Les chroniques de la webradio Allô la Planète (Allo la Planète)

Pour ce numéro des Jeunes Explorateurs (diffusé sur la webradio de voyage Allo la Planète) Malone, Rose et Hugo interviewent Adam âgée de 12 ans.

Adam nous raconte son voyage avec ses parents et ses frères et sœurs pour un tour du monde depuis 2023 pendant 1ans en voiture de location et en bus. Ils ont fait les États-Unis, en passant par Los-Angeles, San-Francisco et Las Vegas avant de redescendre au sud de l’Amérique Latine en passant pas le Chili et Ushuaïa en Argentine, ils se trouvent à ce moment là en Bolivie et prévoit de remonter par le Pérou. Ils ont visité plusieurs monuments comme l’obélisque de Buenos Aires. Ils prévoient d’aller par la suite à Hawaï puis l’Australie et peut-être le Japon ainsi que l’Asie même si le choix de cette destination est encore incertaine à cause de leur budget. Il reste environ 3 jours et quelquefois une semaine à chacune de ses étapes.

Il passe la plupart de son temps libre à lire de type Fantastique grâce à des a liseuses électroniques mais aussi en jouant avec ses parents ou ses frères et sœurs à des jeux de société

Il partait auparavant à peut près une fois par ans en France dans les Alpes ou bien dans d’autres pays d’Outre-mer comme la Réunion ou la Guadeloupe et autres comme la Floride

Pour ce numéro des Jeunes Explorateurs (diffusé sur la webradio de voyage Allo la Planète) Malone et Hugo interviewent Nils âgée de 15 ans. 

Nils nous raconte son voyage nomade avec ses parents, son frère et ses deux sœurs pour un tour du monde en 2017 pendant 1ans avec comme moyen de locomotion le vélo en majorité, mais aussi en voiture, voilier et randonnée. Ils ont voyagé pendant 1 an au tour du monde dont 6 mois en Amérique du Sud. Ils sont également aller en dehors de celle-ci comme en Polynésie Française ou au Népal. Il a particulièrement adoré l’Amérique Latine plus précisément le Pérou qui la marqué par son histoire ainsi que les Incas. Il a pu visiter le Machu Picchu, L'Himalaya et autres. Auparavant Nils avait déjà voyagé notamment au Maroc.

Il passait la plupart de son temps libre à lire de type fantastique comme Harry Potter, Mais aussi des histoires plus « local », avec des livre sur l’histoire des Incas ou de la colonisation du Sud de l’Amérique grâce à des liseuses électroniques mais aussi en jouant avec ses parents ou son frère et ses sœurs à des jeux de société comme des jeux de cartes par exemple. Il est déjà parti auparavant en voyage à l’étranger au Maroc quand il était petit.

Pour ce numéro des Jeunes Explorateurs (diffusé sur la webradio de voyage Allo la Planète) Malone, Rose et Hugo interviewent Coline âgée de 14 ans. 

Coline nous raconte son voyage à vélo en Afrique en 2019. Un voyage de six mois qu’elle a fait avec ses parents, son grand frère et sa petite sœur, âgés alors, respectueusement de 12 et 7 ans à l’époque du voyage. Ils sont partis de chez eux, à Chambéry, sont allés jusqu’en Espagne en passant par le chemin de Compostelle. Puis, ils ont rejoint l’Afrique à bord d’un ferry, et ont continués leur périple via d’abord l’Atlas marocain, puis le désert mauritanien. Ils ont fini par le tour du Sénégal.

La famille dormait dans une tente qu’elle transportait dans les sacoches dans lesquelles elle mettait aussi tout ce dont elle avait besoin. Tout était réparti à l’arrière de leur vélo.

Coline nous raconte également « l’école en voyage ». C’était, selon elle, quelque peu orignal étant donné que les trois enfants avaient comme principal devoirs, l’écriture d’un cahier de voyage et comme principale leçon : « l’école de la vie ».

La jeune voyageuse nous témoigne aussi de la manière dont elle son frère et sœur occupaient leur temps libre, avec des jeux comme des jeux de cartes, des devinettes ou même en jouant au Tarot .

Pour ce numéro des Jeunes Explorateurs (diffusé sur la webradio de voyage Allo la Planète) Malone, Rose et Hugo interviewent Lou Andréa âgée de 12 ans. 

Lou Andréa vit une vie de nomade avec sa mère dans un van aménagé depuis un an, et pour une durée indéterminée. Lors de l’enregistrement du podcast, elle était en Normandie avec sa mère, pour les fêtes de fin d’année. Pour l’instant, Lou et sa mère sont restés exclusivement en France. Toutefois, elles envisagent de continuer une partie de leur vie de nomade à l’étranger. Elles avaient traversé, alors, une grande partie du sud de la France. Elles ont également été en Ardèche, en Savoie, en Haute-Savoie, ainsi que dans l’Aude.

Depuis leur départ, le duo mère-fille a beaucoup voyagé à travers diverse région et département en France, et a visité par exemple des sites archéologiques, mais aussi énormément de châteaux comme certains châteaux de la Loire

Lou Andréa nous raconte également comment se passe l’école en voyage, car elle ne suit pas le programme scolaire. Elle fait de l’IES (Instruction En Famille), une méthode de travail autonome assez original.

Elle explique également comment elle occupe son temps libre en lisant, en dessinant des dessins de manga en majorité ou encore en regardant des animés comme toilet bound hanako kun.  

Elle nous raconte également comment elle s’est faite des amis lors de l’événement nonscÔ. Il s’agit de rencontres entre familles déscolarisée. Mais aussi dans des éco-lieux qui sont des tiers-lieux communautaires où les gens peuvent cohabiter ensemble.

Dans la première chronique de l'émission "Bulle Sauvage", diffusée sur la webradio "Allô la Planète" et présentée par Audrey, l'accent est mis sur la nécessité de voyager de manière plus responsable, notamment en ce qui concerne les balades à dos d'éléphant. Cette pratique, courante en Asie du Sud-Est, est souvent perçue comme une activité exotique et amusante, mais elle est en réalité extrêmement cruelle pour les éléphants.

Les balades à dos d'éléphant, proposées en Thaïlande et dans l'Inde du Nord, sont progressivement interdites au Vietnam et au Cambodge. Les touristes, souvent inconscients des souffrances infligées aux animaux, participent à ces activités en raison de leur accessibilité et de la popularité des photos partagées sur les réseaux sociaux.

Le processus de dressage des éléphants, est brutal. Les éléphanteaux sont arrachés à leur mère, puis soumis à un dressage violent visant à briser leur volonté. Attachés avec des chaînes, confinés dans de petites cages, ils subissent de nombreuses maltraitances, notamment des brûlures, des électrocutions, et des privations de sommeil, de nourriture et d'eau. Environ un éléphanteau sur deux ne survit pas à ce traitement.

Une fois dressés, les éléphants sont utilisés pour porter des touristes pendant des heures sous une chaleur accablante. Cette exploitation excessive provoque des blessures graves, notamment sur leur dos, qui n'est pas conçu pour supporter de lourdes charges. Avec le temps, leur dos s'affaisse, témoignant de longues années de souffrance.

Audrey souligne qu'il existe des alternatives plus respectueuses, comme la visite de sanctuaires ou de centres de soins pour éléphants. Cependant, il faut se méfier des faux refuges qui exploitent également les animaux sous couvert de protection. Les véritables sanctuaires limitent le contact avec les éléphants et proposent des activités comme le bain ou le nourrissage, permettant une interaction respectueuse avec les animaux.

Enfin, observer les éléphants dans leur milieu naturel, sous la supervision de rangers, est l'option la plus éthique pour les voyageurs soucieux du bien-être animal. Audrey rappelle que le but de cette chronique est d'informer et non de moraliser, afin que les voyageurs puissent faire des choix éclairés et éthiques lors de leurs voyages.

Le thème de cette seconde chronique de "Bulle Sauvage", diffusée sur la webradio "Allô la Planète", est l'éco-volontariat. Une pratique qu'Audrey connaît bien pour l'avoir expérimentée pendant un an. L'éco-volontariat consiste à s'engager bénévolement pour des missions en faveur de l'environnement ou des animaux, en échange d'hébergement et de repas, sans confondre cela avec un stage rémunéré.

Ces missions, souvent situées dans des endroits reculés et nécessitant peu de compétences spécifiques, attirent principalement des jeunes entre 18 et 30 ans, disponibles pour des périodes prolongées. Cependant, Audrey met en garde contre les pièges qui se sont multipliés autour de l'éco-volontariat, avec certaines structures exploitant la tendance pour des gains lucratifs sous couvert d'engagement environnemental.

Il est crucial de bien se renseigner avant de s'engager. Beaucoup d'organismes proposent des missions "clé en main", souvent coûteuses, qui ne correspondent pas à des besoins locaux réels. Ces offres, bien que séduisantes, sont parfois de véritables arnaques, n'apportant aucune valeur ajoutée aux animaux concernés.

Pour éviter ces pièges, Audrey conseille de faire des recherches approfondies sur les structures avant de partir, en croisant les témoignages d'anciens volontaires et en s'assurant que les fonds versés servent à des projets concrets. Elle insiste sur l'importance de poser toutes les questions nécessaires avant de s'engager, notamment sur l'utilisation des fonds, les conditions de vie sur place, et les véritables besoins de l'association.

Les missions d’éco-volontariat authentiques peuvent être exigeantes, avec des conditions de vie parfois rudimentaires et un travail physique éprouvant. Les volontaires doivent être prêts à s'adapter et à supporter des situations difficiles, mais ces expériences peuvent être enrichissantes si elles sont bien préparées.

Enfin, Audrey rappelle que l'objectif principal est toujours le bien-être des animaux, ce qui signifie souvent limiter les contacts directs pour éviter l’imprégnation. Les volontaires doivent comprendre que leur confort n'est pas la priorité, mais que leur engagement peut réellement faire la différence pour les animaux et la cause qu'ils défendent.

Audrey encourage les futurs volontaires à bien choisir leur mission et à partager leurs expériences pour aider d'autres voyageurs à faire des choix éclairés.

Je crois bien que l’appel du voyage a toujours été là. Voir la carte du monde et les punaises des endroits où a été mon grand-père était une invitation à voir plus grand, à sortir de ma campagne. Découvrir de nouveaux horizons. Je lisais beaucoup pour voyager autrement. J’ai décidé d’être comédienne pour vivre de l’extraordinaire dans mon ordinaire. Je me souviens qu’à 18 ans, je rêvais avec ma sœur de nous acheter un VW et de parcourir la France. Je me disais qu’à 30 ans, je ferai le tour du monde avec ma famille. Trois ans plus tard je choisissais de faire une année sabbatique avant un burn-out et de voyager en Libye, Russie, Croatie, Sardaigne, Florence, St Jacques de Compostelle et Arizona. Ce dernier voyage n’a pas eu lieu car j’étais enceinte de 7 mois. Un autre voyage que celui-ci...

