 13 mois. Elle va partager avec nous son regard professionnel et personnel sur la prévention des accidents domestiques.

Et on le sait, le savoir c’est le pouvoir, alors le meilleur moyen de se protéger est de se former. Géraldine le martèle : chaque parent devrait suivre ne serait-ce qu'un cours de premiers secours. Parce que savoir quoi faire dans l'urgence, ça peut tout changer.

Comment apprendre à nos enfants à réagir en cas d'urgence? Quels sont les réflexes essentiels à acquérir en tant que parents ? Et surtout, comment transformer ces apprentissages en moments de partage plutôt qu'en source d'anxiété ?

Dans cet épisode, Géraldine nous ouvre aussi les portes de son quotidien et nous dévoile les formations concrètes proposées par la Croix-Rouge - ces cours qui peuvent littéralement sauver des vies.

Un petit rappel : si vous avez des enfants de plus de 10 ans, n'hésitez pas à leur faire passer le Sauveteur Secouriste du Travail (SST). C'est un formidable bagage de compétences qui peut un jour sauver une vie.

Comme toujours, si cet épisode vous a plu, je compte sur vous ! Abonnez-vous au podcast, laissez des commentaires, et surtout, n'hésitez pas à nous donner 5 étoiles sur Apple Podcast. Chaque like, chaque partage, chaque étoile compte pour nous.

ERREUR : Dans l'épisode, on dit que les accidents domestiques représentent 20000 décès par jour, alors qu'il s'agit de 20000 décès par an.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Vous le savez maintenant, je suis absolument fascinée par la parentalité, par tout ce qu’elle apporte, tout ce qu’elle remet en question, à tous les âges des parents et des enfants. 

Cette semaine, je reçois à mon micro Valérie, qui a répondu en juillet dernier à mon appel pendant le Parentèle Bruxelles Tour. Elle a vu une story sur Instagram sur mon passage dans la capitale belge pour des enregistrements et, ayant notamment grâce à Emilie Duchene une belle communauté belge qui me suit, j’ai demandé si mes abonné.e.s avaient des recommandations d’interviews à mener sur les créneaux dispos qu’ils me restaient. 

Au début, Valérie m’a répondu pour me donner des noms, et puis elle s’est finalement dit qu’elle aussi, elle en avait des choses à dire sur la parentalité. 

C’est juste avant mon retour en France que je me suis rendue chez Valérie, dans son très joli atelier de céramiste. 

On a parlé de tout et de rien, sans fil conducteur mais avec une réelle envie de partager. 

Valérie a connu des hauts et des bas personnels et professionnels, avec lesquels elle a dû composer en parallèle de sa vie de famille. 

Comment on fait pour que nos enfants ne soient pas impactés par nos problèmes et nos états d’âmes ? Est-ce qu’on peut donner le change devant eux alors que ce sont des éponges à émotions? Comment on tranche entre ce qu’on peut leur dire et ce qu’on a pas envie qu’ils sachent, parce qu’on estime qu’ils sont trop petits ou que ça ne les regarde pas? 

Je vous laisse avec Valérie, son histoire et son charmant accent belge. 

Je vous souhaite une très belle écoute.  

Retrouvez Valérie sur Instagram 

https://www.instagram.com/_valerielaroche/ 

Dans cet épisode, on mentionne Emilie Duchêne 

et le livre "Les mots deviendront doux" de Morane Terlier

Hôte et production : Johana Cinturao 

Musique composée par Jonathan Davenport 

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On commence l’année 2023 avec un sujet qui fait mal, qui révolte, qui déchirent des cœurs, des corps et des familles. Je parle ici des violences faites aux femmes. Le collectif Nous Toutes recence depuis 2018 les féminicides chaque année. En 2022, ce sont 147 femmes qui sont décédées à la suite des violences de leur compagnon ou ex-compagnon.  

Ces femmes aux parcours bouleversants sont parfois des mères, et leurs enfants sont les témoins de scènes d’une agressivité auxquelles ils n’auraient jamais dû assister.  

