Explorez tous les épisodes de NoCiné
Date | Titre | Durée | |
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24 Mar 2021 | Flashback - Titanic | 00:39:38 | |
My heart will go on. « Titanic », c’est le blockbuster des blockbuster. Une des plus belles histoires d’amour jamais écrites et réalisées au cinéma, sur un fond d’histoire et de politique, le drame des habitant.e.s du paquebot est à voir et à revoir. La production est monstrueuse et l’ambition est aujourd’hui encore inégalée. Où le film « Titanic » puise-t-il sa richesse ? En quoi le film rayonne-t-il encore aujourd’hui ? Y’avait-il assez de place sur le fameux bout de planche ? Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat et Anaïs Bordages. CRÉDITS Flashback de No Ciné est une collection de podcast produite par Binge Audio en partenariat avec Star by Disney+ et animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 24 février 2021 dans les studios de Binge Audio. Réalisation : Mathieu Thévenon. Générique : Corentin Kerdraon. Chargé de production et d’édition : Dimitri Mayeur. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
08 Jan 2020 | Les Enfants du temps, au-delà des nuages | 00:30:07 | |
Sur fond de G-pop – mélodramatique à souhait, se déploie une histoire merveilleuse. Celle d’Hodaka, lycéen japonais qui fuit son île pour rejoindre Tokyo. Il y trouve l’amour et un poste dans un magazine spécialisé dans le paranormal. « Les Enfants du temps » est une belle histoire d’amour adolescente mais aussi et surtout une fable fantastique, décalé et naturaliste. Ce film d’animation est une plongée délicieuse pour celles et ceux qui ne connaisse pas déjà Makoto Shinkai, auteur d’un des tubes de l’industrie du cinéma japonais. Peut-être un peu moins pour celles et ceux qui sont déjà familiers avec son œuvre. Animé Thomas Rozec avec Daniel Andreyev, Stéphane Moïssakis et Julien Dupuy. RECOMMANDATIONS ET COUPS DE CŒUR LA RECO DE DANIEL : « Millennium Actress », chef d’oeuvre de Satoshi Kon, sorti en 2001 et guettez « Ride Your Wave », si beau et poignant LA RECO DE STEPHANE : Yakuza LA RECO DE JULIEN : « Millennium Actress » aussi et « Klaus », film d’animation espagnol à ne surtout pas rater RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Your Name : de l’animation japonaise de très grande qualité (NoCiné, Binge Audio, 2019), Your Name (Makoto Shinkai, 2016) CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 19 décembre 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Prise de son : Solène Moulin. Réalisation : Mathieu Thévenon. Générique : Corentin Kerdraon. Chargées de production : Juliette Livartowski et Fatima Bahhou (stagiaire). Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
04 Dec 2019 | The Irishman, la dernière valse | 00:51:14 | |
[Episode full spoiler, vous êtes prévenu·e·s] Trois heures pour l’éternité. Le temps d’un tour de table à laquelle se seraient assis tous les acteurs du Nouvel Hollywood et ses deux monstres, De Niro et Al Pacino. Le temps de dresser le bilan de la vie de Frank Sheeran et de son passé criminel au contact de la mafia et de Jimmy Hoffa. Comme un condensé de la vie de cinéaste de Scorsese et un bilan de tout un pan de l’histoire du cinéma, « The Irishman » abandonne le style narratif des films de gangster. En retenue, lente et détendue, la narration épouse la mélancolie d’un vieil homme, sa mémoire forcément menteuse et magnifiée, son questionnement moral et presque spirituel. Le temps d’une leçon sur la vie et le cinéma : la réalité pèse peu face au mythe. Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE PERRINE : « Big Fish » qui est une sorte de tour de piste de Tim Burton (2003). LA RECO DE DAVID : « Il était une fois en Amérique » dernier film de Sergio Leone (1984). LA RECO DE STEPHANE : « After Hours » de Martin Scorcese (1985). RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Robert de Niro, Al Pacino, Jo Pesci, Mean Streets (Martin Scorsese, 1973), Les Affranchis (Martin Scorsese, 1990), Casino (Martin Scorsese, 1995), Le Loup de Wall Street (Martin Scorsese, 2013), Le Parrain (Francis Ford Copolla, 1972), Il était une fois en Amérique (Sergio Leone, 1984), Le traitre (Marco Bellochio, 2019), Taxi Driver (Martin Scorsese, 1976), Raging Bull (Martin Scorsese, 1980), JFK (Oliver Stone, 1991), La liste de Schindler (Steven Spielberg, 1993), The Night Of (Richard Price et Steven Zaillian, 2016), Le Stratège (Bennet Miller, 2011), Aaron Sorkin, Mission Impossible (Brian de Palma,1996), I Heard You Paint Houses (Charles Brandt), Silence (Martin Scorsese, 2016), FIST (Norman Jewinson, 1978), Paul Thomas Anderson, Big Fish (Tim Burton, 2003), After Hours (Martin Scorsese, 1985), Stretch (Joe Carnahan, 2014). CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 28 novembre 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Victor Dubin. Générique : Corentin Kerdraon. Chargées de production : Juliette Livartowski et Fatima Bahhou (stagiaire). Chargée d’édition : Camille Regache. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
17 Mar 2021 | Flashback - Lost | 00:33:18 | |
Une île, des naufragés, des ours polaires, des complots, et surtout beaucoup de retournements de cerveau. « Lost » sort en 2004 et fait l’effet d’une bombe. Rendez-vous immanquable pour toute une génération d’adolescent.e.s, « Lost » a éveillé à la pop culture. Des innombrables théories lancées après un des pilotes les plus mémorables de l’histoire des séries, les fans n’ont jamais été à court de spéculations et de réflexions en tout genre. Comment la série a-t-elle réussi à s’imposer comme une des premières à impliquer autant les spectateur.ice.s ? Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat et Anaïs Bordages. CRÉDITS Flashback de No Ciné est une collection de podcast produite par Binge Audio en partenariat avec Star by Disney+ et animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 24 février 2021 dans les studios de Binge Audio. Réalisation : Mathieu Thévenon. Générique : Corentin Kerdraon. Chargé de production et d’édition : Dimitri Mayeur. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
14 Jan 2020 | Les voyages comme dans Seul sur Mars, c’est pour quand ? | 00:25:29 | |
Dans 7e science, un nouveau podcast de Binge Audio et Sorbonne Université, Perrine Quennesson décortique avec un·e scientifique la relation entre fictions et sciences à partir de films qui ont marqué l’histoire du cinéma. Pour les scientifiques comme pour les cinéastes, la planète rouge est une source de fantasmes inépuisable. Dans « Seul sur Mars », Matt Damon aka Mark Watney tente de survivre tant bien que mal sur ces terres arides et inhospitalières. Mais à quoi ressemble vraiment la vie sur la planète rouge ? Y mettra-t-on les pieds un jour ? Qui sont Pathfinder ou encore Insight, deux chanceux qui ont déjà pu fouler le sol de cette planète mystérieuse ? Invité : Olivier Beyssac, directeur de recherche CNRS à Sorbonne Université, dans l’Institut de minéralogie, de physique des matériaux et de cosmochimie. Référence : « Seul sur Mars » (Ridley Scott, 2015) PRÉCISIONS – À 5min55 : L’atmosphère terrestre est bien de 1000 millibars. – À 20min : La pression de l’atmosphère correspond plutôt à 150 fois celle de la Terre. – À 22min45 : Le séjour de Thomas Pesquet a duré 6 mois mais le record pour la durée d’un séjour consécutif est de plus de 14 mois, par Valeri Vladimirovitch Poliakov sur la station MIR. CRÉDITS 7e Science est un podcast de Sorbonne Université et Binge Audio animé par Perrine Quennesson. Cet épisode a été enregistré en décembre 2019. Musique : Alexandre Delmaere. Identité graphique : Upian. Image : « Sphaerotheca pannosa » par Fernan Federici. ÉQUIPE BINGE : Direction de projet : Soraya Kerchaoui-Matignon. Production : Albane Fily. Édition : Camille Regache. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. ÉQUIPE SORBONNE UNIVERSITÉ : Véronique Atger, Pierre Chirsen, Virginie Thibaud et Yann Jacopin Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
25 Dec 2019 | Le pire et le meilleur des années 2010 | 01:03:07 | |
Les nuages de sable et de sang dans « Mad Max : Fury Road », les désacralisantes vannes des Avengers, les bluffants David O. Russell et Damien Chazelle, Dolan la comète, Lupita Nyong’o l’extraordinaire, les néons multicolores et surcôtés de « Drive », les fous rires made in Judor, l’inoubliable Bong Joon-Ho, les « Quelques minutes après minuit » pleines de grâce, le goût de réchauffé des derniers Star Wars, les trémolos dans la voix en regradant « Roma »… Au crépuscule des années 2010, le temps est venu de faire le bilan. Pour tourner dignement la page de cette décennie, NoCiné vous propose un palmarès en huit catégories : le meilleur film des années 2010, le pire de la décennie, la révélation, l’oeuvre la plus surcôtée, le plus gros fou rire, le film qui incarne le mieux ces années, le moment le plus émouvant et la meilleure mort de la décennie. Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat, Perrine Quenesson, Daniel Andreyev, Rafik Djoumi, Julien Dupuy et Stéphane Moïssaikis. Après cinq années de bons et loyaux services, NoCiné va faire une pause. N’hésitez pas à nous écrire à nocine@binge.audio pour nous faire part de ce que vous avez aimé dans le podcast. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Happy Feet 2 (George Miller, Gary Eck, 2011), Mad Max : Fury Road (George Miller, 2015), La grande bellezza (Paolo Sorrentino, 2013), Un jour dans la vie de Billy Lynn (Ang Lee, 2016), The Tree of Life (Terrence Malick, 2011), La saveur des ramen (Eric Khoo, 2018), La piel que habito (Pedro Almodovar, 2011), Zack Snyder, The Last Face (Sean Penn, 2017), Avengers (Joss Whedon, 2012), Interstellar (Christopher Nolan, 2014), Ben-Hur (Timour Bekmambetov, 2016), David O. Russell, Damien Chazelle, Kate McKinnon, Xavier Dolan, Saoirse Ronan, Juan Antonio Bayona, Kantemir Balagov, Adam Driver, Michael B. Jordan, Lupita Nyong’o, Jordan Peele, David Robert Mitchell, Birdman (Alejandro González Iñárritu, 2015), Black Swan (Darren Aronofsky, 2011), Joker (Todd Philipps, 2019), Drive (Nicolas Winding Refn, 2011), Blade Runner 2049 (Denis Villeneuve, 2017), Vice-versa (Pete Docter, 2015), Problemos (Eric Judor, 2017), Gods of Egypt (Alex Proyas, 2016), Grimsby : Agent trop spécial (Louis Leterrier, 2016), Grimsby – Agent Trop Spécial (NoCiné, Binge Audio, 2016), Les Nouvelles Aventures d’Aladin (Arthur Benzaquen, 2015), Les Visiteurs : La Révolution (NoCiné, Binge Audio, 2016), The Social Network (David Fincher, 2010), Ready Player One (Steven Spielberg, 2018), Star Wars, épisode VII : Le Réveil de la Force (J. J. Abrams, 2015), Cloud Atlas (Lana Wachowski, Tom Tykwer, Lilly Wachowski, 2012), Le Territoire des loups (Joe Carnahan, 2012), Roma, l’éducation au regard (NoCiné, Binge Audio, 2018), Alien Crystal Palace (Arielle Dombasle, 2018), Gravity (Alfonso Cuarón, 2013), Hérédité (Ari Aster, 2018), Pacific Rim (Guillermo del Toro, 2013), Once Upon a Time… in Hollywood (Quentin Tarantino, 2019), Logan (James Mangold, 2017) CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 19 décembre 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Prise de son : Solène Moulin. Réalisation : Mathieu Thévenon. Générique : Corentin Kerdraon. Chargées de production : Juliette Livartowski et Fatima Bahhou (stagiaire). Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
23 Oct 2019 | Terminator, back dans les bacs | 00:57:05 | |
(Attention, spoiler Schwarzeneggeresque à la fin de l’épisode) Fiévreux, fauché et fana de SF, James Cameron, une nuit, rêve d’un torse tout fait de chrome. Juste après une explosion nucléaire, le buste métallique, désarticulé surgit des flammes et s’avance lentement dans un nuage de cendres. C’est cette vision qui est à l’origine de la saga que tout le monde connaît. C’est cette vision qui donnera naissance à l’une des plus grandes figures tutélaires du cinéma. Malgré un budget riquiqui et des conditions de tournage compliquées, le premier volet remporte, dès sa sortie, en 1984, un succès tonitruant. Succès qui permet au réalisateur d’avoir les moyens de ses ambitions pour le deuxième film. Terminator se mue alors en blockbuster. Suivra T3,T4, T5 et enfin, Dark Fate. Hasta la vista, baby ? Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, Julie Le Baron et Stéphane Moïssakis. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION The Terminator (James Cameron, 1984), Tim Miller, Arnold Schwarzenegger, Short Circuit (John Badham, 1986), Terminator Genisys, fatal reboot (NoCiné, Binge Audio, 2015), Terminator 2 : Le Jugement dernier (James Cameron, 1991), Terminator 3 : Le Soulèvement des machines (Jonathan Mostow, 2003), Terminator Renaissance (McG, 2009), Terminator Genisys (Alan Taylor, 2015) CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 17 octobre 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Jules Krot Quentin Bresson. Générique : Corentin Kerdraon. Chargées de production : Juliette Livartowski et Fatima Bahhou (stagiaire). Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
06 Nov 2019 | Dolemite is Eddie Murphy’s Name | 00:31:31 | |
Raconter l’histoire vraie de Rudy Ray Moore n’était pas une mince affaire. Retracer la vie déjantée de cet acteur signifie aborder un pan entier, parfois oublié, de la contre-culture du cinéma américain des années 1970 : la blaxploitation. Ce courant dont Rudy Ray Moore et son personnage Dolemite deviendront des figures emblématiques. Pour une si grande ambition, de grands noms étaient nécessaires : Eddie Murphy au premier rang, Larry Karaszewski et Scott Alexander, deux scénaristes habitués du biopic alternatif et enfin, derrière la caméra, Craig Brewer. Il fallait au moins ça pour rendre hommage avec subtilité à l’audace de cette icône et à son processus de création. Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat et Stéphane Moïssakis. RECOMMANDATIONS ET COUPS DE CŒUR LA RECO DE DAVID : pour creuser le sillon Eddie Murphy, l’épisode « La loi de Murphy » du podcast Le Tchip. LA RECO DE STÉPHANE : « White Like Me », un sketch d’Eddie Murphy dans l’émission de télévision Saturday Night Live RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Junior le terrible (Dennis Dugan, 1990), The Human Tornado (Cliff Roquemore, 1976), Tommy Wiseau, Dolemite (D’Urville Martin, 1975), Ed Wood (Tim Burton, 1995), Les Nuits de Harlem (Eddie Murphy, 1989) CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 31 octobre 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Victor Dubin et Mathieu Thévenond. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
15 May 2018 | Spécial Cannes #03 : Gaspar Noé, 2001 l’Odyssée de l’espace et le marché du film. | 00:36:08 | |
En direct de la Quinzaine des réalisateurs, émission spéciale trip cinématographique et tour d’horizon du marché du film au sixième jour du festival. “Climax”, le nouveau film de Gaspar Noé faisait partie des sorties les plus attendues du festival. Il y est question de soirée qui part en vrille, de trip hallucinatoire et une fois de plus Noé est remarquable dans son traitement psychédélique de l’image et du son. Le long-métrage trouve malheureusement ses limites dès que les personnages prennent la parole. Tout aussi planant visuellement, le nouveau tirage 70 mm de “2001, l’Odyssée de l’espace” a été présenté en salle par Christopher Nolan. Cinquante ans et pas une ride pour le film de Stanley Kubrick salué par nombre de réalisateurs présents aujourd’hui à l’affiche du festival. Retour aussi sur le marché du film avec des espagnols toujours plus présents, une bonne surprise hors compétition avec la dernière comédie de Gilles Lellouche ou encore l’émergence d’un nouveau genre : le Nicolas Cage. Podcast animé par david Honnorat avec Arnaud Bordas et Hugo Alexandre RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Climax (Gaspar Noé, 2018), Irréversible (Gaspar Noé, 2002), Enter the Void (Gaspar Noé, 2010), Love (Gaspar Noé, 2015), 2001, l’Odyssée de l’espace (Stanley Kubrick, 1968) Les 8 salopards (Quentin Tarantino, 2016), Shining (Stanley Kubrick, 1980), The Spy Gone North (Yoon Jong-bin, 2018), Nicolas Cage, Mandy (Panos Cosmatos, 2018), Rambo II (George Cosmatos, 1985), Le Cobra (George Cosmatos, 1986), Sin rodeos (Santiago Segura, 2018), Le Labyrinthe de Pan (Guillermo del Toro, 2006), Campeones (Javier Fesser, 2018), Mortadelo y Filemón (Javier Fesser, 2009), Le Grand Bain (Gilles Lellouche, 2018), Narco (Gilles Lellouche, Tristan Aurouet, 2004), El reino (Rodrigo Sorogoyen, 2018), Que Dios Nos Perdone (Rodrigo Sorogoyen, 2016), Le Pacte, A Bluebird in My Heart (Jérémie Guez, 2018), Atomic Heart (Ali Ahmadzade, 2014), Lola Le Lann, Jacques Audiard, CRÉDITS Enregistré le 14 mai 2018 à La Malmaison (Cannes). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Éditrice : Albane Fily. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
16 May 2018 | Deadpool 2, rendez-vous manqué avec le politiquement incorrect | 00:30:02 | |
Sans surprise, le deuxième épisode des aventures du super héros distributeur de punchlines manque cruellement de radicalité et de grivoiserie. Deadpool se retrouve cette fois-ci à former un groupe de justiciers, les X-Force, pour protéger Firefist un jeune héros menacé par un autre mutant capable de voyager dans le temps : Cable. Un pitch très limité donc, mais qui se traîne malgré tout sur 2h. Le premier film qui se voulait déjà politiquement incorrect restait finalement assez sage mais Tim Miller, son réalisateur, avait le mérite d’être un vrai fan de comics et de faire ressortir son amour pour le personnage à l’écran. Et cela manque au second opus, mis en scène par le piètre réalisateur David Leitch et produit par le mégalo Ryan Reynold qui joue aussi le personnage principal. Le film sous-écrit ne parvient jamais à aller au-delà de ce qui a été fait dans le premier et commence à donner à la franchise des airs de film Marvel. Podcast animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Deadpool 2 (David Leitch, 2018), Ryan Reynolds, Julian Dennison, Atomic Blond, Josh Brolin, Morena Baccarin, Zazie Beetz, Deadpool (Tim Miller, 2016), Avengers: Infinity War (Anthony Russo, Joe Russo, 2018), X-Men Origins: Wolverine (Gavin Hood, 2009), Un monde pour nous (Cameron Crowe, 1989), La Folle Journée de Ferris Bueller (John Hughes, 1986), Green Lantern, Innocent Blood (John Landis, 1992), Série noire pour une nuit blanche (John Landis, 1985), Le Loup-garou de Londres (John Landis, 1981), Un Fauteuil pour deux (John Landis, 1983), John Block, Jason Statham, The Rock (Dwayne Johnson), Rampage (Brad Peyton, 2018), Logan (James Mangold, 2017), Céline Dion, The Deadpool (Buddy Van Horn, 1988), Jim Carrey, Liam Neeson RECOMMANDATIONS LA RECO DE JULIEN DUPUY : Le travail de Tim Miller sur internet et notamment son projet d’adaptation au cinéma du comics “The Goon” LA RECO DE STÉPHANE MOÏSSAKIS : “The Deadpool”, le cinquième volet des aventures de l’inspecteur Harry et un des rares mauvais films de Clint Eastwood. CRÉDITS Enregistré le 15 mai 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
16 May 2018 | Spécial Cannes #04 : Lars von Trier, Spike Lee et le très fade “Solo” de Ron Howard | 00:39:25 | |
En direct de la Quinzaine des réalisateurs, retour sur “The House that Jack Built”, le film de Lars Von Trier présenté hors compétition mais aussi sur le “Solo: A Star Wars Story” de Ron Howard, “BlaKkKlansman” de Spike Lee et toutes les petites choses qui ont retenues l’attention les chroniqueurs de NoCiné à Cannes. Podcast animé par David Honnorat avec Perrine Quennesson et Hugo Alexandre CRÉDITS Enregistré le 16 mai 2018 à La Malmaison (Cannes). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
17 May 2018 | Spécial Cannes #05 : Le chef d’oeuvre de Mamoru Hosoda, “Burning” de Lee Chang-Dong, David Robert Mitchell et Matteo Garrone | 00:39:17 | |
En direct de la Quinzaine des réalisateurs, retour sur les découvertes du jour avec “Miraï, ma petite soeur”, le chef d’oeuvre de Mamoru Hosoda, “Burning” le touchant long-métrage de Lee Chang-Dong mais aussi “Under The Silver Lake” de David Robert Mitchell et “Dogman” de Matteo Garrone. Podcast animé par David Honnorat avec Arnaud Bordas et Lucile Bellan CRÉDITS Enregistré le 16 mai 2018 à La Malmaison (Cannes). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
18 May 2018 | Spécial Cannes #06 : Bilan du festival | 00:51:23 | |
En direct de la Quinzaine des réalisateurs, les chroniqueurs de NoCiné font le bilan de cette 71ème édition du festival de Cannes toutes sélections confondues. Dernier épisode spécial pour débattre du plan le plus marquant de la semaine, de la découverte de l’année, de la plus grosse déception mais aussi de la meilleure surprise et évidemment des pronostics des chroniqueurs pour la Palme d’Or. Podcast animé par David Honnorat avec Arnaud Bordas, Hugo Alexandre et Lucile Bellan CRÉDITS Enregistré le 18 mai 2018 à La Malmaison (Cannes). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
18 May 2018 | Spécial Cannes #06 : Bilan du festival | 00:51:23 | |
En direct de la Quinzaine des réalisateurs, les chroniqueurs de NoCiné font le bilan de cette 71ème édition du festival de Cannes toutes sélections confondues. Dernier épisode spécial pour débattre du plan le plus marquant de la semaine, de la découverte de l’année, de la plus grosse déception mais aussi de la meilleure surprise et évidemment des pronostics des chroniqueurs pour la Palme d’Or. Podcast animé par David Honnorat avec Arnaud Bordas, Hugo Alexandre et Lucile Bellan CRÉDITS Enregistré le 18 mai 2018 à La Malmaison (Cannes). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
23 May 2018 | Solo, de la mythologie Star Wars au marketing Disney | 00:32:15 | |