La Covid-19 est passée par là. Vivre l’empêchement à l’intérieur de soi et à l’extérieur. Une rupture amoureuse difficile en début 2022. Et un élan de vie surgit en moi au tout début d’une formation artistique “le seul en scène”. J’exprime à une stagiaire : “Je sais ce que je vais faire ! Je donne mon préavis pour fin juillet et je pars sur les routes.”  Les Coulisses d’une nomade en herbe est le carnet intime et vivant de ce que nous vivons avec ma fille en instruction en famille dans cette nouvelle aventure en van depuis l’été 2022. Une vie d’inconnu, d’émotions, d’ordinaire et d’extraordinaire, de liens humains, de nouveaux horizons, de rêves, ...
Dans le premier épisode, je t’explique comment je vais t’embarquer dans nos aventures : de-ci, de-là, par monts et par vaux, les chemins de traverse c’est ma spécialité. Pourquoi j’ai créé cette chronique. Je vais te lire aussi un extrait de l’ouvrage « Le chemin des estives » de Charles Wright.

D’épisode en épisode, tu vas faire partie de notre vie sans chronologie.

Dans cette nouvelle chronique Bulle Sauvage, diffusée sur la webradio Allô la Planète et présentée par Audrey, l'accent est mis sur l'importance d'adopter une approche éthique lors des voyages, notamment en ce qui concerne les interactions avec la faune marine. Elle invite les auditeurs à réfléchir sur les conséquences des excursions maritimes qui permettent d'observer ou de nager avec des animaux comme les dauphins, les baleines et les tortues.

Ces sorties, souvent commercialisées sous le nom de "dolphin watching" ou "whale watching", impliquent de nombreux bateaux cernant les animaux, les perturbant et générant un stress intense. Ce harcèlement peut entraîner des conséquences graves pour les cétacés, comme des modifications de leurs routes migratoires, une augmentation des dépenses énergétiques, des troubles du comportement, voire la séparation des mères et de leurs petits. L'utilisation des moteurs de bateaux perturbe également leur communication, et le bruit ainsi que les polluants générés peuvent causer des dommages physiologiques importants, comme des surdités ou des lésions d'organes.

Audrey met en garde contre la tentation de nager avec ces animaux, soulignant que cela contribue également à leur stress et peut même entraîner des fausses couches chez les femelles ou la transmission de maladies de l'homme aux cétacés. Les tortues marines, également souvent ciblées par ces excursions, peuvent être stressées par l'approche humaine, et il est crucial de les observer avec respect, sans les toucher ni les poursuivre.

Pour un tourisme plus respectueux, Audrey recommande de privilégier des excursions encadrées par des prestataires éthiques, utilisant des modes de déplacement doux comme les voiliers ou les kayaks, et respectant des règles strictes d'approche des animaux. Elle mentionne des labels comme le "High Quality Whale Watching" en Méditerranée, qui impose des limites strictes sur l'approche et l'observation des cétacés, et rappelle que chaque voyageur a un rôle à jouer en sensibilisant ses compagnons de voyage et en choisissant des excursions responsables.

Enfin, Audrey conclut en encourageant les voyageurs à se renseigner sur les labels de qualité et à adopter des gestes simples pour protéger la vie sous-marine, comme éviter de toucher les coraux ou de prélever des coquillages. Elle rappelle que l'observation respectueuse des animaux dans leur habitat naturel reste la meilleure option pour préserver leur bien-être.

Pour ce numéro des Jeunes Explorateurs (diffusé sur la webradio de voyage Allo la Planète) Malone et Hugo interviewent Luna et Liam âgée respectivement de 13 ans et 11 ans. 

Luna et Liam, deux frères et sœurs, sont partis en avril 2019 avec leur famille pour vivre une vie de nomade autour du monde en 4x4 avec une tente de toit. Ils ont changé de moyen de transport après l’épidémie du Covid-19 pour voyager en van, et cette fois ci avec deux tentes de toit. Au moment de l’interview ils se trouvaient en Thaïlande, vers Chiang Maï. La fratrie a traversé différent pays comme l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, le Maroc, le Portugal, la Turquie, la Géorgie, l’Arménie, l’Iran, le Pakistan, l’Inde, la Malaisie et le Cambodge. Ils étaient déjà partis en voyage auparavant, pour un voyage de deux mois en Martinique.

Le pays qu’ils ont le plus apprécié est la Turquie, où ils étaient restés un an et demi. Ils ont beaucoup aimé les paysages, ils ont trouvé les turcs très accueillant. Ils ont pu admirer les Montgolfières en Cappadoce. Ils ont également beaucoup apprécié les maisons troglodytes parce qu’ils devaient escalader pour pouvoir rentrer dans les maisons, mais aussi car ils ont trouvé très beau les habitation troglodytes éclairé dans la nuit. En Turquie ils ont pu visiter beaucoup de villes différentes, parmi elles, la capitale Ankara, visité également diverses mosquées comme Sainte-Sophie.

Les deux frères et sœurs occupent leur temps libre en jouant, en écrivant des histoires pour Liam, ou en dessinant pour Luna. Mais aussi en étudiant, car ils font tous les deux l’école à la maison depuis 8 ans au moment de l’interview. D’ailleurs, leur petite sœur de 8 ans, n’a jamais connu l’école. Le système d’école à la maison est une méthode d’apprentissage que les deux enfants affectionnent beaucoup car pour eux, cela leur permet de faire de la place à leur créativité.

Manon Milicher, rédactrice de Carnets d'Aventures, présente le sommaire du numéro 74 sur la webradio voyage Allo la Planète, centré sur le voyage sans avion. Ce numéro explore les vastes étendues du Grand Nord européen, accessibles à pied, à ski, à vélo ou en packraft, sans prendre l'avion. Un guide pratique accompagne les lecteurs pour rejoindre la Norvège, la Suède, et la Finlande par des moyens de transport doux, tels que le train, le bus, ou même le vélo.

En plus du Grand Nord, ce numéro s'intéresse aussi aux Pyrénées, en mettant en lumière des lieux emblématiques comme Gavarnie et le Mont Perdu. Ce numéro vise à encourager des voyages respectueux de l'environnement tout en découvrant la beauté des paysages naturels.

Le vélo, souvent qualifié de moyen de transport le plus rapide du monde, est célébré dans le numéro 72 de Carnets d'Aventures, consacré aux voyages à vélo. Ce numéro met en avant le pouvoir du vélo de transporter ses utilisateurs bien au-delà des simples kilomètres parcourus. Il ne s’agit pas d’un manuel, mais d’une véritable invitation à l’aventure, à l'évasion et à la découverte, à travers les récits et les images inspirantes des cyclo-voyageurs.

Le vélo est décrit comme un compagnon fidèle, capable de porter nos bagages et nos rêves d’aventure, tout en nous offrant la liberté de la contemplation et le luxe du temps retrouvé. Il est un vecteur de rencontres, un lien direct avec la nature, et un moyen de ressentir pleinement l’effort physique. Chaque vélo peut être adapté aux besoins et aux envies de son utilisateur, qu'il s'agisse d'une randonneuse, d'un Gravel, d'un VTT, d'un Fatbike, ou même d'un tandem.

Ce mode de transport polyvalent peut également s'associer à d'autres passions, comme l'escalade, le ski, le parapente, ou encore le surf, rendant chaque aventure unique. Le vélo se distingue aussi par son efficacité inégalée en tant que moyen de locomotion, une qualité qui en fait un choix central pour l’écomobilité de demain.

En somme, ce numéro de Carnets d'Aventures célèbre le vélo non seulement comme un outil de voyage, mais aussi comme un symbole de liberté, d'efficacité, et de connexion profonde avec l’environnement. Pour les auteurs et les cyclo-voyageurs mis en lumière, le vélo est bien plus qu'un simple moyen de transport ; c'est une manière de vivre et d'explorer le monde.

Un numéro que vous pouvez commandez sur le site du magazine Carnets d'Aventures

Pour ce numéro des Jeunes Explorateurs (diffusé sur la webradio de voyage Allo la Planète) Malone et Lilou interviewent Louis âgée de 11 ans. 

Louis a voyagé en Espagne pendant 1 mois où il a pu visiter plusieurs grandes villes espagnoles comme Barcelone, Grenade, Almeria, Rosat. Il a notamment remarqué la grande pollution qui touche c’est ville pendant son voyage, mais aussi des monuments célèbres, et de grande église comme par exemple la Sagrada Familia.

Le jeune voyageur à put manger également des plats typiques d’Espagne ainsi que des plats qui n’avait jamais pu goûter auparavant comme de l’oursin.

Il nous parle également de ses autres voyages qu’il a effectué par le passé. En 2019, il était parti en Asie du Sud-Est où il est passé par de nombreux pays comme la Malaisie, la Thaïlande, le Laos ou encore le Cambodge. Durant ces voyages, il a vu aussi de nombreux animaux comme des singes, des varans qui sont comme des crocodile mais plus petit et plus et plus dangereux. Louis a pu même voir et touché des éléphanteaux.

Dans cet épisode de La Chronique à Deux Roues diffusée sur la webradio des voyageurs Allô la Planète, Alessandra, animatrice passionnée, explore un sujet qui touche tous les cyclotouristes : comment voyager avec son vélo par avion. En cette période de vacances d'hiver, de nombreux cyclistes fuient le froid en direction du sud, vers des destinations comme l'Espagne, le Maroc ou encore la Grèce. Cependant, avant de profiter des routes ensoleillées, il faut surmonter un véritable casse-tête : le transport du vélo en avion.

Alessandra partage des anecdotes amusantes et des conseils pratiques pour emballer son vélo dans un carton, étape redoutée par la plupart des cyclistes. Plusieurs options s'offrent à vous : préparer le vélo chez soi et prendre un taxi, ou tout démonter à l'aéroport. Les deux choix apportent leur lot de défis : trouver un taxi assez grand, payer des frais supplémentaires ou encore se battre avec le ruban adhésif à l'aéroport. Alessandra souligne également les situations cocasses que cette préparation peut engendrer, comme devoir tout défaire à cause de la taille du carton, ou encore se retrouver sans outils indispensables à la dernière minute.

Elle propose aussi des idées innovantes pour faciliter ce processus, comme un service de location de cartons ou la possibilité de réutiliser ceux laissés par d'autres voyageurs. Cet épisode plein d'humour et de bonnes astuces vous donnera des clés pour éviter les tracas lors de votre prochain voyage à vélo.

Ne manquez pas cet épisode si vous prévoyez de voyager avec votre vélo ! Alessandra vous donne rendez-vous dans 15 jours pour une nouvelle aventure sur deux roues.

Dans cet épisode de La Chronique à Deux Roues, Alessandra aborde un sujet souvent redouté par les cyclotouristes : la pluie. En cette période de mauvais temps, la pluie peut être un frein pour ceux qui rêvent de voyages à vélo. Alessandra explore les différentes attitudes face à cette météo capricieuse, qu'on soit un optimiste, un nostalgique ou un pragmatique en quête de nouveaux itinéraires.

Elle partage une anecdote personnelle marquante, celle de son voyage en Norvège où, au lieu des paysages époustouflants qu’on lui avait promis, elle a eu droit à deux semaines de pluie, de brouillard et de froid glacial. Face à ce type de situation, chaque cycliste adopte une approche différente. Il y a ceux qui persistent coûte que coûte, avançant malgré la tempête, et ceux qui préfèrent attendre que le mauvais temps passe, profitant de l'occasion pour se reposer ou découvrir les environs.