Tanya est éducatrice spécialisée dans une association qui accompagne des femmes victimes de violence et leurs enfants.  Elle vous racontera dans cet épisode son quotidien professionnel, comment elle accompagne les femmes prises en charge par son association et quel rôle elle joue dans leur reconstruction de femme et de mère. On parlera de l’impact que ces violences ont sur leur état psychique, et parfois sur ceux de leurs enfants.  

Tanya nous raconte aussi sa maternité à elle, son rapport à la société qu’on offre à nos enfants, filles et garçons et son presque soulagement quand elle a su que ses enfants seraient des petits mecs. Elle nous explique ce qu’elle essaie de mettre en place pour expliquer l’égalité homme-femme à ses garçons,  

Avant de vous immerger dans cet épisode, je vous invite en toute bienveillance à vous protéger et à l’écouter en étant attentif.ve à ce qu’il peut faire résonner en vous en fonction de votre histoire personnelle. Et, on ne le rappellera jamais assez, si vous êtes une femme victime ou témoin de victime de violences, vous pouvez contacter le 3919, tous les jours et à toute heure. 

Je vous souhaite une très bonne écoute  

Production et hôte : Johana Cinturao 

Musique composée par Jonathan Davenport 

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Cette semaine sur Parentèle un nouvel épisode de Pas le Time, dans lequel je raconte comment j'ai adapté ma vie pro, et surtout mes horaires, au fait que mon dernier enfant rentrait en maternelle.

Je vous explique pourquoi j'ai pris cette décision, et ce que j'ai mis en place à mon travail pour pouvoir accompagner en douceur la rentrée de mon fils, né en touuuuute fin d'année et à mes yeux trop petit à plein de niveaux pour intégrer l'école.

Sauf que depuis quelques années, l'école est obligatoire dès 3 ans et qu'il n'est pas possible de ne pas scolariser un enfant né l'année 3 ans avant la rentrée.

J'ai hâte d'avoir vos retours sur cet épisode.

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Il y a des histoires, des parcours, parfois des enchaînements d'évènements, qui font bouger les lignes de nos propres vies et rebattent les cartes de notre destin.  

Amélie l’a vécu quand, 11 ans après la naissance de son fils Léonard, elle accouche de sa fille Shéérazade à seulement 28 semaines de grossesse et entre dans le monde de l’extrême prématurité. Un monde qui nous fait réaliser que donner la vie à un enfant peut être un vrai combat. Car un bébé qui naît à moins de 6 mois de grossesse n’a pas eu le temps de se former correctement dans la chaleur du ventre de sa maman, n’a pas ses organes vitaux assez développés et il faut se battre à tout prix, heure par heure, pour défier les statistiques et lui donner toutes les chances de survie. Aujourd’hui Shéérazade va bien, et j’ai voulu rencontrer Amélie pour qu’elle me raconte comment elle a géré cette situation avec son enfant de 11 ans quand sa vie a été balayée par le tsunami de l’extrême prématurité.  

Amélie je l’ai découverte il y a quelques années via son compte Instagram The very good mother, qui est aujourd’hui en stand by mais sur lequel elle postait à l’époque des memes dénonçant les injonctions que subissent les femmes et particulièrement les mamans.   

Je l’ai rencontrée chez elle, à Paris. on a parlé de sa séparation avec le papa de Léonard, de ses années de maman solo, de l’arrivée de son compagnon Hamza dans sa vie et de leur envie d’agrandir la famille. Elle m’a aussi racontée les mois d’hospitalisation, les semaines de réanimation, et comment on fait quand tout ça se passe en plein Covid, à quelques centaines de kilomètres de là ou on habite.   

Je vous souhaite, une très bonne écoute.  

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Si vous avez un enfant né en 2021, il rentre forcément à l’école demain, lundi 2 septembre 2024. Et croyez-moi je sais de quoi je parle, j’ai accouché le 31 décembre 2021, mon fils a donc 2 ans et demi, et fera sa rentrée comme des milliers d’enfants demain matin. Je ne vais pas trop en parler parce que c’est un gros sujet pour moi, mais j’envoie plein de forces à toutes les mamans et les papas qui ont le coeur qui se serre en cette veille de rentrée.