Comment on est passé d'une mythologie à une marque ? Dernier spin-off en date de l’univers Star Wars, « Solo : a Star Wars story » en est le parfait exemple. L’histoire s’attarde sur la genèse de Han Solo avant sa rencontre avec Luke Skywalker, et raconte comment il va croiser la route de Chewbacca et Lando Calrissian. Un film qui a d’abord fait parler de lui pour ses problèmes de production, avec le remplacement au bout de six mois de tournage des deux réalisateurs, Phil Lord et Chris Miller, par le vétéran Ron Howard qui a retourné une bonne partie des séquences. Résultat : un film normal, basique, prévisible, plan-plan - à l’image de Ron Howard-, qui prend soin de tout surligner dans le passé d’Han Solo pour rendre le film raccord avec la trilogie originale. Comme s’il fallait tout nous expliquer. Sans oublier un cahier des charges à respecter qui frise l’indigestion et qui ressemble à un carcan pour quiconque tente de s’attaquer à cette franchise. Animé par Thomas Rozec, avec Perrine Quennesson, Stéphane Moissakis et David Honnorat RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Ron Howard, Apollo XIII (Ron Howard, 1995), Un homme d’exception (Ron Howard, 2001), Da Vinci Code (Ron Howard, 2006), Anges et Démon (Ron Howard, 2009), Inferno (Ron Howard, 2016), Emilia Clarke, Alden Ehrenreich, Donald Glover, Woody Harrelson, Phil Lord et Chris Miller, La grande aventure Lego (Phil Lord, Chris Miller, 2014), 21Jump Street (Phil Lord, Chris Miller, 2012), 22 Jump Street (Phil Lord, Chris Miller, 2014), Jonathan Kasdan Lawrence Kasdan, Tetro (Francis Ford Coppola, 2009), Ave Cesar (Joel et Ethan Coen, 2016), Emilia Clarke, Game of Thrones, Tempête de boulette géantes (Phil Lord, Chris Miller, 2009), Rush (Ron Howard, 2013), Willow (Ron Howard, 1988), Warwick Davis, Harrison Ford, Alien (Ridley Scott, 1979), Donald Glover, Community LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE PERRINE QUENNESSON : "Willow" de Ron Howard avec Val Kilmer, Joanne Whalley, Warwick Davis (1988) LA RECO DE STEPHANE MOISSAKIS : Quand les aigles attaquent, de Brian G.Hutton avec Richard Burton et Clint Eastwood (1968) LA RECO DE DAVID HONNORAT : La rançon de Ron Howard avec Mel Gibson, Rene Russo (1996) CRÉDITS Enregistré le 22 mai 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
30 May 2018 | Don Quichotte, le film qui ne tua pas Terry Gilliam | 00:30:16 | |
Est-ce que l’histoire du film en train de se faire n’était pas plus intéressante que le film lui-même ? La question se pose avec « L’homme qui tua Don Quichotte » qui a fait l’événement au festival de Cannes et qui vient de sortir. Il aura fallu plus de 20 ans ans de galères à Terry Gilliam, et bien des péripéties, pour parvenir à faire ce film. Jusqu’à la veille de sa sortie, on ne savait pas s’il pourrait être projeté en salles. Et Terry Gilliam a même fait un léger malaise cardiaque juste avant le festival. L’histoire ? En Espagne, un réalisateur de pub désabusé décide de reprendre une oeuvre de jeunesse qu’il avait tournée à cet endroit et qui avait pour thème, évidemment, Don Quichotte. Bon, on est content pour Terry Gilliam qu’il soit parvenu au bout de son projet envers et contre tout, mais il est difficile d’être tout à fait convaincu par ce film touchant, foutraque, limite testamentaire qui concentre toutes les obsessions de Gilliam, sans les réinventer toutefois. Mais son oeuvre reste une ode aux rêveurs, aux tarés, aux créateurs… A Terry Gilliam lui-même en somme. Podcast animé par Thomas Rozec avec Perrine Quennesson, Stéphane Moissakis et David Honnorat LES RÉFÉRENCES CITEES DANS LE FILM Terry Gilliam, Adam Driver, Olga Kurylenko, Jonathan Pryce, Jean Rochefort, John Hurt, Lost in La Mancha (Keith Fulton et Louis Pepe, 2002), Tim Burton, Big Fish (Tim Burton, 2003), Zero Theorem (Terry Gilliam, 2013), Star Wars, Girls, Andrew Garfield, L’Armée des Douze Singes (Terry Gilliam, 1995), Brazil (Terry Gilliam, 1985), L’Imaginarium du docteur Parnassus (Terry Gilliam, 2009), Les aventures du baron de Münchhausen (Terry Gilliam, 1988), Fisher King (Terry Gilliam, 1991), Johnny Deep, Bruce Willis. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE PERRINE QUENNESSON : "Tales of Tales" de Mateo Garron (2015), film foutraque à partir de contes du 15ème siècle LA RECO DE STÉPHANE MOÏSSAKIS : "Impitoyable" de Clint Eastwood (1992), western définitif LA RECO DE DAVID HONNORAT : "Maestro" de Léa Fazer (2014), inspiré du tournage d’un film d’Eric Rohmer CRÉDIT Enregistré le 22 mai 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
05 Jun 2018 | Le (trop) sombre Solo, la VF dans l’animation et les liens entre droits sportifs et cinéma | 01:36:39 | |
Les soucis de Solo en projection, la VF dans l’animation ou encore les inquiétudes du monde du cinéma face à la mauvaise santé financière de Canal+, retour en podcast sur l’actualité des films et des réalisateurs. Outre son scénario faiblard et sa production catastrophique, Solo, le dernier né de l’univers Star Wars, est aussi difficile à voir. La photo, volontairement sombre, a du mal à passer dans les salles. Alors qui sont les fautifs ? Bradford Young, le directeur de la photographie qui n’a pas été suffisamment vigilant, ou les exploitants qui font des économies sur le matériel et les projectionnistes ? 14 ans après son premier chef d’oeuvre, Brad Bird revient avec un nouvel épisode des “Indestructibles”. Au doublage, un sacré casting : Amanda Lear, Gérard Lanvin, Louane... Si la VF est sûrement moins dérangeante dans l’animation que sur les autres films, ne perd t-on pas toujours quelque chose à la traduction ? Et en même temps, l’obsession de la VO n’est-elle pas juste un snobisme pour des films qui s’adressent surtout aux enfants ? Si les cinéphiles n’ont jamais été connus pour leur intérêt pour le football, bon nombre d’entre eux on réagit à la perte des droits de Canal+ sur la Ligue 1. Le manque à gagner pour la chaîne - qui est aussi un des acteur majeur du cinéma français - pourrait avoir un impact considérable sur l’industrie audiovisuelle française. Alors faut-il s’inquiéter ? Podcast animé par Thomas Rozec avec Anaïs Bordage, Rafik Djoumi, Julien Dupuy, David Honnorat et Perrine Quennesson. CRÉDITS Enregistré le 4 juin 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
06 Jun 2018 | Xtra - Psychokinesis | 00:13:14 | |
Sang-Ho Yeon signe une nouvelle production disponible sur Netflix, l’occasion de revenir sur le travail du réalisateur découvert grâce à l’animation. Dans “Psychokinesis”, un homme se découvre capable de télékinésie et va utiliser ses pouvoirs pour aider sa fille à lutter contre la mafia locale assujettie aux intérêts d’entrepreneurs immobiliers. Sang-Ho Yeon garde, même dans un film de superhéros, un ancrage fort dans la réalité et met un point d’honneur à ausculter les couches les plus défavorisées de la population coréenne. S’il a récemment migré vers le cinéma live, ses long-métrages gardent les spécificités du cinéma d’animation et ses personnages sont de parfaits anti-héros cartoonesques. Une bonne introduction à l’oeuvre de Sang-Ho Yeon qui nous traîne dans les bas-fonds de la société pour mieux en faire ressurgir l’humanité. Podcast animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Psychokinesis (Sang-Ho Yeon, 2018), Dernier train pour Busan (Sang-Ho Yeon, 2016), Joon-Ho Bong, The Fake (Sang-Ho Yeon, 2013), Seoul Station (Sang-Ho Yeon, 2016), The King of Pigs (Sang-Ho Yeon, 2012), The Hell (Sang-Ho Yeon, 2003), Love is a protein (Sang-Ho Yeon, 2008) CRÉDITS Enregistré le 04 juin 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
06 Jun 2018 | 2001, de Kubrick à Nolan et toujours avec panache | 00:34:06 | |
C’est l'événement de ce printemps en termes de ressortie : le retour du mythique “2001, l’Odyssée de l’espace” dans les salles obscures. Il y a tout juste cinquante ans, Stanley Kubrick sortait pour la première fois son chef d’oeuvre qui a marqué le cinéma et qui influence depuis un demi siècle la façon de filmer la science-fiction. Le film revient aujourd’hui dans une version restaurée à l’identique en 70 mm, le tout sous la supervision de Christopher Nolan. L’histoire est donc la même : “2001” suit à différentes époques les interactions de l’homme avec une puissante intelligence extraterrestre apparue aux temps anciens sous forme d’un monolithe noir derrière lequel se cache les secrets et les mystère de la vie. Plus moderne que beaucoup de long-métrages sortis cette année, “2001” est un film respecté, parfois craint car complexe et qu’il vaut peut-être mieux essayer de ressentir que de comprendre. Une ressortie en salle qui permet donc de s’immerger totalement dans l’oeuvre contemplative devenue culte de Stanley Kubrick. Podcast animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, Anaïs Bordage, Rafik Djoumi et David Honnorat RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION 2001, l'Odyssée de l'espace (Stanley Kubrick, 1968), Interstellar (Christopher Nolan, 2014), Joan Crawford, Dunkerque (Christopher Nolan, 2017), Lolita (Stanley Kubrick, 1962), Artificial Intelligence: A.I Stanley Kubrick, 2001), Citizen Kane (Orson Welles, 1941), Deep Impact (Mimi Leder, 1998), Charlton Heston, Soleil Vert (Richard Fleischer, 1974), Wargames (John Badham, 1983), Futurama (Fox, 1999), Le Cinquième élément (Luc Besson, 1997), Ready Player One (Steven Spielberg, 2018), 2001, “Sparks in the Dark” (Pedro Gonzalez Bermudez, 2018), Kubrick (Michel Ciment, 1982), Les Archives Stanley Kubrick (Alison Castle) LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE ANAÏS BORDAGE : “Soleil Vert” de Richard Fleischer (1974), un film de science-fiction des années 70 LA RECO DE DAVID HONNORAT : Une publicité d’Apple de la fin des années 90 sur le bug de l’an 2000 et Wargames de John Badham (1983), une réflexion sur les machines. LA RECO DE RAFIK DJOUMI : “2001, Sparks in the Dark”, diffusé le 19 juin sur la chaîne TCM. Un documentaire sur une interview de Stanley Kubrick dans Playboy, qui donne des pistes de réflexion autour du film. LA RECO DE JULIEN DUPUY : “Kubrick”, le livre de Michel Ciment et “Les Archives Stanley Kubrick” par Alison Castle aux éditions Taschen. CRÉDITS Enregistré le 04 juin 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
08 Jun 2018 | Xtra - Crazy Day | 00:12:44 | |
La première production de Steven Spielberg est éditée pour la première fois en DVD, l’occasion de revenir sur un film très "eighties" qui mérite d’être vu. “I wanna hold your hand” (en version originale) met en scène le phénomène Beatles à travers l’histoire d’un groupe de jeunes américaines qui vont se rendre à New York pour voir leurs idoles lors d’un concert. Leur passion pour le boys band anglais va transformer leur vision du monde mais aussi leur comportement en société. S’il surfe sur la vague “American Graffiti”, “Crazy day” n’est pas pour autant un film nostalgique qui replonge le spectateur dans un passé idéalisé, mais plutôt une tentative de comprendre les évènements des années 60 qui ont provoqué un véritable changement d’époque. Un premier long-métrage réussi pour Robert Zemeckis on l'on découvre cette énergie rock’n’roll qui ne l'a ensuite jamais quitté. Podcast animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy et Rafik Djoumi RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Crazy Day (Robert Zemeckis, 1978), Steven Spielberg, Bob Gale, Eddie Deezen, Bobby Di Cicco, 1941 (Steven Spielberg, 1979), Nancy Anne Allen, American Graffiti (George Lucas, 1974), Susan Kendall Newman, Joan Baez, Retour vers le futur (Robert Zemeckis, 1985), Alfred Hitchcock, Forrest Gump (Robert Zemeckis, 1994) CRÉDITS Enregistré le 4 juin 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
07 Jun 2018 | Jurassic World, les écailles d’une franchise | 00:45:28 | |
A la suite du premier Jurassic World, Chris Pratt toujours dresseur de raptors et Bryce Dallas Howard refont le voyage vers Isla Nubar pour rescaper les dinosaures restés sur place et menacés par l'éruption d’un volcan. La première partie de ce “Jurassic World, Fallen Kingdom” made in Bayona sera donc dans une thématique de sauvetage de dinos, avant de basculer vers une critique du danger que représente l’homme. Contrairement aux dinosaures, vous aurez saisi. Dans un relatif respect du matériel de base de la franchise, Juan Antonio Bayona insuffle un peu de Spielberg dans sa mise en scène sans parvenir à déployer totalement son propre langage cinématographique, malgré des liens avec ses trois précédents films. Un renoncement à ce que Bayona est en tant que cinéaste, au service du côté mercantile du film. Résultat, difficile de se raccrocher à des personnages, très peu caractérisés contrairement aux dinos qui eux le sont. Quoi de plus déplacé qu’un dinosaure qui pleure ou sourit ? La team NoCiné reste pourtant partagée (attention, spoilers). Podcast animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, Perrine Quennesson et Stéphane Moïssakis. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Jurassic Park (Steven Spielberg, 1993), L’Orphelinat (Juan Antonio Bayona, 2007), The Impossible (Juan Antonio Bayona, 2012), Quelques minutes après minuit (Juan Antonio Bayona, 2016), Jeff Goldblum, B.D. Wong, Geraldine Chaplin, Colin Trevorrow, Derek Connolly, Michael Bay. LES RECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEUR LA RECO DE STÉPHANE MOÏSSAKIS : Clint Eastwood dans Honkytonk Man (1982). LA RECO DE JULIEN DUPUY : le travail de Shannon Shea (http://www.shannonsheaeffects.com) LA RECO DE PERRINE QUENNESSON : Splice de Vincenzo Natali (2009) CRÉDITS Enregistré le 07 juin 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
13 Jun 2018 | Hérédité, de la névrose familiale pure et dure | 00:29:43 | |
Le premier film d’Ari Aster a ses travers mais ne laisse certainement pas indifférent. Il nous plonge dans l’éprouvante histoire d’une mère de famille américaine qui retourne sur les lieux de son enfance lors de la mort de sa mère. Alors que la fille s’installe dans la demeure familiale avec mari et enfant, les secrets de la défunte vont lui sauter au visage. Pas de place pour une pseudo morale nous expliquant que chacun peut prendre sa vie en main : ici les personnage damnés semblent incapables d’échapper à la fatalité de leur destin, comme on n’échappe pas à la reproduction des erreurs de ses parents. La direction d’acteur est excellente et Toni Collette, l’actrice principale, parvient à faire transparaître à l’écran une terreur cérébrale, presque existentielle. Si la première partie est très prenante, le film se délite en revanche sur la fin et les effets spéciaux, un peu ridicules, ne lui rendent pas service. Mais malgré cela, Ari Aster parvient à créer une profonde sensation de malaise qui ne laisse pas indemne à la sortie de la salle. Podcast animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Hérédité (Ari Aster, 2018), Toni Collette, Ann Dowd, Milly Shapiro, Ne vous retournez pas (Nicolas Roeg, 1974), Conjuring : Les Dossiers Warren (James Wan, 2013), Gabriel Byrne, Macbeth (Roman Polanski, 1972), Le locataire (Roman Polanski, 1976), Les Proies (Don Siegel, 1971), Un frisson dans la nuit (Clint Eastwood, 1971), Carrie au bal du diable (Brian De Palma, 1977), Coffret Brian de Palma (Carlotta VOD), Jake Paltrow, Gwyneth Paltrow, Steven Spielberg, Noah Baumbach, Snake Eyes (Brian De Palma, 1998), Nicolas Cage, À la poursuite de Ricky Baker (Taika Waititi, 2016) LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE STÉPHANE MOÏSSAKIS : “Les proies” de Don Siegel (1971), un film misanthrope et vénéneux qui parvient à mettre le spectateur très mal à l’aise. LA RECO DE JULIEN DUPUY : “Carrie au bal du diable” de Brian de Palma (1977) et le coffret De Palma par Carlotta, notamment le documentaire. CRÉDITS Enregistré le 04 juin 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
13 Jun 2018 | Xtra - Ocean’s 8 | 00:11:31 | |
On pensait la saga close après la sortie Ocean’s 13 en 2007, mais c’était sans compter la capacité d'Hollywood à maintenir en vie les succès d’antan. La franchise reprend dix ans plus tard avec un nouvel opus au casting 100% féminin ayant pour cadre un des évènements les plus glamours du calendrier new yorkais : le gala du MET. Rihanna, Sandra Bullock, Helena Boham Carter… Un casting impressionnant pour un film qui l’est beaucoup moins. Pur remake de “Ocean’s 11”, le film n’apporte rien de nouveau et va jusqu’à reprendre des scènes entières du premier épisode. Sans véritable méchant, l’histoire a assez peu de saveur puisque tout semble presque trop facile pour les héroïnes du films. On aurait pu attendre de Gary Ross (qui réalise le film) qu’il contrebalance le manque de nouveauté par un esthétique soigné mais, filmé en lumière numérique de base, ce n’est pas non plus l’image qui sauvera ce long-métrage très quelconque. Podcast animé par Thomas Rozec avec Stéphane Moïssakis RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Ocean's 13 (Steven Soderbergh, 2007), George Clooney, Sandra Bullock, Anne Hathaway, Mindy Kaling, Rihanna, Helena Bonham Carter, Gary Ross, Pleasantville (Gary Ross, 1998), Hunger Games (Gary Ross, 2012), S.O.S. Fantômes (Paul Feig, 2016), Expendables (Sylvester Stallone, 2010), Brad Pitt, Julia Robert, Ocean’s Eleven (Steven Soderbergh, 2001), Andy Garcia, Steven E. de Souza, Die Hard (John McTiernan, 1988) CRÉDITS Enregistré le 4 juin 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
20 Jun 2018 | Xtra - Evil Dead 2 | 00:13:48 | |
A l’occasion d’une projection exceptionnelle au Club de l’Étoile, NoCiné revient sur “Evil Dead 2”, le film culte tout droit sorti des années 80 et signé par le vénéré Sam Raimi. Au programme de ce deuxième opus sorti six ans après le premier : des maisons abandonnées, des tronçonneuses et une forêt flippante. Et pourtant, “Evil Dead 2” n’est pas le pur horror freak movie auquel on pourrait s’attendre. Humoristique, très cartoonesque, le film est plein de scènes délirantes - quasi burlesques - qui ont parfois fait grincer des dents les fans d’horreur mais qui ont permi d’ouvrir la franchise à un public plus large. Malgré les difficultés de Raimi à trouver des financements pour ce long-métrage et bien que le tournage ait été chaotique, “Evil Dead 2” est à l’origine de nouvelles façons de concevoir le langage et le découpage cinématographique. Un vrai film de cinéaste. Podcast animé par Perrine Quennesson avec Rafik Djoumi RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Evil Dead 2 (Sam Raimi, 1987), Spider-Man (Sam Raimi, 2002), Darkman (Sam Raimi, 1990), Jusqu’en enfer (Sam Raimi, 2009), Evil Dead (Sam Raimi, 1981), Bruce Campbell, Massacre à la tronçonneuse (Tobe Hooper, 1982), Les Trois Stooges, Rob Tapert, Joel Coen, Ethan Coen, Mort sur le Grill (Sam Raimi, 1985), Irvin Shapiro, Dino De Laurentiis, Stephen King, Gregory Nicotero, Studio KNB, Joseph LoDuca, Scott Spiegel, Evil Dead 3 (Sam Raimi, 1993), Federico Fellini CRÉDITS Enregistré le 16 juin 2018 au Club de l’Étoile. Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Éditrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
27 Jun 2018 | Xtra - Sicario : La Guerre des cartels | 00:14:51 | |
Moins lyrique et beaucoup plus direct que le premier, le nouvel opus de Sicario donne de l’ampleur à la franchise en devenir. C’est Stefano Sollima qui prend le relais de Denis Villeneuve pour raconter la suite des aventures de Josh Brolin et de Benicio Del Toro, toujours associés dans la lutte contre les trafiquants de drogue, et qui vont cette fois-ci se mettre en chasse d’un ponte du cartel mexicain proche d’un groupe terroriste. Assumé comme un pur film d’action, “La Guerre des cartels” ne joue pas la carte de l’actualité mais utilise plutôt les tensions politiques entre les Etats-unis et le Mexique comme toile de fond. Très efficace et frontal dans son discours comme dans sa photographie, le long -métrage met en exergue les pratiques opaques du gouvernement américain dans un récit westernien sans fioriture. Nettement plus réussi que l’original, on en viendrait presque à penser que la vraie erreur de casting du premier Sicario était peut-être son réalisateur, Denis Villeneuve lui-même. Podcast animé par Thomas Rozec avec Stéphane Moïssakis RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Sicario : La Guerre des cartels (Stefano Sollima, 2018), Benicio Del Toro, Josh Brolin, Sicario (Denis Villeneuve, 2015), Sergio Sollima, Suburra (Stefano Sollima, 2015), Emily Blunt, Le Parrain (Francis Ford Coppola, 1972), Catherine Keener, Dariusz Wolski, Roger Deakins, Scarface (Brian De Palma, 1984) CRÉDITS Enregistré le 26 juin 2018 à l’Antenne Paris. Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. POUR ASSISTER AUX ENREGISTREMENTS Pour assister à notre prochain enregistrement en public à L'Antenne Paris, rendez-vous sur notre page bingeaudio.eventbrite.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
27 Jun 2018 | La Coupe du monde des films de foot | 01:42:53 | |
Épisode spécial Coupe du monde avec l’Équipe de P2J - Passement de Jambe. La compétition fait rage pour déterminer quel est LE meilleur film de foot de tous les temps. Hors jeu, Didier, Les Yeux dans les Bleus… 16 films en lice et il ne peut en rester qu’un. Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat, et Martin, Bastien, Lucas et Bozan de P2J RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Hors jeu (Jafar Panahi, 2006), Didier (Alain Chabat, 1997), Carton Jaune (David Evans, 1997), Zidane, un portrait du XXIème siècle (Philippe Parreno, Douglas Gordon, 2006), Joue-la comme Beckham (Gurinder Chadha, 2002), Substitute (Vikash Dhorasoo, Fred Poulet, 2007), Les collègues (Philippe Dajoux, 1999), The Van (Stephen Frears, 1996), Je suis supporter du Standard (Riton Liebman, 2013), À mort l'arbitre (Jean-Pierre Mocky, 1984), Les yeux dans les Bleus (Stéphane Meunier, 1998), À nous la victoire (John Huston, 1981), Le Ballon d’or (Cheik Doukouré, 1994), Carton rouge (Barry Skolnick, 2001), Coup de tête (Jean-Jacques Annaud, 1979), Shaolin Soccer (Stephen Chow, 2002) CRÉDITS Enregistré le 26 juin 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. POUR ASSISTER AUX ENREGISTREMENTS Pour assister à notre prochain enregistrement en public à L'Antenne Paris, rendez-vous sur notre page bingeaudio.eventbrite.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
28 Jun 2018 | Sans un bruit, le complexe du film à concept | 00:24:35 | |