Les profils des cyclistes face à la pluie sont variés : le jusqu’au-boutiste qui allonge les étapes pour échapper aux perturbations, le fataliste qui avance sous la pluie, ou encore le stratège qui essaie de contourner les intempéries en consultant la météo. Alessandra se reconnaît dans plusieurs de ces profils et partage sa propre stratégie : changer de cap et viser le soleil lorsque cela devient insupportable, comme elle l'a fait en Norvège en décidant de se diriger vers la Suède.

Cet épisode, plein d’humour et de réalisme, est un rappel que la pluie fait partie de l’aventure à vélo, mais qu’elle offre aussi des opportunités de repos et de réflexion.

Dans cet épisode de La Chronique à Deux Roues diffusée sur la webradio des voyageurs Allô la Planète, Alessandra aborde un sujet crucial pour l'avenir du vélo en milieu urbain et rural : la place du vélo dans nos villes et la transformation des infrastructures pour une mobilité plus durable. Alors que la France progresse lentement dans sa politique cyclable, d'autres pays européens sont déjà à l'avant-garde, et Alessandra nous invite à découvrir un concept fascinant : les Fahrradstrasse.

En Suisse et en Allemagne, notamment à Bâle et Fribourg, ces "rues pour vélos" offrent un modèle où le vélo devient le moyen de transport prioritaire, inversant la hiérarchie habituelle entre voitures et vélos. Contrairement aux pistes cyclables classiques, les Fahrradstrasse permettent aux cyclistes de circuler sur toute la largeur de la rue, tandis que les voitures doivent se contenter de l'espace restant et rouler doucement. C'est un véritable renversement des mœurs, où les véhicules motorisés ne sont plus les rois de la route.

Alessandra souligne l'impact de ces aménagements sur la qualité de vie urbaine : moins de bruit, moins de pollution, et une circulation apaisée, partagée équitablement entre tous les usagers de la route. Bien que les Fahrradstrasse ne représentent qu'une partie du réseau cyclable de ces villes, elles symbolisent un changement de paradigme dans la mobilité urbaine, montrant qu'une autre manière d'organiser l'espace public est possible.

Elle termine en nous invitant à explorer ces espaces uniques en Suisse, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Autriche et en Suède, où le vélo règne en maître, tout en posant une question essentielle : sommes-nous prêts à changer nos priorités en matière de mobilité pour un avenir plus serein et durable ?

Dans cet épisode de La Chronique à Deux Roues, Alessandra nous plonge dans une réflexion inattendue mais essentielle à l'approche de l'hiver : le choix des vestes thermiques pour les cyclistes, et plus particulièrement la question des couleurs proposées aux femmes. En plein Black Friday, alors qu'elle cherche une veste pour affronter le froid à vélo, elle constate avec surprise que les modèles féminins sont non seulement plus limités que ceux des hommes, mais surtout proposés dans des couleurs sombres, peu visibles sur la route.

Alessandra rappelle que les études sur la visibilité des cyclistes sont claires : pour être vus, il vaut mieux porter du jaune ou du vert fluo. Pourtant, la majorité des vestes féminines sont proposées en noir, bordeaux, ou bleu foncé, des couleurs qui, paradoxalement, rendent les cyclistes plus difficiles à repérer, notamment en hiver, lorsque la lumière est faible.

Elle s'interroge alors sur la différence de traitement entre les collections pour hommes et pour femmes, où les vestes fluo sont plus fréquentes dans les catalogues masculins. Est-ce un choix délibéré des marques, ou une réponse à la demande des consommatrices qui préfèrent des couleurs plus discrètes, même au détriment de la sécurité ?

En filigrane, Alessandra aborde une question sociologique plus large : pourquoi les femmes doivent-elles être moins visibles dans l'espace public ? Est-ce un héritage de normes historiques sur les vêtements et la féminité, ou simplement un problème de design industriel ?

Face à cette situation, Alessandra envisage de se tourner vers les rayons hommes pour trouver une veste qui, bien que moins ajustée, assurera sa sécurité sur la route. Une réflexion à la fois amusante et sérieuse sur l'importance de la sécurité à vélo, et sur la manière dont les marques devraient repenser leurs gammes pour répondre aux vrais besoins des cyclistes, hommes et femmes.

Mots-clés SEO : veste thermique cyclisme, sécurité à vélo, visibilité cyclistes, Black Friday vélo, vêtements femmes vélo, couleurs vestes cyclisme, mode cycliste hiver, équipement cyclisme sécurité.

Dans cet épisode du podcast Bulle Sauvage, animé par Audrey Teillet sur la webradio Allô la Planète, nous plongeons au cœur de la rencontre avec les animaux sauvages lors de nos aventures en pleine nature. Que ce soit en randonnée, en trek ou lors d'une nuit en bivouac, il arrive de croiser le chemin d'animaux fascinants. Mais comment interagir avec eux sans perturber leur habitat naturel ?

L'épisode met en lumière les erreurs fréquentes des randonneurs et touristes qui, en voulant se rapprocher de la faune, causent souvent des dommages. L'un des comportements les plus problématiques est le nourrissage des animaux sauvages. Que ce soit des canards en France, des écureuils en Amérique du Nord, ou encore des singes en Asie, l'alimentation artificielle perturbe leur régime et peut entraîner des problèmes de santé graves, des carences alimentaires, voire la mort.

Les conséquences vont au-delà de la simple perturbation alimentaire. Les animaux nourris par l'homme perdent leur instinct de survie et développent une dépendance. Cette proximité avec les humains accroît aussi les risques d'agressions, comme cela s’est produit avec des singes en Asie, ou encore avec une otarie en Afrique du Sud, harcelée par des touristes pour des selfies, provoquant sa mort.

L'épisode aborde également la rencontre avec des espèces potentiellement dangereuses comme les ours en Amérique du Nord ou les serpents en France. Il est essentiel d'adopter les bons comportements : faire du bruit pour prévenir sa présence, éviter de s'approcher, et en cas de rencontre, rester calme et ne pas fuir. Des solutions simples, comme utiliser un bâton de marche ou éviter de s'écarter des sentiers, permettent de minimiser les risques.

Audrey Teillet nous rappelle à travers ce podcast que chaque rencontre avec un animal sauvage est un moment précieux, mais qu'il est crucial de respecter leur espace et leurs besoins pour que la cohabitation reste harmonieuse.

Écoutez cet épisode dès maintenant sur Allô la Planète et découvrez comment profiter pleinement de ces rencontres uniques tout en respectant la faune sauvage.

La chronique "Carnets d’Aventures" sur la webradio Allô la Planète met à l’honneur le magazine de voyage sans moteur et en bivouac. Animée par Flo, l’épisode présente une interview de Manon Millischer, rédactrice du magazine, qui nous dévoile le sommaire du numéro 73. Deux destinations phares sont à l’honneur pour cet automne : l'Islande et le Massif Central.

Ce numéro volcanique promet une exploration fascinante de ces régions aux paysages contrastés. Manon nous partage comment ces deux territoires, bien que géographiquement éloignés, partagent des points communs surprenants : des gorges profondes, des sources naturelles, des hivers rudes et des paysages à couper le souffle. L'Islande, avec ses glaciers, montagnes et fjords, incarne un paradis sauvage attirant les amoureux de grands espaces. Le Massif Central, quant à lui, avec ses volcans comme le plateau du Cézalier et les gorges du Tarn, offre une immersion tout aussi envoûtante au cœur de la nature française.

Un numéro que vous pouvez commandez sur le site du magazine Carnets d'Aventures.

La chronique "Carnets d'Aventures" sur la webradio Allô la Planète présente un magazine de voyage axé sur le mode de déplacement sans moteur et le bivouac. Dans cet épisode, animé par Flo, nous découvrons une interview de Manon Millischer, rédactrice en chef du magazine, qui nous parle du nouveau numéro 74. Ce numéro est consacré au Grand Nord et aux Pyrénées, en mode doux, avec des moyens de transport alternatifs comme le train, le vélo et le ski.

Manon nous partage divers récits inspirants, dont celui d’une voyageuse qui part de Bretagne pour rejoindre les îles Lofoten en Norvège, à vélo. Elle explique comment atteindre le Grand Nord sans prendre l’avion, en privilégiant des moyens comme le train ou le ferry, rendant le voyage plus écologique et immersif. Le magazine met également en avant une famille qui se lance dans une aventure de ski de randonnée nordique dans les îles Lofoten, ainsi que des explorations en Laponie finlandaise à pied ou en packraft sur les lacs suédois du Dalsland.

Un aspect notable de ce numéro est l’accent mis sur les femmes voyageant en solo, avec plusieurs témoignages inspirants de femmes qui parcourent ces territoires reculés. De plus, des conseils pratiques sont donnés pour financer ce type de voyages, gérer la logistique (comme l’équipement et les sacoches) et voyager dans des pays coûteux tout en restant dans un budget raisonnable.

Ce numéro 74 de Carnets d'Aventures est disponible en kiosque jusqu’à fin mars. Si vous l’avez manqué, vous pouvez toujours le commander sur le site officiel du magazine, Expemag.com.

La chronique "Carnets d'Aventures" sur la webradio Allô la Planète vous emmène dans une nouvelle exploration du voyage sans moteur, toujours en mode doux et respectueux de l'environnement. Animée par Flo, cette édition propose une interview captivante avec Manon Millischer, rédactrice en cheffe du magazine, qui nous dévoile les thématiques du dernier numéro. Après une immersion dans le Grand Nord européen sans avion, cette nouvelle chronique nous conduit vers les Pyrénées, avec des itinéraires de randonnée, de vélo, et même de ski de randonnée.

Manon nous invite à découvrir des parcours dans le massif de Gavarnie et le Mont Perdu, un site transfrontalier entre la France et l’Espagne, idéal pour des treks à la portée de tous. Que vous soyez novice ou expérimenté, ces paysages grandioses offrent des options pour tous les niveaux, allant des balades accessibles à des circuits plus techniques comme la randonnée à ski.

Ce numéro explore également des astuces "système D" avec des récits de voyageurs créatifs qui fabriquent leur propre matériel, comme un couple ayant conçu des sacoches de vélo à partir de seaux du commerce. Ces témoignages, accompagnés de tutoriels, inspireront les aventuriers à bricoler leur équipement pour leurs propres périples.

Une autre partie fascinante de ce numéro est dédiée aux aurores boréales. Guillaume Blanc décrypte la science derrière ces phénomènes naturels captivants, en expliquant leur lien avec l’activité solaire et pourquoi elles varient en couleur et en intensité. Pour ceux qui rêvent de voir ces lumières magiques, ce guide est un incontournable.

Enfin, la chronique aborde des sujets variés comme la motivation en voyage, grâce à une analyse de David Maniz sur la gestion de l’énergie, ainsi que des recommandations culturelles dans le coin des livres, films et podcasts.

Le magazine Carnets d'Aventures, disponible dans les kiosques en France, peut également être commandé sur le site officiel Expemag.com si vous ne le trouvez plus en magasin.

Dans la chronique 1#  Boris part en live de l'émission Voyage sans ailes sur allo la planète, Boris souligne l'importance du sourire, un geste simple qui crée des connexions positives. Il raconte comment, que ce soit en voyage ou dans la vie quotidienne, un sourire sincère brise les barrières et facilite les rencontres. Boris aime offrir des sourires aux inconnus qu’il croise, récoltant des échanges chaleureux en retour. Il conclut en conseillant de sourire à la vie, car c’est un passeport gratuit pour générer de la joie et des rencontres.