Pour faire passer la pilule, je vous ai préparé un épisode spécial rentrée de la petite section. L’année dernière, sans rien vous dire, j’ai suivi la première année scolaire d’Esteban, avec son papa.

Je suis, HYPER contente de vous sortir cet épisode, il a été enregistré 2 jours avant la rentrée 2023. Jb, le papa d’Esteban, était dans un petit état de fébrilité dans lequel doit se sentir presque tout être humain normalement constitué (et ayant accueilli dans son foyer un bébé en 2021, vous avez compris)

Je vous laisse avec JB, on va évidemment parler visite d’école, propreté, arrêt de tétine et préparation à devenir un grand (mais à ce qu’on te répète tous les jours que là bas tu es un petit).

Je vous souhaite, une très bonne écoute.

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Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode de Parentèle. Aujourd'hui, on va parler d'un sujet que l'on a abordé avec Sophie dans le dernier épisode (Si vous ne l'avez pas écouté, vraiment foncez, il est top !) : les zones d'éducation prioritaire. Vous en avez sûrement déjà entendu parler, mais savez-vous vraiment ce que c'est ? Et comment on sélectionne les établissements qui en font partie?

Alors, commençons par le début. Les zones d'éducation prioritaire, c'est quoi ? Pourquoi on ça existe ?

Concrètement, ça change quoi pour une école d'être en zone d'éducation prioritaire ?

Dans cet épisode, je vous expose le fruit de mes recherches. J'espère que ça vous plaira.

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Ça fait un moment que je souhaite aborder le sujet ici, et on en a un peu parlé dans le hors-série avec Laurie de Popotinandco (que je vous invite fortement à écouter si ce n’est pas déjà fait). Force est de constater autour de nous et sur nos réseaux sociaux qu’une fois devenues maman, certaines femmes se reconvertissent professionnellement, et beaucoup se reconvertissent autour de la maternité ou de la parentalité. 

Je ne crois pas qu’il y ait une explication universelle à cela, mais mon petit doigts me dit que les raisons qui poussent toutes ces femmes à se lancer pourraient venir du petit être qu’elles ont mis au monde. 

Entre celles qui n’ont pas supporté retourné à leur poste quand leur bébé avait 2 mois et demi, celles qui ont réalisé d’un coup qu’elles trouvaient leur job vide de sens, celles qui se sont prises de passion pour la maternité, les bébés ou encore l’éducation. 

Il y en a qui créent des marques de vêtements, d’autres qui deviennent doula. Certaines créent des safe places pour les mamans quand d’autres montent une boîte pour vendre des produits alimentaires pour les femmes qui viennent d’accoucher.

Cette semaine sur Parentèle, je reçois Chloée, qu’on peut aussi appeler cool mama. Chloée fait partie de ces femmes, chamboulées par leur maternité au point de changer de vie professionnelle. Elle a créé et sorti un programme à destination des mamans, un programme qui donne des clés pour gérer les crises des petits bouts et permettre aux mamas de kiffer le temps passé avec leur enfant. 

Je ne vous en dis pas plus, et je laisse Chloée vous présenter son parcours et son programme. Je vous souhaite, une très belle écoute.  

Si vous souhaiter découvrir le programme plus en détail, c'est par ici  

Retrouvez Chloée sur Instagram : @thecoolmama.club 

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On entend souvent qu’en terme de parentalité, bien que tous les enfants soient différents, les parents vivent à peu de choses près les même étapes, environ aux mêmes âges. Globalement, tous nos enfants vont faire leur première rentrée à l’école, vont enlever les roulettes de leur vélo, vont passer par l’adolescence, et vont un jour quitter notre maison pour aller continuer leur vie. 

Mais il y a quand même des familles et des situations plus singulières que d’autres, et après l’épisode 22 enregistré avec Françoise, qui nous avait raconté son histoire avec ses 2 enfants devenus adultes partis faire leurs vies pas très loin de chez elle, j’avais envie de vous présenter une expérience pour le moins différente de beaucoup de celles que vous avez entendues.