(ATTENTION SPOILERS) Déjà vendu aux Etats-Unis comme un petit phénomène horrifique, le nouveau film de John Krasinski laisse pourtant un peu sur sa faim. L’intrigue se déroule en 2020 où l’humanité a quasiment été rayée de la carte par de mystérieuses créatures dont la particularité est de tuer tout ce qui fait du bruit. Le film part sur les traces des Abbott, une famille qui a survécu grâce à sa maîtrise de la langue des signes et qui va courir de très gros risques lors de la grossesse de la mère, interprétée par Emily Blunt. Si les intentions du films sont plutôt nobles, qu’il en ressort de jolies idées et qu’on ressent vraisemblablement l’amour de Krasinski pour son sujet, le film donne pourtant l’impression de ne pas être complètement terminé. Le scénario n’est pas très abouti et les évolutions des personnages sont un peu vite expédiées. Le film est très agréable mais aurait pu aller plus loin et n’est pas tout à fait satisfaisant, comme beaucoup de film à concept finalement. Podcast animé par Thomas Rozec avec Stéphane Moïssakis et Julien Dupuy RECOMMANDATIONS LA RECOMMANDATION DE JULIEN DUPUY : Les musiques de films de Marco Beltrami & Buck Sanders et notamment leur travail pour le remake de The Things (Matthijs van Heijningen Jr., 2011). LA RECOMMANDATION DE STÉPHANE MOÏSSAKIS : “Un monde parfait” de Clint Eastwood, 1993), le rapport avec “Sans un bruit” : les champs de blé et l’ambiance Amerique du milieu. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Sans un bruit John Krasinski, John Krasinski avec Emily Blunt, Millicent Simmonds, The Last Girl - Celle qui a tous les dons (Colm McCarthy, 2016), La Crypte (Bruce Hunt, 2005), The Last of Us, The Office (NBC, 2015), 13 Hours (Michael Bay, 2016), Vendredi 13 (Marcus Nispel, 2009), Freddy - Les Griffes de la nuit (Samuel Bayer, 2010), Les Oiseaux (Alfred Hitchcock, 1963), Hitcher (Dave Meyers, 2007), Jason Blum, Michael Bay, M. Night Shyamalan, Get Out (Jordan Peele, 2017), American Nighmare 4 : Les Origines (Gerard McMurray, 2018), Scary Movie (Keenen Ivory Wayans, 2000), Marco Beltrami, Buck Sanders, Scream (Wes Craven, 1997), Guillermo del Toro, World War Z (Marc Forster, 2013), John Carpenter, Ennio Morricone, The Things (Matthijs van Heijningen Jr., 2011), Kevin Costner, Un monde parfait (Clint Eastwood, 1993), Mad Max (Mel Gibson, 1979) CRÉDITS Enregistré le 26 juin 2018 à l’Antenne Paris. Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
04 Jul 2018 | Les Indestructibles 2, meilleur film en toutes franchises | 00:29:12 | |
(ATTENTION SPOILER) 14 ans après la sortie du premier volet, Brad Bird signe à nouveau avec Pixar pour donner une suite aux “Indestructibles” et les fans de la première heure ont de quoi se réjouir. On retrouve la famille Parr au grand complet, avec un nouveau défi pour Mr Indestructible, celui de gérer sa petite famille pendant que sa chère et tendre, aka Elastigirl, s’occupe du super héroïsme. En parallèle de sa vie domestique mouvementée, la famille va devoir faire face à une nouvelle menace : un super méchant nommé l’Hypnotiseur. Spectaculaire, généreux, inventif, “Les Indestructibles 2” a tout ce qui manque tant dans les films de superhéros qu’Hollywood sort à la pelle depuis quelques années. Exemplaire comme film d’action, ce nouveau volet est aussi une suite très réussie. Fidèle à ses personnages, Brad Bird parvient à satisfaire les attentes des admirateurs de la famille Parr tout en les détournant et en créant la surprise. Perfectionné par rapport au premier sur le plan technique, “Les Indestructibles 2” est un grand film familial, une leçon de cinéma pour toutes les autres franchises de superhéros. Podcast animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi, Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis RECOMMANDATIONS LA RECOMMANDATION DE JULIEN DUPUY : “A la poursuite de demain” de Brad Bird (2015), qui a eu le malheur de sortir en même temps que “Mad Max: Fury Road” et qui est donc passé trop inaperçu. Et le making-of du premier volet des “Indestructibles”. LA RECOMMANDATION DE RAFIK DJOUMI : “The Spirit”, un pencil-test de Brad Bird dans les années 80, disponible sur Youtube. Et “Family Dog”, l’épisode qu’il a réalisé pour la série “Amazing Stories”. LA RECOMMANDATION DE STÉPHANE MOÏSSAKIS : L’affiche de “L’épreuve de force” (Clint Eastwood, 1978) et ‘La Relève” (Clint Eastwood, 1990) RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Les Indestructibles (Brad Bird, 2004), Les Indestructibles 2 (Brad Bird, 2018), Les Quatre Fantastiques (Tim Story, 2005), Joseph Frank "Buster" Keaton, Jurassic World: Fallen Kingdom (Juan Antonio Bayona, 2018), Tomorrowland (Brad Bird, 2015), Spider-Man 2 (Sam Raimi, 2004), James Francis Cameron, Richard Brody, Poltergeist (Tobe Hooper,1982), Avengers: Infinity War (Anthony Russo, Joe Russo, 2018), Michael Giacchino, Mad Max: Fury Road (George Miller, 2015), PIXAR, John Lasseter, Ray Gunn (Brad Bird), Histoires Fantastiques (NBC, 1985), Tim Burton, Les Simpson (Fox, 1989), L’épreuve de force (Clint Eastwood, 1978), La Relève (Clint Eastwood, 1990), Split 2 (M. Night Shyamalan, à paraître) CRÉDITS Enregistré le 26 juin 2018 à l’Antenne Paris. Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
11 Jul 2018 | Skyscraper, pas de quoi monter dans les tours | 00:26:38 | |
Testostérone, immeuble en feu et cascades Dwayne Johnsonesques, le nouveau film de Rawson Marshall Thurber a tout d’un bon divertissement et pourtant… on s’ennuie. The Rock y joue le rôle d’un vétéran, ancien du FBI et désormais responsable de la sécurité d’un gratte-ciel en Chine. En charge du bâtiment le plus sûr du monde, il va devoir faire face à un terrible incendie qui met en péril sa famille. Le décor du building fonctionne bien et le film offre de vrais moments de vertige mais ne propose pas grand chose au delà de ça. Très premier degré, le film n’assume pas d’être un pur divertissement et joue (mal) la carte du drame alors qu’il était attendu comme un film d’action spectaculaire. Même The Rock gravissant des buildings à mains nues ne parvient pas à contrebalancer les longueurs et incohérences du films, c’est vous dire... Animé par Charline Roux avec Anaïs Bordages et Perrine Quennesson RECOMMANDATIONS LA RECOMMANDATION D'ANAÏS BORDAGES : “Fast and Furious 7” de F. Gary Gray (2017), du grand spectacle avec du drame et du sérieux dans lequel Dwayne Johnson a la meilleur réplique du film “Daddy gotta go to work”. LA RECOMMANDATION DE PERRINE QUENNESSON : “Rampage” de Brad Peyton, ou la promesse est tenue : du Dwayne Johnson et des grosses bebêtes. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Même pas mal ! (Dodgeball) (Rawson Marshall Thurber, 2004), Skyscraper (Rawson Marshall Thurber, 2018), Dwayne Johnson, Piège de cristal (John McTiernan, 1988), Neve Campbell, The Walk : Rêver plus haut (Robert Zemeckis, 2018), Fast & Furious 8 (F. Gary Gray, 2017), No Pain No Gain (Michael Bay, 2013), Le Retour de la Momie (Stephen Sommers, 2001), Le Roi Scorpion (Chuck Russell, 2002), Jumanji : Bienvenue dans la jungle (Jake Kasdan, 2017), Doom (Andrzej Bartkowiak, 2005), Race to Witch Mountai (Andy Fickman, 2009), Maxi Papa (Andy Fickman, 2009), Very Bad Cops (Adam McKay, 2010), Be cool (F. Gary Gray, 2005), John Travolta, Kramer contre Kramer (Robert Benton, 1980), Steven Andrew Soderbergh, Logan Lucky (Steven Soderbergh, 2017), Southland Tales (Richard Kelly, 2017), Paul Walker, Rampage - Hors de contrôle (Brad Peyton, 2018), Mon ami Joe (Ron Underwood, 1999), Charlize Theron. CRÉDITS Enregistré le 6 juillet 2018 à Créatis, 15 rue de la Fontaine au Roi. Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée d’édition : Camille Regache. Chargée de production : Juliette Livartowski. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
18 Jul 2018 | Spécial - Indiana Jones | 00:48:43 | |
NoCiné revoit ses classiques cet été avec quatre numéros spéciaux sur les grandes sagas qui ont marquées le 7ème art et les esprits des amateurs de genre. Et c’est Indiana Jones, l’archéologue le plus cool de tous les temps qui inaugure cette série. La légende voudrait que l’histoire de ce grand héros - qui a fasciné de nombreux adolescents dans les années 80 et après - soit née sur une plage hawaïenne au cours d’une discussion entre George Lucas et Steven Spielberg. Plus de trente ans plus tard, le film spectaculaire à la mise en scène ultra expressive et au découpage proche de celui d’une BD a laissé un vif souvenir dans la mémoire des cinéphiles : celui d’un aventurier au mordant typique de la fin des années 70 (qui a, rappelons-le, le nom du chien de George Lucas : Indiana). Animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi et Alexandre Hervaud RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Les Aventuriers de l'arche perdue (Steven Spielberg, 1981), Indiana Jones et le Temple maudit (Steven Spielberg, 1984), Indiana Jones et la Dernière Croisade (Steven Spielberg, 1989), Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal (Steven Spielberg, 2008), Harrison Ford, L'Empire contre-attaque (Irvin Kershner, 1980), Les Dents de la mer (Steven Spielberg, 1976), George Lucas, Allan Quatermain, Philip Kaufman, Le Trésor de la Sierra Madre (John Huston, 1949), Christopher Lee, 1941 (Steven Spielberg, 1979), John Williams CRÉDITS Enregistré le 6 juillet 2018 à Créatis, 15 rue de la Fontaine au Roi. Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
25 Jul 2018 | Spécial - Le Seigneur des anneaux | 00:48:00 | |
Trois bouquins, trois films, une saga mythique signée Peter Jackson que NoCiné ne pouvait pas laisser de côté dans sa rétrospective estivale. Dix-sept ans après la sortie de la saga inspirée de l’oeuvre de J.R.R. Tolkien, on revient sur la genèse du Seigneur des anneaux, une oeuvre cinématographique que seul un obscur réalisateur néo-zélandais semblait pouvoir réaliser. Quand Peter Jackson prend en main le projet en 1997, l’intérêt d’Hollywood est quasi nul. Ce n’est qu’après trois années de tournage (extrêmement bien documentées) et une présentation des extraits des trois longs métrages à Cannes en 2001 que l’excitation collective et mondiale se révèle, avant d’emporter le grand public. Méthodologie de tournage, effets spéciaux, le retour de la fantasy… l’épopée de LOTR version film est une mythologie en soi. Animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi, Perrine Quennesson et Alexandre Hervaud. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION J.R.R. Tolkien, The Lord of the Rings : The Fellowship of the Ring (Peter Jackson, 2001), The Lord of the Rings : The Two Towers (Peter Jackson, 2002), The Lord of the Rings : The Return of the King (Peter Jackson, 2003), The Frighteners (Peter Jackson, 1996), Heavenly Creatures (Peter Jackson, 1994), Lara Croft : Tom Raider (Simon West, 2001), Braindead (Peter Jackson, 1992), Bad Taste (Peter Jackson, 1987), Meet the Feebles (Peter Jackson, 1989), Titanic (James Cameron, 1997), Willow (Ron Howard, 1988), Harry Potter, Spiderman (Sam Raimi, 2002), King Kong (Peter Jackson, 1996), Godzilla (Roland Emmerich, 1998), Fran Walsh, Philippa Boyens, Shakespeare in Love (John Madden, 1998), Seven (David Fincher, 1995), Donjons et Dragons, Ian McKellen, King Kong (Peter Jackson, 2005), The Hobbit (Peter Jackson, 2012, 2013, 2014), Game of Thrones, Alan Lee. CRÉDITS Enregistré le 6 juillet 2018 à Créatis, 15 rue de la Fontaine au Roi. Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
01 Aug 2018 | MI6, au service de sa Majesté Tom | 00:28:46 | |
Dans un exemplaire de l'Odyssée, Ethan Hunt reçoit son ordre de mission : courir après le plutonium, et au passage, rentrer à la maison auprès de sa femme. Le scénario du sixième tome de la saga Mission Impossible est un peu maigre, anecdotique comparé au précédent. Après un cinquième film au scénario très clair, l’intrigue inutilement compliquée du sixième et totalement étirée avec des scènes délayées sur 2h30 gène la compréhension du film. Autre rupture avec le précédent opus : l’esthétique. On trouve malgré tout quelques belles scènes de conversation entre Ethan et Ilsa, et la création d’une dynamique de bande, de gang presque cartoonesque autour de Tom Cruise, dont le personnage ne tient plus tout seul et se révèle entouré par une team. On y va pour le spectacle : hélicos et courses poursuite à moto dans Paris sont au rendez-vous, le tout reste agréable à regarder et divertissant comme un blockbuster de l’été se doit d’être. Podcast animé par Thomas Rozec avec Daniel Andreyev, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE DANIEL ANDREYEV : “Who is America ?”, le nouveau projet de Sacha Baron Cohen sur Showtime LA RECO DE PERRINE QUENNESSON : “G.I. Joe : The Rise of Cobra” de Stephen Sommers (2009), pour sa course poursuite folle dans Paris. LA RECO DE STÉPHANE MOÏSSAKIS : “Le maître de guerre” (Clint Eastwood, 1986). RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Tom Cruise, Mission Impossible 5 - Rogue Nation (Christopher McQuarrie, 2015), Mission Impossible 6 Fallout (Christopher McQuarrie, 2018), Michelle Monaghan, Rebecca Ferguson, Die Hard 3 (John McTiernan, 1995), Matrix Reloaded (Lana & Lilly Wachowski, 2003), Denis Villeneuve, Henry Cavill, Fast and Furious, The Man from U.N.C.L.E. (Guy Ritchie, 2015), Rampage (Brad Peyton, 2018), Jackie Chan, Sense8 (Lily et Lana Wachowski, 2018). CRÉDITS Enregistré le 16 juillet 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
01 Aug 2018 | Spécial - Mission Impossible | 00:53:41 | |
Depuis 1996, Mission Impossible nous aura servi une surenchère de cascades épiques. Alors que le 6e volet des aventures d’Ethan Hunt sort cet été, retour sur une franchise particulière réalisée par plusieurs hommes - Brian De Palma, John Woo, J.J. Abrams et Christopher McQuarrie - mais bâtie autour d’un seul : Tom Cruise, qui avait pour ambition de devenir iconique, incontournable, essentiel au cinéma. C’est en partie grâce à “Mission Impossible” qu’il y parviendra, en réinventant une mythologie de superhéros, de surhomme charmant mais moins charnel qu’un James Bond, méthodique et entièrement tourné vers l’action. Animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Mission Impossible (Brian de Palma, 1996), Mission Impossible 2 (John Woo, 2000), Mission Impossible III (J.J. Abrams, 2006), Mission Impossible Ghost Protocol (Brad Bird, 2011), Mission Impossible Rogue Nation (Christopher McQuarrie, 2015), Top Gun, Oliver Stone, Stanley Kubrick, Darren Aronofsky, Les Incorruptibles (Brian de Palma, 1987), Robert Towne, Topkapi (Jules Dassin, 1964), Howard The Duck (Willard Huyck, 1986), La Firme (Sydney Pollack, 1993), James Bond, Face/Off (John Woo, 1997), Cameron Diaz, Eddie Murphy, David Fincher, La guerre des mondes (Steven Spielberg, 2005), Alias (J.J. Abrams, 2001-2006), Au service secret de sa majesté (Peter R. Hunt, 1969), True Lies (James Cameron, 1994), Valkyrie (Christopher McQuarrie, 2008), Lions et Agneaux (Robert Redford, 2007), CRÉDITS Enregistré le 6 juillet 2018 à Créatis, 15 rue de la Fontaine au Roi. Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
08 Aug 2018 | Spécial - Die Hard | 00:40:52 | |
Impossible de décrypter les franchises qui nous ont le plus marqués sans évoquer Die Hard dont le premier épisode fête ses 30 ans. Et oui, 30 ans déjà. Alors d’où vient ce sentiment d’une oeuvre intemporelle ? Probablement du fait que ce Piège de Cristal, à la fois film d’action et film d’amour, a remodelé le film de genre à son époque, et que depuis il n’a guère perdu l’avance qu’il avait prise. Cette réussite doit évidemment beaucoup à John McTiernan qui sortait du succès de Predator et cherchait à épurer son langage cinématographique, et aussi au personnage de Bruce Willis parfait en héros vulnérable et amoureux, loin des stéréotypes. Comme dans beaucoup de franchises, il y a évidemment eu les épisodes de trop. Mais ce n’est pas une raison pour ne pas en parler quand même. Animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi, Alexandre Hervaud et Stéphane Moïssakis CRÉDITS Enregistré le 6 juillet 2018 à Créatis, 15 rue de la Fontaine au Roi. Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
15 Aug 2018 | Xtra - Le monde est à toi | 00:14:45 | |
François, dealer à la petite semaine, a de grandes ambitions. Mais son rêve - devenir distributeur numéro un de Mister Freeze au Maghreb - est mis à mal par sa mère Dani, cheffe d’un gang de pickpockets, qui dilapide toutes ses économies. Il enchaîne alors les combines plus ou moins foireuses pour se refaire. Au carrefour du film de gangster et du film de banlieue, bâti sur un arc de comédie, le second long-métrage de Romain Gavras s’appuie sur un casting de choix (Isabelle Adjani, Vincent Cassel, Philippe Katerine, François Damiens) et pourrait bien lancer la carrière de l’acteur principal Karim Leklou, excellent dans le rôle du mec paumé qui veut trouver sa voie. De bonnes idées de mise en scène, de l’ambition, une mise en scène flamboyante, “Le monde est à toi” est un film lumineux, bien rythmé, surprenant, sans fausse provocation. Romain Gavras sent l’air du temps, recherche le franchouillard d’aujourd’hui (à l’aide de Sardou et Balavoine), et c’est réussi, tout en respectant les genres auxquels il s’attaque, notamment la comédie. Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Le monde est à toi (Romain Gavras, 2018), Karim Leklou, Isabelle Adjani, Vincent Cassel, Philippe Katerine, François Damiens, Costa-Gavras, Kourtrajmé, Kim Chapiron, Justice, TTC, M.I.A., Bertrand Blier, Série Noire (Alain Corneau,1979), Jackie Brown, Divines (Houda Benyamina, 2016), Oulaya Amamra, Scarface (Brian de Palma, 1983). CRÉDITS Enregistré le 16 juillet 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
22 Aug 2018 | Xtra - Memories of Murder | 00:12:57 | |
A l’occasion de sa ressortie chez La Rabbia en Blu Ray, retour sur le deuxième long-métrage de Bong Joon-Ho. Dans ce thriller qui va le révéler, où un duo de policiers fait équipe pour résoudre une série de crimes sordides commis dans la campagne sud coréenne dans les années 80, Bong Joon-ho synthétise les traumas de la Corée déchirée entre le Nord et le Sud, et donne ses lettres de noblesses au cinéma coréen. Le tout grâce à un budget conséquent, un temps de tournage assez long, et surtout un sujet en or. Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Memories of murder (Bong Joon-Ho, 2003), Barking Dogs Never Bite (Bong Joon-ho, 2000), Kurosawa, Joint Security Area (Park Chan-wook, 2000), John Woo, Wake in Fright (Ted Kotcheff, 1971), Takeshi Kitano, La Rabbia. CRÉDITS Enregistré à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Editrice : Albane Fily. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
30 Aug 2018 | Xtra - BlacKkKlansman | 00:22:18 | |
“J’ai infiltré le KKK”, l’histoire vraie d’un officier de police noir du Colorado qui s’est glissé dans les rangs de l’organisation raciste dans les années 70, était à priori un sujet en or pour Spike Lee, surtout dans le contexte américain actuel de l’anniversaire des manifestations de Charlottesville. Sauf que Spike Lee n’a plus forcément l’audace de la jeunesse et laisse dans son film quelques scories un peu vieillottes, quelques scènes qui manquent de subtilité. D’ailleurs, les faiblesses du film coïncident avec des parallèles avec l’actualité trop explicites. L’ensemble reste plutôt bonne facture, mais un peu décevant au regard de la filmographie de son réalisateur. Malgré son Grand prix obtenu à Cannes, BlacKkKlansman ne signe malheureusement pas le grand retour de Spike Lee. Podcast animé par Thomas Rozec avec David Honnorat. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Do The Right Thing (Spike Lee, 1989), 25th Hour (Spike Lee, 2002), She’s Gotta Have It (Spike Lee, 1986), Gone with the wind (Victor Fleming, 1939), Alec Baldwin, Naissance d’une nation (D.W. Griffith, 1915), Django Unchained (Quentin Tarantino, 2012), Jackie Brown (Quentin Tarantino, 1997), Inglorious Bastards (Quentin Tarantino, 2009), Fenêtre sur cour (Alfred Hitchcock, 1954), Adam Driver, CRÉDITS Enregistré le 29 août 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
04 Sep 2018 | Xtra - Mandy | 00:13:16 | |
Gore, burlesque et psychédélique, le nouveau film de Panos Cosmatos est un véritable un hommage au grand Nicolas Cage. On y assiste à la vengeance d’un mari dont la femme est morte suite à une tentative de kidnapping par le gourou d’une secte sataniste. Ce vrai film de genre donne à voir de beaux moments de burlesque. On retiendra notamment une scène de combat à la tronçonneuse sous cocaïne à la hauteur de la démesure de Nicolas Cage. L’acteur porte le film avec une implication totale sans craindre de tomber dans le grotesque et le rend fantastique. Très enthousiasmant, le long-métrage ne sortira malheureusement pas en France, un des uniques pays à ne pas avoir acheté les droits et cédé devant la superbe de Cage. Animé par Thomas Rozec avec Lelo Jimmy Batista RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Mandy (Panos Cosmatos, 2018), Nicolas Cage, Rambo 2 : La Mission (George Cosmatos, 1985), Cobra (George Cosmatos, 1986), Leviathan (George Cosmatos, 1989), Beyond the Black Rainbow (Panos Cosmatos, 2010), Marilyn Manson, Mom and Dad (Brian Taylor, 2018), Sailor et Lula (David Lynch, 1990), Mad Max 2 : Le Défi (George Miller, 1982), Evil Dead (Sam Raimi, 1983), Hellraiser, Tex Avery, Embrasse-moi, vampire (Robert Bierman, 1989), Ghost Rider 2 : L'Esprit de vengeance (Mark Neveldine, Brian Taylor, 2012), Bad Lieutenant (Abel Ferrara, 1992), James Dean, Clint Eastwood, Steven Spielberg CRÉDITS Enregistré le 29 août 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
05 Sep 2018 | Hellraiser, ça pique toujours | 00:24:22 | |
