Le Départ (Manon Duchesne)

À propos de l'épisode avec Bénédicte

Bénédicte est originaire de Grenoble, elle est sportive et aime la nature. Petite, elle était passionnée d’égyptologie et de géologie. Pas commun n’est-ce pas ? Elle explique d’où lui viennent ces passions dans l’épisode. Pour ses études, elle décide de s’orienter vers la géologie et après une prépa bio et une école d’ingénieur, la voilà géo-technicienne dans les travaux publics. À aucun moment elle n'avait envisagé de s'épanouir en double activité.

Il y a 6 ans, alors qu’elle reprend une activité sportive, une grave blessure l’immobilise pendant plusieurs semaines et l’empêche de reprendre le sport comme elle veut. Pour réapprendre à bouger, elle découvre le yoga, et cela devient rapidement une passion. En quelques mois, Bénédicte réalise les bienfaits de cette pratique et décide de les transmettre en devenant professeure de yoga, tout en continuant sa carrière.

Dans cet épisode, elle nous raconte les défis de cette double activité. Elle aborde des questions cruciales : doit-on informer son employeur lorsqu'on a une double activité ? Comment s’organiser au quotidien pour jongler entre deux métiers ? Quels impacts cela peut-il avoir sur la vie personnelle ?

Avec transparence, Bénédicte explique comment elle gère cette transition et son équilibre entre travail, passion et bien-être. Si vous vous demandez comment concilier deux métiers sans négliger votre bien-être, cet épisode est pour vous.

Les liens pour retrouver Bénédicte et ses cours de yoga Mouv & Sens

• Son compte Instagram : https://www.instagram.com/mouvsensyoga/
• Son site internet : https://mouv-sens-yoga-335981.webflow.io/

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À propos de l'épisode où je raconte mon parcours

Le point de départ de ce podcast ? Mon envie de comprendre comment on fait pour changer de vie.

Le point final de ce podcast ? Mon histoire et mon changement de vie.

J'ai décidé de me prêter à l'exercice et de raconter mon propre parcours pour ce dernier épisode du podcast. Comme ça, “la boucle est bouclée” comme dit Marion dans notre conversation. Marion vous la connaissez bien puisqu’elle est déjà passée deux fois sur le podcast et qui de mieux qu’une copine, hôte de son propre podcast pour me livrer ? Cette fois-ci, c’est à moi de partager mes hauts et mes bas, mes projets réussis, et ceux qui m’ont menée à des impasses.

Je me suis plantée y a 10 ans en fait.

Manon

C'est la prise de conscience que j'ai eue durant cet épisode en revenant sur mon parcours. Le (non) choix de mes études, mon premier boulot en tant que salariée, mes multiples passions autant de choses qui m'ont amenée où je suis aujourd'hui. Mais en me refaisant le fil de mes décisions, je comprends que j'ai pu perdre beaucoup de temps.

Cet épisode est aussi l’occasion de parler de mon rapport au changement. Faire des erreurs fait partie du processus et l’essentiel est d’apprendre et de rebondir. Une phrase qu'on entend souvent mais qui est au coeur même de mon parcours. Je vous parle de mes tentatives, mes réussites, mais aussi des moments où j'ai tout remis en question.

Les émotions sont fortes, et ce dernier épisode est un mélange d’introspection, de gratitude, et de transmission. C’est donc pleine d’émotions que j’appuie sur le bouton “programmer” de cet épisode. J'espère qu’il vous plaira, qu’il vous parlera et que vous continuerez d’aimer Le Départ malgré son arrêt 🥰

Cet épisode va particulièrement parler à ceux qui cherchent à apprendre de leurs erreurs et à tous ceux qui sont en quête d’un nouveau départ.

Bonne écoute, et merci d’avoir suivi cette belle aventure !

Retrouvez Marion sur :

• Instagram : https://www.instagram.com/honorevousguide/
• Son site internet : https://www.honorevousguide.fr/
• Son podcast La Madeleine : https://linktr.ee/podcastlamadeleine

Pour continuer de suivre mes aventures ça se passe sur :

• Instagram : https://www.instagram.com/manon_ipfreelance/ ou https://www.instagram.com/ingenieusepatisserie/
• LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/manon-ipfreelance/
• IP Freelance : https://www.ipfreelance.com/

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Deux conseils de Massiel, ma toute première invitée du podcast, que j'avais envie de ré-entendre.

• Un conseil pour les étudiants qui doivent choisir leur orientation
• Un conseil pour les mamans qui sont perdues entre leur maternité et leur passion

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/massiel-d-ingenieure-a-photographe-et-styliste-culinaire/

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Les différences entre il y a 50 ans et maintenant dans le monde du travail vues par deux entrepreneurs.euses

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/lucette-et-jacky-entrepreneur-salaries-puis-retraites-il-faut-s-eclater-dans-le-boulot-sinon-ce-nest-pas-la-peine/

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Le conseil de Chloë qui a d'ailleurs encore bien évolué depuis cet épisode !

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/chloe-a-fait-une-pause-dans-les-etudes-finalement-tout-etait-lie-depuis-le-debut/

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Le conseil de Solenne pour monter et gérer une équipe à distance, sans oublier de parler de soft skills bien sûr !

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/solenne-avoir-un-impact-sur-la-societe-et-sur-lavenir-en-passant-par-leducation-des-enfants/

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Comment postuler dans un job pour lequel on n'a pas le diplôme à la sortie des études ? Je vous propose la réponse de Marion.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/marion-les-optimistes-ont-plus-de-chance-de-saisir-des-opportunites/

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Le mot de la fin de Claire sur l'expatriation.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/claire-expatriee-a-montreal-quand-on-part-dans-un-nouveau-pays-on-se-redecouvre-soi-on-peut-etre-nimporte-qui/

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Le conseil de Justine pour rebondir après un licenciement, le coup dur qui s'est avéré être la meilleure chose qui puisse lui arriver.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/justine-de-la-microbiologie-a-la-patisserie-a-lentrepreneuriat-je-me-suis-laisse-1-an-pour-y-arriver/

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Le mentra de Gabriella, la phrase qui la motive tous les jours.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/gabriella-finaliste-le-meilleur-patissier-aujourdhui-si-ca-a-change-cest-parce-que-jai-fait-les-bons-choix/

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Une ode à l'amour partagée par Anne.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/anne-photographe-etre-en-accord-avec-ce-quon-fait-cest-la-base-de-tout/

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Le mentra de Bénédicte, psychologue et coach mindset.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/benedicte-le-jour-de-mes-40-ans-il-y-a-eu-un-avant-et-un-apres/

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Le mentra de Léa.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/hors-serie-lea-je-pars-du-principe-que-la-vie-nous-emmene-ou-on-doit-etre/

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Je ne vous mets pas le mentra cette fois mais une petite astuce de Léa pour retrouver de l'énergie quand on en manque un peu et qu'on doit faire face à un enjeux stressant.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/lea-coach-esprit-positif-jai-toujours-des-complexes-mais-je-me-donne-de-lamour-et-cest-inconditionnel/

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On parle organisation et prendre du temps pour soi en tant qu'indépendante avec Manon.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/manon-photographe-culinaire-je-me-suis-dit-pourquoi-pas-essayer-de-pousser-plus-loin-la-chose/

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Le mentra de Sylvain, gérant d'une agence immobilière (de plusieurs même aujourd'hui).

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/sylvain-gerant-dagence-immobiliere-il-ne-faut-pas-regarder-que-cet-aspect-confort/

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Le mot de la fin plein d'amour de Rachel.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/rachel-quand-je-fais-un-truc-je-ne-me-donne-pas-le-choix-de-le-rater/

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La philosophie de vie plein de positivité de Marjolaine.

Les deux épisodes complets ici :

• https://www.podcast-ledepart.com/marjolaine-parcours-medical-dune-grossesse-extra-uterine/
• https://www.podcast-ledepart.com/marjolaine-parcours-psychologique-dune-grossesse-extra-uterine/

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Petit bilan de Charline après 1 an d'entrepreneuriat.

L'ensemble des épisodes de son année ici :

• https://www.podcast-ledepart.com/1-4-charline-1-an-de-creation-de-projet-jai-toujours-eu-besoin-davoir-des-objectifs-pour-avancer/
• https://www.podcast-ledepart.com/2-4-charline-1-an-de-creation-de-projet-le-risque-a-vouloir-etre-vraiment-pret-cest-que-tu-ne-te-lances-jamais/
• https://www.podcast-ledepart.com/28-3-4-charline-un-an-de-creation-de-projet-jincarne-completement-mon-projet-il-y-a-un-moment-il-faut-que-je-me-montre/
• https://www.podcast-ledepart.com/31-4-4-charline-un-an-de-creation-de-projet-jessaie-juste-detre-moi/
• https://www.podcast-ledepart.com/34-5-4-charline-bilan-apres-1-an-dentrepreneuriat-je-me-sens-plus-prete-et-plus-sure-de-moi/

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L'amour d'Hélène pour les citations motivantes.

Les 2 épisodes complets ici :

• https://www.podcast-ledepart.com/1-2-helene-moi-jetais-determinee-a-faire-ca-meme-si-on-ma-beaucoup-decouragee/
• https://www.podcast-ledepart.com/2-2-helene-parfois-on-est-dans-la-tempete-mais-le-soleil-finit-toujours-par-revenir/

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Redécouvrez l'état d'esprit de Justine qui lui a permis de réussir son expatriation.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/justine-famille-expatriee-en-suede-on-cherchait-cette-difference-et-donc-nous-etions-enthousiastes-de-tout/

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Philosophie de vie de Lucie

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/lucie-reconversion-dans-la-mode-on-ne-peut-pas-savoir-ce-que-ca-va-donner-donc-il-faut-se-lancer-pour-savoir/

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La phrase qui guide Massiel dans ses objectifs depuis son enfance.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/24-hors-serie-massiel-2-ans-apres-il-faut-perseverer-il-ne-faut-pas-baisser-les-bras/

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Ce qu'Anne a mis en place pour déménager son activité de photographe de Paris à Toulouse.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/25-hors-serie-anne-1-an-apres-je-fonctionne-beaucoup-a-linstinct-et-a-la-sensibilite/

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Des nouvelles de Bénédicte et de son mentra.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/26-hors-serie-benedicte-1-an-apres-on-met-enormement-de-qui-on-est-dans-nos-projets/

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Vous connaissez l'Ikigai ? Marion nous dévoile le sien.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/27-hors-serie-marion-presque-2-ans-apres-cest-un-sujet-qui-me-passionne/

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Pat et sa vision de l'entrepreneuriat et de l'association en couple.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/29-pat-gerante-dun-camping-et-salariee-tu-ne-reflechis-pas-tu-reflechis-a-ton-projet-mais-tu-fonces-en-fait/

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Le mentra de Bénédicte.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/30-benedicte-3-expatriations-en-famille-jaime-decouvrir-de-nouvelles-personnes-cest-mon-moteur/

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Le mentra d'Amy.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/32-amy-americaine-a-paris-mon-vrai-chez-moi-cest-paris/

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La citation qui rythme le chemin de vie de Christine.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/33-christine-4-vies-en-une-je-suis-curieuse-la-vie-me-mene-toujours-ailleurs/

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Avec Pascaline c'est pas 1 ni 2 mais 3 mentras !

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/35-pascaline-patissiere-a-son-compte-ce-premier-salaire-a-eu-une-saveur-folle/

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La philosophie de vie de Marion.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/36-marion-specialiste-de-lorga-business-il-ny-a-pas-un-seul-instant-ou-je-me-suis-dit-et-si-ca-ne-marche-pas/

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Plein de citations par Marie pour travailler sa confiance en soi.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/37-marie-coach-pro-faut-il-vivre-de-sa-passion/

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La philosophie de vie et la façon de gérer les relations au travail de Léo.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/38-leo-du-sport-a-la-vente-dans-ma-tete-cdi-egale-securite/

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Maëva va jusqu'à incarner sa philosophie de vie.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/39-maeva-artiste-femme-trans-et-super-heureuse-2/

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Pas de mentra pour Anne-Claire mais le contre-exemple d'un des fameux préjugés de l'entrepreneureuse.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/40-anne-claire/

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Le mentra de Sarah.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/41-sarah-quitter-leducation-nationale/

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Le mentra de Laura.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/42-laura-je-suis-bien-hors-de-ma-zone-de-confort/

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Le mentra de Constance et sa façon d'avancer dans la vie, un peu contradictoire.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/43-constance-de-lalsace-a-la-cote-divoire-moi-javais-envie-de-bouger-et-mon-mari-non/

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Le mentra plein de philosophie de Bénédicte.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/44-benedicte-en-double-activite/

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Et pour finir, mon mentra à moi.