Dans cet épisode de Bulle Sauvage, diffusé sur la webradio Allô la Planète et animé par Audrey Teillet, nous plongeons dans le sujet délicat du commerce d'objets souvenirs fabriqués à partir d'animaux sauvages. Faciles à trouver sur les marchés du monde entier, ces objets peuvent sembler innocents, mais leur achat alimente un trafic destructeur pour la biodiversité.

Audrey aborde des exemples d'objets courants fabriqués à partir de parties d'animaux sauvages, comme l'ivoire, les cornes de rhinocéros, ou encore les carapaces de tortues. Le commerce de ces articles, bien que parfois illégal, persiste et continue de nuire à des espèces déjà menacées. Elle rappelle que si certains d'entre nous sont conscients de l'impact de l'achat d'ivoire, il existe des alternatives comme l'ivoire végétal, une solution écologique et respectueuse de l'environnement.

Un fait surprenant souligné dans cet épisode est le commerce des hippocampes, capturés par millions chaque année pour être utilisés dans la médecine traditionnelle ou vendus comme souvenirs séchés. Ce commerce affecte gravement les populations d'hippocampes, tout comme le marché des peaux et fourrures d’animaux, dont les sacs à main en peau de serpent ou les écharpes en laine d'antilope.

Audrey met également en lumière des objets qui peuvent sembler inoffensifs, comme les porte-clés avec des animaux vivants, vendus en Chine. Ces animaux, enfermés dans de petites poches en plastique, vivent dans des conditions cruelles et meurent rapidement après l'achat. Ce commerce cruel n'est pas toujours visible aux yeux des touristes, mais contribue à une souffrance animale silencieuse.

Audrey termine l’épisode en expliquant les réglementations comme la Convention de Washington (CITES), qui vise à protéger les espèces menacées à l’échelle internationale. Elle encourage les voyageurs à se poser les bonnes questions avant d'acheter des souvenirs : est-ce nécessaire ? Connaissons-nous vraiment l'origine de ces objets ? Et surtout, quel impact avons-nous sur la nature en tant que consommateurs ?

Dans cette sixième interview de l’émission Jeunes Explorateurs sur Allô la Planète, Malone et Hugo accueillent Titouan, un jeune aventurier de 12 ans. En 2019, avec ses parents et sa sœur, Titouan a parcouru l’Europe en camping-car pendant 8 mois. Du Portugal à la Norvège, en passant par la Finlande et la Roumanie, il raconte ses découvertes, ses moments forts et les défis rencontrés, comme une fuite de toilettes en Espagne ! Passionné de voyage et de nature, Titouan partage son amour pour la liberté qu’offre le camping-car. Il évoque aussi son prochain projet pour 2025 : un tour du monde en famille, avec des étapes au Canada, en Nouvelle-Zélande, et même un projet humanitaire dans l’Himalaya. Malgré les défis, il encourage les auditeurs à toujours croire en leurs rêves, même les plus fous.

Dans ce deuxième épisode de la chronique Boris part en live, dans voyage sans ailes sur la webradio de voyage Allo la planète, Boris nous invite à lâcher prise et à oser l’imprévu, que ce soit en voyage ou dans la vie quotidienne. Il partage son évolution personnelle : d’un mode de vie très organisé à une approche plus spontanée. Pour lui, les aléas et les rencontres imprévues sont souvent les meilleurs souvenirs d’aventure. Il encourage chacun à se laisser porter par l’inconnu, car c’est là que réside la véritable magie du voyage.

Pour ce numéro des Jeunes Explorateurs  (diffusé sur la webradio de voyage Allo la Planète) Malone et Lilou interviewent Élisa et Mateo âgée de 13 et 11 ans. 

Ils naviguent depuis trois ans à travers les îles de la Polynésie à bord de leur catamaran familial. Lors de l’interview, ils racontent leur quotidien à bord, entre études à distance avec le CNED et exploration des paysages marins. Les deux jeunes aventuriers évoquent les rencontres avec d'autres familles voyageant en bateau, leurs activités de pêche et de plongée, ainsi que les traditions locales qu'ils découvrent au fil de leur périple. Malgré les défis de la vie en mer, comme les tempêtes ou le mal de mer, Elisa et Matteo s’épanouissent pleinement dans cette aventure unique, qu’ils souhaitent prolonger encore longtemps.

Nouvel épisode de la chronique "Les coulisses d'une nomade en herbe" animée par Nadia Bertrand sur la webradio Allô la Planète, dédiée aux aventuriers en quête de liberté. Dans cet épisode intitulé "Partir", Nadia nous dévoile les étapes émotionnelles et les défis de son départ pour une vie nomade en van, loin de la sécurité du foyer.

Un départ pour une nouvelle vie
Nadia nous raconte le moment décisif où elle a rendu les clés de sa maison. Avant de se lancer sur les routes, elle choisit de passer du temps entourée de ses proches, de ressentir cette connexion essentielle qui nourrit son cœur. Puis vient le grand saut. Nadia, accompagnée de sa fille, se lance dans l’aventure d’une vie sur les routes. Au fil de l’épisode, elle partage avec émotion ses premiers pas dans ce nouveau quotidien. Peurs, angoisses et questionnements se mêlent à l’excitation de l’inconnu. Ce choix de vie est aussi l’occasion de se confronter à ses limites, de surmonter ses croyances et d’accepter ce que le voyage lui réserve.

Un voyage de découvertes et de rencontres
Loin d’être un simple périple géographique, ce voyage devient une quête intérieure. Nadia parle de son séjour en Aveyron, une invitation spontanée qui se transforme en deux semaines d’échanges enrichissants. Elle explore sa propre définition du nomadisme, distinct de celle des autres voyageurs. Ce cheminement est également un retour à sa propre essence, à ce désir profond de mouvement, de liberté et d’expression artistique.

Un équilibre à trouver
Au fil de cet épisode, Nadia partage ses réflexions sur l’équilibre entre ses propres désirs, ceux de sa fille, et les exigences du quotidien. Ce mode de vie demande d’ajuster en permanence ses priorités, de réinventer ses projets créatifs comme Les Inachevés, une installation artistique itinérante qu’elle souhaite développer sur la route.

Écoutez cet épisode et explorez les chemins de traverse de Nadia Bertrand

Cet épisode de la chronique "Les coulisses d'une nomade en herbe" est un témoignage sincère et inspirant sur le départ, le choix de la liberté et le dépassement de soi. Pour découvrir d’autres chroniques de voyage, rendez-vous sur le site d’Allô la Planète et suivez l’émission sur votre plateforme de podcast préférée.

Dans ce troisième épisode de la chronique "Les coulisses d'une nomade en herbe", animée par Nadia Bertrand sur la webradio dédiée au voyage, Allô la Planète, Nadia partage un moment clé de son aventure nomade : le choix de partir. Une décision marquée par de nombreuses épreuves, mais aussi par la conviction profonde que cette nouvelle vie sur les routes est le bon chemin.

Un départ décisif
Nadia raconte le moment précis où elle a pris la décision de quitter sa vie sédentaire. Un stage à Lyon, un élan de joie immense et, soudainement, l'annonce de sa décision à une personne qu’elle ne connaissait pas. Cette déclaration spontanée a marqué le début d’un tournant majeur. Cependant, les doutes n’ont pas tardé à refaire surface. Le lendemain, les peurs, incarnées par "M. Mental", l’ont assaillie. S’en suivent des accidents et des défis physiques et émotionnels, comme un accident de moto deux mois avant le départ, qui mettent sa détermination à l’épreuve. Malgré tout, Nadia choisit de tenir le cap.

Des obstacles sur le chemin
La route vers la liberté n’a pas été facile. Entre blessures physiques et blessures émotionnelles, Nadia a dû surmonter bien plus que des obstacles matériels. Elle nous parle des moments de doute, de l’autosabotage, et des épreuves qui l’ont forgée. Elle remercie, dans cette chronique, les amis et proches qui l’ont soutenue, ceux qui l’ont aidée à aménager son van, et surtout ceux qui ont cru en elle, même quand elle doutait d’elle-même.

Liberté et renoncements
Nadia évoque également la difficulté de se séparer de ses compagnons de route : ses deux chattes. Un véritable apprentissage de l’amour inconditionnel et du lâcher-prise. Elle comprend que leur départ est aussi une forme de libération pour elle, lui permettant de se reconnecter à l’essence de la vie nomade : la liberté de s’arrêter où bon lui semble, sans attaches ni contraintes.

Écoutez cet épisode sur Allô la Planète et découvrez comment Nadia Bertrand transforme chaque obstacle en opportunité de croissance personnelle.

Dans cet épisode intitulé "La route de mes pensées", Nadia Bertrand, animatrice de la chronique "Les coulisses d'une nomade en herbe" sur la webradio Allô la Planète, partage ses réflexions sur le mode de vie nomade et l’équilibre entre liberté et contraintes. Ce nouvel épisode explore les interrogations, les doutes et les remises en question d’une mère nomade, tout en mettant en lumière la richesse de ce choix de vie atypique.

Entre liberté et questionnements
Nadia Bertrand se confie sur les doutes qui l’habitent quant à la poursuite de sa vie nomade. Elle exprime son besoin de mouvement, ancré dans son ADN, et se questionne sur l’impact de ce choix sur sa fille. Leur van de 6 m², bien que spacieux en plein été sous le ciel étoilé, devient étroit et contraignant en hiver. Le désir de stabilité et de confort pour sa fille se confronte à son besoin de liberté et de mouvement constant. Entre culpabilité et gratitude, Nadia trouve un équilibre fragile en se rappelant que tout est une question de choix, qu’il soit sédentaire ou nomade.

Des moments d’introspection et de renouveau
À travers ce témoignage sincère, Nadia nous parle de sa recherche de moments pour elle-même, d’intimité et de réflexion. Elle évoque la transformation de son van avec une tente de toit, permettant à chacune de trouver son espace personnel. Cette chambre d’ado improvisée devient un symbole de liberté et de détente. Nadia évoque aussi les difficultés du quotidien : accidents, blessures, doutes et les peurs qui jalonnent leur aventure. Malgré tout, elle continue de tenir le cap, avec la conviction que chaque obstacle est une opportunité de croissance personnelle.

Un nomadisme en famille, un choix de vie à réinventer
Dans cet épisode, Nadia parle des liens qu’elles tissent sur la route, des rencontres qui nourrissent et transforment. À travers des séjours en écolieux, chez des amis ou des inconnus, chaque arrêt est l’occasion de découvrir un nouvel environnement et de vivre une aventure humaine unique. Le nomadisme devient alors une exploration de soi, une redéfinition constante des priorités et des aspirations.

Écoutez cet épisode sur Allô la Planète et plongez dans les pensées intimes de Nadia Bertrand, entre doutes, découvertes et émerveillements.

Dans cet épisode de la chronique “Les coulisses d’une nomade en herbe”, animée par Nadia Bertrand sur la webradio Allô la Planète, l’animatrice nous partage son expérience de traversée de la frontière vers l’Espagne. Entre appréhensions et émerveillements, cet épisode raconte un voyage riche en péripéties et rencontres inoubliables.