Re-voyageons entre les dimensions avec les Cénobites trente ans après la sortie du premier Hellraiser, à l’occasion de la ressortie en Blu-Ray du premier triptyque. Produits sur 30 ans, dix films composent aujourd’hui la saga, même si les premiers volets de Clive Barker sont les seules bases solides d’une mythologie vaste et cohérente. Plaisir et souffrance, surface et sous-sol, cet univers grisâtre et ses créatures démoniaques et sadomasochistes, adeptes d’un mystérieux culte, propose une esthétique punk du mal. Qui vient des tripes, en tout cas, loin des versions blockbuster initiés par les frères Weinstein, avec certes plus de moyens mais moins de générosité. Animé par Thomas Rozec avec Lelo Jimmy Batista et Julien Dupuy. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Hellraiser : Le Pacte (Clive Barker, 1987), Hellraiser 2 : Les Écorchés - Hellbound : Hellraiser II (Tony Randel et C. Barker, 1988), Hellraiser 3 - Hellraiser III : Hell on Earth (Anthony Hickox, 1992), Hellraiser (C. Barker, 1986), Leviathan : The Story of Hellraiser and Hellbound : Hellraiser II (Nicholas F. Helmsley et Gary Smart, 2015), Blue Velvet (David Lynch, 1986), Laissez bronzer les cadavres (Hélène Cattet & Bruno Forzani, 2017), Laissez bronzer les cadavres (J-P Manchette & J-P Bastid, 1971), Stephen King, Midnight Meat Train (Ryûhei Kitamura, 2008), Le maître des illusions (Clive Barker, 1995), Les Griffes de la nuit (A Nightmare on Elm Street, Wes Craven, 1984), La Revanche de Freddy (A Nightmare on Elm Street Part 2 : Freddy's Revenge, Jack Sholder, 1985), Les Griffes du cauchemar (A Nightmare on Elm Street 3 : Dream Warriors, Chuck Russell, 1987), Les yeux sans visage (Georges Franju, 1960), Hellraiser - Original Soundtrack (Christopher Young, 1987), Full Eclipse (A. Hickox, 1993), Waxwork (A. Hickox, 1988), Jeu d'enfant - Chucky (Tom Holland, 1988), Barry Lyndon (S. Kubrick, 1975), Gary J. Tunnicliffe, The Unreleased Themes for Hellraiser - subtitled : The Consequences of Raising Hell (Coil, 1987, musique) ; The Hellraiser Chronicles (C. Barker et S. Jones, 2004), Le chat qui fume. CRÉDITS Enregistré le 29 août 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Edition : Roman Guichard. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
11 Sep 2018 | Xtra - L'au-delà | 00:14:17 | |
Ce classique italien du cinéma d’horreur reçoit les honneurs princiers d’une réédition qui tranche avec son mauvais accueil à sa sortie en 1981.Oeuvre des bas fonds de l’exploitation, affiche racoleuse et copie vidéo médiocre, élément interdit de la cinéphilie, “L’au-delà” a été produit grâce au succès de “L’enfer des zombies” réalisé deux ans avant par Lucio Fulci. Peu narrative, l’histoire difficile à suivre tourne autour d’une femme qui ouvre un restaurant à Los Angeles situé au dessus d’une porte vers l’enfer. Totalement dans un entre-deux, dans un mélange du sacré et du profane, l’ensemble se présente comme une série de vignettes qui passe de scènes décalées oniriques au gore audacieux, dérangeant, et un peu Z. On pardonne tous ces petits défauts et les tarentules en plastique grâce à l’une des meilleures fin du cinéma d’horreur. Animé par Thomas Rozec avec Lelo Jimmy Batista et Julien Dupuy. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION L’au-delà (Lucio Fulci, 2018), L’enfer des zombies (Lucio Fulci, 1979), Inferno (Dario Argento, 1980), Frayeurs (Lucio Fulci, 1980). CRÉDITS Enregistré le 29 août 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Rédacteur en chef : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
12 Sep 2018 | NoCiné aiguise ses couteaux pour la rentrée | 00:37:23 | |
La quatrième saison de NoCiné est ouverte : on fait le tour de nos attentes et de nos envies éclectiques pour cette fin d’année 2018 qui vont donc du énième Halloween post-Carpenter au remake de Suspiria, du potentiellement assez fade Bohemian Rhapsody au nouveau Predator, en passant par le nouveau Shyamalan et le dernier Gaspar Noé. Et Laurent Laffite en Louis XVI dans “Le Peuple et son roi” de Pierre Schoeller (si si, on a hâte). L’occasion aussi de revenir sur certaines sorties de l’été comme “Under the silver lake”, “Calibre”, “En eaux troubles” et “Dogman”. Podcast animé par Thomas Rozec avec Alex Hervaud, Perrine Quennesson et Stéphane Moïssakis. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Predator (Shane Black, 2018), Halloween (David Gordon, 2018), Frères sister, Aquaman (James Wan, 2018), Bohemian Rhapsody (Bryan Singer, 2018), Mortal Engines (Christian Rivers, 2018), Carnages chez les Puppets (Brian Henson, 2018), Miraï ma petite soeur (Mamoru Hosoda, 2018) Cigognes et compagnie (Nicholas Stoller, 2016), Climax (Gaspar Noé, 2018), Yéti et compagnie (Karey Kirkpatrick, 2018), Bumblebee (Travis Knight, 2018), Michael Bay, Kubo et l’armure magique (Travis Knight, 2016), Transformers, Glass (Shyamalan, 2019), Incassable (M. Night Shyamalan, 2000), Split (M. Night Shyamalan, 2016), Un Peuple et son roi (Pierre Schoeller, 2018), L’exercice de l’Etat (Pierre Schoeller, 2011), Michel Blanc, Gaspard Ulliel, Adèle Haenel, Louis Garrel, Denis Lavant, Laurent Laffite, Le Faucon (Paul Boujenah, 1983), Charles Berling, Usual Suspects (Bryan Singer, 1995), Rami Malek (Mister Robot), Suspiria (Luca Guadagnino, 2018), Suspiria (Dario Argento, 1977), Call me by your name (Luca Guadagnino, 2017), Tilda Swinton, Robin des bois (Otto Bathurst, 2018), King Arthur : Legend of the Sword (Guy Ritchie, 2017), Taron Egerton, Jamie Foxx, Beowulf (Robert Zemeckis, 2007), Les veuves (Steve McQueen, 2018), Ocean’s 8, Liam Neeson, 12 Years a Slave (Steve McQueen, 2014)), Halloween (John Carpenter, 1978), Halloween H2O (Steve Miner, 1998), Freaky Friday (Mark Waters, 2003), Pineapple express (David Gordon Green, 2008), Votre majesté (David Gordon Green, 2011), Les animaux fantastiques (David Yates, 2016), Animaux fantastiques 2 : Les crimes de Grindelwald (David Yates, 2018), Johnny Depp, Under the silver lake (David Robert Mitchell, 2018), The Myth of the american sleepover (David Robert Mitchell, 2010), Calibre (Matt Palmer, 2018), En eaux troubles (Jon Turteltaub, 2018), Rasta Rockett (Jon Turteltaub, 1993), La Grande Muraille (Yimou Zhang, 2016), Dogman (Matteo Garrone, 2018), Marcello Fonte, Buster Keaton, Caniba (Verena Paravel & Lucien Castaing-Taylor, 2017), Leviathan (Verena Paravel & Lucien Castaing-Taylor, 2012). CRÉDITS Enregistré le 11 septembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Quentin Bresson et Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
19 Sep 2018 | Les frères Sisters, humains avant tout | 00:19:04 | |
Des grands paysages, des flingues, des chapeaux, des chevaux : tout ce qu’on attend d’un western est réuni dans le huitième long-métrage de Jacques Audiard. Adapté d’un roman de Patrick deWitt, le film raconte le parcours de deux frères tueurs à gages sollicités pour tuer un chimiste et dérober sa formule secrète. Les frères Sisters offre quelques instants de grâce, majoritairement portés par John C. Reilly qui incarne à merveille l’un des deux protagonistes et qui donne au film la touche de fragilité et d’émotions qui lui manquait. Composant avec une coproduction américaine et des acteurs vedettes moins malléables que ceux avec qui il tourne habituellement, Jacques Audiard parvient toutefois à conserver sa ligne directrice : parler de l’humain et des rapports en société. Podcast animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy et Perrine Quennesson. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE PERRINE : « Damsel » un film des frères Zellner, qui détourne les codes du western pour aborder des thèmes de société comme le féminisme. LA RECO DE JULIEN : Le livre qui présente la création du film de Guillermo del Toro « La forme de l’eau » paraît aux éditions Akileos. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Les frères Sister (Patrick deWitt, 2011), Un héros très discret (Jacques Audiard, 1996), Dheepan (Jacques Audiard, 2015), Damsel (David Zellner et Nathan Zellner, 2018), La forme de l’eau (Guillermo Del Toro, 2017) CRÉDITS Enregistré le 18 septembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Judith Hillebrant. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
20 Sep 2018 | NoCiné Club #10 : Les supports physiques, la chronologie des médias et les déboires des producteurs hollywoodiens | 01:19:07 | |
Comment conserver les oeuvres dans le temps, comment adapter la production et la distribution des films avec l’explosion des plateformes, quel statut ont encore les producteurs hollywoodiens ? Retour en podcast sur le NoCiné Club #10 et l’actualité du cinéma. Sincèrement, cinéphiles hardcore mis à part, qui achète encore des DVD ? Posséder l’objet physiquement rassure mais rien ne certifie que dans le futur nous aurons encore les technologies pour lire un Blu-ray ou un fichier vidéo. Alors que la pellicule reste le moyen de conservation des oeuvres le plus sûr peut-on affirmer que le numérique a signé la mort du support physique ? Un accord est sur le point d’être signé entre le gouvernement et les principaux acteurs de la distribution pour réduire le délai entre la sortie en salles d’un film et son arrivée sur les autres écrans. Angle mort du texte, les plateformes de streaming qui bouleversent la « chronologie des médias ». Est-ce que cet accord est suffisant quand Netflix produit des oeuvres comme le dernier film d’Alphonso Cuarón qui ne verra pas le jour dans les cinémas français malgré son Lion d’Or à Venise ? Le troisième remake de « A star is born » réalisé par Bradley Cooper sort en octobre. L’occasion pour le producteur américain Jon Peters de retrouver le devant de la scène, lui qui avait débuté sa carrière en produisant la seconde version de 1976, et qui possède un crédit de production pour la version 2018. Après de nombreux scandales, le producteur est poursuivi pour harcèlement sexuel et la Producers Guild of America a affirmé qu’en cas de récompense aux Oscars il n’aurait pas le droit aux honneurs. L’évènement signe t-il la fin du règne des producteurs hollywoodiens tout puissants ? Podcast animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. CRÉDITS Enregistré le 18 septembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Quentin Bresson et Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Judith Hillebrant. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
21 Sep 2018 | Xtra - Carnage chez les Puppets | 00:07:37 | |
De retour derrière la caméra, Brian Henson démontre une fois de plus qu’il est le fossoyeur de son père, Jim Henson, feu créateur du Muppet Show. Avec cette parodie de film policier, Carnage chez les Puppets s’inscrit dans le très spécifique genre de la marionnette trash et tombe finalement à plat. La cohabitation entre marionnettes et humains ne fonctionne pas (deux inspecteurs, une marionnette et une femme humaine s’associent pour retrouver un meurtrier), les gags, notamment ceux sexuels, sont vus et revus, et usant d’un langage pseudo ordurier il reste en définitive dans du très politiquement correct. Timoré, le film manque d’âme mais on ne lui décernera pas le titre de pire film de l’année comme l’affirment certains critiques. Podcast animé par Thomas Rozec avec Stéphane Moïssakis RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION : The Muppet Show (Jim Henson), Noël chez les Muppets (Brian Henson, 1992), Muppet Treasure Island (Brian Henson, 1996), Les Feebles (Peter Jackson, 1989), Team America (Trey Parker et Matt Stone, 2004) CRÉDITS Enregistré le 18 septembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Judith Hillebrant. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
26 Sep 2018 | Gaspar Noé, moins seul contre tous | 00:25:46 | |
Plus qu’un film, le cinquième long-métrage de Gaspar Noé, Climax, est une expérience. À la fois celle du groupe que filme Noé ; la troupe de danseurs de voguing dont la soirée vire au cauchemar alors que la sangria qu’ils boivent est droguée, mais également celle pour le spectateur qui subit une violence croissante jusqu’au choc final. Dans la suite logique de sa filmographie, Noé ne raconte pas seulement une histoire mais offre un objet visuel et musical total. Avec ce film choral le réalisateur renoue avec les procédés de ses débuts : un tournage très court, de l’improvisation, associé à un montage rythmé et déconstruit, des couleurs vives, des mouvements de caméra au plus proche des acteurs, ses thématiques privilégiées. Même s’il n’est pas à son climax, il est toujours bon de retrouver Gaspar Noé. Podcast animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy et Perrine Quennesson. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE PERRINE : Une autre expérience de cinéma qui provoque des réactions physiques : « Léviathan » de Lucien Castaing-Taylor et Verena Paravel. LA RECO DE JULIEN : Ou plutôt trois recos. D’abord le cinéma de Lucile Hadzihalilovic, en particulier « La bouche de Jean-Pierre » (1996). Également, le commentaire audio de Gaspar Noé où il explique la réalisation de «Irréversible». Ou encore « Schizophrenia » de Gerard Kargl (1983) qui aide à comprendre le cinéma de Noé. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Irréversible (Gaspar Noé, 2002), Kingsman (Matthew Vaughn, 2015), Cerrone, Enter the Void (Gaspar Noé, 2010), Carne (Gaspar Noé, 1991), Seul contre tous (Gaspar Noé, 1998), Love (Gaspar Noé, 2015), Aphex Twin, Daft Punk, Cube (Vincenzo Natali, 1997), La bouche de Jean-Pierre (Lucile Hadzihalilovic, 1996), Léviathan (Lucien Castaing-Taylor et Verena Paravel, 2012), Caniba (Lucien Castaing-Taylor et Verena Paravel, 2017), Schizophrenia (Gerard Kargl, 1983) CRÉDITS Enregistré le 18 septembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Judith Hillebrant. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
26 Sep 2018 | Xtra - L’Ombre d’Emily | 00:08:08 | |
Paul Feig s’empare brillamment du genre thriller-comédie comme personne ne l’avait fait auparavant. Son but : faire ressortir les aspects sarcastiques de la société américaine, notamment le délire de la survalorisation de soi. Ses moyens : une forte touche d’humour poussant jusqu’au slapstick et une étude psychologique de deux personnages littéralement opposés mais qui fonctionnent parfaitement ensemble, une sainte-nitouche-mère-idéale à la recherche de sa meilleure amie, une working-girl-bouffeuse-d’hommes portée disparue. Anna Kendrick et Blake Lively excellent dans leurs rôles respectifs et il en résulte un film surprenant et plaisant, sûrement le meilleur de Paul Feig depuis Bridesmaids. Podcast animé par Thomas Rozec avec Stéphane Moïssakis RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Bridesmaids (Paul Feig, 2011), Spy (Paul Feig, 2015), The Heat (Paul Feig, 2013), SOS fantômes (Paul Feig, 2016), Gone Girl (David Fincher, 2014), Freaks and Geeks (Paul Feig, 1999) CRÉDITS Enregistré le 18 septembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Judith Hillebrant. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
03 Oct 2018 | Upgrade, retour cheap vers le futur | 00:22:13 | |
Contrairement aux attentes, Upgrade n’est ni un revenge-movie, ni un film de super-pouvoirs. Le deuxième long-métrage de Leigh Whannell raconte l’histoire de Grey Trace, un mécanicien old-school dont la vie bascule lors d’un accident. Une seconde chance s’offre à lui sous la forme d’une puce d’intelligence artificielle qu’il s’implante et qui décuple ses capacités. Un scénario futuriste qui se déroule dans un univers virtuel auquel il n’est pas facile d’adhérer tant ce qui apparait à l’écran est cheap : scène de course-poursuite au ralenti, bagarres ultra chorégraphiées, décors et costumes peu inventifs. Upgrade reste un film à petit budget et sans prétention, à appréhender comme une série B qui ne révolutionne rien. Podcast animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION I, Robot (Alex Proyas, 2004), Matrix (Lana et Lilly Wachowski, 1999), The Longest Yard (Robert Aldrich , 1974), Black Mirror (Charlie Brooker), Tetsuo I (Shinya Tsukamoto, 1989), Tetsuo II (Shinya Tsukamoto, 1992) LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE PERRINE : La série Black Mirror qui questionne notre rapport à la technologie dans le futur. LA RECO DE JULIEN : Les films cultes mais oubliés « Tetsuo I » et « Tetsuo II » de Shinya Tsukamoto, qui parlent du futur avec peu de moyens et parviennent pourtant à passionner. LA RECO DE STÉPHANE : « The Longest Yard » un film de Robert Aldrich avec Burt Reynold, à l’époque où il était une méga-star du cinéma hollywoodien. CRÉDITS Enregistré le 18 septembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Judith Hillebrant. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
10 Oct 2018 | First Man, La La Lune | 00:35:26 | |
Fondamentale dans l’imaginaire collectif et très présente au cinéma, la conquête spatiale est un vaste terrain à exploiter pour un réalisateur. Avec First Man, le premier homme sur la Lune, l’oscarisé Damien Chazelle s’en saisit pour tracer le portrait intime du légendaire astronaute Neil Armstrong. Comme dans ses précédents films, on suit le parcours d’un personnage héroïque, talentueux et passionné au point de se renfermer sur lui-même. La musique, une fois de plus composée par Justin Hurwitz, est partie prenante du film. Malgré l’excellente prestation de Claire Foy, le personnage de la femme de Neil Armstrong, ainsi que ses fils sont sous-écrits et donc mal exploités. Calibré pour les Oscars, First Man est finalement un film assez plat qui aurait mérité plus de prises de risque. Podcast animé par Thomas Rozec avec David Honnorat, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE DAVID : « Mission to mars » (Brian De Palma, 2000) le meilleur film pour comprendre les relations entre astronautes. Le podcast « This American Life » dont l’épisode avec Frank Borman, commandant de la mission Apollo 8. La série « The First » avec Sean Penn qui projète la première mission humaine sur Mars. LA RECO DE STEPHANE : « Armageddon » (Michael Bay, 1998), le plus grand film de conquête spatiale de l’histoire de l’humanité. LA RECO DE PERRINE : Le documentaire « Into Eternity » de Michael Madsen sur la gestion des déchets radioactifs nucléaires. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Gravity (Alfonso Cuarón, 2013), Apollo 13 (Ron Howard, 1995), Star Wars, Le voyage dans la Lune (Georges Méliès, 1902), 2001, l’Odyssée de l’espace (Stanley Kubrick, 1968), The Crown (Peter Morgan, 2016), Drive (Nicolas Winding Refn, 2011), La Mule (Clint Eastwood, 2018), Whiplash (Damien Chazelle, 2014), La La Land (Damien Chazelle, 2016) CRÉDITS Enregistré le 5 octobre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Judith Hillebrant. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
10 Oct 2018 | Xtra - Venom | 00:13:23 | |
Il y a Marvel et Marvel. D’un côté les personnages dont Marvel Studios sont propriétaires et qu’ils développent dans la logique du MCU et de l’autre ceux qui appartiennent à divers studios comme c’est le cas de Sony avec Venom. Le premier film entièrement consacré au célèbre antagoniste de Spider-Man crée par Todd McFarlane est un échec sur tous les plans. Et en premier lieu, Tom Hardy, qui incarne Eddie Brock, le journaliste qui se retrouve associé à un mystérieux symbiote extraterrestre qui va le doter de super-pouvoirs, ne colle pas au personnage. Son interprétation est encore plus mauvaise que celle dans Spider-Man 3, c’est pour dire. Laché en roue libre par le réalisateur Ruben Fleischer, Tom Hardy qui n’est pas le talent le plus comique qu’il soit, rend certaines scènes embarrassantes. Pour les inconditionnels fans, une seule raison d’aller voir Venom : deux Easter eggs à dénicher. Podcast animé par Thomas Rozec avec Stéphane Moïssakis. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Bienvenue à Zombieland (Ruben Fleischer, 2009), Gangster Squad (Ruben Fleischer, 2013), Catwoman (Pitof, 2003), Spider-Man, Homecoming (Jon Watts, 2017), The Amazing Spider-Man : le destin d'un Héros (Marc Webb, 2014), Spawn (Todd McFarlane, 1992), Mad Max : Fury Road (George Miller, 2015), 30 minutes maximum (Ruben Fleischer, 2011), Daredevil (Mark Steven Johnson, 2003), Spider-Man 3 (Sam Raimi , 2007), Hulk (Ang Lee, 2003) CRÉDITS Enregistré le 5 octobre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Judith Hillebrant. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
12 Oct 2018 | Spécial - Des listes bien carrossées | 01:02:51 | |
NoCiné se déplace au Mondial de l’Auto pour un épisode spécial bagnole et cinéma. De la meilleure course-poursuite, au meilleur pilote en passant par la meilleure scène de sexe dans une voiture, on revient sur cet élément essentiel du langage cinématographique. Podcast animé par Thomas Rozec avec Lelo Jimmy Batista, David Honnorat et Stéphane Moïssakis. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Fast and Furious, Police Fédérale Los Angeles (William Friedkin, 1985), French Connection (William Friedkin, 1971), Boulevard de la mort (Quentin Tarantino, 2007), Bullitt (Peter Yates, 1986), Die Hard 3 (John McTiernan, 1995), Last Action Hero (John McTiernan, 1993), Taken 3 (Olivier Megaton, 2014), Le Transporteur 3 (Olivier Megaton, 2008), 22 Jump Street (Phil Lord et Christopher Miller, 2014), Vanishing Point (Charles Robert Carne, 1997), Le Drive-In De L’Enfer (Brian Trenchard-Smith, 1986), Les traqués de l’an 2000 (Brian Trenchard-Smith, 1982), Le gang des BMX (Brian Trenchard-Smith, 1983), La rage de la Casse (Brian Trenchard-Smith, 1979), Recherche Suzanne désespérément (Susan Seidelman, 1985), Rambo (Ted Kotcheff, 1982), Danger : Diabolik ! (Mario Bava, 1968), Crash (David Cronenberg, 1996), À toute allure (Adam Rifkin, 1994), À plein tube ! (Adam Rifkin, 1991), Les Blues Brothers (John Landis, 1980), Les Anges gardiens (Jean-Marie Poiré, 1995), The Last Boy Scout (Tony Scott, 1991), Les Choses de la vie (Claude Sautet, 1970), Vincent, François, Paul et les autres (Claude Sautet, 1950), Intersection (Mark Rydell, 1994), Demolition Man (Marco Brambilla, 1993), Mad Max 2 (George Miller, 1981), Blue Velvet (David Lynch, 1986), Comme un chien enragé (James Foley, 1986), À bout de souffle (Jean-Luc Godard, 1960), Speed Racer (Lana Wachowski et Lilly Wachowski, 2008), Le Casse (Henri Verneuil, 1971), Fantomas contre Scotland Yard (André Hunebelle, 1967), Femme fatale (Brian De Palma, 2002), Repo Men (Miguel Sapochnik, 2010), En quatrième vitesse (Robert Aldrich, 1955), Step Brothers (Adam McKay, 2008), Attache-moi ! (Pedro Almodóvar, 1990), La chambre du fils (Nanni Moretti, 2001), Le Caïman (Nanni Moretti, 2006), FBI : Fausses blondes infiltrées (Keenen Ivory Wayans, 2004), La revanche d’une blonde (Robert Luketic, 2001), Click (Frank Coraci, 2006), Brooklyn Nine-Nine, La Relève (Clint Eastwood, 1990), Bad Boys 2 (Michael Bay, 2003), Mad Max Fury Road (George Miller, 2015), John Wick 2 (Chad Stahelski, 2017), L’espace du rêve (Kristine McKenna, David Lynch, 2017), Mulholland Drive (David Lynch, 2001), Miami Vice : deux flics à Miami (Michael Mann, 2006), Sexy Dance 4 : Miami Heat (Scott Speer, 2002), La Folle Journée de Ferris Bueller (John Hughes, 1986), Phantom (Mike Marvin, 1986), Mad Max 3 (George Miller, George Ogilvie, 1985), Enfer mécanique (Elliot Silverstein, 1977) CRÉDITS Enregistré le 10 octobre 2018 au Mondial de l’Auto 2018. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Judith Hillebrant. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