L'épisode complet ici : https://www.podcast-ledepart.com/45-manon-je-me-suis-plantee-y-a-10-ans-en-fait/

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Comment concilier vie pro et sport de haut niveau ? Comment trouver l’équilibre entre une préparation physique intense et le besoin de payer les factures ? Dans cet épisode, Matthias Noirel nous partage son parcours de préparateur physique et d’athlète passionné qui jongle entre le sport de haut niveau et son métier de professeur d’escalade. Dès son plus jeune âge, Matthias, 24 ans, se plonge dans l’escalade avec une passion qui ne l’a jamais quitté. Inspiré par son amour du sport, il poursuit des études en STAPS pour devenir préparateur physique.

Un jour, il découvre l’émission Ninja Warrior et décide de s’inscrire, sans imaginer l’impact que cela aurait sur sa vie. Très vite, il tombe amoureux de cette discipline sportive intense et s’investit à 1000%. Depuis cinq ans, il se mesure aux meilleurs, que ce soit dans l’émission télé ou aux championnats du monde. Entre ses entraînements rigoureux et son engagement professionnel, Mathias nous raconte, sans détour, les défis et les sacrifices qu’il fait chaque jour pour concilier vie pro et sport de haut niveau.

Au-delà des compétitions et des podiums, Mathias revient avec sincérité sur l’importance de la discipline, de la gestion du temps et de l’équilibre entre ses deux univers. Comment organise-t-il son quotidien pour que l’un ne prenne pas le pas sur l’autre ? Quel impact la pratique sportive a-t-elle sur sa vie personnelle, ses relations et son bien-être ? Et surtout, comment se fixe-t-il des objectifs réalistes pour rester motivé et se dépasser jour après jour ?

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• Retrouvez Matthias sur Instagram : https://www.instagram.com/matthias_ninja/
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Comment trouver sa voie après des épreuves marquantes ? Dans cet épisode, Stéphanie partage son parcours de vie profondément inspirant, marqué par la résilience et une quête de sens. Elle débute d'abord une carrière dans la communication et explore des expériences professionnelles variées. Elle s'épuise au travail, sa santé l'alarme mais elle n'écoute pas. Comme beaucoup de personnes prises dans le quotidien. C'est votre cas ? Mais la vie la rattrape et elle fait face à la perte tragique de sa sœur, un événement qui la pousse à se réinventer pour devenir sophrologue.

À travers son récit, découvrez comment Stéphanie a surmonté des défis personnels et professionnels. Elle transforme chaque étape en opportunité pour se reconnecter à elle-même. Une enfance tournée vers les autres, un bac littéraire à Hong Kong, et un virage décisif grâce à un bilan de compétences marquent son chemin vers une nouvelle vocation. Un parcours qui nous inspire à réfléchir à nos trajectoires et à embrasser le changement pour trouver notre voie, peu importe les obstacles.

Finalement, cet épisode explore des thèmes universels comme la résilience, la transformation personnelle et la quête d’un équilibre entre vie pro et aspirations personnelles. Vous y découvrirez également des clés pour avancer malgré les épreuves et construire une vie alignée avec vos valeurs. invite à réécrire les règles de votre propre vie.

Dans cet épisode :

• Son enfance et ses influences personnelles
• Les tournants majeurs de sa vie professionnelle
• La découverte de la sophrologie comme métier de cœur
• Ses conseils pour surmonter les épreuves et trouver sa voie

Plongez dès maintenant dans une conversation émouvante et motivante qui invite à réécrire les règles de votre propre vie.

🔗 Les liens importants :

• Retrouvez Stéphanie sur les réseaux sociaux : https://www.instagram.com/stephanie_zanetto_sophrologue/
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Quentin, ancien ostéopathe, se donne 1 an pour changer de carrière. Face à l’instabilité financière de son métier et à son besoin de sécurité pour sa famille, il décide d’explorer d’autres options. Un bilan de compétences lui permet d’identifier un nouveau projet professionnel et, en moins d’un an, il entame une formation pour devenir électricien.

Dans cet épisode, Quentin raconte les étapes de sa transition, des premiers doutes à la concrétisation de son projet. Il partage les signes qui l’ont poussé à changer de voie. Mais aussi les ressources qui l’ont aidé, et comment il a surmonté les obstacles. Il nous montre qu’avec les bons outils et un accompagnement adapté, il est possible de se donner 1 an pour changer de carrière et de retrouver un métier aligné avec ses besoins et ses aspirations.

Son bilan de compétences a été un élément clé dans sa décision. Grâce à cet accompagnement, il a pu prendre du recul sur son parcours et identifier des compétences transférables. Il évoque également l’importance de se renseigner sur les dispositifs de financement. Et surtout d’oser sortir de sa zone de confort pour construire un avenir plus stable.

Avec son témoignage, Quentin apporte une vision concrète de la reconversion professionnelle et montre qu’il est possible d’évoluer vers un métier plus porteur, même après plusieurs années dans une autre voie. Entre réflexion, formation et prise de décision, il partage ses conseils pour avancer sereinement et éviter les pièges courants.

Que vous envisagiez une reconversion ou que vous soyez en pleine réflexion sur votre avenir professionnel, cet épisode vous donnera des clés concrètes pour avancer en toute confiance.

🔗 Les liens importants :

• Retrouvez Quentin sur les réseaux sociaux : https://www.instagram.com/ex_osteo/
• Le bilan de compétences Orientaction : https://www.orientaction-groupe.com/qui-sommes-nous/bilan-de-competences/
• Transition Pro : https://www.transitionspro.fr/
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Marion se décrit comme passionnée et gourmande. Passionnée d'abord par la pâtisserie et la course à pied mais surtout dans tout ce qu'elle entreprend. Elle se donne à fond et s'implique énormément pour tout. C'est au bout d'une dizaine d'années de vie de salarié, qu'elle décide de saisir des opportunités de carrière et de tout quitter pour monter sa boîte. Je vous garantis un épisode passionnant mais aussi avec des anecdotes de vie sans chichi, parce que Marion est sans chichi, et ça j'aime beaucoup !

Un premier tournant pendant les études

Durant son école, elle entend un élève parler d'une année de césure pour faire un autre diplôme. Il ne lui a pas fallu plus de temps pour saisir l'opportunité et quitter à son tour son école pendant 1 an, le temps de passer un DESS (ou Master 2 de nos jours :)) en management de projet et innovation. Finalement cette période la fait énormément murir, elle retourne à l'école pour une dernière année et observe un réel décalage avec les autres étudiants. Elle se rend aussi compte qu'elle ne veut pas être ingénieure dans la chimie.

L'importance de conserver des bonnes relations

Après les études elle cherche donc un emploi en tant que commerciale dans l'industrie et surtout dans des grandes entreprises reconnues. Malgré de nombreux échecs, elle en retient un retour particulièrement positif d'une manager de France Telecom qui l'a appelée personnellement pour lui dire de continuer dans cette voie parce qu'elle était faite pour ça. Quand on est à deux doigts d'abandonner, c'est ce genre de retours qui nous redonne un coup de boost. C'est finalement par un ami de promo qu'elle décroche son premier boulot. Marion nous raconte comment décrocher un premier emploi qui n'a pas de lien direct avec les études et dans lequel on n'a aucune expérience en sacrifiant certaines choses et en restant à l'écoute des opportunités de carrière.

C'est également grâce à une connaissance de promo qu'elle décroche son deuxième emploi dans une grande entreprise de l'énergie. Dans une telle entreprise, les promotions arrivent naturellement dès lors que le travail est à la hauteur des espérances. C'est ainsi qu'elle arrive à décrocher un poste de responsable marketing et ferme enfin la boucle avec son DESS. Marion est la preuve qu'on peut toujours bifurquer et atteindre notre but à condition de construire son projet pierre après pierre et de savoir rester à l'écoute des opportunités de carrière.

L'idée de génie

La pâtisserie entre dans la vie de Marion petit à petit, à force de faire des gâteaux pour ses proches et de prendre des cours avec des chefs expérimentés. Son goût pour le sucré se développe et en arrivant à Paris, un champ des possible s'ouvre à elle. Mais il est difficile de trouver les bons pâtissiers qui travaillent dur et produisent des gâteaux de qualité. C'est comme cela qu'elle a l'idée d'un outil qui permettrait de mettre en relation les personnes qui cherchent de bonnes pâtisseries ou du bon pain, et des professionnels du secteur avec certaines options bien pratiques. Le but étant de mettre en avant les bons artisans qui manquent malheureusement de visibilité et de permettre aux clients de réserver leurs gâteaux en avance.

Retrouvez Marion sur :

• Instagram
• Site pour les parcours de pâtissologie

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Conversations sur le changement de vie.

Un nouvel épisode sortira tous les derniers samedi du mois. Retrouvez des histoires toutes plus inspirantes les unes que les autres. Pourquoi et comment mes invités ont sauté le pas de ce changement de vie professionnel ou personnel.

Nouvelle année, nouveau projet

Je vous présente ma nouvelle folie : un podcast. Dans ce podcast je vais interroger des personnes qui ont des parcours atypiques. Toutes ces personnes ont un point commun : elles ont tout mis en oeuvre pour vivre leur meilleure vie. Mes invités vont raconter leur parcours mais surtout comment ils ont franchi chaque étape. J’espère que ces conversations vous permettront de vous rendre compte que tout est possible; que quel que soit le chemin sur lequel on se trouve, le plus important est celui qu’on trace devant soi. 

Le nom

Ce podcast s’appelle Le Départ pour plusieurs raisons. Déjà c’est un peu comme un nouveau départ pour moi et ça le sera peut-être pour quelques un d’entre vous en entendant les mots si inspirants des invités. Le Départ c’est avant tout là où tout commence, c’est cette action, ce moment, ce déclic qui fait qu’on décide de sauter le pas et de changer de vie. Et enfin, c’est le nom de l’endroit où ma première invitée m’a donné rendez-vous pour enregistrer le premier épisode, à ce moment, j’avais déjà ce nom en tête mais j’en avais également un deuxième et comme je crois énormément aux signes de la vie, ça a été une évidence.

L'histoire

Avec ce podcast je vais pouvoir vous partager mes conversation avec mes invités autour de leur changement de vie. J’ai toujours été admirative des personnes qui osent faire ce changement, souvent contre vents et marées car c’est quelque chose qui fait peur à l’entourage et qui n’est pas forcément très bien perçu par la société. Le changement il peut être d’ordre professionnel, on peut changer de métier, on peut se lancer à son compte en free-lance, on peut monter une entreprise après des années de salariat. Mais il peut aussi être personnel, l’arrivée d’un enfant, c’est quand même un sacré changement de vie, un déménagement dans un autre pays, c’est un sacré défi. Bref je vais vous présenter des parcours variés, à différents stades de ce fameux changement. Et j’espère vous (me ?) donner ce courage de sauter le pas.

Retrouvez un nouvel épisode tous les derniers samedi du mois.

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Claire est expatriée à Montréal depuis maintenant 6 mois. Après deux expériences de quelques mois là bas, elle est partie s'y installer pour une durée indéterminée. Je suis très heureuse d'avoir abordé ce nouveau sujet sur le podcast. Claire nous raconte tout, les bons comme les mauvais côtés de son expérience. Mais elle tient à nous rappeler que ces impressions sont basées sur sa propre expérience et que chacun.e peut vivre une expatriation à Montréal, ou ailleurs, différemment.

Claire grandit en Normandie y fait toute sa scolarité et voyage en France pour les vacances. L'envie de voyage à l'étranger vient avec les études et elle décide de partir faire un stage de 6 mois à Montréal. Pour elle, c'était Montréal ou rien ! L'attirance pour le Canada était là depuis toujours. Elle part donc en avril 2011 pour 7 mois, seule, sans connaitre personne, juste avec un stage et en ayant trouvé une colocation à distance.