Une première traversée en van, riche en émotions
Nadia nous confie que, bien qu’elle ait voyagé seule par le passé, cette traversée vers le sud de l’Europe en tant que maman a réveillé en elle de nombreuses angoisses. Pourtant, elle a décidé de ne pas laisser ses peurs la paralyser et s’est inscrite à un séjour d’écriture à Valencia. Cette destination a été un moteur, l’obligeant à aller au bout de son projet malgré les incertitudes. Sur la route, à peine arrivée à Barcelone, son van tombe en panne. Un moment qui aurait pu tout chambouler, mais qui se transforme en une magnifique aventure humaine.

Des rencontres inespérées
Le récit de Nadia prend une tournure inattendue lorsqu’un Espagnol, véritable “ange-gardien”, l’aide tout au long de la panne. Il la guide vers un garagiste, mobilise son réseau pour réparer son véhicule et l’accueille chez lui, lui offrant même le dîner en famille. Nadia découvre alors la générosité spontanée des gens du voyage. Cette expérience marque profondément l’animatrice, qui ressent une immense gratitude envers ces personnes qui l’ont aidée à surmonter cet obstacle.

Vivre pleinement l’Espagne
Une fois la panne résolue, Nadia et sa fille profitent de leur séjour en Espagne. Elles explorent la mer, les montagnes et les forêts, découvrant une multitude de paysages. Malgré les nuits froides sans chauffage dans le van, elles apprécient chaque instant, se réchauffant sous la couette ou dans les bras l’une de l’autre. Cette aventure, qui semblait si incertaine au départ, devient un merveilleux souvenir de partage et de liberté.

Un voyage au-delà des frontières intérieures
Dans cet épisode, Nadia nous montre que la véritable traversée n’est pas seulement géographique, mais aussi émotionnelle. Surmonter ses peurs, s’ouvrir aux autres et faire confiance à la vie sont autant de messages inspirants qu’elle nous délivre.

Présentation de la chronique
“Les coulisses d'une nomade en herbe” est une chronique inspirante animée par Nadia Bertrand sur la webradio Allô la Planète, dédiée à la vie nomade et au voyage. Chaque épisode plonge les auditeurs dans le quotidien de Nadia, qui partage ses expériences sur la route, ses réflexions et ses découvertes. À travers ses récits, elle nous fait vivre les moments intenses et les défis d’une vie nomade.

Épisode #6 : L’aménagement du van
Dans cet épisode, Nadia Bertrand nous raconte comment elle a transformé son van, surnommé “Arthur Frankenstein”, pour en faire un espace de vie confortable et fonctionnel. Aménager un van n’est pas un projet simple, mais Nadia a relevé le défi en se formant sur le terrain, grâce aux conseils d’autres nomades et aux ateliers qu’elle a suivis. De l’isolation aux panneaux solaires, en passant par le lit peigne, chaque étape de l’aménagement a été pensée pour répondre à leurs besoins, tout en respectant leur mode de vie minimaliste.

Un aménagement qui évolue au fil des expériences
Nadia partage avec les auditeurs les différentes étapes de l’aménagement, de la conception initiale aux ajustements réalisés après plusieurs mois sur les routes. Le van a été réaménagé pour intégrer de nouveaux rangements, mais aussi pour s’adapter aux besoins de sa fille, qui a désormais son propre espace sous une tente de toit, créant ainsi un duplex mobile. Nadia souligne l’importance de définir ses priorités et de trouver des solutions créatives pour optimiser l’espace réduit d’un véhicule.

Des rencontres inspirantes et solidaires
Cet épisode met aussi en lumière la solidarité et l’entraide au sein de la communauté nomade. Des amis, des membres de groupes Facebook et des inconnus rencontrés lors de ses voyages ont contribué à chaque étape de l’aménagement. Que ce soit pour la conception électrique ou la création de nouveaux rangements, Nadia a bénéficié de précieux conseils et de soutien. Cette solidarité fait partie intégrante de la vie sur les routes, où chaque difficulté devient une opportunité de partage.

Pourquoi écouter cet épisode ?
“L’aménagement du van” est un épisode incontournable pour tous ceux qui souhaitent se lancer dans le nomadisme ou aménager leur propre véhicule. Découvrez les astuces, les écueils à éviter et les témoignages d’une femme qui a transformé son rêve en réalité.

Où écouter cet épisode ?

Retrouvez “L’aménagement du van” et les autres épisodes de “Les coulisses d'une nomade en herbe” sur le site d’Allô la Planète ou sur votre plateforme de podcast préférée.

Présentation de la chronique
“Les coulisses d’une nomade en herbe” est une série animée par Nadia Bertrand sur la webradio Allô la Planète. Cette chronique plonge les auditeurs dans la réalité du nomadisme à travers les aventures, les défis et les petites joies du quotidien d’une femme qui a choisi de vivre sur les routes avec sa fille. La webradio Allô la Planète, dédiée aux voyageurs, explore les différentes façons de découvrir le monde, que ce soit par des récits de voyage ou des témoignages inspirants.

Épisode #7 : Nos péripéties style Gaston Lagaffe
Dans cet épisode, Nadia revient avec humour et légèreté sur ses mésaventures de nomade. Du GPS qui l’emmène dans des ruelles bien trop étroites aux pannes mécaniques au beau milieu de la campagne espagnole, chaque histoire met en lumière les imprévus du voyage en van. Ces situations cocasses et parfois stressantes sont racontées avec beaucoup de dérision, prouvant que les obstacles rencontrés sur la route se transforment souvent en souvenirs inoubliables.

Des moments de frayeur transformés en fous rires
Que ce soit le jour où son van est resté coincé dans un champ en Haute-Savoie, ou encore lorsqu’un chemin impraticable a laissé des stigmates indélébiles sur la carrosserie, Nadia décrit chaque expérience avec une pointe d’humour et de recul. Ces situations, qui auraient pu être sources de stress, sont finalement devenues des anecdotes partagées et appréciées au fil des kilomètres. Nadia souligne l’importance de garder son calme et de faire confiance à l’entraide, qu’il s’agisse de randonneurs rencontrés par hasard ou de voisins de bivouac.

Les leçons tirées des péripéties
Vivre en van, c’est aussi partager son espace avec la nature… et ses habitants. Dans cet épisode, Nadia raconte comment des colonies de fourmis et des invasions de punaises se sont invitées dans leur quotidien nomade. Loin de se laisser abattre, elle s’est adaptée avec patience et persévérance. Ces petites bêtes, symboles des défis de la vie nomade, sont devenues pour elle des enseignements sur la résilience et l’acceptation.

Pourquoi écouter cet épisode ?
“Nos péripéties style Gaston Lagaffe” est un épisode drôle et inspirant qui montre que, même lorsque tout semble aller de travers, il est possible de voir le bon côté des choses et de continuer à avancer. Un témoignage authentique qui ravira les auditeurs de Allô la Planète et tous ceux qui s’intéressent à la vie nomade.

Où écouter cet épisode ?

Retrouvez “Nos péripéties style Gaston Lagaffe” sur Allô la Planète ou sur votre plateforme de podcast préférée.

Dans cet épisode de la chronique "Les coulisses d'une nomade en herbe", animée par Nadia Bertrand sur la webradio Allô la Planète, l'animatrice partage les bienfaits inattendus de son aventure nomade. Plus qu'un simple voyage, c'est une opportunité unique de tisser de nouveaux liens avec sa famille, en particulier avec sa maman. Nadia dévoile comment cette nouvelle vie sur les routes a contribué à apaiser les relations familiales et à se reconnecter en profondeur avec ses proches.

Un voyage vers soi et les autres
Loin de se limiter aux aventures et aux découvertes, ce parcours sur les routes est aussi une introspection et une reconnexion familiale. Nadia explique comment le temps passé avec sa mère, qui autrefois était limité et source de tensions, s'est transformé en un véritable moment de partage et de complicité. Les longues discussions, les repas ensemble et la découverte de l’histoire familiale ont permis de renforcer leur lien, de mieux se comprendre et d’apprendre à apprécier chaque moment passé ensemble.

Le nomadisme, un chemin de guérison
Au-delà de l’aspect familial, Nadia revient sur les effets thérapeutiques de sa vie nomade. Ce mode de vie a contribué à apaiser ses blessures du passé, tout en redonnant du sens à ses choix de vie. Elle partage ses réflexions sur la lignée féminine et le rapport au masculin dans sa famille, soulignant comment ce voyage répare peu à peu les relations. Le nomadisme devient alors une forme de thérapie itinérante, un moyen de faire la paix avec soi-même et ses proches.

Pourquoi écouter cet épisode ?
"Des liens qui se tissent" est un épisode tout en douceur et en émotions, idéal pour celles et ceux qui s’interrogent sur l’importance des relations familiales et leur impact sur le bien-être. Nadia Bertrand y raconte comment le nomadisme, souvent perçu comme une fuite ou une quête extérieure, peut aussi être un retour à soi et à sa famille. Une belle leçon de vie, emplie d’espoir et de gratitude.

Dans cet épisode #9 de la chronique "Les coulisses d'une nomade en herbe" sur la webradio Allô la Planète, Nadia Bertrand partage une réflexion profonde sur l’intimité et la création artistique, deux thèmes qui se tissent au fil de son voyage nomade.

Se dévoiler à travers l’art

Pour Nadia, l’intimité dépasse les relations humaines. Elle inclut également la relation à soi-même et à ses créations. Dans cet épisode, elle nous parle de sa performance artistique Les Inachevés, présentée lors d’un festival dans un écolieu, le Manoir de la Graie. Cette performance, à la fois personnelle et engagée, touche son public au point de provoquer des larmes et des étreintes. Nadia y libère sa parole en tant que femme et artiste, abordant ses projets inachevés, ses doutes, mais aussi ses aspirations. Ce processus d’expression lui permet de faire face à ses peurs et ses blocages, tout en créant une connexion sincère avec le public.

Les défis de la création nomade

Être artiste et nomade présente de nombreux défis. Nadia nous confie ses résistances, les doutes qui l’ont accompagnée tout au long de la création de Les Inachevés. Elle évoque également les difficultés de la vie sur les routes, le manque de ressources financières et les questionnements sur l’utilité de son travail. Malgré ces obstacles, elle se sent portée par un élan vital qui l’incite à poursuivre, convaincue que son art a le pouvoir de libérer les émotions et de nourrir les consciences.

Vers une tournée artistique itinérante

Avec cet épisode, Nadia annonce son désir de faire vivre Les Inachevés à travers une tournée artistique nomade, en allant à la rencontre de nouveaux publics. Cette démarche s’inscrit dans sa volonté de créer du lien, de partager son expérience, et d’amener les spectateurs à se reconnecter à eux-mêmes.

L’intimité au cœur du prochain épisode

Nadia termine cet épisode en laissant entrevoir le thème de sa prochaine chronique : l’intimité. Elle nous offre une citation inspirante de Gérard Leleux pour introduire cette réflexion, rappelant que l’intimité, c’est oser montrer sa vulnérabilité, ses forces et ses faiblesses.

Dans cet épisode #10 de la chronique "Les coulisses d'une nomade en herbe", diffusée sur la webradio Allô la Planète, Nadia Bertrand nous propose un échange unique avec Jules, un jeune voyageur de retour d’un périple de 8 mois à vélo à travers l'Europe et les Balkans. Ce témoignage authentique et inspirant met en lumière les défis, les découvertes et les rencontres qui ont marqué ce voyage.