Mon invitée de la semaine s’appelle Mimi, elle a 8 enfants. Oui oui, vous avez bien entendu. 8 enfants, âgés de 20 ans à 8 mois. Et quand son aîné a quitté leur maison pour suivre des études de cinéma à Vienne, son 7ème enfant avait 6 mois. 

Autant vous dire un chamboulement incroyable, des montagnes russes d’émotions à gérer, en plus des 6 autres enfants qu’il restait à la maison. 

Mimi a été secouée par cette période, qu’elle a nommée le post parentum, en lien et en opposition au post partum, ces deux états qu’elle a vécu en même temps. 

Dans cet épisode, on parle déjà d’avoir 8 enfants. De ce que ça implique, de l’organisation, du budget, de la charge mentale et émotionnelle. Et on parle de ce qu’on ressent quand son grand part de la maison, des remises en question, de la culpabilité, de l’envie de faire mieux et plus intense avec ceux qui sont encore là, à des étapes différentes déjà vécues avec ce grand déjà parti. Parce qu’on en revient souvent au même constat, ça passe à une vitesse foudroyante et il faut en pro-fi-ter. 

Retrouvez Mimi sur Instagram : https://www.instagram.com/mimi_manu_kids/ 

Hôte & production : Johana Cinturao 

Musique : Jonathan Davenport

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La séparation, c’est une tempête à traverser, pour la personne qui part, pour celle qui est quittée, et surtout quand il y a des enfants. Mais est-il possible de bien se séparer ?

Dans cet épisode, j’accueille Vanessa, ancienne avocate en droit des familles, aujourd’hui coach en accompagnement des séparations. Elle connaît ce sujet sous toutes ses deux facettes : légale et émotionnelle.

Dans cet épisode, on parle :
De ce qu’implique une séparation et pourquoi elle est unique pour chaque famille
Des recours possibles : médiation, passage devant un juge… qui est concerné ?
De son propre parcours de maman qui ne voit pas son fils tous les jours
💡 Et LA réponse qui change tout à la question : comment bien se séparer ?

Un épisode qui fait du bien, que l’on soit en pleine séparation ou simplement curieux.se d’en savoir plus.

➡️ Disponible dès maintenant sur toutes les plateformes d’écoute ! Partage-le à quelqu’un qui en aurait besoin.

Retrouvez Vanessa sur Instagram : @lesconseilsdevanessa

Retrouvez son podcast sur toutes les plateformes d'écoute : POUR LE MEILLEUR

Retrouvez sur l'instagram de @parentele_podcast les ressources recommandées par Vanessa pour apprendre à faire le deuil d'une relation suite à une séparation.

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Vous vous êtes déjà imaginés partir et tout quitter pour voyager ? En van, en sac à dos, en bateau ? Peut-être que vous faîtes partie des personnes pour qui c’est une idée complètement folle et ce n’est même pas la peine d'y penser, alors que pour d’autres c’est naturel, comme une évidence. Dans ce 7e épisode, on embarque à bord Tropicool avec Aurore et sa famille.  

Elle est française, son mari, Franck, est allemand, et ils se sont rencontrés dans une auberge de jeunesse dans un petit village du Panama. On annonce la couleur, le couple adore voyager. C’est avec leurs 2 enfants qu’ils ont pris le large il y a maintenant 3 ans, qu’ils ont signé pour une vie nomade en marge du reste du monde et qu’ils voyagent depuis en tour du monde qui, avec le covid, s’est transformé en tour d’Atlantique.  

Aurore m’a raconté comment c’était la vie à 4 sur un bateau, on a parlé de traversée de l’Atlantique, d’école à la maison, d’un génie maléfique et même de l'utilité de mettre des chaussures. Elle nous explique comment on concilie une vie de femme et de maman au rythme des navigations, comment on occupe les enfants et comment on fait pour trouver du temps pour soi. 

 Si vous suivez déjà leurs aventures sur Instagram, sachez qu’Aurore est exactement la même dans la vraie vie : drôle et sincère.  