Après ce premier stage, elle revient 5 mois en France avant de repartir de nouveau pour 7 mois à Montréal avec un Permis Vacances Travail (PVT) qui permet de travailler et voyager à travers le Canada. À son retour, elle s'installe à Paris et a du mal à s'adapter de nouveau à la vie en France. Elle lance alors directement les démarches pur obtenir une Résidence Permanente (RP) qui est le visa qui permet de vivre à Montréal.

Les démarches sont très longues et fastidieuses. Claire fait d'abord un premier dossier pour le Québec. Ce n'est qu'une fois ce dossier accepté qu'elle pourra se lancer dans le dossier pour le Canada. Un dossier qui nécessite encore une validation de l'immigration. Le délais de validation du dossier pour le Québec est déjà de 2 à 3 ans. Entre temps, elle s'habitue à sa vie parisienne et l'expatriation à Montréal ne fait plus parti des priorités. C'est quelques mois plus tard, suite à une conversation avec un ami, qu'elle se rend compte qu'il est encore temps de faire la demande pour le Canada. Elle envoie donc son dossier en février 2018, reçoit la réponse positive en octobre 2019 et déménage en janvier 2020.

Seulement 2 mois après leur arrivée, le confinement est annoncé à Montréal. Claire nous raconte en toute sincérité comment elle a vécu la distance et le stress du virus. Plus généralement, même hors crise sanitaire, le manque des proches se fait sentir et fait qu'on se remet en question sur son choix en permanence.

Mais finalement, la douceur du quotidien, les grands espaces et la gentillesse des locaux l'emportent sur tout ce stress et rend son expérience d'expatriée à Montréal plus qu'agréable.

Après des années en tant qu'assistante de direction pour des créatifs, elle se retrouve au chômage et décide d'en profiter pour se lancer dans le stylisme culinaire. Elle ouvre son blog Caillebot, se forme toute seule à la photographie, développe son style et se fait connaître. Au bout de quelques mois elle décroche son premier contrat rémunéré. Mais une fois installée à Montréal elle doit tout recommencer à zéro. C'est loin d'être facile mais elle a relevé le défi et a trouvé une super marque avec qui elle travaille à temps plein.

Crédit photo : Mona Muzio

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Justine est aujourd'hui photographe culinaire et entrepreneuse. Après un master en microbiologie elle entame une reconversion dans la pâtisserie et passe son CAP. Justine a saisi l'opportunité d'une rupture de contrat pour se lancer à son compte et vivre de sa passion : la photographie culinaire. Elle a aussi crée sa propre marque de fonds photos très pratiques pour les photographes culinaires, mais pas que. À chaque fois qu'elle a entrepris quelque chose, Justine s'est laissé 1 an pour réussir et le fait d'avoir ce timing dans la tête fait qu'elle s'est donné à fond.

Justine grandit en Normandie, y fait des études scientifique : bac S puis licence de biologie. À la fin de sa licence, elle se rend compte qu'elle ne se projette pas dans ce type de vie et décide de se lancer dans un CAP pâtisserie. Mais après de longues recherches, elle ne trouve pas de patron et retourne à la fac pour faire un master en microbiologie. Elle part faire son dernier stage à Toulouse, pour changer d'air.

Après ce fameux stage, Justine n'a pas perdu son objectif du CAP pâtisserie mais elle a également un autre objectif : partir vivre sur la Côte d'Azure. Alors qu'elle décide de se donner 1 an pour trouver une formation en pâtisserie, elle n'a qu'une semaine pour trouver un appartement et déménager. Cette histoire, qu'elle raconte dans l'épisode est assez rocambolesque.

Justine commence le CAP en candidate libre, puis au bout de quelques mois, trouve une formation pour adultes ainsi qu'un patron. Cette expérience s'avèrera plus un calvaire qu'une partie de plaisir mais son objectif lui fait tenir le coup. Après l'obtention de son diplôme, elle trouve une place dans une pâtisserie végétale qui va ouvrir. Ce n'est toujours pas le job dont elle rêve mais elle se lance dans l'écriture d'un livre de pâtisseries végétales sur son temps libre et continue de développer son compte Instagram.

C'est un 31 décembre que son patron lui annonce la fin de son contrat. Justine ne se démonte pas et se dit que c'est l'occasion ou jamais de se lancer à son compte en tant que photographe culinaire. Elle recontacte les marques avec qui elle a pu collaborer grâce à son compte Instagram et obtient ses premiers contrats. De nouveau, elle se donne 1 an pour améliorer ses photos et pouvoir vivre confortablement de ce métier. Pour Justine, c'est une fois au pied du mur, quand on n'a pas d'autre choix, qu'on se donne vraiment à fond.

Cette vie d'indépendante lui réussit, elle en profite pour se former à la photographie à son rythme, avec des supports auxquels tout le monde a accès sur internet et décroche de plus en plus de contrats. Rapidement elle a une idée qui germe : la création de fonds photos. D'abord pour elle-même, parce que ceux qu'elle commande sur internet viennent parfois de trop loin. Et finalement cette initiative trouve un large public toujours grâce à Instagram. Ces fonds sont faits en matière souple pour être facilement transportable et pratique à ranger, mais ne brillent pas pour éviter les reflets sur les photos et surtout sont imprimés en France avec des encres écologiques. Ce sont toutes ces valeurs qu'a voulu porter Justine et qui touchent les clients.

Les liens

• Le site de Justine et son e-shop : Pastry and Travel
• L'instagram de Justine : Pastry and Travel
• La recette de cookies végétaux au beurre de cacahuètes de Justine

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Aujourd'hui créatrice de contenu, chroniqueuse, et formatrice, Gabriella s'est livrée sans tabou sur de nombreux sujets. Elle raconte son ancienne vie, qui n'a pas toujours été facile. Mais aussi à son coming out à 29 ans. Ou encore l'émission de télé qui l'a révélée, Le Meilleur Pâtissier. Elle partage comment elle a dû faire les bons choix à chaque étape pour changer de vie.

Une ancienne vie pas toujours facile

Gabriella grandit dans un milieu défavorisé. Son quotidien est fait de galères mais elle en tire des leçons qui lui permettent d'avancer encore aujourd'hui. Elle grandit toute seule avec sa grande soeur qui est aujourd'hui la personne la plus importante de sa vie. Et ça se ressent quand elle parle d'elle en fin d'épisode.

Petite, Gabriella rêve de devenir actrice pour avoir 1500 vies différentes et être une star. Mais la réalité la rattrape très vite. Elle commence à travailler dans une boucherie dès l'âge de 14 ans, bien loin des paillettes du cinéma.

Refouler son rêve pour y revenir plusieurs années plus tard

Quand Gabriella évoque l'idée d'être pâtissière, on lui répond que ce n'est pas un bon métier pour elle. Pourtant amatrice de gâteaux depuis son plus jeune âge, elle se lance dans des études de comptabilité qui ne lui plaisent pas. Après de nombreuses années dans la restauration, elle quitte ce domaine pour une sécurité d'emploi à la RATP.

À ce moment, elle renoue avec la pâtisserie, sa première passion, et se perfectionne en cake design. C'est lors d'un long arrêt maladie qu'elle regarde l'émission Le Meilleur Pâtissier et se dit "Pourquoi pas moi ?".

L'émission télé qui a changé sa vie

Après un premier combat lors des castings (refusée une fois, puis repêchée et un casting final qui se passe mal), elle intègre l'émission avec la ferme intention de changer de vie. Gabrielle ne s'est jamais laissé abattre. Elle a travaillé jour et nuit avec une autre candidate pour se hisser jusqu'à la finale. Elle ne remporte pas la finale mais elle a tout gagné. Dès la fin de la diffusion elle se donne les moyens de décrocher des contrats pour enfin changer de vie.

Gabriella raconte en détails, dans l'épisode, comment elle a vécu cette expérience.

La découverte de nouveaux métiers

En sortant d'une telle émission télé, elle découvre le monde des réseaux sociaux. La création de contenu et tout ce qui est lié à ce milieu, elle ne connaissait pas. Elle nous livre les bons moments, comme les marques avec qui elle a pu travaillé en toute confiance. Mais aussi les galères et les gens qui ne la prennent pas au sérieux. Faire les bons choix c'est aussi savoir avec qui travailler.

Gabriella mettra plus d'un an et demi avant de quitte son emploi à la RATP pour vivre à 100% pour elle-même. Mais sa devise qui la suit tous les jours lui fait tenir le coup malgré les nuits un peu trop courtes.

Aujourd'hui elle a réussi à asseoir une certaine légitimité dans le milieu de la création de contenu et travaille sur de beaux projets en toutes confiance avec des marques qu'elle adore.

Contacts

• L'Instagram de Gabriella : @gabriellachr.d
• L'Instagram de Rachel : @happy.pastille

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Anne est aujourd'hui photographe professionnelle à temps plein. Après 8 ans en tant que musicienne dans un orchestre, elle a décidé d'entamer une reconversion en accord avec ses valeurs, en se lançant dans l'entrepreneuriat, pour son plus grand bonheur. Nous avons d'ailleurs débuté la conversation en discutant de son rapport au temps. Anne nous explique à quel point devenir indépendante lui a permis de développer une relation plus sereine avec le temps qui passe.

Anne tombe dans la musique dès l'enfance. Elle découvre le basson très jeune lors d'une classe découverte. Comme je n'y connais rien à la musique, Anne m'explique que le basson est le plus grave des instruments à vent et qu'il est souvent utilisé pour accentuer des scènes humoristique dans les dessins animés. Sa pratique de la musique l'amène à faire des classes à horaires aménagées dès le CE1. Et très tôt elle sait ce qu'elle veut : être musicienne professionnelle et intégrer le LSO. qui est l'orchestre qui joue les musiques des films les plus connus.

Anne se forme au conservatoire en musique classique dans la Bourgogne natale puis vient en région parisienne afin de passer le DUMI. Ce diplôme lui permet d'appréhender la musique différemment.

Voilà ce qu'elle me dit quand elle évoque son premier blocage face à l'improvisation après des années à jouer avec une partition sous les yeux. Cette manière d'apprendre différente a été libératrice pour elle. Anne finit par intégrer un orchestre militaire à Versailles. Elle y restera 8 ans.

En dehors de son travail, Anne a beaucoup de temps libre et développe une nouvelle passion : la photographie. Elle commence par tester un peu tous les domaines avant de s'orienter rapidement vers l'humain. Sa spécialité devient rapidement le portrait de musiciens, car son entourage est principalement composé de musiciens. Finalement c'est un peu une évidence, la musique est comme un fil rouge dans sa vie.

En 2015, Anne se sépare de son mari. C'est un vrai bouleversement dans sa vie. Elle nous raconte comment elle y a fait face et comment elle a rebondi. Ce que je retiens de son expérience c'est le fait de laisser une page blanche avant de la tourner comme elle dit. Et de se créer un nouveau cocon pour repartir sur de bonnes bases. Pour elle, ça a été un nouvel appartement dans lequel elle se sentait bien. C'est là qu'elle a trouvé la force de se reconstruire.

Suite à sa séparation, elle passe encore 2 ans à faire de la photo à côté de son travail à l'orchestre. Mais un jour elle a le déclic, elle se décide à se professionnaliser. Elle fait le stage préalable à l'installation, obligatoire à l'époque, puis ouvre une entreprise et se sent enfin légitime à dire qu'elle est photographe professionnelle.

C'est début 2019, lors d'une dépression, qu'elle prend la décision ferme et définitive de ne pas renouveler son contrat à l'orchestre. Après des années à cumuler plusieurs postes, juin 2020 arrive, et c'est le moment de se lancer dans le vide. Anne nous parle de la difficulté de quitter 8 ans de carrière en plein confinement. Sans vraiment pouvoir dire au revoir à tout ça. Finalement, c'est ce qui a été le plus compliqué pour elle. Ses multiples activités lui ont permis d'économiser un an de salaire et donc de se sentir un peu plus sereine par rapport à la crise qui touche le monde à ce moment.

Les liens de ses réseaux sociaux

• @annebiedphotographe
• @annebied_portraitsdefemmes

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Doctorat en énergétique et génie des procédés en poche, Massiel troque son emploi d'ingénieure bien sous tous rapports contre une vie plus paisible. Découvrez sa reconversion en photographe et styliste culinaire à son compte.