Un voyage initiatique de 8 mois à vélo

Jules, originaire de Bretagne, a ressenti le besoin de quitter sa routine à Rennes pour découvrir le monde. En octobre 2023, il s’élance avec trois amis sur les routes d’Europe, traversant l’Italie, la Grèce, la Turquie et la Géorgie. Il partage son expérience, ses moments de joie et ses difficultés, mais surtout l’enrichissement personnel qu’il en a retiré. Chaque arrêt, qu’il soit motivé par la fatigue ou la curiosité, devient une opportunité de rencontrer des personnes formidables et de s'immerger dans des cultures locales.

Des rencontres qui marquent une vie

Au fil de son voyage, Jules a tissé des liens forts, notamment lors de ses séjours en Crète où il a participé à la récolte des olives et à des missions de bénévolat dans un refuge pour chiens. Ces expériences ont révélé un aspect humanitaire de son aventure et lui ont permis de vivre des moments inoubliables. Avec simplicité et générosité, il décrit la gentillesse et l’hospitalité des personnes qu’il a rencontrées en Turquie et en Albanie, souvent dans des familles qui, bien que disposant de peu de moyens, ouvraient leur porte avec le cœur sur la main.

Un retour teinté de gratitude et de réflexions

De retour en Bretagne, Jules confie son besoin de rester en contact avec la nature, d'aller encore camper en forêt, malgré le confort retrouvé de la maison. Il se sent toujours un peu en mouvement, comme s’il n’avait pas vraiment terminé son voyage. Pour lui, l’important est de continuer à découvrir, même en étant chez soi. Ses projets ? Repartir bientôt pour un festival en Hongrie et continuer à explorer ce mode de vie nomade qui, selon lui, est devenu un véritable état d’esprit.

Un témoignage inspirant pour les auditeurs

À travers cette interview, Nadia Bertrand nous offre un témoignage vivant et authentique sur le voyage, l’aventure et la découverte de soi. L’épisode se termine sur une note de gratitude et d’encouragement : voyager, c’est avant tout une ouverture à l’autre, une prise de conscience de la chance que nous avons de pouvoir découvrir le monde.

Dans cet épisode de la chronique "Les coulisses d'une nomade en herbe" , animée par Nadia Bertrand et diffusée sur la , l'animatrice aborde un sujet sensible : la relation entre vie nomade et intimité. À travers ses expériences et ses questionnements, Nadia nous entraîne dans une réflexion personnelle autour des relations amoureuses, des rencontres éphémères et du rapport à soi-même.webradio Allô la Planète

Vie nomade et relations affectives : une quête d'équilibre

Partir sur les routes après une rupture sentimentale fut pour Nadia une décision de renaissance, mais aussi une épreuve pour reconstruire son intimité. Elle partage dans cet épisode ses difficultés à concilier le nomadisme avec des relations amoureuses. Rencontrer des hommes sédentaires est souvent synonyme de relations courtes et éphémères, car sa soif de liberté et d'exploration prend toujours le dessus. Nadia confie ses doutes et ses aspirations, tout en explorant la question de savoir si elle est prête ou non à s'engager de nouveau.

Accepter l'éphémère et savourer l'instant présent

À travers cet épisode, Nadia Bertrand apprend à savourer ce que chaque rencontre lui apporte, sans attentes ni pression. Le nomadisme devient un exercice de lâcher-prise et de découverte de soi. Elle se permet de vivre des relations légères, de se confronter à ses croyances et à ses peurs, et d'embrasser la vie telle qu'elle est, sans se conformer aux attentes de la société. Une réflexion profonde qui amène à questionner la notion même de couple et de l'importance de l'intimité.

Un voyage intérieur autant qu'extérieur

Nadia explore également le lien entre son rapport à l'intimité et d'autres aspects de sa vie, comme la relation à l'argent et la précarité. Elle y voit une opportunité de mieux se connaître et de se transformer. En se confiant sur ses sentiments et ses contradictions, elle propose une vision authentique du nomadisme, loin des clichés, où chaque expérience est une étape vers la reconstruction et l'acceptation de soi.

Dans cet épisode #12 de la chronique "Les coulisses d'une nomade en herbe", diffusée sur la webradio Allô la Planète, Nadia Bertrand se penche sur ses aspirations profondes et ses désirs de vie nomade. À travers ce récit intime, elle partage ses réflexions sur ce qui l’anime et l’amène à poursuivre un mode de vie en marge des conventions.

Écouter ses aspirations profondes

À la suite d'une prise de conscience inspirée par l’ouvrage Au Nom du Corps, Nadia se rend compte qu’elle doit aligner ses actions avec ses véritables aspirations, et non plus agir par obligation ou pour une reconnaissance extérieure. Elle évoque l’importance de suivre ce qui la fait vibrer : l’aventure, les voyages, la nature, l’écriture, et la transmission. Ce besoin de renouer avec ce qui la passionne l’invite à explorer de nouvelles voies et à oser sans filet de sécurité.

Le nomadisme comme chemin d’authenticité

Nadia partage une liste d’expériences marquantes et de petites victoires réalisées grâce à sa vie nomade : oser s’arrêter chez des inconnus, accepter des conditions de vie minimalistes, savourer les rencontres, et s’épanouir dans la simplicité. Le nomadisme, pour elle, c’est avant tout une école de l’audace et de l’adaptation. Elle se laisse guider par ses envies et les opportunités du moment, même si cela implique des compromis ou de sortir de sa zone de confort.

Concilier rêves et réalité

Malgré les défis de cette vie sur les routes, Nadia est fière de ce qu’elle accomplit. Elle évoque ses nouveaux projets, comme participer à des chantiers participatifs ou explorer l’auto-construction de paillourtes. Ces activités nourrissent sa créativité et l’ancrent dans ses rêves. Elle se projette même à ouvrir un jour un café-librairie en pleine campagne, un lieu d’échanges et de partage qui refléterait sa vision du monde.

À travers cette chronique, Nadia invite chaque auditeur à se questionner sur ses propres désirs et aspirations, à oser vivre autrement, et à se laisser surprendre par ce que la vie a à offrir.

Dans ce nouvel épisode de la chronique "Les coulisses d'une nomade en herbe", diffusée sur la webradio Allô la Planète, Nadia Bertrand aborde avec authenticité la notion de « se laisser porter » et de s’alléger des fardeaux de la vie. À travers son parcours nomade, elle nous partage ses réflexions sur le lâcher-prise, la critique, le plaisir et l’accomplissement personnel.

Lâcher le poids des attentes et des jugements

Nadia, qui se décrit comme une exploratrice des émotions, explique comment son mode de vie nomade lui a permis de se libérer du besoin de tout porter. Elle témoigne de son expérience avec sa performance artistique, une démarche dans laquelle elle a été confrontée aux critiques et aux doutes. Aujourd’hui, elle choisit de se recentrer sur elle-même et de continuer son chemin malgré les obstacles.

Trouver le plaisir et se reconnecter à ses désirs

Le plaisir est un thème central de cet épisode. Nadia partage sa difficulté à se faire plaisir et à s’accorder des moments de joie. À travers ses rencontres sur la route, que ce soit avec des fermiers passionnés ou des amis de passage, elle explore la notion de plaisir, loin des injonctions de la société. Elle se questionne sur ce qui la rend vraiment heureuse et sur la manière dont elle pourrait insuffler plus de légèreté dans sa vie.

Le nomadisme : un chemin de transformation

Pour Nadia, la vie nomade est plus qu’un simple déplacement physique. C’est une démarche de transformation personnelle qui ouvre de nouveaux horizons. Le mouvement permanent l’aide à découvrir des parts d’elle-même et à mieux comprendre ce qui la fait vibrer. À travers l’expression artistique, elle touche des sujets sensibles et ose affirmer sa voix unique.

Cet épisode est une invitation à reconsidérer nos habitudes, à explorer ce qui nous anime vraiment, et à s’ouvrir à des possibilités inattendues. Comme le dit Nadia, « le nomadisme m’amène à ouvrir encore plus mon cœur. »

Dans ce nouvel épisode de "Les coulisses d'une nomade en herbe", diffusé sur la webradio Allô la Planète, Nadia Bertrand nous plonge dans l'univers des rêves et de leur symbolique. À travers ses réflexions et ses projets, elle explore les liens entre le rêve, la créativité et la transformation personnelle.

Rêver et se réinventer

Pour Nadia, les rêves sont des espaces de transition, de questionnement et de renouveau. Elle observe ses expériences nomades sous l’angle des cycles de vie et constate que chaque période de sept mois représente pour elle un temps de réflexion ou d’accomplissement. Cette observation l’amène à revisiter ses projets, à prendre conscience de ses aspirations et à poser les fondations de nouvelles créations, qu’il s’agisse de performances artistiques ou d’ateliers sur l’analyse des rêves.

Le rêve, un outil de croissance personnelle

À travers cet épisode, Nadia partage sa passion pour l’interprétation des rêves, une pratique qu’elle développe en tant qu’analyste de rêves. Elle explique comment cette activité lui permet de se connecter aux autres, même en vivant une vie nomade. Que ce soit lors d’un cercle de rêves en groupe ou lors d’une séance individuelle, les rêves offrent une porte vers l’inconscient et permettent de libérer des émotions enfouies, d’apporter des éclairages nouveaux et d’avancer sur le chemin de la guérison personnelle.

Transmettre et créer

Accompagner sa fille dans l’Instruction en Famille (IEF) et l’aider à créer son journal "Coin-Coin", inspiré du Canard Enchaîné, a également poussé Nadia à approfondir ses propres connaissances sur le sujet des rêves. Elle envisage de créer une conférence théâtralisée autour de ce thème, combinant sa passion pour l’art et sa soif de transmission. Son parcours artistique est jalonné de projets qu’elle qualifie elle-même de "multipotentiels", allant d’une performance à la création d’un livre, en passant par l’écriture de nouvelles conférences.

À travers cet épisode, Nadia nous rappelle que la vie nomade, au-delà du simple déplacement, est une invitation à explorer ses rêves, à se connecter à soi et aux autres, et à se réinventer continuellement.

Le numéro 77 de Carnets d'Aventures explore le thème du voyage sans moteur à travers la montagne et la mer. Dans une interview sur la webradio des voyageurs Allô la Planète, Manon Millischer, rédactrice en cheffe du magazine, présente un dossier sur les Alpes. Un massif fascinant qui s’étend sur 1200 km et traverse 8 pays. Le reportage invite à découvrir ce territoire varié, riche en paysages, lacs, glaciers et en cultures locales.

Le numéro propose aussi un focus sur la navigation à voile. Peu courants dans le magazine, les récits de voyageurs en voile offrent ici des témoignages de marins qui naviguent le long des côtes et campent à même l'eau. En se déplaçant en planche à voile, mini catamaran ou kayak trimaran, ils apportent un souffle d'originalité à ce numéro.

Ce magazine invite donc à l’évasion en montagne et en mer, pour une aventure en pleine nature et en harmonie avec les éléments.