Je vous souhaite, une très bonne écoute et j’espère que vous apprécierez cet épisode autant que moi.  

https://www.instagram.com/the_tropicool_family/

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Dans cet épisode Hors-Série, je vous partage en toute transparence mon bilan de l'année écoulée, avec ses hauts et ses bas, ses réussites et ses défis. Que s'est-il passé en 2024 pour Parentèle ? Quels ont été les moments marquants, les chiffres clés, et surtout, les enseignements à en tirer ?

Je reviens également sur l'arrivée du format "Pas le Time", les écoutes en baisse sur certains épisodes, et les raisons qui expliquent ces résultats. Entre les défis liés à l'algorithme des réseaux sociaux, la difficulté d'atteindre une régularité, et mon propre syndrome de l'imposteur, je vous explique tout.

Et bien sûr, je vous dévoile mes ambitions pour 2025.

📊 Quelques chiffres clés pour 2024 :

• 11 épisodes conversationnels (300 écoutes en moyenne)

• 5 épisodes du format "Paul Time" (250 écoutes en moyenne)

• 5602 écoutes au total sur l'année

Si vous êtes un fidèle auditeur de Parentèle, cet épisode est fait pour vous. Et si vous découvrez le podcast, c'est l'occasion de plonger dans les coulisses et de mieux comprendre tout ce qui se cache derrière ce projet passion.

Je vous souhaite une très belle année 2025, pleine de douceur, de joie et de réussites. Merci pour votre soutien indéfectible, et rendez-vous pour une nouvelle année de podcasts et d'échanges enrichissants !

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Et restez à l'écoute, plein de surprises arrivent bientôt !

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Si vous êtes parent, parisien ou parisienne et que vous aimez partir en vadrouille avec votre tribu, vous connaissez certainement mon invitée.    

Aujourd’hui je reçois Anaïs, maman de 3 enfants, voyageuse endurcie, autrice du blog Parisianavores. Si vous habitez Paris et sa région et que le nom ne vous dit rien, foncez sur son site, vous y trouverez plein d’idées de sorties en famille à moins de 2h de Paris, mais aussi des bonnes adresses de restaurants parisiens qui vous feront voyager et des récits de ses expéditions familiales avec plein de bons plans et d’idées pour vos futures destinations.  

Je l’ai rencontrée via Instagram, son compte est une pépite avec plein de bons conseils et d’idées, toujours sur un ton humoristique saupoudré de quelques punchlines et j’avais très envie de la recevoir à mon micro pour évoquer avec elle sa vie de maman, ses voyages, ses combats.  

Anaïs est connue pour son engagement, notamment sur la charge mentale qui pèse sur les épaules de beaucoup de femmes à l’arrivée des enfants.  

Dans cet épisode, on parle donc de voyages et de charge mentale, mais aussi de répartition des tâches, d’indépendance, de la gestion d’une famille nombreuse quand on a très peu de relai, de mixité, de comment et quand sensibiliser nos enfants au racisme et aussi de voyage. Je l’ai déjà dit ?  

Bienvenue dans un épisode à la parentalité décomplexée, je vous souhaite, une très bonne écoute.  

Si vous souhaitez soutenir le podcast, abonnez-vous à Parentèle sur votre plateforme d’écoute, mettez-lui 5 étoiles et un petit commentaire sur Apple podcast et partagez cet épisode sur vos réseaux sociaux de prédilection.  

Vous pouvez retrouver Anaïs sur Instagram via son pseudo Parisianavores, et également son blog du même nom si vous souhaitez faire le plein d’idées et de conseil avant de partir en vadrouille en famille.  