La naissance de la passion

Massiel découvre tout d'abord sa passion pour la pâtisserie en faisant des gâteaux pour son mari, dont le fameux cheesecake à la framboise d’Hervé Cuisine. Depuis elle ne s’arrête plus et se prend d’amour pour le cake design. Elle se rend compte très vite que pour partager sa passion, cela passe forcément par la photographie. De là, elle démarre avec l’objectif 50mm dont elle parle dans l’épisode et qu’elle continue de recommander à toutes les personnes qui veulent progresser en photographie culinaire. Après des soirées passées derrière son appareil photo et son ordinateur à nourrir cette nouvelle passion, Massiel décide d’en faire son métier à temps plein.

Le déclic : passer d'ingénieure à photographe et styliste culinaire

Découvrez dans l'épisode, le déclic qui lui a permis de franchir le pas de la reconversion en photographe culinaire. Massiel nous parle de comment elle vit le changement dans lequel elle se trouve actuellement. Elle nous raconte son nouveau travail au quotidien et son nouvel équilibre familial. Elle évoque également l'importance du soutien de l'entourage quand on abandonne la stabilité d'un CDI pour la vie d'entrepreneur.

Ses conseils

Massiel donne des conseils avec tout son coeur et toute sa bienveillance pour mieux appréhender les moments difficiles. Un de ces moments charnières de notre vie est le choix de son orientation à, à peine, 18 ans. Je ne m'attendais pas à un tel échange. On a un parcours plus que similaire et on est sur la même longueur d'onde pour énormément de choses. Je savais que ce podcast me serait bénéfique aussi. Néanmoins je ne m'attendais pas à ce que cette première interview soit aussi riche pour moi. Si je devais retenir une chose de cet échange c’est la bienveillance dont Massiel fait preuve dans chacune de ses paroles. Je ne me lasse pas d’écouter sa voix apaisante et j’espère que cela fera écho en vous.

Contacts

• Blog de Massiel : Falling From Stars
• Instagram de Massiel : @mzcuisine
• Recette du taboulé Libanais et des atayefs : Falling From Stars

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Bénédicte a subi une crise de la quarantaine plutôt violente qui a entrainé deux ans de changements personnels et professionnels. Avant ses 40 ans, elle avait une bonne place dans l'entreprise familiale, un mari, des enfants, une jolie maison. Bref que de cases cochées pour une vie "parfaite". Mais voilà qu'un ouragan souffle sur son brouillard et balaye tout sur son passage. Elle monte aujourd'hui son propre projet pour accompagner les femmes dans tous les changements qui s'offrent à elles au cours de leur vie.

Un parcours de vie "classique"

Bénédicte était une petite fille sage et bonne à l'école sans grand rêve professionnel. Puis arrivée au lycée, elle commence à savoir ce qu'elle veut. Elle impose son choix de faire un bac Littéraire dans un lycée orienté vers les classes scientifiques. Après 5 ans d'études en psychologie, elle ne se sent pas légitime à exercer dans ce domaine et prend alors un poste dans les ressources humaines en entreprise.

Après une première déconvenue professionnelle, elle intègre l'entreprise de son père dans le transport routier. Elle y passera 17 ans. Dans l'épisode, Bénédicte raconte comment trouver sa place dans une entreprise familiale, le quotidien d'une responsable des ressources humaines et comment elle a réussi à concilier un poste qu'elle aimait dans un secteur qui n'était pas celui rêvé.

La crise de la quarantaine

Bénédicte me confie qu'elle a vécu des crises de la quarantaine à peu près tous les 5 ans et que finalement, elle regardait arriver les 40 ans avec sérénité. Sauf que les choses arrivent quand on ne les attend pas !

"Le jour de mes 40 ans, il y a eu un avant et un après." Bénédicte

Durant une journée consacrée uniquement à elle, sans faire de conciliation pour les autres, elle se rend compte de beaucoup de choses. S'en suivent 2 ans de bouleversements. Son anniversaire est en Mars 2018, en Juillet elle se sépare de son mari, dans la foulée elle vend la maison, puis elle et sa famille décident de vendre l'entreprise familiale en décembre. En octobre 2019, ils rencontrent leurs acquéreurs, elle fait une passation de 6 mois puis se retrouve sans rien à faire du jour au lendemain en plein confinement au mois d'avril 2020.

Le nouveau projet

Bénédicte a su très vite qu'elle avait besoin d'un projet à elle. Mais au début il y a pas mal de peurs qui prennent le dessus. Après presque 20 ans à se cacher derrière les décisions des autres, elle allait devoir assumer ses propres décisions maintenant. Son but était alors de trouver quelque chose en harmonie avec qui elle était pleinement. Un projet qui pourrait mêler les nombreuses casquettes qui la caractérisent.

C'est comme cela qu'est né Passages Insolites. Un projet pas encore tout à fait abouti et que vous pouvez suivre sur Instagram @passages_insolites. Elle aspire à aider les femmes dans toutes les périodes de transition qu'elles peuvent vivre dans leur vie de femme, de mère, d'épouse, de working-girl, etc. Elle a plein d'idées pour ce projet et l'une d'elle a déjà vu le jour entre le moment de l'enregistrement et aujourd'hui. Elle a lancé son podcast appelé Passages Insolites.

J'ai déjà très hâte de voir la suite !

Contacts

• Facebook : @passagesinsolites
• Instagram : @passages_insolites
• Mail : benedicte@passages-insolites.com

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Léa a un parcours atypique par rapport aux autres invité.e.s du podcast. En effet, Léa n'a pas tout quitté pour vivre un rêve. Elle est passée par une étape de remise en question et de comparaison aux autres pour finalement se rendre compte qu'elle était très bien à sa place. Et c'est exactement pour ces raisons et pour le recul qu'elle a par rapport à l'influence des réseaux sociaux que l'ai choisie pour aborder ce sujet.

Choisir son orientation à 16 ans, pas si simple ...

De par son vécu pas simple, Léa s’est mise une pression dès son plus jeune âge pour être la meilleure à l’école. Grâce à ses facilités scolaires, elle arrive jusqu’en première S en laissant petit à petit tomber sa passion pour la cuisine et la pâtisserie qu’elle partageait avec sa tante au détriment du rêve d’être pédiatre néo-natal. Elle connaitra un bouleversement personnel qui lui fera changer de voie. Elle se remet en question et se rend compte qu’elle ne sait pas ce qu’elle veut faire plus tard. Après le lycée, elle démarre des études de communication. Elle part à Bordeaux entamer une licence d’information et communication. C’est lors de sa première année qu’elle découvre qu’elle veut travailler en agence de communication mais que cette licence ne lui permettra pas. Elle continue alors jusqu’au bout de sa deuxième année pour bénéficier d’une passerelle vers une école de communication privée, à Lille cette fois.

Ecouter son instinct

Grâce à cette école, Léa a l’occasion de faire ses premiers pas dans le monde professionnel par le biais de stage et d’une année d’alternance. Elle décide de partir à Paris pour trouver du travail. Elle se met encore une fois une pression monumentale pour trouver rapidement du travail et ne pas vivre au crochet de sa famille et de son conjoint. Elle est prise dans une agence et dès le premier jour, elle se rend compte qu’on lui a menti. Elle décide de quitter cet emploi. Bien mal lui en a pris puisqu’en à peine une semaine, elle décroche une place dans l’agence dans laquelle elle restera 2 ans à Paris !

2 ans à Paris et une remise en questions

Dés son arrivée à Paris, elle se rend compte qu’elle a du temps en dehors de son travail et se remet à la pâtisserie. Elle transforme son compte Instagram personnel en compte de pâtisserie et ouvre un blog 100% dédié à ses recettes. Très vite son compte grandit énormément. Elle se sent alors comme dans un cercle vertueux où plus elle poste, plus son compte grandit et donc plus elle a envie de poster.

Changer d’environnement pour retrouver un équilibre

Quelque soit la situation, Léa garde les pieds sur terre. Plusieurs choses ne lui conviennent plus dans sa situation donc elle décide de prendre les problèmes un par un. Elle commence par déménager à Montpellier, et c’est encore grâce à un coup du destin, une bonne étoile, un timing parfait, bref appelez ça comme vous voulez, qu’elle trouve un poste dans son agence de communication actuelle à Montpellier. Le déménagement lui permet de se recentrer sur d’autres aspects de sa vie personnelle. Elle concrétise des projets de vie avec son conjoint comme l’adoption d’un chient et la construction d’une maison. Elle adore sa nouvelle agence et son boulot, elle retrouve ce qui la faisait vibrer quand elle a commencé dans ce secteur. Tous les aspects de sa vie sont alors réalignés avec qui elle est.

Les références

• Le blog : Léa Pâtisseries Inspirées
• Le compte Instagram : @lea_scz
• Sa recette du Kubik Peanut présenté au casting de LMP

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Aujourd'hui, Léa est coach en développement personnel et a créé une bulle bienveillante pour aider les femmes dans chaque période de leur vie. Pour découvrir sa mission de vie, Léa a traversé plusieurs expériences marquantes, dont un voyage à la fois intérieur et extérieur. À travers chaque étape, elle nous parle des aspects positifs autant que des difficultés rencontrées, tout en soulignant l'importance de l'amour inconditionnel de soi. Une conversation 100% honnête, comme je les aime.

La rencontre avec le développement personnel

Léa est une petite fille joyeuse et créative mais aussi colérique et bagarreuse. "Un joyeux mélange de tout ça" me dit-elle. Plus jeune elle voulait être une grande styliste reconnue. Elle démarre des études dans ce sens mais se rend compte qu'elle n'est pas excellente dans ce domaine et dévie légèrement vers du conseil en image. C'est pendant ce cursus qu'elle découvre le développement personnel.

Après son diplôme, elle décide de partir 1 an aux Etats-Unis pour apprendre l'anglais avec pour but de monter sa boite de conseil en image en rentrant. Mais cela ne se passe pas comme prévu. Elle vit une expérience incroyable, sans pour autant écarter toutes les difficultés, et se rend compte que d'autres choses la font vibrer. Malgré son idée professionnelle en tête elle ne passe pas à l'action. Et d'après elle "ça veut bien dire que ce n'est pas la bonne direction".

Le voyage au coeur de sa vie pour apprendre l'amour inconditionnel de soi

Quand elle rentre des Etats-Unis elle n'a finalement qu'une envie : repartir en voyage. Elle se laisse alors 2 ans pour mettre de l'argent de côté pour pouvoir partir 1 an, seule, en sac à dos à travers l'Asie. Elle part découvrir le monde et les cultures locales mais ne se doute pas qu'elle y fera aussi un voyage intérieur.

Léa part en mars 2019 sans aucune idée de quand elle rentrerait. Le voyage commence par 3 semaines rythmée au Japon puis continue plus doucement en Philippine où elle se laisse porter et où elle a son premier déclic, un déclic sur son rapport au corps.

Le voyage se poursuit et après une pause en Europe pour retrouver ses proches, elle continue en Thaïlande où elle fera une retraite méditative silencieuse de 10 jours. Encore une expérience toute aussi enrichissante que difficile. Pendant cette deuxième partie du voyage elle trouve ce qu'elle était partie chercher. Elle trouve son vrai pourquoi professionnel, celui qui la fait vraiment vibrer. Et elle rentre avec une idée en tête qu'elle a hâte de mettre en action.

Le début de l'aventure entrepreneuriale

Léa rentre en France avec l'idée d'aider les femmes dans leur développement personnel par le biais d'atelier et de coachings. Elle se forme, commence à travailler sur son offre et fait finalement la rencontre de son associée actuelle. Elles décident de se lancer ensemble dans cette nouvelle aventure entrepreneuriale et de créer "Ma bulle positive" qui contient énormément d'outils pour que chacune vive pleinement son développement personnel. Je vous invite fortement à aller découvrir Léa, Anna et leur bulle positive, en espérant qu'elle puisse vous donner envie de travailler sur vous.