17 Oct 2018 | Predator : ça saigne encore | 00:33:22 | |
Plusieurs réalisateurs ont essayé de faire vivre l’univers de Predator depuis sa sortie en 1987, sans réel succès. Au tour de Shane Black qui fait le nécessaire pour ne pas se mettre à dos les fans de la franchise mais qui reste très loin du film évènement. On retrouve le ton ironique du réalisateur, ses punchlines récurrentes, sa gestion des personnages et on ne peut qu’admirer ses tentatives de renouvellement du scénario. Mais le film regorge d’hésitations narratives et de problèmes d’écriture qui contribuent à sa mauvaise réception. Comment faire vivre le Predator en dehors de la jungle dans laquelle il évoluait initialement ? Que trouver de mieux qu’une explosion nucléaire pour l’abattre ? S’inscrire dans le prolongement d’un film culte n’est jamais évident. Même quand on s’appelle Shane Black. Podcast animé par Thomas Rozec avec Arnaud Bordas, Rafik Djoumi et Stéphane Moïssakis. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE ARNAUD : « Le jardin du diable », un film d’Henry Hathaway (1954) qui partage de nombreux points commun avec Predator. LA RECO DE STEPHANE : Le documentaire « If it bleeds we can kill it » qui expose tous les problèmes rencontrés sur le tournage de John McTiernan. LA RECO DE RAFIK : Le film de Raoul Walsh « Aventures en Birmanie », sorti en 1945 et qui est à l’origine du pitch de Predator. Un autre scénario de Shane Black : « Au revoir à jamais » de Renny Harlin (1996). RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Predator (John McTiernan, 1987), Predator 2 (Stephen Hopkins, 1990), Iron Man 3 (Shane Black, 2013), The Nice Guys (Shane Black, 2016), Alien Vs. Predator (Paul W. S. Anderson, 2004), Alien Vs. Predator : Requiem (Greg Strause, Colin Strause, 2007), L’Agence tous risques, Rencontres du troisième type (Steven Spielberg, 1977), Futurama, Hulk (Ang Lee, 2003), Predators (Nimród Antal, 2010), Avengers : Infinity War (Anthony Russo, Joe Russo, 2018), Die Hard, Spider-Man 3 (Sam Raimi, 2007) CRÉDITS Enregistré le 26 septembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Judith Hillebrant. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
24 Oct 2018 | Halloween : une fan fiction de plus | 00:37:25 | |
Iconique, mythique, grandiose, gigantesque … L’oeuvre de John Carpenter est source de superlatifs. Les suites données à ses films le sont beaucoup moins. 40 ans après la sortie d’Halloween, le film de David Gordon Green ne déroge pas à la règle. En occultant sciemment les neuf films produits depuis le carton de 1978, Halloween s’engageait à respecter la mythologie originale et s’affichait comme la suite légitime de l’oeuvre de Big John. Une promesse risquée que le film ne tient pas. Incohérences dans la mise en scène, myriade de personnages inutiles, situations de vaudeville, abus de jump scare, les défauts ne manquent pas. Malgré la note d’intention présentée au début du film et l’emploi de Jamie Lee Curtis et Nick Castel dans leurs propres rôles, c’est la musique, composée par Carpenter lui-même, qui lui rend le meilleur hommage. Reste ce dernier quart d’heure où David Gordon Green semble vider toutes ses cartouches et où il se passe (enfin) quelque chose à l’écran. Podcast animé par Thomas Rozec avec Arnaud Bordas, Alexandre Hervaud et Stéphane Moïssakis. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE ARNAUD : Le meilleur film de Boogeyman de cette dernière décennie : « Don’t Breathe » de Fede Alvarez. LA RECO DE STEPHANE : « Halloween 2 », un film de Rob Zombie complètement fou : écrit, tourné et monté en six mois. Et aussi la version uncut de « Jason va en enfer », hyper-gore et hyper-violent. LA RECO DE ALEXANDRE : « Roadgames » un film de Richard Franklin avec Jamie Lee Curtis (1981). Pour l’ambiance, l’humour noir, la folie que le film dégage. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Halloween : La nuit des masques (John Carpenter, 1978), Halloween : Ressurection (Rick Rosenthal, 2002), Halloween (David Gordon Green, 2018), The Pineapple Express (David Gordon Green, 2008), Your Highness (David Gordon Green, 2011), Joe (David Gordon Green, 2014), Terminator 2 (James Cameron, 1991), L’autre Rive (David Gordon Green, 2004), Les Proies (Don Siegel, 1971), Paranormal Activity, American Nightmare, Blumhouse, Le projet Blair Witch (Eduardo Sánchez, Kevin Foxe, 1999), Psychose (Alfred Hitchcock, 1960), Star Wars, La fiancée de Chucky (Ronny Yu, 1998), Massacre à la tronçonneuse (Tobe Hooper, 1982), The Thing (Matthijs van Heijningen Jr, 2011), The Thing (John Carpenter, 1982), The Fog (John Carpenter, 1980), Assaut (John Carpenter, 1976), Halloween H20 (Steve Miner, 1998), Soul Man (Steve Miner, 1986), Forever Young (Steve Miner, 1992), Le village des damnés (John Carpenter, 1995), Prom Night (Paul Lynch, 1980), Terror Train (Roger Spottiswoode, 1980), Patrick (Richard Franklin, 1978), Un fauteuil pour deux (John Landis, 1983), Perfect (James Bridges, 1985), True Lies (James Cameron, 1994), Jason et les Argonautes (Don Chaffey, 1963), Avatar, Evil Dead (Fede Alvarez, 2013) CRÉDITS Enregistré le 26 septembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Judith Hillebrant. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
31 Oct 2018 | Bohemian Rhapsody, ils ont killé Queen | 00:34:49 | |
Fruit d'une production chaotique suite au licenciement de son réalisateur Bryan Singer, le biopic rock a le potentiel de devenir un objet culte… dont on peut se moquer. Aucun choix de mise en scène, une histoire inintéressante et des personnages trop lisses, Bohemian Rhapsody suit mollement la page Wikipédia du groupe Queen sans apporter le moindre frisson même aux plus grands fans. Seul Rami Malek, l’interprète de Freddie Mercury, arrive à apporter un peu de profondeur à son rôle malgré ses fausses dents à la limite du ridicule. Piloté par les membres restants du groupe, le film aurait gagné à laisser une plus grande place à la personnalité et l'intimité du chanteur, notamment à son homosexualité et sa séropositivité, très éludées. Podcast animé par Thomas Rozec avec Lelo Jimmy Batista, Anaïs Bordages, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE LELO JIMMY : Le Roman d'Elvis, téléfilm réalisé par John Carpenter, sur le come-back d’Elvis. / Un mauvais film à voir : Lords of Chaos. / Le livre The Dirt de Mötley Crüe, le Hamlet de la bio de musicien. LA RECO D’ANAIS : Walk Hard de Jake Kasdan, une parodie de biopic à voir après Bohemian Rhapsody. LA RECO DE STÉPHANE : Highlander et Flash Gordon, des films qui n’ont pas aussi bien vieilli que les chansons de Queen. LA RECO DE PERRINE : Control, un biopic réussi film sur la vie de Ian Curtis. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Bohemian Rhapsody (Queen, A Night at the Opera, 1975), We Will Rock You (Queen, News of the World, 1977), Freddie Mercury, Queen, Sacha Baron Cohen, Dexter Fletcher, Bryan Singer, X-Men (Bryan Singer, 2000), X-Men 2 (Bryan Singer, 2003), Good Vibrations (Lisa Barros D'Sa et Glenn Leyburn, 2013), Wayne's World (Penelope Spheeris, 1992) CRÉDITS Enregistré le 26 octobre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
01 Nov 2018 | Xtra - Silvio et les autres | 00:11:39 | |
Le réalisateur Paolo Sorrentino tire une nouvelle fois le portrait (peu glorieux) de son pays, l’Italie. Sa principale cible : Silvio Berlusconi, incarné par l’acteur engagé Toni Servillo. Personnage pathétique au regard libidineux, il est dépeint à travers le regard de ceux qui l’entourent, qui le jugent et qui cherchent eux aussi à avoir leur part du gâteau. Le film revient sur l’époque où le président ne l’était plus et cherchait à faire son grand retour en politique. Très critique envers le peuple italien qui a donné le pouvoir à un homme d’affaires véreux, Silvio et les autres est difficilement accepté en Italie. Aussi fort qu’esthétiquement remarquable, ce biopic permet à Sorrentino d’exprimer sa colère, et d’une belle manière. Animé par Thomas Rozec avec Perrine Quennesson. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Il divo (Paolo Sorrentino, 2008), L'Homme en plus (Paolo Sorrentino, 2001), La Grande Bellezza (Paolo Sorrentino, 2013), Toni Servillo, Paolo Sorrentino CRÉDITS Enregistré le 26 octobre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
06 Nov 2018 | Xtra - Fantômes contre fantômes | 00:15:45 | |
Quelques années avant Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau, Peter Jackson sortait un film sur les relations entre les vivants et les morts. Fantômes contre fantômes (The Frighteners en VO) est, à bien des égards, un galop d'essai pour Jackson et ses équipes avant le marathon que sera l'adaptation de l'oeuvre de Tolkien. Effets spéciaux dernier cri, une Nouvelle-Zélande camouflée en bourgade américaine, le réalisateur voit les choses en grand et mise sur un succès pour lancer sa carrière aux USA. Malheureusement, rien ne s’est passé comme prévu avec une sortie retardée et une interdiction aux mineurs aux Etats-Unis (et aux moins de douze ans en France). Effroyablement ambitieux, Fantômes contre fantômes a été un tremplin pour le réalisateur malgré son échec. Retour sur l’histoire de ce film un peu occulté avec le temps. Animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Fantômes contre fantômes (Peter Jackson, 1996), Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau (Peter Jackson, 2001), King Kong (Peter Jackson, 2005), Peter Jackson, Michael J. Fox, Eddie Murphy CRÉDITS Enregistré le 31 octobre 2018 au Club de l'Etoile (Paris 17e). Prise de son : Sébastien Salis. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
07 Nov 2018 | Kursk prend l’eau | 00:29:54 | |
Claustrophobes s'abstenir. Le réalisateur Thomas Vinterberg s’empare de la tragédie du sous-marin nucléaire russe K-141 Koursk. Inspiré de faits réels, Kursk s’inscrit dans une vieille tradition du cinéma de studio à l'hollywoodienne avec ses personnages russes à l'anglais parfait et ses décors intemporels. Oscillant entre les conditions des sous-mariniers, la position des familles désespérées et les actions du gouvernement, le film a des difficultés à se positionner entre l’humain et la politique. Malgré de bonnes idées, comme cette scène de mariage servant à présenter les personnages, Kursk reste aux portes du spectaculaire et tombe souvent à plat. Un film bien trop propre pour un sujet aussi tragique. Podcast animé par Thomas Rozec avec David Honnorat, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE DAVID : Apollo 13 de Ron Howard, un film qui traite le rapport entre les victimes d’un accident et les personnes à distance qui essayent de résoudre le problème. LA RECO DE STÉPHANE : K-19 de Kathryn Bigelow, un blockbuster inspiré de faits réels. LA RECO DE PERRINE : Titanic, de l’eau, de la catastrophe et du froid ! RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION La Chasse (Thomas Vinterberg, 2012), La Communauté (Thomas Vinterberg, 2016), Festen (Thomas Vinterberg, 1998), Colin Firth, Léa Seydoux, Thomas Vinterberg, Lars von Trier CRÉDITS Enregistré le 26 octobre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
08 Nov 2018 | Spécial - John Carpenter | 00:59:13 | |
Cinéaste à forte personnalité, individualiste et un tantinet misanthrope, Big John Carpenter a acquis, en 2018, le statut d'auteur incontournable. Pourtant, ça n’a pas toujours été le cas. Si les remakes de ses films cultes se multiplient avec plus ou moins de succès - en témoigne la très moyenne suite d’Halloween que vient de signer David Gordon Green - les orignaux n’ont pas toujours fait l’unanimité à leur sortie. Malgré une relation compliqué avec le public et les critiques, le réalisateur “à contre courant” est tout de même devenu une référence pour toute une nouvelle génération de réalisateurs. Des films de David Robert Mitchell à ceux de Quentin Tarantino, on retrouve distillé dans le cinéma contemporain ce qui fait le sel de Carpenter : une certaine méfiance vis-à-vis du genre humain, un goût pour le minimalisme d’une terrible efficacité et juste ce qu'il faut de paranoïa pour entrer en résonance avec nos peurs les plus enfouies. Animé par Thomas Rozec avec Perrine Quennesson, Alexandre Hervaud, David Honnorat, Stéphane Moïssakis. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Halloween (David Gordon Green, 2018), Fog (John Carpenter, 2018), Le prince des ténèbres (John Carpenter, 1987), New York 1997 (John Carpenter, 1981), Invasion Los Angeles (John Carpenter, 1983), Les Aventures de Jack Burton dans les griffes du Mandarin (John Carpenter, 1986), Dark Star (John Carpenter, 1974), The Ward (John Carpenter, 2011), Ghosts of Mars (John Carpenter, 2001), The Thing (John Carpenter, 1982), Le Village des damnés (John Carpenter, 1995), The Rock, Assaut (John Carpenter, 1976), Los Angeles 2013 (John Carpenter, 1996), Samuel Augustus Maverick, Stanley Kubrick, Steven Spielberg, George Lucas , Brian de Palma, Big Trouble in Little China (John Carpenter, 1986), It follows (David Robert Mitchell, 2014), Green Room (Jeremy Saulnier, 2015), The House of the Devil (Ti West, 2009), James De Monaco, The Hateful Eight (Quentin Tarantino, 2016), Kurt Russell, Reservoir Dogs (Quentin Tarantino, 1992), Rio Bravo (Howard Hawks, 1959), Le Voyeur (Michael Powell, 1960), E.T. (Steven Spielberg, 1982), Starman (John Carpenter, 1984), Incassable (M. Night Shyamalan, 2000), Psychose (Alfred Hitchcock, 1960), Jamie Lee Curtis, Arnold Schwarzenegger, Terminator (James Cameron, 1985), Westworld (HBO, 2016), Scarface (Brian De Palma, 1984), Wall Street (Oliver Stone, 1987), Clint Eastwood, Meurtre au 43ème étage (John Carpenter, 1978), Adrienne Barbeau, Tobe Hooper, George Andrew Romero, Dario Argento, La Course au jouet (Brian Levant, 1996), Stephen King CRÉDITS Enregistré le 26 octobre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
09 Nov 2018 | Xtra - The Spy Gone North | 00:07:35 | |
Inspiré de faits réels, le film de Yoon Jong-bin revient sur l’histoire d’un agent infiltré sud-coréen, « Black Venus », chargé d’enquêter sur le programme nucléaire de la Corée du Nord au début des années 1990. Raconté à la première personne, ce thriller type guerre froide joue subtilement la carte du suspens. Peut-il gagner la confiance du Parti ? Va-t-il se faire démasquer ? De la rencontre avec Kim Jong-il à l’amitié entre le héros et un général nord-coréen, The Spy Gone North arrive à tenir sur la longueur tout en représentant de manière très crue la douleur du peuple nord-coréen. Un film sur l’espoir d’une réunification entre les deux peuples, mais pas de leurs deux leaders. Animé par Thomas Rozec avec Stéphane Moïssakis. CRÉDITS Enregistré le 26 octobre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
14 Nov 2018 | Suspiria, mater passivo-agressivo | 00:34:41 | |
(ATTENTION SPOILER) Luca Guadagnino reprend l’oeuvre fantastique onirique de Dario Argento et la transforme en un film incohérent. Loin de rendre hommage au cinéma d’horreur, cette nouvelle version de Suspiria prend la forme d’une espèce de cauchemar dans le Berlin sombre des années 70. Embrigadement, maternité et féminité, le film se perd dans ses thématiques et ne parvient pas à raconter quelque chose. Le (très) long-métrage devient vite incolore et fastidieux en dépit d’un casting féminin de prestige avec Dakota Johnson, Mia Goth, Chloe Grace Moretz et Tilda Swinton, qui ne s’est pas limitée à un seul rôle. En voulant faire renaître des oeuvres du passé au prétexte de les réinventer et les inscrire dans une nouvelle époque, Suspiria fait désormais partie de la longue liste des remakes ratés. Podcast animé par Thomas Rozec avec Lelo Jimmy Batista, Alexandre Hervaud, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE LELO JIMMY : L'Alliance invisible, un film d’horreur de Sergio Martino, un grand réalisateur de l’horreur italien. LA RECO D’ALEXANDRE : The Lords of Salem, sorti en 2013, est un film parfois un peu cheap mais qui mérite d’être revu. LA RECO DE STÉPHANE : L'Invasion des profanateurs, un film qui parle bien de son époque contrairement au Suspiria de 2018. LA RECO DE PERRINE : Les Animaux fantastiques : les crimes de Grindelwald, un film qui a aussi un lien avec l’embrigadement, cela pourrait être intéressant de le comparer avec Suspiria. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Suspiria (Luca Guadagnino, 2018), Suspiria (Dario Argento, 1977), Call Me by Your Name (Luca Guadagnino, 2017), Dakota Johnson, Tilda Swinton, Mia Goth, Chloe Grace Moretz, Dave Kajganich, The Terror (David Kajganich et Soo Hugh, 2018), Halloween (David Gordon Green, 2018), Dario Argento, A Bigger Splash (Luca Guadagnino, 2015), Amore (Luca Guadagnino, 2010) CRÉDITS Enregistré le 13 novembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
15 Nov 2018 | Xtra - Les Animaux fantastiques 2 | 00:11:03 | |
L’amoureux des bêtes et faiseur de paix Norbert Dragonneau se retrouve à Paris, où s’est installé le mage Grindelwald. Fraîchement évadé, son objectif est de rassembler autour de lui les sorciers de sang pur, déterminés à reprendre le pouvoir et réaffirmer leur supériorité sur les Moldus. Avec J.K.Rowling au scénario et David Yates à la réalisation, ce deuxième volet d’une saga de cinq films assure le fanservice des dingues d’Harry Potter, avec un sens de l’esthétique toujours plus développé et une ambiance très reconnaissable. Il conserve également la magie des premières aventures de Norbert à New York, mais prend un tournant très sombre. Avec une intrigue qui se déroule dans les années 30, difficile d’ignorer le sous-texte politique et le lien très fort avec l’actualité, qui ajoute à l’intelligence du film. Pour un blockbuster, c’est osé. Animé par Thomas Rozec avec Perrine Quennesson. CRÉDITS Enregistré le 13 novembre 2018 à l’Antenne (Paris 11ème). Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
14 Nov 2018 | NoCiné Club #11 - La mort de Stan Lee, la fin de FilmStruck, les soeurs Wachowski qui raccrochent et un petit jeu vidéo de western | 01:36:53 | |
La team NoCiné s’est penchée sur l’actualité des films, des réalisateurs, des séries et a répondu en direct aux questions des internautes. Retour en podcast sur le NoCiné Club #11. Tout le gratin de la pop culture rend hommage à son père fondateur. Co-créateur de super-héros et visage de Marvel, Stan Lee s'est éteint à l'âge de 95 ans. Les 4 Fantastiques, Spider-Man, Iron-Man, Hulk, les Avengers, les X-Men, Daredevil : que restera-t-il de lui dans la mémoire collective ? Time Warner vient d’annoncer la fermeture de FilmStruck, son service de vidéo à la demande consacré au cinéma classique. La plateforme sera inactive à partir de fin novembre. Quelle place pour la cinéphilie dans les nouvelles formes de consommation du cinéma ? Faute de projets en cours, les soeurs Wachowski ferment les locaux de leur société Kinowerks. Les créatrices de Matrix occupaient le lieu depuis 2007 et y ont développé leurs derniers projets dont la série Sense8. Cela veut-il dire que les réalisatrices mettent un terme à leur carrière ? Pas si sûr. Red Dead Redemption 2, un jeu déjà culte ? Avec de nombreuses références au western et des interludes cinématographiques travaillées, la superproduction triomphe depuis sa sortie au box-office. Retour sur le phénomène. Podcast animé par Thomas Rozec avec Lelo Jimmy Batista, Julien Dupuy, Alexandre Hervaud, David Honnorat, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. CRÉDITS Enregistré le 13 novembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
15 Nov 2018 | Xtra - À la poursuite de demain | 00:18:47 | |
Produit par Disney en 2015, À la poursuite de demain va à l'encontre des tendances de l'époque : ce n’est ni un remake, ni une suite. Sous la forme d’un voyage futuriste, le long-métrage suit les aventures de Casey, une adolescente brillante, et Frank, un scientifique frustré, dans la quête d’un lieu mystérieux du nom de Tomorrowland. Optimiste et inventive, l’histoire a pourtant été boudée par la critique et le public au point de faire perdre plusieurs millions d’euros au studio Disney. Comment expliquer ce fiasco ? Animé par Perrine Quennesson avec Rafik Djoumi. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION À la poursuite de demain (Brad Bird, 2015), Ratatouille (Brad Bird, 2007), Les Indestructibles (Brad Bird, 2004), George Clooney, Hugh Laurie, Britt Robertson, The Leftovers (Tom Perrotta et Damon Lindelof, 2014), Tim Burton, Lost (J.J. Abrams et Damon Lindelof, 2014), Star Wars : Le Réveil de la Force (J.J. Abrams, 2015), Brad Bird, Damon Lindelof, Le Géant de fer (Brad Bird, 1999) CRÉDITS Enregistré le 3 novembre 2018 au Club de l'Etoile (Paris 17e). Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
16 Nov 2018 | Xtra - Millénium : ce qui ne me tue pas | 00:07:28 | |