On parle de plein de choses dans cet épisode, pour aller plus loin, vous pouvez retrouver les liens & références ici :

Son blog : 

https://parisianavores.paris  

Les escampettes (pour des escapades à moins de 2h de Paris) : 

https://www.lesescampettes.com  

Éditions talents hauts : 

http://www.talentshauts.fr  

BD Awa de Zélia Abadi & Gwanëlle Doumont :

https://www.cultura.com/p-awa-9782362664403.html?utm_source=google&utm_medium=cpc&utm_campaign=FM_PLA_Autre_TouslesProduits&gclid=Cj0KCQjw-daUBhCIARIsALbkjSaTUYBOofIR9KWmzTsxNvK-qelkMQWdAwZrgAFuIMXsYyPNPSYjqCsaAuMyEALw_wcB  

"Comme un million de papillons noirs" Laura Nsafou & Barbara Brun :

https://www.cultura.com/p-comme-un-million-de-papillons-noirs-9782366243529.html  

"Le chemin de Jada" Laura Nsafou & Barbara Brun :

https://livre.fnac.com/a13860364/Laura-Nsafou-Le-chemin-de-Jada  

Article blog qui recense les livres pour enfants avec des représentations des personnes racisées :

https://parisianavores.paris/education-anti-raciste-livres-jeunesse-heros-noirs/  

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Bienvenue sur PAS LE TIME, le format court de Parentèle !

Cette semaine on revient sur une question que l'on s'est posée avec Lydia dans le dernier épisode de Parentele, et à laquelle on n'avait pas de réponse, en tous cas pas de réponse légale.

Est-ce qu'on a le droit de partir vivre avec nos enfants géographiquement loin de l'autre parent?

Vanessa, ancienne avocate nous répond.

Je vous souhaite une très bonne écoute

instagram de Vanessa

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Quand j'ai enregistré l'épisode 32 avec Julie, son fils Charlie avait un peu moins d'un an. On est début février quand je sors l'épisode, et 8 mois ont passé depuis ma rencontre avec cette femme incroyable qui a décidé de faire un bébé toute seule, alors même qu'elle était en couple et amoureuse d'un homme qui ne voulait plus d'enfant.

Julie a partagé son histoire avec nous, etelle est déjà très contente d'avoir cet enregistrement à faire écouter à son fils.

Merci encore pour tout, je suis très honorée que l'histoire de Charlie soit encapsulée sur Parentèle.

Hôte et production : Johana Cinturao

Musique composée par Jonathan Davenport

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Parentèle, c’est le premier podcast à destination des parents d’enfants de 3 à 77 ans. Ici, on s’intéresse à tout ce qu’il se passe dans la parentalité avec nos grands, ceux qui sont sortis de la période qu’on appelle “petite enfance”.

Alors, comment on fait après ? Après l’accouchement, le post partum, la petite adolescence, les biberons et les couches ? Quels sont les enjeux, quelles sont les difficultés que l’on rencontre une fois que notre enfant dort toutes les nuits, ne tête plus, une fois qu’on ne compte plus son âge en mois ? 

De la rentrée en maternelle jusqu’au moment où nos enfants quittent le nid, en passant par les devoirs, les premiers amours, les premières sorties et la “crise d’ado”, il y a autant d’histoires qu’il y a de familles. L’éducation est un sujet hyper personnel à caractère universel puisque nous y sommes tou.te.s confronté.e.s en tant que parents.  

C’est dailleurs en tant que maman curieuse et avide de savoir que je vais en première ligne discuter avec des mamans, des papas, des professionnel.le.s de santé pour avoir les clés pour passer chaque étape de la parentalité.

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Retrouvez l'épisode avec Caroline ici :

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Ce qui est génial avec ce podcast c’est qu’il me permet de contacter des personnes que je ne connais pas mais que je suis depuis plus ou moins de temps dans la vraie vie ou sur les réseaux sociaux, Des personnes que j’adore, desquelles j’admire le travail et aussi des femmes m’inspirent beaucoup. C’est le cas de mon invitée de la semaine. 

Si je vous dis Camille Anseaume ? Moi je l’ai découverte en début d’année à la sortie de son dernier livre “Ma belle”. J’ai adoré ce livre et quand j’ai cherché à en apprendre plus sur la femme qui l’avait écrit, j’ai découvert une partie de son histoire de maman et vous vous doutez que le rapprochement avec Parentèle n’a pas mis très longtemps à se faire dans ma tête.  

Camille a 2 enfants qui ont 13 ans d’écart.  