Les références de l'épisode

• Instagram de Léa : @lea_positivevibes
• Espace "Ma bulle positive"
• Livre 3 kifs par jour de Florence Servan-Schreiber
• Livre Les 4 accords Toltèques de Michel Ruiz

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Manon a suivi un parcours scolaire brillant, en réalisant de prestigieuses études d'ingénieure dans plusieurs grandes villes de France. Cependant, c'est dans sa région natale, près de Chambéry, qu'elle a décidé de s'installer comme photographe culinaire freelance, après un voyage de 6 mois en Asie. Toujours en quête d'aller plus loin dans ses projets, ce voyage lui a permis de redéfinir ses ambitions.

Les études

Studieuse et curieuse dès son plus jeune âge, son intérêt se porte vers la médecine rapidement. Après un bac S, ses parents lui conseillent de s'orienter vers une prépa BCPST avant d'être sûr de s'impliquer dans des études de médecine très longues et compliquées. Finalement, elle reste dans cette filière et après 3 ans de prépa, elle intègre une prestigieuse école d'ingénieur à Toulouse. Manon y passera 2 ans, puis fera sa troisième année à Paris avant de trouver un stage à Lyon. Elle remonte à Paris pour son premier emploi. Elle est cheffe de projet pour les tests consommateurs et études de marchés dans une grosse entreprise de parfums. Son poste lui plaît mais il y a toujours un mais dans ce podcast.

La découverte de la passion

Ses collègues la savent très bonne cuisinière et lui mettent l'idée en tête de créer un blog pour partager ses recettes. Dans un même temps, elle ouvre son compte Instagram pour y partager ce qu'elle fait au quotidien. Nous sommes en 2016. Un peu perfectionniste, elle apprend à mieux se servir de l'appareil photo que ses parents lui ont offert à sa remise de diplômes. Et surtout elle se perfectionne dans la photographie culinaire. Rapidement, son compte Instagram grossit et elle est contactée par des marques pour faire des partenariats, gratuits dans un premier temps. Mais sentant son attrait pour la photographie grandir, c'est là qu'arrive le déclic et qu'elle décide d'aller plus loin dans ses projets.

Un voyage au milieu de tout ça

Après des années de négociation avec son chéri, il a accepté, ils partiront 6 mois en Asie début 2020. Il leur reste 1 an pour économiser l'argent nécessaire au voyage. Mais également pour assurer les arrières pour ses débuts en freelance. Après avoir passé seulement 3 mois à son compte, c'est déjà l'heure du départ, direction le Vietnam. Au bout de quelques semaines, alors qu'ils s'apprêtaient à quitter le Cambodge pour le Laos, l'ensemble des frontières Asiatiques se ferment. Ils resteront "bloqués" au Cambodge jusqu'à la fin de leur voyage. Ils ont alors l'occasion de vivre la vie Cambodgienne comme des locaux et non comme des touristes. Manon nous raconte même des anecdotes de vie et toutes les différences culturelles flagrantes entre le Cambodge et la France.

Retour au travail

Il n'était pas question pour Manon de retrouver un travail en tant que salariée. Elle avait d'ailleurs gardé quelques clients qui lui ont permis de se refaire la main. Après 6 mois d'inactivité elle avait un peu perdu certains réflexes mais c'est revenu rapidement. En revanche, elle se confie sur ses difficultés à retrouver des clients à cause de plusieurs facteurs dont le fait qu'elle ait changé de région mais également à cause de la crise sanitaire.

Les références de l'épisode

• Le blog de Manon : The Kitchen of Happiness
• Le compte Instagram de Manon : @manon_thekitchenofhappiness
• La chaine YouTube de Manon : The Kitchen of Happiness
• Sa recette de Banana Bread

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Sylvain, marié, père de famille, tient une agence immobilière. Mais pour en arriver là, le parcours n'a pas été direct, il a connu plusieurs rebondissements et sorties de zone de confort. Sylvain nous raconte comment il a orchestré chacun de ces rebondissements pour finalement arriver à faire ce dont il avait envie. L'épisode est plein de conseils dans plein de domaines différents. Que l'on veuille changer de branche tout en restant salarié.e dans son entreprise ou que l'on souhaite se lancer à son compte. D'ailleurs, se lancer à son compte n'est pas synonyme de monter sa boîte tout.e seul.e dans son coin pour Sylvain puisqu'il a choisi l'option de la franchise. Il en parle longuement et donne, encore une fois, plein de conseils sur cet aspect.

Tout est une histoire de déclics

Sylvain était un enfant sage et curieux de tout ce qui touche aux technologies mais pas très intéressé par l'école. Son père le dirige vers un Bac Pro où il comprend rapidement qu'il devra bien travailler pour réussir à gagner sa vie correctement plus tard. Mais lors d'une présentation des perspectives d'avenir après son école, Sylvain réalise qu'il ne fera pas ça toute sa vie. C'est le premier déclic. Après son diplôme, il devient pompier volontaire et a rapidement l'opportunité d'intégrer une entreprise en tant que pompier d'entreprise. Un premier changement de carrière non anodin.

Après plusieurs années dans ce service, il s'installe dans une routine. Encore une fois, il regarde les perspectives d'évolution et sent qu'il n'en a pas beaucoup. Un deuxième déclic qui le pousse à reprendre des études en parallèle de son travail. Après 3 ans d'études qu'il finance de lui-même, il en fait part au service formation de son entreprise pour voir comment ils pourraient l'aider. Ce service formation va lui payer deux ans supplémentaires pour qu'il obtienne un master, ce qui lui ouvrira les portes du service Finances de son entreprise. Un deuxième virage à 180° dans sa vie professionnelle.

Puis une envie d'indépendance hors de sa zone de confort

Après 10 ans dans ce service, la routine s'installe à nouveau et Sylvain se rend compte qu'il aime monter et développer des projets. Depuis déjà plusieurs années, il s'intéresse à l'immobilier. Il fait notamment des investissements dans ce domaine. La question se pose alors de se reconvertir encore une fois. Mais cette fois, il était hors de question de retourner "en bas de l'échelle". Il étudie toutes les possibilités et décide de tenter l'aventure de la franchise. En écoutant l'épisode, vous pourrez apprendre pourquoi il a fait ce choix, quels sont les aspects positifs et négatifs de ce choix mais aussi comment choisir la bonne franchise, et tout le processus pour se lancer.

Comme tout indépendant.e, Sylvain a des problématiques d'équilibre pro/perso. Il donne même sa petite astuce, mise en place avec sa femme pour éviter que son boulot ne soit au coeur de toutes leurs conversations personnelles. Il parle également, en toute sincérité, de l'aspect humain qui peut être compliqué à gérer au travail et que l'on emmène souvent chez soi.

Sa vision des choses

Lorsque je demande à Sylvain si il a un mantra, sa réponse m'a fait plus que plaisir. Il nuance cette phrase "Quand on veut on peut." qu'on entend partout. Elle peut paraître effrayante, pas totalement vraie, trop facile à dire. Alors voici sa version à lui qui, je l'espère, vous donnera envie d'écouter l'épisode et même, vous donnera des ailes pour vous lancer dans vos projets hors de votre zone de confort qu'ils soient personnels ou professionnels.

Quand on veut on peut mais il faut savoir se faire accompagner pour ne pas tomber.

Sylvain

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Rachel est aujourd'hui la fondatrice de Pastille, une marque engagée de décors pour gâteaux biscuits. Pendant des années, elle a cherché à fusionner ses deux passions, la pâtisserie et le design. Après un parcours semé d'embûches et de mésaventures et à force de saisir les opportunités, elle a finalement trouvé sa place et se construit désormais la vie qu'elle désire vraiment.

Une enfance atypique

Dès son plus jeune âge Rachel se passionne pour la danse classique. Dans un premier temps, ses parents refusent qu'elle en fasse. Mais à force d'obstination elle obtient gain de cause. Elle se donne corps et âme dans sa passion, fait sport étude jusqu'en terminale avec pour objectif de devenir danseuse étoile. Mais malheureusement, elle se blesse à quelques semaines des examens et auditions.

Pour rebondir, elle décide de saisir l'opportunité d'écrire son avenir en se dirigeant vers des études de mode. Après une année de MANAA (mise à niveau en arts appliqués), elle fait un BTS design de mode puis un DSAA (Diplôme Supérieur des Arts Appliqués) qui l'orientent vers un métier de directrice artistique. À la sortie de ces études, elle trouve un CDI chez Kiabi en tant qu'illustratrice pour le rayon bébé.

Un parcours un peu flou

Rapidement elle s'ennuie dans son travail et ouvre en parallèle un blog expérimental autour de la pâtisserie. La pâtisserie a toujours fait partie de sa vie mais à ce moment elle envisage d'en faire son métier. Elle voudrait mêler ses deux passions : le design et la pâtisserie, c'est comme ça qu'elle trouve une formation de design culinaire à Reims. Elle se lance dans cette nouvelle expérience toujours sans savoir ce qu'il en ressortira à la fin.

En rentrant de cette formation, elle trouve un CDI alimentaire en tant que vendeuse chez Alice Délice. En même temps, elle fait des missions freelance pour Kiabi et d'autres marques textiles comme illustratrice. Mais ce n'est pas tout ! Pendant sa formation, elle rencontre Marion avec qui elle monte le Studio Exquisite avec pour projet de créer des carnets de tendance pour les pâtissiers et chocolatiers. Elle fait des choses extraordinaires mais c'est très intense mentalement.

L'expérience qui change sa vie

Un jour, alors qu'elle faisait des travaux dans sa maison, c'est dans un état presque second qu'elle s'inscrit au Meilleur Pâtissier. Elle ressent un fort besoin de faire des gâteaux, de rencontrer des professionnels et de partager sa passion. Elle appréhende le concours et se prépare comme une gagnante. Elle va saisir toutes les opportunités que cette expérience lui offre en allant jusqu'au bout.

Et pourtant c'est bien l'expérience qui a changé sa vie. Elle y a fait des rencontres qu'elle n'oubliera jamais et qui sont aujourd'hui sa force. Il y a bien sûr son amitié avec Gabriella (épisode 8 saison 1) mais aussi la rencontre de grands chefs qu'elle va re-croiser plus tard dans son parcours. Ces chefs sont notamment Pierre Hermé et Frédéric Beau qui vont lui valider le concept de son projet qui va devenir Pastille.

Les références

• Le site Pastille
• L'Instagram de Rachel
• Le studio Exquisite
• Le livre de Philippe Urraca

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A 30 ans Marjolaine tombe enceinte mais ça ne se passe pas vraiment comme prévu. Elle fait une grossesse extra-utérine. L'embryon vient se loger dans sa trompe droite et y reste. Marjolaine raconte à coeur ouvert son parcours médical, pas vraiment simple.

Les premiers symptômes

Avant même de savoir qu'elle était enceinte, elle fait sa première crise sans vraiment se douter de ce qu'il se passait dans son corps. Les symptômes peuvent se manifester de différentes manières selon les femmes. Pour Marjolaine, ce sont de violentes douleurs dans le bas du ventre qui durent plusieurs heures. Des douleurs telles qu'elle ne pouvait plus bouger, pliée en quatre, elle attend que ça passe.

La diagnostique

Elle passe à autre chose puis apprend qu'elle est enceinte quelques jours plus tard. Elle va faire des analyses et raconte sa crise à sa médecin qui reste muette. Mais elle n'a pas tellement le temps de réaliser ce qui lui arrive qu'elle fait une nouvelle crise. Elle se rend à nouveau chez sa médecin qui l'ausculte et évoque pour la première fois la possibilité d'une grossesse extra-utérine. Elle est envoyée chez un gynécologue pour faire une échographie mais l'embryon étant logé dans une trompe et encore trop petit, rien n'est visible à l'échographie. Elle est alors envoyée aux urgences où elle restera plusieurs heures.

Une première solution

Après des heures à attendre son tour aux urgences, ils la convoquent le lendemain en lui proposant deux solutions : une injection d'un produit qui se propage dans tout le corps pour détruire l'embryon ou une opération. Finalement, le corps médical décide que l'injection est moins risquée pour elle. Elle raconte bien mieux que moi comment elle a vécu ce moment particulièrement désagréable avec un corps médical plutôt absent. L'injection faite, elle rentre chez elle, fatiguée, même épuisée.