Le numéro 77 de Carnets d'Aventures, disponible jusqu'à fin décembre, propose un voyage captivant entre montagnes et mer, avec des récits de traversées dans les Alpes et à la voile. Dans une interview menée par Flo de la webradio Allô la Planète, Manon Millischer, rédactrice en cheffe du magazine, présente des aventures inspirantes comme celle de Zoé, qui a traversé seule l'arc alpin de la Slovénie à la France. En plus de son périple de plus de quatre mois, elle réalise un documentaire mettant en lumière les femmes travaillant en montagne, souvent dans un milieu dominé par les hommes.

D'autres moyens de traverser les Alpes sont explorés, comme le VTT, le ski et même le parapente. Parmi les récits marquants, un groupe de vététistes a traversé les Alpes françaises jusqu’à la Slovénie, choisissant des sentiers escarpés et privilégiant les transports en commun pour réduire leur impact environnemental. De même, Guillaume et Simon, passionnés de ski, ont affronté les montagnes enneigées, en dormant dans des cabanes et en adaptant leur itinéraire face aux intempéries.

Enfin, un récit original met en scène Anthony et son équipe dans une aventure en vélo-ski, où ils montent en vélo pour ensuite chausser les skis en haute altitude. Leur parcours devient encore plus audacieux lorsqu'ils ajoutent des packrafts pour descendre les rivières et rejoindre la côte.

Ce numéro inclut aussi des brèves inspirantes : le portrait d’un cyclo-aventurier, une expédition scientifique féminine en Arctique, et un photographe nature. Pour explorer ces aventures uniques, retrouvez Carnet d'Aventure en kiosque ou en ligne sur expemag.com.

Dans ce deuxième volet sur le numéro 77 de Carnets d'Aventures, disponible jusqu’à fin décembre, Flo de la webradio des voyageurs Allô la Planète reçoit Manon Millischer pour parler d’aventures maritimes et de randonnées à la voile. Ce dossier original explore des témoignages rares de “voileux” qui naviguent sans moteur et campent le long des côtes. Violette, par exemple, voyage avec son embarcation unique, un kayak-trimaran à voile et pédales surnommé Passepartout, avec lequel elle longe la Méditerranée.

D'autres témoignages enrichissent ce dossier maritime. Quentin, passionné de planche à voile, adapte sa pratique pour combiner navigation et itinérance sur les côtes bretonnes et normandes. Son récit met l'accent sur les aspects de sécurité et la préparation nécessaire pour bivouaquer en mer. Une autre aventure nous emmène à bord de Baboufti, le catamaran de Sébastien Roubinet, qui a exploré l'Arctique en tirant son bateau sur la banquise.

Le magazine propose aussi des conseils pratiques pour les amateurs de bivouac et de survie en pleine nature : astuces pour construire un abri, naviguer sans boussole et même faire un bon café en pleine nature. Enfin, les rubriques régulières présentent des livres inspirants, des réponses aux courriers des lecteurs et des solutions pour obtenir le magazine, en kiosque ou en ligne.

Dans ce 3e épisode de la chronique Boris part en live, Boris nous inspire à redécouvrir les plaisirs des micro-aventures ! À travers ses expériences et ses conseils, il nous rappelle que nul besoin d’aller loin ou de dépenser beaucoup pour s'évader. Que ce soit pour un week-end en canoë, une randonnée improvisée, ou même une aventure en stop, ces mini-évasions permettent de se reconnecter à la nature et de vivre intensément. 

Bienvenue dans ce nouvel épisode des Coulisses d'une nomade en herbe , une chronique animée par Nadia Bertrand sur la webradio Allô la Planète , dédiée aux voyageurs et aux passionnés de liberté. Dans cet épisode, Nadia partage ses réflexions profondes sur sa vie de nomade, l'éducation de sa fille en unschooling et les défis financiers auxquels elle fait face.

L'éducation autrement : l'expérience Clonlara

En direct de l'Aude, lors d'une rencontre Clonlara francophone, Nadia explique comment elle accompagne sa fille depuis quatre ans dans une éducation basée sur ses centres d'intérêt. Ce mode de vie nomade et alternatif mène sa fille à un diplôme équivalent au bac, tout en tissant des liens dans un cadre communautaire et bienveillant.

Les questions des autres : une vie hors normes

Nadia répond aux interrogations fréquentes sur la façon dont sa fille vit le nomadisme et comment elle gère ses finances. Ces questions soulignent souvent l'incompréhension face à une vie hors des standards. Elle invite ses auditeurs à une réflexion : pourquoi ces questions ne sont-elles pas posées aux sédentaires ? Elle confie ses propres doutes, mais aussi sa joie de vivre un rêve de longue date, malgré les défis quotidiens.

Artiste et nomade : un équilibre à trouver

Entre performance artistique ( Les Inachevés ), analyse de rêves et son statut d'artiste-auteur, Nadia jongle avec un quotidien financièrement instable. Cependant, elle exprime son désir de continuer à avancer, pas à pas, avec authenticité et sobriété.

L'importance de la sobriété et de la nature

Ce choix de vie singulier est également guidé par des valeurs fortes : préserver la nature, ralentir, et savourer chaque instant. Malgré les injonctions sociétales et les doutes, Nadia poursuit son chemin avec résilience et inspiration.

Une touche de sagesse

Nadia conclut en partageant des citations inspirantes de Lama Guendune Rimpoché :

« Tout est en toi, déjà. »

« Le bonheur ne se trouve pas avec beaucoup d'effort et de volonté, mais réside là, tout près, dans la détente et l'abandon. »

Liens utiles :

Découvrez la webradio Allô la Planète

En savoir plus sur Clonlara

Suivre Nadia Bertrand sur les réseaux sociaux.

Retrouvez ce podcast sur vos plateformes préférées et partagez vos impressions avec Nadia !

Gratitude et Joie : Le quotidien d'une nomade

Dans cet épisode 16 de la chronique Les coulisses d'une nomade en herbe sur la webradio Allô la Planète , Nadia Bertrand partage un moment d'introspection autour de la gratitude et de la joie, deux piliers essentiels de sa vie nomade et artistique.

Un hiver de pause et de création

Après une rencontre inspirante avec un couple en Espagne, Nadia a trouvé un lieu où passer l'hiver avec sa fille. Ce temps de repos dans le sud de la France lui permettra de se consacrer à l'écriture de son livre et à la préparation de nouvelles performances artistiques. Cette opportunité, qu'elle perçoit comme un cadeau de la vie, s'inscrit dans une dynamique de confiance et d'intentions alignées.

Gratitude et contribution

Lors d'un cercle de femmes, Nadia a réfléchi à sa manière d'exprimer la gratitude, en particulier à travers le don et la contribution. Inspirée par des échanges riches, elle se rend compte que sa joie inspire ceux qui l'entourent, un écho qui nourrit son propre chemin.

Une vie en mouvement

Entre rencontres avec d'autres familles nomades et exploration culturelle, Nadia vit des moments d'apprentissage, parfois dans des conditions imprévues, comme une pluie incessante en Espagne. Mais chaque défi devient une opportunité de grandir et de cultiver la joie, même dans les instants les plus simples, comme partager trois moments positifs de la journée avec sa fille.

Un choix conscient de la joie

Nadia invite ses auditeurs à choisir la joie et la gratitude comme guides de vie. Elle partage également des réflexions tirées de sa lecture actuelle, Chamane de Géraldine Correia, qui aborde la transformation intérieure à travers la lumière et l'ombre.

Dans l'épisode 17, Nadia Bertrand raconte son vécu face aux intempéries en Espagne, une réflexion sur la vie, la foi et la résilience.

Les intempéries : une leçon de vie en nomadisme

Dans l'épisode 17 de la chronique Les coulisses d'une nomade en herbe , animée par Nadia Bertrand sur la webradio Allô la Planète , découvrez un récit poignant. Entre inondations, solidarité et introspection, cet épisode nous plonge dans une expérience bouleversante vécue en Espagne.

Face à la puissance de la nature

Lors d'une rencontre de nomades homeschoolers au sud de Valence, Nadia et sa fille ont fait face à des inondations soudaines. Pluies diluviennes, vents violents et communications coupées ont marqué leur quotidien. Malgré la peur et l'incertitude, un esprit collectif s'est rapidement développé parmi les familles présentes, où enfants et adultes ont trouvé des moyens de se soutenir mutuellement.

Une épreuve transformée en gratitude

Cette catastrophe naturelle a été une épreuve marquante mais aussi une leçon. Nadia partage comment cet événement a renforcé sa foi et son lien avec la vie. À travers des moments de prière et de réflexion, elle a retrouvé une connexion profonde avec son cœur, capable de vivre avec intention et gratitude, malgré les défis.

Retour à la sérénité

Après cette expérience, Nadia et sa fille se sont installées dans une maison dans le sud de la France pour l'hiver. Cette pause leur permettra de se poser, d'écrire et de retrouver un équilibre. Nadia souligne également l'importance de l'autonomie développée grâce au mode de vie nomade : eau, électricité solaire et ressources partagées leur ont permis de surmonter cette crise.

La vie est précieuse

L'épisode se termine sur une réflexion inspirante : goûter chaque instant, savourer la vie et ne jamais perdre de vue la beauté du moment présent. Nadia partage également des extraits du livre "Km zéro" de Maud Ankaoua, qui ont résonné profondément en elle durant cette période.

Une pause hivernale pour la nomade et sa fille

Dans cet épisode 18 de la chronique Les coulisses d'une nomade en herbe , diffusé sur la webradio Allô la Planète , Nadia Bertrand revient sur son installation temporaire dans une maison du sud de Toulouse pour l'hiver. Entre introspection et organisation, elle partage son quotidien entre projets personnels et routines de sédentaire.

Une maison, un nouveau rythme

Après deux ans sur les routes dans un van de 6 m², Nadia et sa fille savourent les avantages d'une maison spacieuse, tout en découvrant ses exigences. Nourrir les chats et les poules, entretenir le feu de la cheminée, ou simplement parcourir la demeure pour se parler redéfinissent leur quotidien. Cette pause offre à Nadia l'opportunité de préparer son contrôle pédagogique, de finaliser son livre "Je suis d'ici, je viens d'ailleurs" et de promouvoir sa performance artistique Les Inachevés .

Une réflexion sur le nomadisme

Être nomade, pour Nadia, c'est avant tout un état d'esprit : vivre sans attache fixe, s'adapter à l'instant présent et anticiper les besoins essentiels. Bien que cette pause hivernale leur permette de se poser, le camion reste leur véritable "maison". Ce mode de vie enseigne l'autonomie, la simplicité et une profonde écoute intérieure.

Un hiver propice à l'écriture

Inspirée par les propriétaires de la maison, des voyageurs expérimentés, Nadia envisage de créer un blog retraçant leur aventure nomade depuis 2022. Cet hiver sera également l'occasion de terminer son manuscrit, avec l'objectif de le publier en auto-édition en mars .

Une pause, mais pas une fin

Nadia conclut cet épisode en soulignant que le nomadisme ne se limite pas au mouvement constant. C'est un choix de vie, une quête de sens et d'authenticité. Elle partage un extrait inspirant de "Km zéro" de Maud Ankaoua, qui invite à vivre pleinement le moment présent.