Dans cet épisode, on parle de comment on nous conditionne à la crise d’ado et à son échauffement qu’on appelle la pré-adolescence, de ces petits riens qui nous montrent que notre enfant grandit, Des phrases qu’on s’entend dire alors qu’elles représentent tout le parent qu’on ne voulait pas être, de féminisme, des différences entre le rapport qu’on avait avec nos parents, et celui qu’on a aujourd’hui avec nos enfants. Et de l’arrivée d’un bébé dans sa famille et dans la vie de sa fille de 12 ans. 

Je vous souhaite une très bonne écoute 

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Nouvelle rediff, nouvel épisode que vous avez adoré. On ne la présente plus, je vous laisse (re)découvrir mon échange avec cette super nana !

Il y a des histoires, des parcours, parfois des enchaînements d'évènements, qui font bouger les lignes de nos propres vies et rebattent les cartes de notre destin.  

Amélie l’a vécu quand, 11 ans après la naissance de son fils Léonard, elle accouche de sa fille Shéérazade à seulement 28 semaines de grossesse et entre dans le monde de l’extrême prématurité. Un monde qui nous fait réaliser que donner la vie à un enfant peut être un vrai combat. Car un bébé qui naît à moins de 6 mois de grossesse n’a pas eu le temps de se former correctement dans la chaleur du ventre de sa maman, n’a pas ses organes vitaux assez développés et il faut se battre à tout prix, heure par heure, pour défier les statistiques et lui donner toutes les chances de survie. Aujourd’hui Shéérazade va bien, et j’ai voulu rencontrer Amélie pour qu’elle me raconte comment elle a géré cette situation avec son enfant de 11 ans quand sa vie a été balayée par le tsunami de l’extrême prématurité.  

Amélie je l’ai découverte il y a quelques années via son compte Instagram The very good mother, qui est aujourd’hui en stand by mais sur lequel elle postait à l’époque des memes dénonçant les injonctions que subissent les femmes et particulièrement les mamans.   

Je l’ai rencontrée chez elle, à Paris. on a parlé de sa séparation avec le papa de Léonard, de ses années de maman solo, de l’arrivée de son compagnon Hamza dans sa vie et de leur envie d’agrandir la famille. Elle m’a aussi racontée les mois d’hospitalisation, les semaines de réanimation, et comment on fait quand tout ça se passe en plein Covid, à quelques centaines de kilomètres de là ou on habite.   

Je vous souhaite, une très bonne écoute.

Hôte et production : Johana Cinturao 

Musique composée par Jonathan Davenport

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Les pays scandinaves fascinent et font rêver. On entend souvent parler de leur système éducatif, de leur approche de la parentalité, de leur engagement écologique ou encore de leur modèle social. Ces pays du Nord sont régulièrement cités en exemple, mais comment ces aspects se traduisent-ils vraiment dans le quotidien ? C'est cette question qui m'a donné envie d'aller voir au-delà des apparences.

Cette semaine je reçois Caroline, maman française installée en Suède. Entre projection et réalité, elle nous livre un témoignage sans détour sur son quotidien de parent entre deux cultures.

De la cour de récréation aux habitudes familiales, en passant par le rapport aux écrans et l'écologie, Caroline dévoile les surprises, les défis et les contrastes de sa vie en Suède. Enceinte de son quatrième enfant, elle nous raconte aussi comment les différences du système de suivi de grossesse.

Un épisode riche en découvertes qui déconstruit nos idées reçues sur le modèle scandinave et nous fait réfléchir sur nos différentes approches de la parentalité.

Retrouvez Caroline sur Instagram : Les débarbouillettes

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Cette semaine pas d’épisode, mais en vue des vacances d’halloween qui arrivent, je vous ai prévu un hors série qui va certainement vous donner des idées pour vous occuper avec vos kids pendant 2 semaines.  

Pour cet épisode, j’ai demandé à mes invité.e.s ce qu’ils avaient prévu avec leurs enfants pour les vacances, histoire de vous donner quelques idées d’activités. Elles vont soit vous faire rêver, soit vous donner des idées si tout n'est pas booké de votre côté, soit vous inspirer pour les prochaines vacances.