Mais c'était loin d'être fini …

Quelques jours plus tard, elle fait une nouvelle crise mais bien plus forte cette fois. Tellement qu'elle s'évanouit et vomit de douleurs. Les urgences viennent la chercher chez elle pour l'emmener à l'hôpital. Cette fois, l'échographie montre que la trompe a explosé et qu'elle fait une hémorragie interne. Direction le bloc opératoire. Ce n'est qu'à ce moment précis qu'elle s'est vraiment sentie prise en charge par le corps médicale, ce qui a rassuré son chéri, impuissant face à la situation.

La guérison physique

Après l'opération, elle le sait, c'est terminé, cette histoire est derrière elle. La guérison physique est lente mais au bout de quelques mois elle retrouve tout de même ses capacités physique. Elle sait qu'avec une trompe en moins il est plus difficile de tomber enceinte et il y a plus de risque de refaire une GEU mais elle sait aussi que c'est quand même possible.

Pour connaître son parcours psychologique et émotionnel tout au long et après cette épreuve, je vous donne rendez-vous dans le prochaine épisode d'ici quelques jours.

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Vous avez pu entendre le parcours médical de Marjolaine dans l'épisode précédent. Si ce n'est pas le cas, je vous conseille vraiment de l'écouter les deux épisodes se complètent. Dans celui-ci, Marjolaine raconte comment elle a vécu sa grossesse extra-utérine du point de vue psychologique.

Son détachement face à la situation

Marjolaine a vécu tout son parcours médical avec un grand détachement. Une chose assez surprenante pour une hypersensible. Ou pas justement, c'était un mécanisme de défense pour se protéger de ses propres émotions. Mais ça elle ne l'a compris qu'avec du recul. Sur le moment, elle pensait qu'elle n'avait pas eu le temps de réaliser qu'elle était tombée enceinte et que tout était allé trop vite pour avoir des émotions. Ce détachement a duré quelques mois. Puis au mois de janvier de l'année d'après, mois durant lequel elle aurait dû accoucher, elle sent une tristesse s'emparer d'elle. Pour elle, c'est presque la dépression qui pointe le bout de son nez.

Son suivi psychologique

C'est au mois d'avril, mois pendant lequel elle était tombée enceinte un an plus tôt, qu'elle fait le lien entre ces émotions négatives et sa GEU. Elle décide d'aller voir une psychologue pour se libérer de tout ça. S'en suit un an demi de psychothérapie pendant laquelle elle aborde plusieurs sujets mais celui-là en particulier.

Et maintenant ?

3 ans après cet événement, Marjolaine a toujours envie d'un enfant. Quoique, elle se pose beaucoup de questions par rapport à ça. Elle a quand même toujours une peur présente, celle de revivre cette douleur insoutenable. Malgré tout elle garde le cap sur son état d'esprit positif grâce auquel elle arrive à voir le positif dans les événements de sa vie, sans en retirer le négatif.

Durant l'épisode on disgresse un peu parfois. On parle de nos rapports respectifs à la psychologie, de nos avis (tranchés mais identiques) sur la façon dont est perçue la psychologie en France. Et puis on discute même d'un futur projet de podcast que l'on va finalement créer ensemble. Si vous écoutez bien l'épisode, vous pourrez d'ailleurs comprendre le thème de ce futur podcast. Allez je vous le dis quand même, vous pouvez découvrir ce projet ici.

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Charline a accepté qu'on se donne rendez-vous tous les trois mois pour suivre l'avancement du lancement de son projet pendant 1 an. Elle est architecte pâtissière et comme elle cherche à allier l'art et la technique dans ses études d'architecte, aujourd'hui elle souhaite allier architecture et pâtisserie dans son nouveau projet. Dans cet épisode, elle met en avant l'importance des objectifs pour avancer dans sa vie pro comme perso.

Lier l'art et la science

Enfant, Charline était créative, manuelle et déterminée. Elle faisait tout pour être la meilleure dans tout ce qu'elle entreprenait. Assez jeune elle voulait devenir prof de maths, jusqu'à se rendre compte qu'elle n'aimait pas tant que ça les maths. Au lycée, artiste dans l'âme mais bonne élève, elle cherche à allier la science et l'art. C'est ainsi qu'elle se dirige vers l'architecture.

Elle fait des portes ouvertes et tombe sur l'école de ses rêves : l'école d'architecture de Rennes. Elle passe les concours et est admise. Commencent alors 5 années d'études. Sa quatrième année, elle la passe en Allemagne. A son retour, elle décide de faire un an de stages avant de faire sa dernière année et de valider son diplôme. Elle ne voulait pas se lancer dans le monde du travail sans savoir à quoi s'attendre.

La réalité du métier

Son premier stage ne se passe pas comme prévu. Elle ne fait qu'un jour dans une agence aux pratiques pas tellement bienveillantes. Grâce au soutien de sa famille elle quitte ce stage et en cherche un nouveau. Elle veut absolument faire un stage dans une petite agence. Elle trouve une agence dans laquelle tout se passe très bien pendant 6 mois. Puis elle enchaîne avec un stage dans une très grosse agence et dans un domaine différent pour tester plusieurs choses. Le but était de vérifier ce qui lui plaisait ou non.

Sûre de ce qu'elle veut, elle enchaîne avec sa dernière année, est diplômée et emménage à Bordeaux. À ce moment le marché du travail est compliqué. Elle trouve difficilement un premier CDD de 5 mois avec un architecte indépendant, tout se passe très bien. Par la suite elle trouvera un nouveau CDD dans une agence où elle est humiliée, rabaissée pendant plusieurs mois. Finalement elle finira par trouver une agence à taille humaine, aux pratiques humaines, dans laquelle elle se sent bien.

Le lancement de son projet

En entrant dans cette agence, elle découvre un rituel qui est de faire des gâteaux pour tout le monde à chaque événement de se vie. Elle se met alors en tête de faire les meilleurs gâteaux de l'agence et se lance à fond dans la pâtisserie. Tellement qu'elle se mettra au défi de passer son CAP en candidate libre. Une fois le CAP en poche, elle se dit qu'elle aimerait bien marier architecture et pâtisserie, sans vraiment définir de projet précis.

C'est une rencontre, celle de Gabriella et de sa formation vivre-food, qui fera tout basculer. Elle suit la formation, définit son projet avec précision. Et puis décide de se lancer, mais pour cela elle demande un temps partiel à ses patrons qui refusent et lui proposent plutôt une rupture conventionnelle. Un peu surprise et paniquée, mais avec le soutien de son entourage, elle prend son courage à deux mains et la voilà aujourd'hui entrepreneuse à 100%.

Rendez-vous dans trois mois

Avec Charline on se donne rendez-vous dans trois mois pour connaître la suite du projet. Le projet est en deux parties. Charline souhaite faire à la fois des buffets sucrés pour les entreprises, les vernissages, etc mais aussi de créer des moules en silicone, le tout dans un univers graphique et coloré. Pour connaître ses objectifs il faudra écouter l'épisode !

Références

Instagram @maquettecreme

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Cet épisode est le premier d'une série de deux. Dans cette première partie, Hélène nous raconte comment elle a décidé de réaliser ses rêves, en passant d'une première année de médecine à une licence en biologie, malgré l'avis défavorable de son père. Elle évoque son parcours, partant d'une vie compliquée au Havre à une vie pleine de rencontres et de bonheur à l'île de la Réunion, prise sur un coup de tête. Puis, elle nous fait voyager jusqu'en Australie, où elle a vécu la vie de ses rêves, avant de rencontrer son chéri, une rencontre qui a bouleversé son destin.

Ses valeurs

Hélène est une petite fille pleine d'énergie au sein d'une grande famille. Elle grandit avec un beau-père photographe animalier et une mère au sein de l'association LPO (Lutte pour la Protection des Oiseaux). Très tôt elle est sensibilisée à la nature, elle connaît beaucoup de choses sur les oiseaux et ça la passionne.

Née au sein d'une famille d'artistes également, elle est tiraillée entre l'aspect scientifique de l'étude de la nature et des animaux et l'aspect artistique qui est thérapeutique pour elle.

Les études

Elle se lance dans des études de médecine pour faire kiné mais malgré l'obtention de son concours elle s'oriente vers une autre voie : celle de la biologie. La médecine représentait la volonté et la reconnaissance de son père mais elle arrive à faire ce choix de changer de voie grâce à sa mère qui est d'un soutien indéfectible.

Elle passe trois années de licence en biologie compliquées. Entre les cours trop généraux pour elle, une relation amoureuse toxique, une vie étudiante fêtarde, elle finit sa licence mal en point niveau santé et mental. Elle décide un peu sur un coup de tête de postuler pour un master sur l'île de la Réunion.

Réaliser ses rêves de voyages

Elle part alors direction l'île de la Réunion pour un master "Biodiversité et écosystèmes tropicaux". Hélène tisse là-bas un lien spirituel à la nature. Elle fait des rencontres incroyables et passe une année et demi formidable. Elle se passionne pour les requins et part faire un stage sur ce sujet en Australie.

Encore une fois, elle y passe un an et demi où elle travaille sur des sujets incroyables. Elle nage avec des requins, travaille sur les tortues, sur les coraux. Elle fait encore une fois des rencontres qui marquent sa vie, comme celle avec un aborigène qu'elle raconte dans l'épisode.

Le retour en France

Pour des problèmes de visa elle est dans l'obligation de rentrer en France. Avant son retour, elle passe un diplôme de plongée dans le but d'enseigner en France. Malheureusement elle ne peut pas car le diplôme n'est pas reconnu en France. Elle part alors faire une saison en Grèce.

C'est lorsqu'elle rentre de cette saison qu'elle rencontre son chéri. Havrais, qui n'a jamais voyagé. Elle s'installe avec lui et met de côté un projet de travail en Floride. Appelée par une connaissance pour un poste d'éducatrice en environnement marin, elle emmène son chéri habiter avec elle à Nice.

Et la suite ça sera dans le prochain épisode ...

Références

• Association LPO (Lutte pour la Protection des Oiseaux)
• Instagram @louveyourself.naturo

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Retrouvez Hélène pour la suite de son parcours. Dans cette deuxième partie, elle partage comment la maternité a changé sa vie personnelle et professionnelle. Professionnellement, elle s'oriente vers l'entrepreneuriat et plus précisément le marketing de réseau afin de pouvoir travailler tout en gardant son fils. Elle sait traverser les difficultés avec optimisme pour toujours rebondir et persévérer. Dans l'épisode, elle déconstruit tous les préjugés qu'on peut avoir sur son métier tout en restant réaliste.

La maternité frappe à sa porte

Alors qu'elle démissionne de son emploi et qu'elle est bloquée chez elle à cause d'une clavicule cassée, elle apprend qu'elle est enceinte. C'est la panique, ce n'était pas prévu, ce n'est pas le bon moment. D'autant plus qu'elle n'a pas la situation idéale selon la société. Elle se pose beaucoup de questions et finit par décider de garder cet enfant.

Elle cherche alors un emploi mais ils ne prennent pas en considération sa situation. Ils mettent la vie de son bébé en danger à cause de déplacements à répétition et de charges lourdes à porter. A la naissance de son enfant, elle comprend rapidement qu'elle ne pourra pas retourner travailler. Le rythme n'est pas compatible avec sa nouvelle vie de maman.

Elle frappe à la porte du marketing de réseau

Elle connaissait déjà le marketing de réseau mais ne s'était jamais posée la question pour elle. Elle pensait que c'était une industrie sans éthique, contraire à ses valeurs. Hélène découvre par hasard la marque Ringana, se renseigne sur ses valeurs et en tombe amoureuse. Elle se lance alors corps et âme dans l'aventure pour mettre toutes les chances de son côté.

Dans l'épisode je me suis faite l'avocat du diable et je lui ai posé les questions que tout le monde se pose sur ce métier controversé. Vous saurez tout sur la différence entre marketing de réseau et système pyramidale, ses revenus, son temps de travail, sa journée type et aussi plein de conseils supers pertinents pour réussir dans ce métier. La marketing de réseau est sa passion et elle y ajoute une dimension développement personnel hyper pertinente.

Références

• Hélène sur Instagram
• Vidéo sur le marketing de réseau
• David Laroche
• Chloé Bloom

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La vie de Justine a basculé à la naissance de sa fille. Alors que le monde l'effrayait et qu'elle pensait rester près de chez ses parents, elle décide sur un coup de tête de partir vivre dans un pays qu'elle ne connaît pas. Un pays qui lui inspire bienveillance et respect pour son enfant. Découvrez tout ce qu'elle a mis en oeuvre pour partir s'installer dans ce nouveau pays et comment la différence culturelle a transformé le quotidien cette famille expatriée en Suède.