Traquée de toute part, Lisbeth Salander se retrouve chargée d’une nouvelle mission : récupérer un logiciel permettant de prendre le contrôle d'armes nucléaires. L’adaptation du best-seller de David Lagercrantz, qui a pris la suite de la trilogie culte de Stieg Larsson, ne répond pas aux attentes. Scénario déséquilibré, carences budgétaires et une Claire Foy peu convaincante dans la peau d’une hackeuse punk, Millénium : ce qui ne me tue pas n’arrive pas à atteindre le niveau des films précédents. Quelques bonnes scènes d’action et de confrontation arrivent à réparer les dégâts mais l’ensemble reste peu satisfaisant. Petite déception pour Fede Alvarez, un réalisateur aux débuts prometteurs (Evil Dead, Don't breathe), qui montre pour la première fois ses limites, mais l’espoir est loin d’être perdu. Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Millénium : ce qui ne me tue pas (Fede Alvarez, 2018), Don't breathe (Fede Alvarez, 2016), Evil Dead (Fede Alvarez, 2013), Fede Alvarez, Claire Foy, Sverrir Gudnason, David Fincher, Millénium : Les hommes qui n'aimaient pas les femmes (David Fincher, 2012), Rooney Mara CRÉDITS Enregistré le 13 novembre 2018 à l’Antenne (Paris 11ème). Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
20 Nov 2018 | La ballade de Buster Scruggs, il était six fois dans l’Ouest | 00:36:19 | |
Présentée comme une mini-série puis comme un film, l’anthologie western des frères Coen fait parler d’elle rien que par son format. Seulement visible sur Netflix, elle retrace six histoires de l'Ouest américain. Le seul lien (bien camouflé) entre ces récits : la frontière qui sépare les vivants des morts. Pour ce projet XXL, les réalisateurs ont rassemblé un casting de prestige : Tim Blake Nelson, James Franco, Liam Neeson, Zoe Kazan, Brendan Gleeson et Tom Waits. Malheureusement, La ballade de Buster Scruggs souffre de sa diffusion sur petit écran. Imagerie trop chargée, déséquilibre entre les sketchs et un rythme disparate, le film n’arrive pas à captiver son public jusqu’au bout. Il n’est certes pas le plus grand chef d’oeuvre du duo mais reste un bon divertissement qui donne à réfléchir. Podcast animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, David Honnorat et Stéphane Moïssakis. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE JULIEN : Le making-of de The Grand Budapest Hotel, son seul lien avec La ballade de Buster Scruggs c’est le côté pictural. LA RECO DE DAVID : Un court-métrage des frères Coen où l’on découvre Josh Brolin en cowboy moustachu. LA RECO DE STÉPHANE : Les nouveaux sauvages, un film argentin de Damián Szifrón et le documentaire sur Gilbert Gottfried de Neil Berkeley. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION La ballade de Buster Scruggs (Ethan Coen et Joel Coen, 2018), Ethan Coen, Joel Coen, Tim Blake Nelson, James Franco, Liam Neeson, Zoe Kazan, Brendan Gleeson, True Grit (Ethan Coen et Joel Coen, 2011), The Big Lebowski (Ethan Coen et Joel Coen, 1998), Fargo (Ethan Coen et Joel Coen, 1996), No Country for Old Men (Ethan Coen et Joel Coen, 2007), Burn After Reading (Ethan Coen et Joel Coen, 2008), The Barber (Ethan Coen et Joel Coen, 2001), Frederic Remington, Red Dead Redemption 2 (Rockstar Games, 2018) CRÉDITS Enregistré le 19 novembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
21 Nov 2018 | Overlord, série Z comme naZi | 00:21:48 | |
A la veille du débarquement en juin 44, un groupe de parachutistes américains est envoyé derrière les lignes ennemies pour détruire un poste de communication. Dans un village français, ils découvrent des expérimentations réalisées par les nazis pour rendre leurs soldats super balèzes. Nazis et zombies dans un film de guerre, en théorie tous les ingrédients d’un film fun et divertissant sont là. Sauf que Julius Avery et J. J. Abrams bouclent un film au concept survendu, marqueté Wolfenstein par pur opportunisme. Ni gore ni traumatisant, pas même émouvant, Overlord est un enchainement de fausses annonces et un film sans enjeux, sans péripéties, digne d’une série B. On y va même pas pour le fun, on y va pas. Tout simplement. Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, Perrine Quenneson et Stéphane Moïssakis. REFERENCES CITEES Overlord (Julius Avery, 2018), Jovan Adepo, The Leftovers (Tom Perrotta et Damon Lindelof, 2014 - ), J.J. Abrams, Bad Robot Production, Hellboy (Guillermo Del Toro, 2004), il faut sauver le soldat Ryan (Steven Spielberg, 1998), La liste de Schindler (Steven Spielberg, 1994), Kurt Russell, Wyatt Russell, Cloverfield (Matt Reeves, 2008), 10 Cloverfield Lane (Dan Trachtenberg, 2016), The Cloverfield Paradox (Julius Onah, 2018), Narcos (José Padilha, 2015-2017), Mathilde Olivier, Pilou Asbæk, Borgen (Adam Price, 2010-2013), A War (Tobias Lindholm, 2015), Ghost in the Shell (Rupert Sanders, 2017), Indiana Jones (Georges Lucas, 1989-2008), L’homme qui rit (Victor Hugo, 1869), Wolfenstein, Super 8 (J. J. Abrams, 2011), Star Wars épisode VII: Le réveil de la force (J. J. Abrams, 2015), Godzilla, The Chronicles of Riddick: Escape from Butcher Bay (Starbreeze Studios, 2004), Dead Snow (Tommy Wirkola, 2009), Dead Snow 2 (Tommy Wirkola, 2014), Hansel & Gretel : Witch Hunters (Tommy Wirkola, 2013), Braindead (Peter Jackson, 1992), Evil Dead (Sam Raimi, 1981-1987-1992) RECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEUR LA RECO DE STÉPHANE : Deux derniers Wolfenstein. LA RECO DE PERRINE : pour du n’importe quoi mais fun, « Dead Snow » de Tommy Wirkola (2009), que l’on pourrait sous titrer « Les zombies nazis font du ski » LA RECO DE JULIEN : mieux que le premier « Dead Snow », le « Dead Snow 2 », toujours de Tommy Wirkola (2014). CRÉDITS Enregistré le 19 novembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
28 Nov 2018 | Les veuves, les affranchies | 00:23:38 | |
Après la mort de leurs conjoints lors d’un braquage qui a mal tourné, quatre épouses prennent leur destin en main et s’unissent pour éponger leurs dettes. Avec Les veuves, Steve McQueen s’attaque au genre du polar avec brio, et se projette dans ces personnages de femmes qui doivent faire leurs preuves dans un milieu dur. Autre protagoniste : Chicago. Parfaitement intégrée à la narration, la ville est représentée par ses quartiers qui ne peuvent pas se mélanger alors qu’ils sont côte à côte. Des personnages forts et attachants, un récit efficace et une intrigue autour de la politique (corrompue) de Chicago, c’est son long-métrage le plus complet mais aussi le plus accessible. Un film de casse puissant porté par un quatuor d’actrices de renom - Viola Davis, Elizabeth Debicki, Michelle Rodríguez et Cynthia Erivo - bien plus qu’une histoire de braquage. Podcast animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE JULIEN : Inside Man de Spike Lee, l’histoire d’un braquage à New York. LA RECO DE PERRINE : Un film sur l’émancipation : Spring Breakers d’Harmony Korine. Quatre jeunes filles cherchent à s’émanciper mais pas du tout pour les mêmes raisons que les personnages des veuves. C’est coloré c’est violent, c’est vivant. LA RECO DE STÉPHANE : De la vengeance avec Foxy Brown ! Le long-métrage qui a lancé la carrière de l’actrice Pam Grier. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Les veuves (Steve McQueen, 2018), Hunger (Steve McQueen, 2008), Twelve Years a Slave (Steve McQueen, 2013), Shame (Steve McQueen, 2011), Viola Davis, Elizabeth Debicki, Michelle Rodríguez, Cynthia Erivo, Colin Farrell, Brian Tyree Henry, Daniel Kaluuya, Liam Neeson, Robert Duvall, Ocean's Eleven (Steven Soderbergh, 2001), The Predator (Shane Black, 2018) CRÉDITS Enregistré le 19 novembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
05 Dec 2018 | Assassination Nation, selfies et préjugés | 00:26:15 | |
Un piratage massif des données personnelles enflamme la ville de Salem. Voyant leurs petits secrets révélés au grand jour, les habitants vont peu à peu tomber dans une folie meurtrière. Accusée de ce hacking, Lily, une jeune lycéenne, et ses trois meilleures amies se retrouvent les cibles d'une hystérie collective. Une seule solution pour se défendre, prendre les armes. Emojis, snapchats et sextos, les nouveaux usages numériques sont un réservoir à fiction. Dommage, Assassination Nation est l’exemple de ce qu’il ne faut pas faire. Crisounette d’adolescents, scènes badass qui tombent à l’eau et un faux suspense autour des réseaux sociaux, le film va vieillir à vitesse grand V. Seul point fort, une photographie très travaillée signée Marcell Rév, qui est malheureusement au service d’un projet totalement vain et assez irritant. Podcast animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis. LES RECOMMANDATIONS LA RECO DE STÉPHANE : Fatal Games ! Un film sur l’histoire de jeunes adolescentes qui font leurs lois dans un lycée perdu au fin fond des États-Unis. Moins violent qu’Assassination Nation, mais bien plus dingue ! LA RECO DE JULIEN : À mi-chemin entre le film d’auteur et de genre, La lune de Jupiter de Kornél Mundruczó, avec toujours Marcell Rév comme directeur de la photographie ! RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Sam Levinson, Barry Levinson, Assassination Nation (Sam Levinson, 2018), La lune de Jupiter (Kornél Mundruczó, 2017), Marcell Rév, True Romance (Tony Scott, 1993), Pearl Harbor (Michael Bay, 2001), Jason Blum, The Purge (James DeMonaco et Gerard McMurray, de 2013 à 2018) CRÉDITS Enregistré le 3 décembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
11 Dec 2018 | Xtra - Hunter Killer | 00:08:36 | |
Dans les profondeurs de l'océan Arctique, un commandant sous-marinier, interprété par Gerard Butler, découvre que des terroristes russes préparent un coup d'État. Il doit alors faire équipe avec le US Navy Seals pour secourir le président russe qui a été kidnappé. L’objectif, éviter une Troisième Guerre mondiale. En voulant mettre au goût du jour les vieux schémas de la guerre froide, le réalisateur Donovan Marsh fait de Hunter Killer un film totalement anachronique. Et ce n’est malheureusement pas son seul défaut. Sous-produit, sans suspense, une action molle et des plans majoritairement mal filmés, le long-métrage n’a rien de spectaculaire et reste à la surface. Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Donovan Marsh, Gerard Butler, Samuel Hadida, Victor Hadida, Hunter Killer (Donovan Marsh, 2018), Millenium Films, Gary Oldman CRÉDITS Enregistré le 3 décembre 2018 à l’Antenne (Paris 11ème). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
12 Dec 2018 | Mortal Engines, la communauté de l’ennui | 00:34:01 | |
Dans un univers steampunk post-apocalyptique où les villes sont mobiles, la vie de Tom se voit changée lorsqu’il croise Hester Shaw, une jeune femme qui veut se venger d’un certain Thaddeus Valentine. Le scénario de Mortal Engines, adapté d’une série de romans SF parue au début des années 2000, est bien co-signé par Peter Jackson, mais peut-être aurait-il du également prendre en charge la réalisation. En cherchant du positif, on trouve un très beau personnage de monstre, des cités roulantes qui renouvellent l’imaginaire et des effets spéciaux hallucinants pour un mini budget. Mais l’ensemble du film ne se tient pas, et l’accumulation des twists ratés aboutit à deux heures d’ennui poli. Peut-être ne fallait-il pas relancer le mouvement young adult cinq ans après son essoufflement. Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, David Honnorat, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Mortal Engines (Christian Rivers, 2018), Hugo Weaving, Braindead (Peter Jackson, 1992), King Kong (Peter Jackson, 2005), Fran Walsh, Philippa Boyens, John Carter, Spiderman New Generation, Le Hobbit (Peter Jackson, 2012), Georges Miller, Aquaman (James Wan, 2018), Mary Poppins (Rob Marshall, 2018), Jennifer Lawrence, Stephen Lang, Mad Max : Fury Road (Georges Miller, 2015), Junkie XL, Robert Sheehan, Misfits (Howard Overman, 2009 - 2013), Jupiter Ascending (Les Wachowski, 2015), Hunger Games, Twilight, Umbrella Academy, Hippocrate, Laputa : le Chateau dans le ciel (Hayao Miyazaki, 2003), Steamboy (Katsuhiro Otomo, 2002), Créatures célestes (Peter Jackson, 1994), Lovely Bones (Peter Jackson, 2009). RECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEURS LA RECO DE PERRINE : « Sublimes créatures » de Richard LaGravenese (2013), prémisse de saga young adult qui était relativement intéressante. LA RECO DE DAVID : la première saison et à la limite la deuxième de « Misfits », série britannique avec Robert Sheehan. LA RECO DE JULIEN : « Memories » de Koji Morimoto, Tensai Okamura et Katsuhiro Otomo où Satoshi Kon a fait ses débuts, et particulièrement la troisième partie « Cannon Fodder ». LA RECO DE STÉPHANE : la version non tronquée de « Créatures célestes » (1994) de Peter Jackson. CRÉDITS Enregistré le 10 décembre 2018 à l’Antenne (Paris 11ème). Réalisation : Jules Krit. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
11 Dec 2018 | NoCiné Club #12 - Séance de rattrapage 2018, les affiches de films, le cinéma de genre soutenu par le CNC et le décès de Samuel Hadida | 01:25:10 | |
La team NoCiné s’est penchée sur les films dont elle n’a pas eu le temps de vous parler cette année et a répondu en direct aux questions des internautes. Retour en podcast sur le NoCiné Club #12. Producteur français reconnu, Samuel Hadida est décédé fin novembre. Homme d’affaires passionné, il a fondé avec son frère Victor la société de production Metropolitan Filmexport et avait le nez pour découvrir de grands talents comme Quentin Tarantino. Le cinéma de genre des années 1980 et 1990 a perdu une grande figure. Séance de rattrapage. En 2018, il y a eu de très belles choses au cinéma et malheureusement certains films n’ont pas fait l’objet d’un NoCiné. L’occasion pour les chroniqueurs de revenir sur les longs-métrages qui les ont marqués cette année. Sophia Antipolis, Gutland, Jersey Affair et Mowgli : la légende de la jungle, il y en a pour tous les goûts. Du dessin à Photoshop, retour sur l’histoire de l’affiche de cinéma. Apparues en même temps que l'industrie du cinéma, les affiches sont un des outils majeurs pour promouvoir un film avant même sa sortie en salles. Jusqu’aux années 1990, des créatifs envisageaient toute la communication pour créer la surprise. À l’heure actuelle, la prolifération et la dématérialisation des images changent la donne. Qu’est-ce qu’une bonne affiche aujourd’hui ? Le CNC s’engage pour le cinéma de genre et les comédies musicales afin de favoriser une plus grande diversité de la production de films en France. Le CNC veut-il vraiment rendre populaire le cinéma de genre ? Podcast animé par Thomas Rozec avec Arnaud Bordas, Lelo Jimmy Batista, Rafik Djoumi, Julien Dupuy, David Honnorat et Stéphane Moïssakis. CRÉDITS Enregistré le 10 décembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Krot. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
12 Dec 2018 | Xtra - Détective Dee, la légende des rois célestes | 00:14:56 | |
Tsui Hark est de retour avec le troisième et ultime volet des aventures du brillant détective chinois. Toujours au service de l’impératrice Wu, Détective Dee est à la poursuite d’une mystérieuse bande de tueurs masqués. Extrêmement satisfaisant, le film est une réussite même s’il n’arrive pas à atteindre le niveau du second chapitre. Visuellement, rien n’est laissé au hasard. Les décors et les effets spéciaux sont travaillés et parfaitement adaptés à la 3D, ce qui permet au réalisateur de jouer en permanence sur la profondeur de champ et la transparence. Des détails qui font toute la différence pour les plus grands fans du cinéaste. Pour le reste, il faut s’accrocher. Dragon doré, monstre géant et ensorceleurs, les enquêtes du héros sont toujours aussi hallucinantes. Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Tsui Hark, Black Mask 2 (Tsui Hark, 2002), Detective Dee : la légende des rois célestes (Tsui Hark, 2018), Detective Dee : le mystère de la flamme fantôme (Tsui Hark, 2011), Detective Dee : la légende du dragon des mers (Tsui Hark, 2013), Piège à Hong Kong (Tsui Hark, 1998), La bataille de la montagne du tigre (Tsui Hark, 2015), The Blade (Tsui Hark, 1995) CRÉDITS Enregistré le 3 décembre 2018 à l’Antenne (Paris 11ème). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
18 Dec 2018 | Bodied, flow fight club | 00:20:11 | |
Le N-word est au coeur de la thèse d’un étudiant blanc et riche de Berkeley. Son intérêt vire à l’obsession et Adam rejoint le petit monde des battles de rap. Bien plus qu’un film sur le hip-hop, le troisième long-métrage du réalisateur de clips Joseph Kahn, en partie produit par Eminem et sorti en exclusivité sur Youtube Premium, est une comédie sur la liberté d’expression et le politiquement correct qui pose notamment la question de l’hypocrisie des médias vis-à-vis du rap. Toujours en mouvement jusqu’à en devenir éreintant, le film dans un réalisme pop abuse parfois de références et manque légèrement de premier degré, mais va au delà d’une comédie classique pour se rapprocher de la bande dessinée et de l’humour Tex Avery. Tout en restant subtil, Bodied est fou et intense. Animé par Lelo Jimmy Batista, David Honnorat et Perrine Quennesson. RÉFÉRENCES Bodied (Joseph Khan, 2018), Torque la route s’enflamme (Joseph Kahn, 2004), Detention (Joseph Kahn, 2011), Calum Worthy, Jackie Long, Rory Uphold, Dumbfoundead, Anthony Michael Hall, The Breakfast Club (John Hughes, 1985), L’Odyssée de l’African Queen (John Huston, 1951), Streets of Fire (Walter Hill, 1984), American Vandal (Dan Lagana et Dan Perrault, 2017), Scott Pilgrim (Edgar Wright, 2010), The Aristocrats (Paul Provenza, 2005), Pump Up the Volume (Allan Moyle, 1990), Empire Records (Allan Moyle, 1995), Riz Ahmed, 8 Mile (Curtis Hanson, 2002). RECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEUR LA RECO DE JIMMY : le documentaire « The Aristocrats » de Paul Provenza (2005). LA RECO DE DAVID : « Pump Up the Volume » d’Allan Moyle (1990). LA RECO DE PERRINE : « Ill Manors » de Ben Drew (2013). CRÉDITS Enregistré le 10 décembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Krot. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
17 Dec 2018 | Xtra - L'Échelle de Jacob | 00:15:12 | |
Retour sur un film fondateur du genre horrifique qui a bien failli ne jamais voir le jour. À l’occasion de sa projection au Club de l’Etoile, il était temps de revenir sur l’histoire complexe du film d’Adrian Lyne qui, ignoré par le marketing et la critique lors de sa sortie, a ensuite été sauvé par la vidéo et la diffusion sur le câble. Avant d’être un long-métrage, “L'échelle de Jacob” est longtemps resté au stade de scénario ésotérique brillant mais impossible à concrétiser. Et c’est finalement Adrian Lyne qui s'attaque en 1990 à ce “meilleur script inadaptable d’Hollywood” mis au point par le psychédélique Bruce Joel Rubin. Le réalisateur parvient à sortir du mystique et à transformer des images bibliques en visions concrètes. Un exercice complexe qui n’obtient pas de succès immédiat mais qui reste encore une référence pour les créateurs et notamment pour le jeu vidéo. Animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION L'Echelle de Jacob (Adrian Lyne, 1990), Flashdance (Adrian Lyne, 1983), 9 semaines ½ (Adrian Lyne, 1986), Tim Robbins, Bruce Joel Rubin, Brian De Palma, Timothy Francis Leary, Le livre des morts tibétain : la grande libération par l'écoute dans les états intermédiaires, L'Amie mortelle (Wes Craven, 1986), Ghost (Bruce Joel Rubin), Ridley Scott, Michael Apted, Silent Hill (Christophe Gans, 2006) CRÉDITS Enregistré le 14 décembre 2018 au Club de l’Etoile. Réalisation : Seb Salis. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Albane Fily. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
26 Dec 2018 | Miraï, ma petite sœur aux pays des merveilles | 00:26:04 | |
Perdu et jaloux après l’arrivée d’un nouveau membre dans la famille, Kun se replie peu à peu sur lui-même. Pour fuir l’agitation familiale, le petit garçon se réfugie au fond du jardin où un arbre généalo-ma-gique le propulse dans un monde fantastique. Tour à tour, il rencontre les incarnations passées et futures de sa famille. Avec Miraï, ma petite sœur, Mamoru Hosoda retranscrit avec justesse les émotions d’un enfant chamboulé par l’arrivée de sa cadette S’inspirant de sa propre expérience de père et de mari, le cinéaste raconte la famille sur plusieurs générations et comment les histoires se répètent. Du réel au fantastique, du passé au futur, le jeune héros vagabonde sans perdre le spectateur. Un conte moderne et bouleversant. Animé par Thomas Rozec avec Arnaud Bordas, David Honnorat, Rafik Djoumi et Julien Dupuy. LES RECOMMANDATIONS LA RECO D’ARNAUD : Mind Game, un film réalisé par Masaaki Yuasa, une histoire de gangsters qui va dans toutes les sens, une tornade créative. LA RECO DE DAVID : Il est encore en salles c’est Une affaire de famille d’Hirokazu Kore-eda. Deuxième reco, c’est un autre film du réalisateur, Nobody Knows qui dépeint le monde à hauteur d’enfant. LA RECO DE JULIEN : Oz, un monde extraordinaire de Walter Murch, un Disney des années 1980. Un des rares films d’horreur « pour » enfants. Il y a des scènes proprement terrifiantes. LA RECO DE RAFIK : Un énorme succès à sa sortie, L’incompris de Luigi Comencini. Un film sur le destin malheureux d’un jeune garçon qui doit s’occuper de son frère après la mort de leur mère. Un long-métrage qui fait pleurer à chaudes larmes. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Mamoru Hosoda, Les enfants loups, Ame & Yuki (Mamoru Hosoda, 2012), Le garçon et la bête (Mamoru Hosoda, 2015), Hayao Miyazaki, Le vent se lève (Hayao Miyazaki, 2013), Le voyage de Chihiro (Hayao Miyazaki, 2001), Yasujirō Ozu CRÉDITS Enregistré le 10 décembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Krot. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
26 Dec 2018 | Il était une fois le western (1/3) | 00:44:24 | |