Intervenantes : 

Emilie Duchêne

Fanny Vella 

Anaïs - Parisianavores -

Mylène - Frangin Frangine -

Solen - Trip and twins - 

Catherine Painvin 

Céline - Le break des bretzels - 

Alice 

Production, montage & hôte : Johana Cinturao 

Musique composée par Jonathan Davenport 

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Quand on devient parent, on a souvent une idée assez précise du genre d’éducation que l’on veut donner à nos enfants, des valeurs qu’on veut leur transmettre, du type de personne qu’on aimerait les voir ou non devenir. J’imagine qu’énormément de facteurs entrent en compte comme l’éducation qu’on a nous même reçu, notre culture, les personnes que l’on a rencontrées et ce qu’on a pu voir de l’éducation donnée à des enfants autour de nous.  

Mais en tant que parent, on se retrouve tous poussés dans nos retranchements et tous les enfants n’ont malheureusement pas toujours la chance de recevoir une éducation saine. Ils peuvent parfois être confrontés à des parents qui n’ont pas les clés pour offrir un environnement sécuritaire. Ils peuvent même subir dès leur plus jeune âge les conséquences de l’alcoolisme ou de la violence. 

Heureusement, en France, il existe des lois pour les protéger et même les recueillir. Antoine est éducateur spécialisé, et il a travaillé dans différentes structures qui aident ces enfants et jeunes adultes et les accompagnent pour qu’ils puissent grandir et s’épanouir dans les meilleures conditions possibles. Il est aussi papa de 2 petits garçons de 5 et 2 ans. Il nous raconte son expérience, nous explique ce que notre pays met en place pour aider les familles et sortir les enfants des milieux toxiques dans lesquels ils vivent. Il nous parle aussi de sa paternité et de sa vision de l’éducation qu’il a envie de donner. 

Musique composée par Jonathan Davenport 

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Emma a toujours voulu avoir des enfants. Dans la première partie de sa vie d’adulte, elle a été mariée, et elle avait à l’époque pour projet de fonder une grande famille, avec des enfants qu’elle porterait et d’autres qu’elle adopterait. Mais la vie en a décidé autrement, et quand elle est tombée enceinte de Matthéo à 30 ans, elle était une jeune femme divorcée, qui avait tiré un trait sur ses projets de famille et était plutôt branchée fêtes, soirées et flirts.  

La papa était un homme qu’elle appréciait et respectait beaucoup mais qui n’était pas l’homme de sa vie. Quand elle apprend qu’elle est enceinte à 16 semaines de grossesse, elle est déjà séparée de ce mec avec qui elle bosse et qu’elle voit tous les jours.  

C’est donc en maman solo qu’Emma commence une nouvelle vie avec le gamin, comme elle l’appelle. Elle passe tout son temps avec lui, avec beaucoup de moments de bonheur et des moments plus difficiles. Les devoirs notamment. Une source d’angoisse et d’énervement dès le CP. Jusqu’au diagnostic : Matthéo est dys. Emma pénètre alors dans un monde qu’elle ne connaissait pas, avec des rendez-vous hebdos chez l’orthophoniste, les enseignants qui comprennent le fonctionnement de Matthéo et réussisent à l’accompagner, et les autres, qui ont un peu plus de mal.  

Dans cet épisode, on parle aussi de surpoids, des enfants qui quittent le nid, de figures masculines.  

Je vous laisse écouter Emma et cet épisode riche, poignant, touchant, sincère et tellement plein d’amour.  

Belle écoute  

Hôte et production : Johana Cinturao 

Musique composée par Jonathan Davenport 

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J’ai posé la question sur Instagram après les fêtes : comment font les parents avec l’accumulation de jouets ? Vrai sujet, qui s’accentue avec le nombre d’enfants. Certaines auditrices ont répondu, et je vous partage leurs réponses ici

Bienvenue dans le premier épisode de PAS LE TIME

Hôte et production : Johana Cinturao

Musique composée par Jonathan Davenport

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.