Qui est Justine ?

Justine aime se définir comme une artiste dans l'âme. Petite, elle aimait dessiner et peindre. Rapidement, elle se vit une histoire d'amour et de passion avec la danse. Elle en fera son métier jusqu'à l'arrivée de sa fille, malgré les peurs de ses parents. Elle explique brièvement dans l'épisode, pourquoi elle a dû arrêter la danse à ce moment là.

Grande timide, elle en souffre beaucoup étant petite. Elle se renferme beaucoup sur elle-même, est assez sédentaire et n'a pas beaucoup d'amis. En arrivant à la fac, elle change donc d'établissement scolaire. Personne ne la connaît et elle décide alors de devenir quelqu'un d'autre, quelqu'un de pas timide.

L'arrivée de sa fille

A l'arrivée de sa fille, Justine se renseigne sur l'éducation des enfants. Elle se rend compte que l'environnement dans lequel elle est, n'est pas propice à l'éducation qu'elle veut pour son enfant. C'est en lisant un livre d'Isabelle Filliozat sur les émotions des enfants qu'elle entend parler de la Suède pour la première fois. Elle comprend que ce pays est plus adapté à sa vision de l'éducation pour sa fille. Sur un coup de tête, elle en parle à son mari et la décision était prise. Elle qui pensait ne jamais s'éloigner de ses parents, elle allait totalement changer de vie pour partir vivre dans un nouveau pays.

Les démarches et le départ

Elle commence par se renseigner sur ce pays qu'elle ne connaît pas du tout et cherche des blogs ou une famille expatriée en Suède mais ne trouve pas vraiment son bonheur. Les ambassades ne répondent par présentes pour l'aider dans ses questionnements sur la vie là-bas.

Ni une, ni deux, Justine et son mari louent un logement sur Airbnb quelques temps pour s'installer tranquillement et tester la vie sur place avant d'y poser les valises définitivement. Au bout de quelques mois, ils se plaisent dans ce nouvel environnement et décident de rester. Justine raconte la galère administrative pour s'installer en Suède en tant que résident et avoir accès aux choses essentielles de la vie : compte en banque, assurances maison et voiture, forfait de téléphone par exemple.

La vie d'une famille expatriée en Suède

Depuis qu'ils sont sur place, Justine et son mari ne se lassent pas des découvertes qu'ils font. Ils se sont très bien faits aux habitudes locales et à la différence culturelle. Même si cela implique d'aller se balader en pleine nuit à 16h autour d'un lac gelé. Concernant la langue, ils se débrouillent très bien avec l'anglais mais essaient d'apprendre le suédois tout de même, en pratiquant avec des locaux. Leur fille aussi est très bien intégrée grâce à l'adaptation proposée par l'école et à cet environnement bienveillant que cherchait Justine.

Références :

• Instagram : @a.fleur.de.mamans
• Livre : Au coeur des émotions de l'enfant - Isabelle Filliozat

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Charline revient sur ces 3 derniers mois qui nous séparent du premier enregistrement. Depuis, elle ne s'arrête pas une seconde. On a parlé de la difficulté de séparer temps pro et temps perso quand on travaille pour soi, chez soi. Mais aussi de l'importance de se faire accompagner et de se former, sans forcément attendre d'être prêt pour se lancer.

Le changement de rythme

Après des années en tant que salariée dans des agences d'architecture, Charline se retrouve à travailler seule et pour elle-même. Elle avait très peur de ce changement de rythme et du fait de ne pas avoir de routine de travail. Finalement elle s'en sort bien, elle a du mal à séparer vie pro et vie perso. Mais comme beaucoup d'entrepreneur.e.s j'imagine ! Ce n'est pas non plus un gros problème pour le moment, elle fait ce qu'elle aime et c'est bien là l'important. D'ailleurs, elle évoque aussi sa baisse de salaire, bien calculée en amont, qui ne la dérange absolument pas, au vu du confort de vie qu'elle a gagné.

Le point sur les 3 derniers mois

Beaucoup d'objectifs ont évolué, de fait des imprévus de l'été. Et beaucoup de choses sont en cours aussi. De nouvelles options, qu'elle n'avait pas envisagées, viennent perturber ses refléxions. Comme pour le labo, elle découvre les coworking de cuisine, le fait de louer un labo partagé et donc de diminuer les frais.

Pendant son été, elle a profité de ce temps de transition pour se former sur différents aspects plus ou moins éloignés de son projet. Elle a d'abord refait une formation hygiène pour se remettre à jour et partir sur de bonnes bases. Puis elle a suivi des formations sur la modélisation 3D pour la création de moules mais aussi sur la photo pour mettre en avant ses créations.

Se faire accompagner

Charline a fait appel à la BGE pour se faire accompagner pour le lancement de son entreprise. Elle parle en détail du processus qui lui a permis d'avoir accès à cet accompagnement et de ses avantages. Son conseiller peut axer le suivi sur les points sur lesquels elle est le moins à l'aise comme la partie commerciale. L'organisme lui propose même de lancer son entreprise sous leur couveuse, ce qui lui permettrait de commencer son activité sans aucune démarche administrative et sans engagement de capitaux. Encore une option à laquelle n'avait pas pensé mais qu'il faut inclure dans la balance des statuts qu'elle explique dans l'épisode.

Son père l'accompagne aussi sur la partie comptable. Après s'être assurée que cela ne serait pas un problème pour lui ni dans leur relation, elle lui a demandé s'ils pouvaient faire le business plan ensemble. Charline découvre encore une nouvelle casquette du rôle de la cheffe d'entreprise. Cette casquette plus technique lui plait car elle lui permet de se fixer des objectifs. Le titre du premier épisode était d'ailleurs "J'ai besoin d'avoir des objectifs pour avancer." donc ça tombe plutôt bien.

Rendez-vous dans 3 mois

Avec Charline on vous donne rendez-vous dans 3 mois pour faire le point et continuer de suivre son aventure. Retrouvez son état d'esprit du moment et ses objectifs pour début 2022 dans l'épisode. Elle parle même un petit peu de développement personnel.

Références

Instagram @maquettecreme

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Lucie s'est lancée dans des études d'ingénieur un peu par hasard mais toujours très motivée. Sans jamais rien lâcher, elle obtient son diplôme et part à Paris pour son premier emploi. Dans LA ville de la mode, elle prend la décision de tout recommencer à 0, de reprendre des études et de mettre toute son énergie dans un domaine qui la passionne. Aujourd'hui elle sait que sa reconversion dans la mode était le bon choix car elle se lève tous les matins fière d'elle et motivée.

Son enfance

Petite fille calme discrète mais très curieuse, très jeune Lucie voulait être enquêtrice. Sa maman lui a raconté qu'elle s'amusait même à espionner les gens de sa famille. En grandissant, cette idée ne la suit pas. Au lycée elle envisage de faire médecine. Puis elle se rend compte que c'est une voie difficile. Alors elle choisit de se diriger vers le cursus pour être ingénieure, une histoire de famille.

Ses études

Le cursus d'ingénieure n'est pas facile. Elle commence par une prépa, c'est difficile mais elle n'en garde que des bons souvenirs. Elle le dit elle-même :

Puis enchaîne par une école d'ingénieur, qu'elle choisit un peu par hasard et sans savoir à quoi s'attendre mais tout en faisant confiance à sa capacité d'adaptation. C'est vers la fin du cursus que sa fascination pour le monde de la mode commence à faire son entrée dans le domaine professionnel. Elle choisit un stage de fin d'études dans une start-up qui travaille sur des avatars pour faire de l'essayage de vêtements en ligne. Un premier pas vers une reconversion dans la mode ?

LA ville de la mode

Elle valide son diplôme avec ce stage de 6 mois qui se déroule à Paris puis enchaîne avec un CDI dans cette même entreprise. Mais à force de parcourir les rues de Paris pleines de boutiques, elle commence à ressentir une frustration. 6 mois après le début de son CDI, elle cherche une formation dans le domaine de la mode. Elle finit par trouver un master spécialisé à l'IFM (Institut Français de la Mode) qui est une école très réputée. Son master Management mode et luxe se déroule en 9 mois de cours et 6 mois de stage, la durée idéale pour elle. Dans l'épisode, Lucie évoque les possibilités de financement et le déroulé du master malgré le Covid qui a pointé le bout de son nez au milieu de son année.

Depuis sa reconversion dans la mode

Grâce à la diversité des cours du Master, elle a pu trouver un équilibre entre sa fascination pour la mode et son côté plus pragmatique, analytique. À la fin de cette année d'études, Lucie a trouvé un stage dans une grande enseigne de luxe en retail merchandiser, où elle analyse les collections et leurs succès dans le monde entier. Depuis, elle travaille dans une deuxième maison de luxe. Elle sait que c'est un milieu controversé et elle comprend vraiment pourquoi mais pour le moment, ça lui plaît. Et c'est un milieu très formateur car très exigent. Retrouvez tout le parcours de Lucie en détail dans l'épisode.

Liens :

• Institut Français de la Mode - IFM : Master spécialisé management mode et luxe
• Aide pôle-emploi dont Lucie a bénéficié
• Marque Eunoia dont Lucie parle dans l'épisode
• Instagram Eunoia Paris

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Il y a un an je faisais la rencontre d'Anne pour qu'elle me raconte comment elle était passée de musicienne salariée à photographe indépendante. Aujourd'hui, un an plus tard, nous faisons le point sur son évolution personnelle et professionnelle, et comment suivre son instinct l'a guidée tout au long de ce parcours.

Anne et son style

J'ai commencé fort l'enregistrement avec deux questions assez pointues mais auxquelles Anne a parfaitement répondu. Je lui ai d'abord demandé de se présenter comme elle le souhaitait, sans prisme. Anne se définit par sa mission de vie qui, pour elle, est d'aider les gens dans leur quête de l'image. Comme dans le premier épisode, elle met l'accent sur le fait que les personnes ne se trouvent pas photogéniques et elle met un point d'honneur à faire changer les mentalités à ce sujet.

Et ma deuxième question est autour du style, de comment elle se place dans le débat : Il faut trouver un style unique pour se démarquer. Anne est un peu à l'encontre de ça, elle a du mal à se placer dans une seule case. Elle raconte qu'elle n'arrive pas à traiter de manière identique des photos de mariage, de nourriture et de bébé par exemple. Mais que malgré cela, ses photos se reconnaissent, elles ont une identité même si elles ne sont pas dans un même style bien arrêté.

1 an après, le bilan et l'évolution

Anne est très fière de son année, elle s'est donnée à fond pour son entreprise et ça marche. Mais tellement à fond qu'elle en a frôlé l'épuisement professionnel. Une grosse prise de conscience pour elle, elle se rend compte qu'elle doit se ménager des pauses et des vacances parce qu'étant seule à son compte, elle ne peut pas se permettre de s'arrêter plusieurs mois. Aujourd'hui elle prend plus régulièrement des vraies vacances où elle coupe tout contact avec son travail.

Anne a aussi beaucoup évolué dans sa pratique et pendant les séances. Elle explique parfaitement dans le podcast comment elle a gagné en confiance en elle et en sérénité pendant les séances, ce qui lui permet de ne pas en faire trop et de mieux préserver son énergie tout en étant présente à 100% pour ses clients et clientes.

Les plus et les moins

J'ai posé à Anne la fameuse question : que préfères-tu faire dans ton quotidien, et qu'est-ce qui est le plus compliqué ? Et elle m'a répondu des aspects plus théoriques qu'opérationnels. Par exemple, ce qu'elle trouve le plus compliqué c'est de ne pas avoir le droit à l'erreur pour des questions administratives. Et ce qu'elle préfère c'est le fait de prendre ses propres décisions. Un échange vraiment intéressant et des réponses que je garde dans un coin de ma tête !