Un dimanche entre introspection et philosophie

Dans cet épisode 19 de Les coulisses d'une nomade en herbe , diffusé sur Allô la Planète , Nadia Bertrand nous emmène dans une réflexion profonde et intime. Entre bilans de fin d'année, exploration du vide et quête de sens, cet épisode philosophique offre une pause introspective et inspirante.

Faire face au vide et à l'ennui

Alors qu'elle passe un hiver sédentaire dans le sud de Toulouse, Nadia partage son ressenti face à un rythme plus calme. Habituée au mouvement constant de sa vie nomade, elle explore ce que signifie être confrontée à l'ennui et au vide. Ces moments, bien que déstabilisants, permettent de revenir à l'essentiel et de questionner ses choix de vie.

L'art comme moteur de vie

Nadia revient sur sa performance artistique Les Inachevés et l'importance de continuer à partager cette création. Pour elle, l'art est une forme de mouvement vital, un feu intérieur qui nourrit et inspire. Elle rappelle qu'être artiste auteur, c'est jouer le rôle principal dans sa propre vie, en pleine conscience.

Liberté, intuition et interconnexion

Inspirée par ses conférences et ouvrages, notamment Intuitio de Laurent Gounelle, Nadia explore la notion de liberté et le rôle de l'intuition dans nos choix. Elle invite ses auditeurs à célébrer chaque pas accompli et à reconnaître l'interconnexion entre les êtres, un message empreint de spiritualité et d'humanité.

Une invitation à l'action

En cette fin d'année, Nadia encourage ses auditeurs à faire leur propre bilan, à célébrer leurs accomplissements et à se reconnecter à leurs rêves. L'épisode se termine sur une note d'espoir et de réflexion : que choisissons-nous de bâtir pour illuminer notre vie et celle des autres ?

À l'approche de Noël : bilan, gratitude et simplicité

Dans cet épisode 20 de Les coulisses d'une nomade en herbe , diffusé sur la webradio Allô la Planète , Nadia Bertrand nous invite à une pause introspective en cette fin d'année. Entre bilan personnel, gratitude pour l'année écoulée et préparation d'un Noël sur mesure avec sa fille, cet épisode est une ode à la simplicité et à l'amour.

Une période propice au bilan

Nadia profite de cette pause hivernale dans une maison cosy pour dresser le bilan de 2024. Elle célèbre ses réussites : la création et les représentations de sa performance artistique Les Inachevés , ses voyages en Espagne, son engagement dans des projets écologiques et l'avancement de l'éducation en IEF avec sa fille. Chaque étape de cette année riche en rencontres et en apprentissages est pour elle une source de gratitude.

Noël, entre tradition et réinvention

Pour cette fin d'année, Nadia et sa fille choisissent de passer un Noël intime, loin des conventions. Pas de décorations excessives ni de cadeaux, mais des bougies, un feu de cheminée et un brunch cocooning. À travers cette simplicité, Nadia explore le mélange de ses souvenirs d'enfance et de ses aspirations d'adulte, entre rejet de la surconsommation et envie d'un Noël empli d'amour et de connexion.

Être nomade et faire face à la solitude

La vie nomade, riche en découvertes et en rencontres, amène parfois à vivre des fêtes loin des proches. Nadia aborde avec sincérité ce sentiment de solitude, en le liant à une réflexion plus large sur le sens des fêtes, les obligations sociales et la quête de moments authentiques.

L'amour comme moteur

L'épisode se termine avec un extrait du livre "Km Zéro" de Maud Ankaoua, qui résonne profondément avec le message de Nadia : l'amour est partout, et nous sommes en sécurité et étroitement connectés.

Dans cet épisode #4 de "Boris part en live" de l'émission Voyage sans ailes sur la webradio des voyageurs Allo la planète, Boris partage ses astuces pour bien manger en voyage : repas simples comme conserves, pain, semoule ou polenta, avec des touches gourmandes comme fromage, épices et huile.

Il privilégie les achats locaux et les snacks pratiques comme fruits, chocolat ou kiwi à croquer avec la peau. Sa méthode insolite ? Griller des sardines au papier toilette pour un repas chaud sans vaisselle.

Dans ce 5ᵉ épisode de "Boris part en live", chronique de voyage sans ailes sur la webradio des voyageurs Allo la planète,

Boris vous parle d’une des décisions les plus marquantes de sa vie : oser changer de cap. Après 10 ans à courir après les responsabilités et un bon salaire, il a  ressenti une perte de sens. Après deux ans de réflexion, il a  tout plaqué pour un voyage à vélo jusqu’en Norvège, entre aventure personnelle et cause caritative. Ces 4 mois l’ont transformé : rencontres, introspection et retour à l’essentiel. Aujourd’hui, il  est animateur à l’UCPA, saisonnier, en phase avec ses valeurs et sa quête d’équilibre. Son message : écoutez-vous, osez et vivez intensément ! 

Plongez dans un épisode poignant et authentique de la chronique "Les Coulisses d’une Nomade en Herbe", animée par Nadia Bertrand sur la webradio Allô la Planète, dédiée aux récits de voyageurs et à l’exploration du monde. Dans ce nouvel épisode intitulé "L’Essentiel", Nadia nous ouvre son cœur et partage, sans filtre, les hauts et les bas de sa vie de nomade, où se mêlent émerveillement et défis personnels.

Un voyage entre introspection et vulnérabilité

Comédienne de formation, Nadia nous fait découvrir les "coulisses" de son quotidien de nomade, une vie rythmée par la liberté, les rencontres humaines, mais aussi les moments de doute et de solitude. À travers ses mots, elle évoque les polarités de cette existence : la joie et l’apprentissage, mais aussi les peurs, les angoisses et les défis financiers.

Dans cet épisode, elle partage un poème émouvant écrit par sa fille, témoin de leur vie atypique sur les routes, et revient sur les leçons que la vie de nomade lui enseigne au quotidien : gratitude, résilience et recherche de sens.

Des réflexions profondes sur le mouvement et l’enracinement

Nadia explore les contrastes entre la vie nomade et les périodes de sédentarité. Elle confesse les difficultés d’une pause hivernale imposée, où le manque de mouvement érode son énergie et sa joie. Avec une authenticité désarmante, elle questionne ce besoin viscéral de voyager pour se sentir vivante et connectée à soi-même.

Un instant lecture inspirant

Pour conclure, Nadia nous offre un extrait du livre "L’homme qui voulait être heureux" de Laurent Gounelle, une invitation à croire en soi et en la magie des liens qui nous soutiennent dans nos projets.

Dans cet épisode captivant de la chronique "Les Coulisses d’une Nomade en Herbe", Nadia Bertrand nous invite à plonger dans les réflexions profondes et les défis d’une vie nomade temporairement sédentarisée. Diffusée sur la webradio Allô la Planète, dédiée aux voyageurs et explorateurs de tous horizons, cette chronique est un rendez-vous unique pour découvrir la vie autrement.

Un voyage intérieur puissant

Nadia partage avec sincérité les bouleversements personnels et professionnels qu’elle traverse en prenant une pause hivernale. Entre la gestion de sa relation à l’argent, le recentrage sur ses priorités, et son besoin d’équilibre, elle nous livre une introspection touchante et inspirante. Une phrase clé résonne dans cet épisode : "Je me mets à mon service". C’est une prise de conscience qui l’amène à fermer des portes et à s’affirmer davantage pour avancer sur son chemin artistique et personnel.

Le théâtre comme lieu de vérité

Comédienne et formatrice en théâtre, Nadia explore l’idée que la scène est un espace où l’on peut être soi-même, sublimer ses failles et se reconnecter à ses aspirations profondes. Elle nous raconte sa quête pour valoriser son travail et surmonter ses croyances limitantes, notamment autour de l’argent. Une quête qu’elle partage sans filtre, en révélant ses doutes, sa colère, mais aussi sa gratitude.

Un extrait littéraire inspirant

Fidèle à sa tradition, Nadia conclut sa chronique par une lecture inspirante. Cette fois-ci, elle partage un passage du roman "Kilomètre zéro" de Maud Ankaoua, qui évoque la renaissance personnelle et l’importance de s’écouter pour avancer avec authenticité.

Dans cette première interview de la saison 3 de Jeunes Explorateurs sur la Webradio Allo la planète Malone accueille Enora, 13 ans, une voyageuse passionnée qui sillonne l’Europe en van aménagé avec sa famille. De l’Italie aux Alpes suisses, en passant par l’Espagne et le Portugal, elle raconte ses découvertes, ses coups de cœur et son mode de vie itinérant.

Enora privilégie les petites villes et les paysages naturels aux grandes métropoles. Elle partage ses impressions sur Barcelone, la Sagrada Familia, les tapas espagnols et les pizzas italiennes. Elle évoque également son voyage en Guadeloupe, ses randonnées dans la nature sauvage et la diversité culturelle des lieux visités.

Organisés par sa mère, ses voyages lui ont permis d'apprendre à s'adapter à différentes langues et cultures, notamment en Suisse, en Allemagne et en Irlande. Son rêve ? Réaliser un tour du monde en van et poursuivre cette aventure familiale.

Dans ce deuxième épisode de la saison 3 de Jeunes Explorateurs de la webradio Allo la Planète, Malone reçoit Lison et Anatole, 14 et 12 ans, qui ont grandi en parcourant le monde. Voyager en famille et à vélo est pour eux un mode de vie naturel, leur permettant de découvrir des paysages spectaculaires et d’explorer différentes cultures. De l’Europe à l’Amérique du Sud, ils ont traversé des régions variées, affronté des conditions extrêmes et relevé des défis physiques, notamment lors de leur passage dans la Cordillère des Andes. Une expérience marquante ? L’ascension d’un sommet à 6 000 mètres, un véritable défi pour Anatole, qui a dû surmonter la maladie pour atteindre le glacier. Au fil des voyages, ils ont plongé au cœur de différentes cultures, des traditions incas aux monuments antiques d’Athènes, en passant par l’hospitalité chaleureuse des Albanais. Leur aventure ne s’arrête pas là : Lison rêve d’un périple de l’Alaska à Ushuaïa, tandis qu’Anatole aspire à explorer l’Afrique et l’Asie. À travers leur témoignage, ils montrent que voyager en famille et à vélo est une formidable école de la vie, accessible à tous ceux qui osent l’aventure.

Dans cet épisode de Jeunes Explorateurs sur la webradio Allo la Planète, Malone reçoit Thaïs, une jeune voyageuse de 11 ans, qui a déjà exploré plusieurs continents avec sa famille. Son plus long périple ? Six mois en Amérique du Nord, du Canada aux États-Unis, à bord d’un 4x4 aménagé.

Thaïs partage son expérience du voyage en famille, entre découvertes culturelles et adaptation à un mode de vie nomade. Elle raconte ses impressions face aux grands espaces nord-américains, la diversité des paysages et l’école sur la route. Entre moments de liberté et défis logistiques, elle a développé une véritable passion pour l’exploration.

De l’Europe à l’Amérique, elle évoque ses plus beaux souvenirs : les ruines antiques de Grèce, les gratte-ciels de New York, les Rocheuses canadiennes ou encore la poutine québécoise. Malgré quelques appréhensions initiales, elle a rapidement trouvé ses marques et rêve déjà de repartir, peut-être avec un van pour plus de confort.

Une rencontre inspirante avec une jeune aventurière qui prouve que l’âge n’est pas une barrière au voyage, bien au contraire !