Les cowboys de la Monument Valley, les héros du mythe américain. L’équipe de NoCiné consacre trois épisodes à l’histoire du western. Dans ce premier volet, retour sur les débuts du genre de ses balbutiements à son âge d’or dans les années 1950. A l’aube du XXe siècle, la Camargue a des airs de Far West. Le public américain se passionne alors pour des films de revolver français dit « western-camembert ». Peu après, dans l’entre-deux-guerres, Ringo Kid, Vienna et d’autres as de la gâchette venus de la côte Ouest débarquent à l’écran. Parmi les plus grandes stars de l’époque, le légendaire John Wayne qui joue un hors-la-loi dans La Chevauchée fantastique de John Ford, sans qui, autant le dire, l’Amérique ne serait pas l’Amérique. Podcast animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi, Stéphane Moïssakis, David Honnorat et Perrine Quennesson. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Le vol du grand rapide (Edwin Esporter, 1903), Butch Cassidy et le Kid, (George Roy Hill, 1969), Joë Hamman, Buffalo Bill et les indiens (Robert Altman, 1976), Geronimo (Arnold Laven, 1962), Alice Guy, Règlements de comptes à OK Corral (John Sturges, 1957), La poursuite infernale (John Ford, 1947), Le cheval de fer (John Ford, 1924), Trois sublimes canailles (John Ford, 1926), Le Bon, la brute et le truand (Sergio Leone, 1969), Horizons lointains (Rudolph Maté, 1955), Billy le Kid (King Vidor, 1930), The Big Trail (Raoul Walsh, Louis R. Loeffler, 1930), Le Brigand Bien aimé (Jesse James) (Henry King, Irving Cummings, 1939), Le signe de Zorro (Rouben Mamoulian, 1940), La piste de Santa Fé (Michael Curtiz, 1940), Pacific Express (Cecil B. DeMille, 1939), Le Grand Passage (King Vidor, 1940)La chevauchée fantastique (John Ford, 1939), Le massacre de Fort Apache (John Ford, 1948), La prisonnière du désert (John Ford, 1956), L’étrange incident (William A. Wellman, 1943), Duel au soleil (King Vidor, Otto Brower, 1948), Le Banni (Howard Hughes, Howard Hawks, 1943), La Rivière Rouge (Howard Hawks, Arthur Rosson, 1948), Coup de fouet en retour (Backlash) (John Sturges, 1956), La flèche brisée (Delmer Daves, 1950), Fritz Lang, Anthony Mann, Samuel Fuller, Robert Aldrich, Budd Boetticher, Randolph Scott, Rio Bravo (Howard Hawks, 1959), Le Vent (Victor Sjöström, 1928), Little Big Man (Arthur Penn, 1971), Un homme est passé (John Sturges, 1955), La Guerre des Rose (Danny DeVito, 1990), Le train sifflera trois fois (Fred Zinnemann, 1952), L’homme des vallées perdues (George Stevens, 1953), Les grands espaces (William Wyler, 1958), Johnny Guitare (Nicholas Ray, 1954), Le Gaucher (Arthur Penn, 1958), Quarante tueurs (Samuel Fuller, 1957) CRÉDITS Enregistré le 28 novembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
27 Dec 2018 | Les westerns spaghettis, un plat qui se mange froid (2/3) | 00:41:36 | |
Début des années 1960, les westerns classiques sont sur le déclin. Des réalisateurs italiens profitent de la situation et décident de tourner leurs propres westerns en Europe. Dans ce second épisode spécial western, la team NoCiné décrypte l’histoire et le succès des westerns spaghettis. Baptisée de cette manière par dérision, cette seconde vague de western va bouleverser les codes du genre. Les héros proprets et la glorification de la conquête de l’Ouest laissent place aux chasseurs de prime sans pitié et à l’humour noir et grinçant. À la tête de ce mouvement, Sergio Leone, une figure hégémonique qui aurait pu éclipser d’autres cinéastes talentueux comme Sergio Corbucci et Tonino Valerii. Ensemble, ils définissent le style cinématographique de ces westerns caractérisé par des plans larges sur des paysages grandioses et des gros plans, des très gros plans. Voulant se faire passer pour des productions américaines, ces films avaient pour acteurs principaux italiens avec des noms américains. Les deux exemples les plus connus sont Terence Hill (Mario Girotti) et Bud Spencer (Carlo Pedersoli). Tout cela rythmé par une bande originale signée Ennio Morricone, évidemment. Podcast animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi, David Honnorat et Stéphane Moïssakis. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Sergio Leone, Le Bon, la Brute et le Truand (Sergio Leone, 1968), Pour une poignée de dollars (Sergio Leone, 1966), Et pour quelques dollars de plus (Sergio Leone, 1966), Clint Eastwood, Mario Bava, Cabiria (Giovanni Pastrone, 1914), Le garde du corps (Akira Kurosawa, 1961), Charles Bronson, Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone, 1969), Ennio Morricone, Sergio Corbucci, Navajo Joe (Sergio Corbucci, 1966), John Wayne, Les sept mercenaires (John Sturges, 1961), Eli Wallach, Lee Van Cleef, Henry Fonda, Django (Sergio Corbucci, 1966), Il était une fois en Amérique (Sergio Leone, 1984), Mon nom est Personne (Tonino Valerii, 1973), Django Unchained (Quentin Tarantino, 2013), Le grand silence (Sergio Corbucci, 1969), Goyokin (Hideo Gosha, 1969), Terence Hill (Mario Girotti), Bud Spencer (Carlo Pedersoli), Robert Aldrich, Giuliano Gemma, Evil Dead (Sam Raimi, 1981), Le grand silence (Sergio Corbucci, 1969), Les huit salopards (Quentin Tarantino, 2016), Sam Peckinpah, Major Dundee (Sam Peckinpah, 1965), Noon Wine (Sam Peckinpah, 1966), Robert Redford, Butch Cassidy et le Kid (George Roy Hill, 1970), Red Dead Redemption, William Goldman, Burt Bacharach, Jeremiah Johnson (Sydney Pollack, 1972), John Ford, John Carpenter CRÉDITS Enregistré le 28 novembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
28 Dec 2018 | Et pour quelques westerns de plus (3/3) | 00:50:46 | |
Après l’âge d’or et la période spaghetti, le genre vit une grande traversée du désert à partir des années 1970. Le western traditionnel devient trop conquérant et violent pour une Amérique secouée par la fin de la guerre du Vietnam. Un fossé se creuse alors entre ce type de cinéma et le public. Seuls, Clint Eastwood et Kevin Costner se sont évertués à faire vivre le genre sous sa forme classique. Pour vivre avec son temps, les codes du western ont été réinventés, son imagerie retravaillée et ses personnages modernisés avec plus ou moins de succès. Malgré tout, le genre reste une source d’inspiration pour les cinéastes. La filmographie des frères Coen et de Quentin Tarantino, la série Westworld ou le jeu vidéo à succès Red Dead Redemption sont la preuve que le western vit toujours. Podcast animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi, David Honnorat, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Little Big Man (Arthur Penn, 1971), Dustin Hoffman, Soldat bleu (Ralph Nelson, 1971), Marlon Brando, Le parrain (Francis Ford Coppola, 1972), Danse avec les loups (Kevin Costner, 1990), Quentin Tarantino, John Ford, John Carpenter, Joel et Ethan Coen, Clint Eastwood, Josey Wales hors-la-loi (Clint Eastwood, 1976), Sur la route de Madison (Clint Eastwood, 1995), Voyage au bout de l'enfer (Michael Cimino, 1979), La porte du paradis (Michael Cimino, 1981), Le shérif est en prison (Mel Brooks, 1975), Steven Spielberg, Young Guns (Christopher Cain, 1988), Timerider (William Dear, 1982), Retour vers le futur 3 (Robert Zemeckis, 1990), Martin Scorsese, Rencontres du troisième type (Steven Spielberg, 1978), Cheval de guerre (Steven Spielberg, 2012), Les incorruptibles (Brian De Palma, 1987), Silverado (Lawrence Kasdan, 1985), Kevin Costner, Bon Jovi, Impitoyable (Clint Eastwood, 1992), La ballade de Buster Scruggs (Ethan et Joel Coen, 2018), Sergio Leone, Don Siegel, The Rover (David Michôd, 2014), Mad Max (George Miller, George Ogilvie, 2015), La route (John Hillcoat, 2009), Jeremiah (Hermann, 1979), Westworld (Jonathan Nolan et Lisa Joy), Deadwood (David Milch, 2014), John Wayne, Red Dead Redemption (Rockstar Games, 2010), Postman (Kevin Costner, 1997),The rider (Chloé Zhao, 2018), Belles de l'Ouest (Jonathan Kaplan, 1994), Huit millions de façons de mourir (Hal Ashby, 1986), Mort ou vif (Sam Raimi, 1995), Open Range (Kevin Costner, 2004), True Grit (Ethan et Joel Coen, 2011), Les cent fusils (Tom Gries, 1969), Brimstone (Martin Koolhoven, 2017), Comancheria (David Mackenzie, 2016), Django Unchained (Quentin Tarantino, 2013), Kill Bill : Volume 2 (Quentin Tarantino, 2004), Les huit salopards (Quentin Tarantino, 2016), Ennio Morricone, Le secret de Brokeback Mountain (Ang Lee, 2006) CRÉDITS Enregistré le 28 novembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Adélaïde Desnoë. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
18 Dec 2018 | Xtra - Aquaman | 00:12:28 | |
Un bon nanar DC Comics à 160 millions de dollars est un must des fêtes de fin d’année. Mais le seigneur de la cité sous-marine d’Atlantis surpasse toutes les espérances. Plongée dans un océan de n’importe quoi, où Aquaman, qui doit réunir les 7 royaumes de la mer, navigue dans un plateau de fruit de mer géant où poissons, mammifères marins et crustacés sont autant de montures pour les autres habitants du monde marin. Willem Dafoe chevauchant un hippocampe géant, une attaque de piranhas humanoïdes, Pitbul reprenant Africa de Toto… le potentiel parodique de ces 2h20 d’univers totalement yolo justifie en soi l’immersion. Même si la cohérence n’est évidemment pas au rendez-vous. Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Aquaman (James Wan, 2018), Jason Momoa, Batman vs Superman (Zack Snyder, 2016), Game of Thrones, Willem Dafoe, Patrick Wilson, Rocky Horror Picture Show (Jim Sharman, 1975), Saw (James Wan, 2004), Conjuring (James Wan, 2013), Nicole Kidman. CRÉDITS Enregistré le 18 décembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
19 Dec 2018 | Roma, l’éducation au regard | 00:33:54 | |
Inspirée de son enfance dans un quartier de Mexico, Alfonso Cuarón dépeint le quotidien d’un couple, de leurs quatre enfants et leur employée de maison, quotidien bouleversé par des révoltes étudiantes lourdement réprimées en 1970. Plus sombre que les Fils de l’homme, Roma s’oppose en quasi tous points à Gravity et sa subjectivité de point de vue, et noir et blanc aidant, se rapproche du néoréalisme italien. Intimiste mais avec une mise en scène grandiose, le film fait vibrer la corde des souvenirs, fait écho aux souvenirs de chacun et quitte la simple chronique familiale pour questionner ce qui rend un comportement humain stérile ou fertile. Roma restera dans les mémoires, et pour bien plus que les polémiques autour de sa distribution sur Netflix. Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat et Julien Dupuy CRÉDITS Enregistré le 18 décembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
20 Dec 2018 | Xtra – L’empereur de Paris | 00:09:06 | |
Vincent Cassel joue Eugène-François Vidocq, légendaire bagnard dont les aventures ont inspiré, entre autres, Balzac et Hugo. Dans les ruelles sombres de la capitale, cet évadé devenu policier se met à chasser la pègre pour obtenir sa grâce auprès de Napoléon. Cette grosse production de fin d’année se révèle être un mélange bien dosé de divertissement et d’histoire, fait rare dans le cinéma français. Jean-François Richer, réalisateur du dyptique Mesrine, signe un film honnête et bien plus digeste que la version sortie en 2001 avec Gérard Depardieu. Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Vidocq (Pitof, 2011), Etat des lieux (Jean-François Richet, 1995), De l’amour (Jean-François Richet, 2001), L’ennemi public n°1 (Jean-François Richet, 2001), L’instinct de mort (Jean-François Richet, 2001) CRÉDITS Enregistré le 18 décembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
26 Dec 2018 | Xtra – Bumblebee | 00:13:32 | |
Ce spin-off de la saga Transformers est centré sur le gentil robot extraterrestre Bumblebee - littéralement bourdon en anglais - déjà présent dans les autres moutures de la franchise. Fin des années 80, l’autobot, blessé, s’est réfugié dans une décharge en Californie. Charlie, adolescente jouée par la douée Hailee Steinfeld, l’y découvre. Les deux amis se retrouvent poursuivis par une agence gouvernementale secrète menée par l’agent Burns, incarné par le superbe John Cena. Moins décadent et violent que les épisodes dirigés par Michael Bay, Bumblebee est idéal pour les enfants de 7 à 12 ans. Réalisé par Travis Knight, spécialiste de l’animation, ce film est un remake touchant mais sans surprise du premier Transfomers dont les scènes d’action manquent de fantaisie. Animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi et Stéphane Moïssakis RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Transformers (Michael Bay, 2007), Transformers: The Last Knight (Michael Bay, 2017), The Breakfast Club (John Hughes, 1985), Kubo et l’armure magique (Travis Knight, 2016), ParaNorman (Chris Butler, Sam Fell, 2012), Le Géant de fer (Brad Bird, 1999), True Grit (Ethan Coen, Joel Coen, 2010), Heathers (Michael Lehmann, 1988) CRÉDITS Enregistré le 18 décembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : « Soupir Articulé », Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
02 Jan 2019 | Marwen vous va si bien | 00:32:49 | |
Pris dans une vague de créativité débordante et de productivité délirante, Robert Zemeckis sort « Bienvenue à Marwen », toujours plus bizarre et étrange que ses précédents films. Il s’inspire pour cela de l’histoire vraie d’un certain Mark Hogancamp, agressé à la sortie d’un bar et victime d’une amnésie totale, qui trouve pour thérapie la construction d’une réplique miniature d’un village belge pendant la Seconde Guerre mondiale. Dans cet univers imaginaire, il y fait vivre son double, ses proches, ses conquêtes fantasmées. Ce film radical, passionnant, qui manque parfois un peu de spectaculaire, réconcilie les deux pans de la filmographie de Zemeckis : le cinéma traditionnel et le virtuel en performance capture. On y retrouve le talent de Zemeckis, pas toujours aussi fin qu’un Spielberg, mais irremplaçable. [Attention, on spoile un peu] Animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi, Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis. RÉFÉRENCES CITÉES Bienvenue à Marwen (Robert Zemeckis, 2018), Steve Carell, Caroline Thompson, Leslie Mann, Diane Kruger, Javelle Monáe, Flight (Robert Zemeckis, 2012), Ready Player One (Spielberg, 2018), Peter Jackson, Forrest Gump (Robert Zemeckis, 1994), Retour vers le futur II (Robert Zemeckis, 1989), Retour vers le futur (Robert Zemeckis, 1985), Little Miss Sunshine (Jonathan Dayton, 2006), Dan in Real Life (Peter Hedge, 2007), The Walk (Robert Zemeckis, 2015), Apparences (Robert Zemeckis, 2000), Alliés (Robert Zemeckis, 2016), Beowulf (Robert Zemeckis, 2007), Le Pôle Express (Robert Zemeckis, 2004), James Cameron, Mortal Engines (Christian Rivers, 2018), Lovely Bones de Peter Jackson et Fran Walsh (2009), Hérédité (Ari Aster, 2018), Anchorman (Adam McKay, 2005), Anaconda (Luis Llosa, 1997), Jon Voight. RECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEUR LA RECO DE RAFIK : Lovely Bones de Peter Jackson et Fran Walsh (2009) LA RECO DE JULIEN : La mort vous va si bien de Robert Zemeckis (1992) LA RECO DE STEPHANE : le film de l’année sera Anaconda de Luis Llosa (1997) CRÉDITS Enregistré le 18 décembre 2018 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Jules Jellaoui. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : Corentin Kerdraon. Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
09 Jan 2019 | Creed II, l'oeil du vide | 00:21:39 | |
[Attention on spoile tout. Vraiment tout] Il y a comme un air de déjà-vu dans cette suite du spin-off de Rocky. Deux fils montent sur le ring et reprennent un combat mené par leurs pères trente ans plus tôt. D’un côté, Adonis Creed, champion du monde de boxe joué par le très en vogue Michael B. Jordan, continue de s’entraîner avec Rocky Balboa. De l’autre, Viktor Drago, fils du colosse russe qui avait tué Apollo Creed, père d’Adonis, dans le quatrième volet de la saga, le provoque en duel. La touchante relation père-fils dans la famille Drago est bien la seule chose qui vaille dans cet opus fade réalisé par Steven Caple Jr. Les personnages féminins font partis des gros ratés de ce film à papa, avec, par exemple, le passage éclair de la très attendue Brigitte Nielsen, ex de Sylvester Stallone. Vieillissant, l’acteur américain n’a pas grand chose à défendre dans ce film. C’est d’ailleurs le dernier round pour l'acteur qui a annoncé qu'il ne reprendrait plus le rôle du légendaire boxeur. Une chose est sure : Rocky, c’est bel et bien fini. Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, Perrine Quennesson et Stéphane Moïssakis. RECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEUR LA RECO DE PERRINE : Friday Night Lights (Peter Berg, 2006-2011), série sur le football américain qui a révélé Michael B. Jordan LES RECOS DE STÉPHANE : Anaconda, le prédateur (Luis Llosa, 1997) et L’Expert (Luis Losa, 1994) avec Sylvester Stallone RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Rocky (John G. Avildsen, 1976), Rocky IV (Sylvester Stallone, 1985), Rocky Balboa (Sylvester Stallone, 2006), This Is Us (Dan Fogelman, 2016- ), Creed: L'héritage de Rocky Balboa (Ryan Coogler, 2015) CRÉDITS Enregistré le 7 janvier 2019 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : Corentin Kerdraon. Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
16 Jan 2019 | On est resté de Glass | 00:37:32 | |
[Attention spoiler. On vous dit tout, tout, tout.] La suite d'Incassable et de Split reprend l’histoire là où Night Shyamalan l’avait laissée. La terrible bête humaine incarnée par James McAvoy est traquée par le vétéran David Dunn, joué par Bruce Willis, toujours aussi surpuissant. Dans l’ombre, s’agite un autre ancien combattant : le très inquiétant Elijah Price alias Mister Glass alias Samuel L. Jackson. Le film démarre avec un caméo hyperarticifiel du réalisateur, amorce d’un scénario sans imagination et d’un film mal exécuté. Des dialogues surchargés, des bastons sur-découpées et des scènes vues et re-vues viennent nourrir une intrigue sur-intellectualisée. Glass est une mauvaise surprise et Night Shyamalan, qui signe sa première suite, « n’est plus que l’ombre de lui-même ». Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, Perrine Quennesson, David Honnorat et Stéphane Moïssakis. RECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEUR LA RECO DE STEPHANE : Anaconda, le prédateur (Luis Llosa, 1997) pour la performance d’Ice Cube LA RECO DE PERRINE : le tout récent Under the Silver Lake de David Robert Mitchell, qui parle de pop-culture, de messages cachés et de foi dans le quotidien LA RECO DE DAVID : dans la lignée des cinéastes qui ont suivi un acteur dans le temps, le superbe Boyhood, de Richard Linklater LA RECO DE JULIEN : les courts-métrages très attachants de Night Shyamalan RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Incassable (M. Night Shyamalan, 2000), Split (M. Night Shyamalan, 2016), Rocky Balboa (Sylvester Stallone, 2006), Kick-Ass (Matthew Vaughn, 2010), X-Men (Bryan Singer, 2000), Mel Gibson, Signes (M. Night Shyamalan, 2002), Sixième Sens (M. Night Shyamalan, 1999), After Earth (M. Night Shyamalan, 2013), The Visit (M. Night Shyamalan, 2015), L’amour en fuite (François Truffaut, 1979) CRÉDITS Enregistré le 7 janvier 2019 à l’Antenne (Paris 11eme). Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Direction de production : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Générique : Corentin Kerdraon. Production : Binge Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
22 Jan 2019 | Spécial - Rocky | 01:17:40 | |
Personne ne frappe aussi fort que lui. Rocky Balboa, underdog prolo de Philadelphie devenu champion du monde de boxe, est le héros d’une mythique saga de six épisodes. Inspiré par la performance exceptionnelle d’un boxeur américain, Sylvester Stallone écrit en trois jours le rôle de Rocky, son double de cinéma qu’il décrira plus tard comme « son ami imaginaire » et « la chance de sa vie ». Stallone, alors outsider d’Hollywood, obtient, par sa hargne, le rôle-titre d’un premier opus au maigre budget et aux scènes improvisées désormais iconiques. Sorti en 1976, le film, récompensé de trois oscars, propulse l’acteur au rang de superstar. Pour les épisodes suivants, l’acteur bodybuildé se mettra aussi derrière la caméra. D’une chronique sociale, Rocky évolue en film de pugilat au montage galvanisant jusqu’à devenir, avec le quatrième volet, un blockbuster outrancier. Si les narrations diffèrent, les vies de l’acteur-auteur et du personnage continuent de se confondre à l’écran jusqu’en 2006 avec « Rocky Balboa », son dernier retour sur le ring. Animé par Thomas Rozec avec Yannick Dahan, David Honnorat, Stéphane Moïssakis et Lelo Jimmy Batista. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Rocky (John G. Avildsen, 1976), Rocky Balboa (Sylvester Stallone, 2006), The Party at Kitty and Stud’s (ou L’Étalon italien) (Morton Lewis, 1970), Garrett Brown, Nous avons gagné ce soir (Robert Wise, 1949), Mohamed Ali, Chuck Wepner, Outsider (Philippe Falardeau, 2016), La Taverne de l’enfer (Sylvester Stallone, 1978), Rocky II (Sylvester Stallone, 1979), Bill Conti, Talia Shire, Rocky III, l’oeil du tigre (Sylvester Stallone, 1982), Rambo II : La mission (George P. Cosmatos, 1985), Rocky II (Sylvester Stallone, éd. Ballantine Books, 1987), Carl Weathers, Inferno : The Making of ‘The Expendables’ (John Herzfeld, 2010), The Muppet Show (Jim Henson, 1976-1981), Eddie Murphy : Raw (Robert Townsend, 1987), Cobra (George P. Cosmatos, 1986), Rocky IV (Sylvester Stallone, 1985), L’Aube rouge (John Milius, 1984) CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 21 janvier 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Quentin Bresson. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
23 Jan 2019 | La Mule, têtu comme Eastwood | 00:29:45 | |
De retour devant sa propre caméra, Clint Eastwood incarne Earl Stone, un horticulteur américain de 90 ans vétéran de la guerre de Corée. Pour se mettre à l’abri financièrement, il accepte un poste de chauffeur, passeur de coke à la frontière mexicaine pour un cartel. Grâce à ses qualités dramatiques et narratives, « La Mule » tient le choc et s’éloigne très vite du thème de la drogue pour dresser un portrait très émouvant du réalisateur. Que laisse-t-on en héritage à la fin de sa vie ? Une certaine mélancolie à l’idée d’avoir raté sa vie familiale pour Clint, un personnage libertarien décomplexé mais pas réac, et surtout aucun regret. Illustration parfaite de sa sensibilité sur le monde actuel, « La Mule » est une histoire captivante et une source d’émotion permanente prodiguée par ces yeux toujours aussi perçants. [On spoile un tout petit peu] Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. RECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEUR LA RECO DE PERRINE : la quatrième saison de Narcos, autour de la naissance des cartels au Mexique. LA RECO DE DAVID : les deux premiers épisodes de la première saison de « Killing Eve », série de Phoebe Waller-Bridge. LA RECO DE STÉPHANE : pour l’interprétation d’une version dégénérée de Clint Eastwood signée Jon Voight, « Anaconda » de Luis Llosa (1997).
RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Le 15h17 pour Paris (Clint Eastwood, 2018), Bradley Cooper, Laurence Fishburne, Dianne Wiest, Michael Pena, Alison Eastwood, Gran Torino (Clint Eastwood, 2008), Une nouvelle chance (Robert Lorenz, 2012), Justin Timberlake, Nick Schenk, Mystic River (Clint Eastwood, 2003), Million Dollar Baby (Clint Eastwood, 2004), The House that Jack Built (Lars Von Trier, 2018), Narcos (Chris Brancato, Carlo Bernard et Doug Miro, 2015 - 2017), Sudden Impact (Clint Eastwood, 1983), Sondra Locke, Dirty Harry (Don Siegel, 1971), Impitoyable (Clint Eastwood, 1992), Blood Work (Créance de sang, Clint Eastwood, 2002), La route de Madison (Clint Eastwood, 1995), Jugé coupable (Clint Eastwood, 1999), Breaking Bad (Vince Gilligan, 2008 - 2013), Killing Eve (Phoebe Waller Bridge, 2018), Sandra Oh. CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 21 janvier 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Quentin Bresson. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
30 Jan 2019 | Sorry to bother you, the coup dans la fourmilière | 00:25:47 | |
[Attention, la fin du film est spoilée] Boots Riley, rappeur dérangé, signe un étrange premier long-métrage. Dans cette frénétique comédie satirique, Cassius Green dit « Cash » décide d’entamer une carrière de vendeur dans un centre d’appels. Ce jeune noir désargenté, joué par Lakeith Stanfield déjà vu dans « Get out », excelle dans son job en se faisant passer pour un Blanc au téléphone. À mi-chemin entre un Michel Gondry et un Spike Lee, Boots Riley propose une critique déjantée de l’individualisme et du capitalisme dans un monde pas si éloigné de la réalité. Si les excentricités visuelles faites de bric et de broc piquent parfois les yeux, ces délires narratifs et intimistes permettent à chacun·e de se poser la question : la fin justifie-t-elle les moyens ? Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. RECOMMANDATIONS ET COUPS DE CŒUR LA RECO DE PERRINE : pour les délires visuels, « Dans la tête de Charles Swan III » de Roman Coppola LES RECOS DE DAVID : « Blindspotting », une bromance signée Carlos López Estrada, avec en toile de fond la gentrification d’Oakland et « Bread and Roses » de Ken Loach pour son côté syndicaliste LA RECO DE STÉPHANE : Anaconda. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Get Out (Jordan Peele, 2017), Michel Gondry, Spike Lee, Bodied (Joseph Kahn, 2017), BlacKkKlansman – J’ai infiltré le Ku Klux Klan (Spike Lee, 2018), Eugène de Rastignac, Tessa Thompson, Girl 6 (Spike Lee, 1996), Bamboozled (Spike Lee, 2000), Charlie Sheen CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 21 janvier 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Quentin Bresson. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
28 Jan 2019 | Xtra - Les Fils de l’homme | 00:17:50 | |
Ce thriller haletant a bien failli ne jamais rencontrer son public. Alfonso Cuarón a accepté de plonger sa caméra dans un monde qui se meurt, celui de 2027. Dans cet univers tiré du roman de P. D. James, écrivaine britannique notoire, la planète est polluée et sans ressources, les villes sont en proie aux attentats et l’humanité est devenue stérile. Le réalisateur mexicain signe une fable cinématographique à la George Orwell. Il assimile les êtres humains à des animaux en perdition et filme ses acteur·rice·s près du corps dans des plans-séquences coûteux pour mieux raconter le chaos. Au moment de sa sortie, « Les Fils de l’homme » ne rencontre pas le succès espéré. À l’image de « Blade Runner », ce film est devenu un classique du cinéma américain bien après sa sortie. Animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Les Fils de l’homme (P. D. James, éd. Faber and Faber, 1992), Les Fils de l’homme (Alfonso Cuarón, 2006), La petite princesse (Alfonso Cuarón, 1995), De grandes espérances (Alfonso Cuarón, 1998), Y tu mamá también (Alfonso Cuarón, 2001), Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban (Alfonso Cuarón, 2004), La Bataille d’Alger (Gillo Pontecorvo, 1966), L’Aurore (Friedrich Wilhelm Murnau, 1927), La Ferme des animaux (George Orwell, éd. Secker and Warburg, 1945), La stratégie du choc (Naomi Klein, 2009) CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 25 janvier 2019 au Club de l’Etoile (Paris, 17e). Réalisation : Solène Moulin. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
29 Jan 2019 | NoCiné Club #13 - Minuscule 2, Hayao Miyazaki et la place du cinéma d’animation dans les grandes compétitions | 01:22:15 | |
Thomas Szabo, co-réalisateur de la saga « Minuscule », est l’invité spécial de cette version Club de NoCiné. La coccinelle, la fourmi et l’araignée reprennent du service en Guadeloupe. Thomas Szabo raconte comment, avec Hélène Giraud, il a réalisé le second volet des aventures de ces drôles d’insectes à l’occasion de la sortie des « Mandibules du bout du monde ». Certaines technologies de pointe, comme la photogrammétrie, ont été mises au service de ce récit composé de décors réels et de personnages de synthèse accompagné d’une musique imaginée dès l’écriture du scénario. Les histoires animées ne sont pas que pour les enfants. Ce cinéma reste pourtant enclavé comme le montrent les difficultés de financement des films d’animation destinés aux adultes. À quand remonte le dernier film d’animation présent en compétition officielle du festival de Cannes ? L’animation a-t-elle encore besoin d’avoir une catégorie, à part, dédiée pour les César, Oscars et autres grandes compétitions ? Hayao Miyazaki n’en finit plus de finir. La rumeur court que le grand maître de l’animation japonaise et son fils travaillent sur deux nouveaux films pour Studio Ghibli. En attendant ce possible retour, le tout premier long-métrage de Miyazaki, « Le Château de Cagliostro » réalisé en 1979, sort enfin en France. Retour sur ce bijou qui annonce une œuvre magistrale. Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, Perrine Quennesson, Stéphane Moïssakis. CRÉDITS NoCiné Club est un hors-série de NoCiné animé par Thomas Rozec et produit par Binge Audio. Cet épisode a été enregistré le 28 janvier 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Quentin Bresson et Solène Moulin. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
30 Jan 2019 | Xtra - Si Beale Street pouvait parler | 00:15:23 | |
Harlem est tout petit pour Tish et Fonny qui s’aiment d’un aussi grand amour. Ces deux ami·e·s d’enfance attendent leur premier enfant. Accusé d’un viol qu’il n’a pas commis, Fonny – joué par un Stephan James très émouvant – se retrouve derrière les barreaux. Tiré du roman de James Baldwin du même nom, ce film raconte, avec une incroyable modernité, une histoire d’amour impossible avec en toile de fond le racisme ordinaire d’une Amérique des années 1970 . D’une beauté digne d’un film de Wong Kar-wai, ces images font de « Si Beale Street pouvait parler » une peinture sublime dans la lignée esthétique de son oscarisé « Moonlight ». Avec les sorties de Spike Lee, Ryan Coogler, Boots Riley ou encore Steve McQueen, l’année 2018 aura permis de révéler la grande diversité du cinéma afro-américain. Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat et Perrine Quennesson. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION I Am Not Your Negro (Raoul Peck, 2016), Si Beale Street pouvait parler (James Baldwin, éd. Dial Press, 1974), Moonlight (Barry Jenkins, 2016), Wong Kar-wai, Black Panther (Ryan Coogler, 2018), Sorry to bother you (Boots Riley, 2018) , BlacKkKlansman – J’ai infiltré le Ku Klux Klan (Spike Lee, 2018), Widows (Steve McQueen, 2018), Charles Burnett CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 29 janvier 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Solène Moulin. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
06 Feb 2019 | Dernière virée pour Harold et Krokmou | 00:20:37 | |
Dans le village de Beurk, vikings et dragons vivent en harmonie. Pour préserver cette paix fragile, Harold et son fidèle compagnon Krokmou s’envolent vers un monde caché affronter une coalition de méchants féroces. Presque dix ans après la sortie du premier épisode, Dean DeBlois clôt une trilogie qu’il voulait harmonieuse. Et le pari est gagné. Mises en musique par John Powell, les aventures des deux héros handicapés continuent d’éblouir. L’animation des dragons, aux allures de chiens et aux yeux de chats, est toujours aussi réussie. Malgré un scénario parfois trop compact, « Dragons 3 », à la manière des deux autres volets, est l’un des rares DreamWorks à offrir une telle densité et honnêteté émotionnelle. Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat et Perrine Quennesson. RECOMMANDATIONS ET COUPS DE CŒUR LA RECO DE DAVID : en toute nostalgie, « Coeur de dragon » avec Dennis Quaid et Sean Connery sorti en 1996 LA RECO DE PERRINE : « Willow » pour une tout aussi belle ode à l’intelligence RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Dragons (Dean DeBlois, 2010), Dragons 2 (Dean DeBlois, 2014), Lilo & Stitch (Dean DeBlois et Chris Sanders, 2002) CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 5 février 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Quentin Bresson. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
06 Feb 2019 | Xtra - La Favorite | 00:09:12 | |
Dernière souveraine de la maison Stuart, Anne d’Angleterre s’entoure d’une cour féminine où deux femmes se battent pour ses faveurs et sa préférence. Autour de cette reine farfelue, étrange et émouvante, gravite un petit monde cruel et pernicieux qui mise sur le statut et l’apparence pour s’élever dans la société, presque en huis-clos dans le château. Sans se départir de son humour si particulier, Yórgos Lánthimos, dont on connaît l’obsession pour les comportements humains, se concentre avec « La Favorite » sur l'égoïsme et la manipulation, ou comment utiliser les sentiments pour dominer ou se soumettre. Cette bataille dans un verre d’eau entre des femmes à la recherche du pouvoir dans un monde d’hommes donne un film d’une méchanceté infinie, qui nourrit les bas instincts et porte un discours fort sur le pouvoir. Animé par Thomas Rozec avec Perrine Quennesson. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION La Favorite (Yórgos Lánthimos, 2019), The Lobster (Yórgos Lánthimos, 2015), Mise à mort du cerf sacré (Yórgos Lánthimos, 2017), Olivia Colman, Rachel Weisz, Emma Stone, Kate Winslet, Marie Stuart, Reine d’Ecosse (Josie Rourke, 2019). CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 5 février 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Quentin Bresson. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
07 Feb 2019 | L’Entretien – Une intime conviction | 00:50:32 | |
Antoine Raimbault a voulu rénover les films de prétoire. Invité de ce hors-série de NoCiné, le réalisateur et scénariste raconte la genèse d’« Une intime conviction », sorti en salles début 2019, pour lequel il s’est inspiré de l’affaire Viguier, procès qui avait défrayé la chronique en 2000. À l’origine de ce premier long-métrage, il y a le doute. Il y a, d’abord, l’embarras perceptible dans les yeux des enfants de Jacques Viguier, accusé en 2000 du meurtre de sa femme, Suzanne. Il y a, cette même année, les suspicions lisibles dans les pages des journaux sur sa mystérieuse disparition. Il y a, jusqu’en 2009, les incertitudes qu’a pointées la défense en première instance puis en appel. Pour finir, il y a le doute comme valeur cardinale de la justice française qu’a souhaité filmer Antoine Raimbault à la façon des thrillers judiciaires américains. Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy et Perrine Quennesson. CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 5 février 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Quentin Bresson. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
08 Feb 2019 | Xtra - Manhunt | 00:11:58 | |
L’avocat d’une firme pharmaceutique est accusé d’un meurtre qu’il n’a pas commis, et se retrouve piégé par son employeur. Bromance masculine très prononcée, gunfights en apesanteur, les figures stylistiques propres à John Woo sont intégrées de manière sincère mais virent au ridicule absolu. Difficile, donc, de faire la comparaison avec ses précédents films. Sorti exclusivement en Blu-ray, « Manhunt » devait signer son grand retour après quelques années loin des caméras. Peut-être que le maître du genre a donné tout ce qu’il avait à donner. « Manhunt » n’est ni un film détestable, ni un bon film, peut-être un prétexte pour regarder une énième fois ses chefs d’oeuvres passés. Animé par Thomas Rozec avec Stéphane Moïssakis. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Manhunt (John Woo, 2019), The Killer (John Woo, 1989), A toute épreuve (John Woo, 1992), Mission impossible 2 (John Woo, 2000), Paycheck (John Woo, 2003), Ben Affleck, Sam Peckinpah, Le syndicat du crime (John Woo, 1986), Une balle dans la tête (John Woo, 1990), Tom Cruise, Volte-face (John Woo, 1997), Nicholas Cage, John Travolta, The Crossing (John Woo, 2014). CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 29 janvier 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Solène Moulin. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
13 Feb 2019 | Va, Vice, Deviens | 00:37:41 | |
[Attention, on spoile] Adam McKay met un coup de pied dans le cinéma politique américain et dresse le portrait de Dick Cheney, personnage clef du début des années 2000, conseiller puis vice-président de Georges W. Bush, et décrit son rôle dramatique dans l’histoire de l’Amérique. Réaliser le biopic d’un connard, aussi charismatique et séduisant soit-il, est sans contexte un défi. Servi par la performance de Christian Bale, Adam McKay le relève avec humour, inventivité et originalité, en soulignant l’opportunisme et l’absence de convictions politiques d’un personnage qui vampirise sans remords tous ceux qu’il est censé servir : sa femme, ses proches, le peuple américain. « Vice » est un film sur le passé mais surtout un film pour l’avenir, un défouloir partisan mais vivifiant. Animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi, Stéphane Moïssakis, Julien Dupuy et David Honnorat. RECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEUR LA RECO DE STÉPHANE : on vous laisse deviner. LA RECO DE RAFIK : le court métrage « La stratégie du choc » de Naomi Klein et Alfonso Cuaron sorti en 2007. LA RECO DE DAVID : « F for fake » d’Orson Welles et « Fahrenheit 11/9 » de Michael Moore. LA RECO DE JULIEN : le court métrage « Good Cop Baby Cop » d’Adam McKay (2007). RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Vice (Adam McKay, 2019), Anchorman : the legend of Ron Burgundy (Adam McKay, 2004), Tallageda Nights : the ballad of Ricky Bobby (Adam McKay, 2004), Step Brothers (Adam McKay, 2008), The Big Short (Adam McKay, 2015), Christian Bale, Amy Adams, Steve Carell, Oliver Stone, Hank Corwin, Robert Redford, Meryl Streep, Buster Keaton, Woody Allen, Quentin Dupieux, Gaspard Noé, Michael Moore, Les fils de l’homme (Alfonso Cuaron, 2006). CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 29 janvier 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Solène Moulin. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
14 Feb 2019 | Alita, métal touchant | 00:42:52 | |
L’ombre de Cameron plane sur l’adaptation du manga culte Gunnm, mais sa patte manque cruellement à la réalisation. Surtout après une vingtaine d’année à attendre, rêver et fantasmer « Alita : Battle Angel ». Verdict : au milieu d’êtres mi-humains mi-machines, la cyborg adolescente au corps de guerrière, superbement incarnée par Rosa Salazar, montre une complexité de sentiments qui fait ressentir de l’empathie pour un personnage entièrement numérique. Mais à côté d’Alita, tous les personnages font pâle figure et la direction d’acteurs laisse à désirer. Les belles idées du scénario deviennent des séquences intimistes sans chair, beaucoup d’arcs narratifs passent à la trappe, et les antagonistes sont très « bis ». A partir d’une matière extraordinaire, « Alita : Battle Angel » devient le meilleur Rodriguez mais le pire Cameron. Animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi, Stephane Moïssakis, Perrine Quennesson, Julien Dupuy et David Honnorat. RECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEUR LA RECO DE STÉPHANE : la première vraie grande créature numérique, « Anaconda » de Luis Llosa (1997). LA RECO DE RAFIK : revoir le Valérian de Luc Besson (2017). LA RECO DE DAVID : « Air Doll » de Hirokazu Kore-eda (2009) LA RECO DE JULIEN : « Exterminator 17 » de Jean-Pierre Dionnet et Enki Bilal (1979) et « Ex machina » d’Alex garland (2015). LA RECO DE PERRINE : le premier Twilight réalisé par Catherine Hardwicke (2009). RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION James Cameron, Alita : Battle Angel (Robert Rodriguez, 2019), Gunnm (Yukito Kishiro, 1990 - 1995), Rosa Salazar, Christoph Waltz, Jennifer Connelly, Mahersala Ali, Titanic, Avatar (James Cameron, 2009), Sin City (Robert Rodriguez, 2005), Star Wars : La menace fantôme (Georges Lucas, 1999), Jon Landau, Bill Pope, Andy Serkis, Zoe Saldana, Elysium (Neill Blomkamp, 2013), Blade Runner (Ridley Scott, 1982), Mortal Engines (Christian Rivers, 2018), Quentin Tarantino, Rollerball (Norwan Jewison, 1975), Mad Max (Georges Miller, 1979), Spy Kids (Robert Rodriguez, 2001), Piranha 2 Les Tueurs volants (James Cameron, 1981), Frank Miller, Machete (Robert Rodriguez, 2010), Valérian et la Cité des mille planètes (Luc Besson, 2017), Bae Doona, Air Doll (Hirokazu Kore-eda, 2009), Alicia Vikander, Twilight, chapitre I : Fascination (Catherine Hardwicke, 2009). CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 29 janvier 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Solène Moulin. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Camille Regache. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
19 Feb 2019 | Xtra - A.I. Intelligence artificielle | 00:21:09 | |
Le secret pour saisir ce film souvent mal compris, c’est de le regarder avec ses yeux d’enfants. Malgré son titre explicite, il raconte davantage l’histoire de la conscience de l’humanité que le futur probable de l’intelligence artificielle. Cette oeuvre métaphysique réalisée par Steven Spielberg est avant tout une idée de Stanley Kubrick. Ce dernier avait travaillé sur ce projet dès la fin des années 70, inspiré par une nouvelle de science-fiction. Après la mort subite du réalisateur en 1999, sa famille décide de remettre son travail entre les mains d’un réalisateur ami. C’est ce qui explique les superpositions à l’écran des allusions à Pinocchio, cher à Spielberg et des références à l’Ancien Testament, dans le respect d’une tradition kubrickienne. Tout au long d’ « A.I. Intelligence artificielle », l’élève a multiplié les efforts pour rester fidèle aux intentions du maître. Animé par Thomas Rozec avec Rafik Djoumi. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Stanley Kubrick, James Cameron, Rencontres du troisième type (Steven Spielberg, 1977), Les Habits neufs de l’empereur d’Hans Christian Andersen, Matrix Reloaded (Lana Wachowski, 2003) CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 16 février 2019 au Club de l’Etoile (Paris, 17e). Réalisation : Thomas Rozec et Solène Moulin. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
20 Feb 2019 | Lego 2, de briques et de broc | 00:23:48 | |
Emmet, Lucy et Batman, les trois petits héros jaunes du premier volet, sont de retour dans les rues en plastique de Bricksburg. Leur vie harmonieuse est menacée par une horde d’envahisseurs Duplo venus des confins de l’espace. La Grande Aventure Lego épisode 2 se révèle être un nouvel opus râté. Les blagues et chansons du premier film sont recyclées sans apporter aucun plaisir à l’écran. Les héros sont agaçants, les références lourdes, les règles de cinéma bafouées. Cerise sur le gâteau : les liens entre l’univers Lego et le monde réel ne fonctionnent pas. La faute au nouveau réalisateur ? Peut-être. Pour ce deuxième épisode, Phil Lord et Chris Miller ont passé la main à Mike Mitchell, responsable des Trolls et de la saga Shrek. Animé par Thomas Rozec avec David Honnorat, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. RECOMMANDATIONS ET COUPS DE CŒUR LA RECO DE DAVID : « L’Indien du placard », réalisé par Frank Oz, spécialiste de marionnettes LA RECO DE PERRINE : le réussi Toy Story 3 LA RECO DE STEPHANE : pour les fans de reptiles, Lego-Anaconda disponible en jeu vidéo RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Toy Story (John Lasseter, 1995), Ready Player One (Steven Spielberg, 2018) CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 18 février 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Solène Moulin. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
19 Feb 2019 | NoCiné Club #14 - La 4DX, les Oscars techniques zappés et le rachat de 21st Century Fox par Disney | 01:18:07 | |
Regarder « Aquaman » le visage mouillé et les cheveux au vent, Guillermo Del Toro en colère contre les Oscars et les Simpson en péril au menu de ce NoCiné Club. Présentée comme une composante du cinéma du futur, la 4DX permet au public de flotter…ou d’avoir le mal de mer. Dans les salles de cinéma équipées de cette technologie, les fauteuils bougent au rythme des mouvements de caméras. Des effets sensoriels synchrones viennent compléter l’immersion. Le festival 4DX organisé par les cinémas Pathé-Gaumont a permis une plongée dans des versions retravaillées de quelques succès récents. Se retrouver asperger de faux sang dans « Ready Player One » ou avoir le cou chauffé quand la fusée décolle dans « Gravity » permet-il de mieux raconter ces histoires ? La liste des polémiques concernant la 91e cérémonie des Oscars s’allonge. Après le retrait de l’animateur Kevin Hart, le comité organisateur a annoncé que la remise de quatre des précieuses statuettes, dont celle de la « meilleure photographie » et celle du « meilleur montage », ne serait pas diffusée en direct à la télévision. Sous la pression de grand noms comme Guillermo del Toro, Quentin Tarantino ou encore Martin Scorsese, l’Académie a fini par rétropédaler. Pourquoi ces métiers de l’ombre, si essentiels aux films, sont si peu sous le feu des projecteurs ? Le deal le plus juteux, à ce jour, du monde du cinéma est presque bouclé. Disney a racheté un autre géant d’Hollywood, la 21st Century Fox. Et avec, son catalogue de superhéros, franchises, gros films et médias parmi lesquels « Deadpool », « Avatar », les Simpson, « L’Age de glace », ou encore l’empire Shondaland avec « Grey’s Anatomy ». Si personne ne sait ce qui va se passer une fois le rachat finalisé, la fusion pourrait virer au « bain de sang » avec au moins 4 000 licenciements prévus. Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, Stéphane Moïssakis, Perrine Quennesson et David Honnorat. CRÉDITS NoCiné Club est un hors-série de NoCiné animé par Thomas Rozec et produit par Binge Audio. Cet épisode a été enregistré le 18 février 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Solène Moulin. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. | |||
21 Feb 2019 | Le Chant du loup, touché coulé | 00:24:46 | |
Le sort d’un sous-marin nucléaire français, posté au large de la Syrie, dépend de l’Oreille d’Or. Cet officier à l’ouïe fine, joué par François Civil, butte sur un son inconnu. Son erreur met l’équipage en danger de mort alors qu’une frégate iranienne poursuit le submersible tricolore. Un spécialiste de géopolitique se trouve derrière la caméra : Antonin Baudry, auteur de la très applaudie bande dessinée « Quai d’Orsay ». Avec « Le Chant du loup », il fait ses premiers pas en tant que réalisateur. Des débuts pour ainsi dire ratés. Malgré un casting prometteur – Omar Sy, Reda Kateb, Mathieu Kassovitz – et une production ambitieuse, ce film reste étriqué jusqu’à la fin. La fiction française peine toujours autant à naviguer.
Animé par Thomas Rozec avec Julien Dupuy, Stéphane Moïssakis et Perrine Quennesson. RECOMMANDATIONS ET COUPS DE CŒUR LA RECO DE PERRINE : un film qui ne se relève pas de sa première partie « A Star Is Born » de Bradley Cooper LA RECO DE JULIEN : le magistral « Below » de David Twohy LA RECO DE STÉPHANE : un autre film de sous-marin impressionnant « Das Boot » de Wolfgang Petersen. Et bien sûr, Ad-onc-ana. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION Burn Out (Yann Gozlan, 2017), USS Alabama (Tony Scott, 1995), Roland Emmerich, Kursk (Thomas Vinterberg, 2018) CRÉDITS NoCiné est un podcast de Binge Audio animé par Thomas Rozec. Cet épisode a été enregistré le 18 février 2019 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Quentin Bresson. Générique : Corentin Kerdraon. Chargée de production : Juliette Livartowski. Chargée d’édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations. |