A la fin de l'épisode, Anne me confie un scoop pour l'année 2022 mais ça, je vous laisse l'écouter pour en savoir plus ;)

Crédit photo : Anne Lebaratoux

Les liens de ses réseaux sociaux

• @annebiedphotographe
• @annebied_portraitsdefemmes

Tous les épisodes avec Anne sur le podcast :

• #9 Anne : De musicienne à photographe, une reconversion en accord avec ses valeurs
• #25 (Hors-série) Anne, 1 an après : Suivre son instinct et sa sensibilité dans une nouvelle carrière

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Il y a un peu moins de 2 ans, à l'aube du premier confinement, j'interrogeais Marion sur son changement de vie imminent. Après 13 ans en tant que salariée, elle s'apprêtait à faire le grand saut dans l'entrepreneuriat pour vivre d'un métier passion. Depuis, il s'est passé milles choses, Marion est toujours à cent à l'heure.

Les débuts

Marion a quitté son ancien emploi en plein milieu du premier confinement. Pas évident de quitter un poste dans ces conditions après des années de bons et loyaux services. De plus qu'elle n'a pas pu partir en vacances comme elle l'avait prévu pour faire une transition entre ces deux vies. Elle a donc alors passé quelques semaines entre travail et repos avant d'attaquer fort avec son équipe.

Si elle devait faire quelque chose différemment, elle serait allée sur le terrain plus tôt, même bien avant de quitter son travail. Pour elle le terrain, aller à la rencontre du marché, c'est plus qu'essentiel même si cela peut être difficile d'entendre des refus, des incompréhensions.

Le concept

Marion a déposé son concept : la Pâtissologie. Comme pour l'oenologie, la pâtissologie, c'est l'art de déguster des pâtisseries avec les 5 sens. Elle commence par lancer des parcours de pâtissologie où elle emmène des personnes déguster 3 pâtisseries en pleine conscience à travers les rues de Paris. Son métier passion : aider les gens à manger mieux et de meilleurs gâteaux.

Depuis elle a lancé aussi des cours de pâtisserie avec Matthier Dalmais, le chef pâtissier de BOULOM. Elle fait des team building autour de son concept et surtout, elle a écrit un livre ! Comme pour tout le reste, le livre est une idée qui nait dans sa tête. Puis elle se renseigne, elle rencontre les bonnes personnes puis son idée prend vie. Pour moi, un bon exemple à suivre quand on a une idée qu'on souhaite développer.

Son développement

En presque 2 ans, Marion a testé des choses, fait des choix, changé d'avis, rencontré les bonnes personnes. Comme pour son attachée de presse qu'elle a rencontré par le biais des réseaux sociaux et qui, aujourd'hui l'aide grandement à faire connaitre son concept. Elle a pu notamment passer à la radio, à la télévision, plusieurs fois, avoir des articles dans des journaux locaux dans l'est de la France mais aussi des journaux nationaux. Un angle qu'elle n'avait pas prévu mais qu'elle est ravie d'avoir exploré.

Parmis tous les conseils que vous pourrez glaner dans cet épisode, il y en a pas mal sur l'association. Car Marion s'est associée avec 3 autres personnes et elle donne son avis sur qui choisir, comment et pourquoi.

Ressources

• Instagram : @honorevousguide
• Site internet : www.honorevousguide.fr
• Livre : Comment j'ai dégusté mon gâteau

Crédit photo : Franck Beloncle

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Il y a un an Bénédicte venait me raconter comment le jour de ses 40 ans a changé sa vie. À l'époque elle avait pour projet d'aider les femmes à travers les changements de leur vie. Depuis, elle a monté ce projet qui s'appelle Passages Insolites. Mais elle a également lancé un podcast sous le même nom puis une marque de vêtements Naiakitsu. Pour elle, le plus important est de s'investir dans ses projets à 1000% et d'y mettre de sa personne.

Ses projets depuis 1 an

Dans la lignée de son projet de coaching des femmes, Passages Insolites, Bénédicte lance un podcast sur le thème du mindset du changement au féminin. Avec un épisode par semaine, voire 2, elle explore des concepts autour de ce sujet avec des épisodes solo ou interview des femmes inspirantes. Depuis notre premier enregistrement, Bénédicte a passé un certificat de coach pour ce projet.

Mais comme ça ne suffisait pas, elle a monté une autre entreprise, en s'associant avec son conjoint cette fois. Cette autre entreprise est une marque de vêtements personnalisables, interchangeables à l'infini. Tous ces projets sont finalement nés en mêmes temps et ont été co-construits, selon ses mots. Ce qui en font deux projets très complémentaires qui portent les mêmes valeurs.

Son rapport au choix

Une chose m'avait marqué dans notre premier échange, c'est que Bénédicte disait avoir fait 2 choix importants dans sa vie. Alors pour ce nouvel échange, je ne pouvais pas passer à côté de ce sujet. J'avais très envie de connaître son évolution depuis 1 an. Et bien j'ai été ravie de cette conversation. Elle m'a aussi parlé de comment elle tente d'amener ses enfants à faire leurs propres choix en conscience.

Trouver sa place

Après sa première expérience dans l'entreprise familiale où elle disait avoir eu du mal à trouver sa place, j'ai été étonnée de voir qu'elle avait retenté l'expérience de l'association mais cette fois avec son conjoint. Elle explique alors dans l'épisode comment elle impose sa place Et comment elle a retrouvé un nouvel équilibre entre projet à 2 et projet seule.

À la fin de l'épisode on parle d'organisation, d'association en couple, de prendre des vacances en étant à son compte. Bref des sujets qui reviennent souvent quand on est entrepreneur mais qui sont toujours complexes à gérer.

Références :

• Passages Insolites : Instagram & Site internet
• Naiakitsu : Instagram & Site internet

Tous les épisodes avec Bénédicte dans le podcast

• #10 Bénédicte : Changer de vie à 40 ans, le jour où tout a basculé
• #26 (Hors-série) Bénédicte, 1 an après : L’importance de s’investir pleinement dans ses projets

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On se retrouve quelques mois après le dernier épisode avec Charline pour qu’elle nous raconte où elle en est dans son projet. J’espère que vous êtes bien installé.e.s parce que cet épisode est plein de rebondissements. On a parlé de gestion du temps et des objectifs, de la mise au point d’un process, dépasser ses peurs pour aller à la rencontre des gens et incarner son projet pour le faire connaitre. Encore une fois plein de sujets différents qui permettent de se plonger dans la tête de quelqu’un qui lance un projet.

Récap

Si on se rappelle l’épisode précédent, Charline était en plein business plan avec son papa, en plein accompagnement avec la BGE. Aujourd’hui tout ça est plus ou moins terminé, les choses ont bien avancées. Et si on revient sur ses objectifs, ils étaient de commencer à facturer, avoir commencé à produire et mieux s’organiser.

Juste après le dernier enregistrement

Quelques jours après le dernier enregistrement, Charline a fait un point avec Gabriella et a suivi la formation de gestion du temps et des objectifs sur Empara. Grand bouleversement, elle a tout remis à plat pour mieux se cadrer. Les objectifs se sont recentrés, ses actions sont devenues plus concrètes.

Les actions de ces derniers mois

Suite à ce bouleversement dans son organisation, Charline a mis en place plusieurs actions qui ont permis à son projet de bien avancer. Elle s’est rendue au salon du mariage afin d'incarner son projet et de se faire connaître dans le monde de l’événementiel. Et ainsi prendre contact avec des organisateur.rice.s pour faire des collaborations. Elle a mis au point son process de production de moules en silicone et dessiné une collection de Pâques avec un but bien précis : lancer une campagne Ulule.

Les prochains objectifs

Depuis le début de nos échanges, il était assez compliqué pour Charline de se projeter, de se fixer des objectifs clairs à atteindre. Aujourd’hui, son rapport aux objectifs a changé. Elle raconte dans l’épisode comment elle fait pour mieux les cadrer et les atteindre.

Le premier objectif que Charline se pose pour le prochain enregistrement c’est d’avoir atteint au moins le premier palier de sa campagne Ulule. Ensuite, elle continue d’entretenir ses relations avec les wedding planners et souhaite en convaincre au moins deux de travailler avec elle sur des prochains projets. Et puis enfin, son site internet avec u e-shop pour des collections de moules à gâteaux devrait voir le jour !

Références :

• Instagram @maquettecreme

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Pat a déjà vécu plusieurs vies. Une première bien remplie en tant que salariée. Une seconde vie à entreprendre en couple en tant que gérante d’un camping. Et enfin un retour au salariat en cumulant salariat et entrepreneuriat. Vous avez été nombreux à me demander de trouver quelqu'un ayant fait le parcours salariat -> entrepreneuriat -> salariat, et c'était un sujet que je voulais absolument aborder. Cet épisode montre comment, à chaque étape, Pat a su passer à l'action pour saisir les opportunités et avancer dans sa carrière. Je vous laisse écouter cet épisode ou lire le résumé pour découvrir son parcours inspirant.

La difficulté de s'orienter à 15 ans

Pat est une enfant facile à vivre, qui se laisse porter par la vie. Pas mauvaise à l’école mais pas excellente non plus, ce qui l'intéresse beaucoup c'est de s'amuser avec ses camarades et de sortir le week-end. Quand arrive la fin de son année de 3ème, il est difficile de choisir quoi faire par la suite. Ses résultats scolaires n'étant pas suffisants pour continuer en lycée général, elle se retrouve en Bac Pro Commerce. Après 2 ans de bac pro, son diplôme en poche, elle trouve difficilement un emploi qui se passe assez mal. Elle rentre alors chez ses parents. Sa mère la fait alors intégrer l'entreprise dans laquelle elle travaille. Rapidement, elle passe de services en services et apprend régulièrement de nouveaux métiers.

Passer à l'action pour se lancer dans une aventure entrepreneuriale

Malgré un attachement profond à cette entreprise qui l’a vue (et faite) grandir. Elle prend une décision radicale avec son conjoint : ils vont se lancer dans une aventure entrepreneuriale et tenir un camping. Encore un nouveau défi, un nouveau métier qu'elle ne connaît pas : gérante d’un camping. Ils ne tergiversent pas pendant des mois et vont très vite passer à l'action pour que ce projet se concrétise.

Après 2 ans à préparer le projet, c'est en 2012 qu'ils partent près d'Angers pour tenir un camping. Ils découvrent les joies de la saisonnalité, un été très intense où ils travaillent 24h/24 et un hiver plus calme sans clientèle. Ils découvrent également la gestion d'entreprise, la clientèle, le personnel, l'opérationnel, les bons et les mauvais côtés. Et ils apprennent à travailler ensemble, à composer avec leurs caractères respectifs et à trouver leur place. Tellement d'enseignements dont Pat parle en détail dans l'épisode. Après 6 saisons riches d'enseignements et de bons souvenirs le camping est vendu, ils doivent repartir en quête d'un nouveau terrain.

Approchants tous les deux la cinquantaine, n'ayant plus le même financement qu'il y a 6 ans, il devient compliqué de se faire entendre par les banques. Comme pour beaucoup d'étapes dans sa vie, ce sont les rencontres qui font la différence. Un vendeur avec qui le feeling passe, un banquier qui arrive à leur faire confiance et les voilà propriétaires de leur propre terrain de camping, en Bretagne cette fois. Si vous voulez un exemple de résilience, de rebondissement face aux obstacles, je vous conseille vraiment d'écouter l'épisode. Pat y raconte leur façon de faire face aux situations qui peuvent sembler perdues d'avance. Spoiler : ils foncent pour passer à l'action et enfoncent toutes les portes possibles.

Suite à l'acquisition de ce terrain beaucoup plus petit que le précédent, et à la pression financière qui pèse sur leurs épaules, Pat décide de chercher un travail en tant que salariée. Encore une fois, Pat raconte tout son cheminement personnel en détail dans l'épisode. Si vous voulez savoir comment elle s'est adaptée à cette nouvelle vie et comment elle a vécu la transition, je ne peux que vous dire d'écouter l'épisode.

Si vous partez en vacances dans le Finistère sud et cherchez un camping calme et familial, avec des gérants humains, faites un tour au camping de Pors Keraign, vous serez forcément bien accueilli.e.s.

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La découverte du voyage

Petite fille très joyeuse et très drôle, elle n'a pas baigné dans les voyages depuis sa plus tendre enfance. Pourtant, dès son indépendance, elle s'envole pour le Liban puis pour New-York. Le début d'une histoire d'amour avec le voyage puisque lorsqu'elle rencontre son mari, l'expatriation est un projet de vie qu'ils abordent rapidement.

Shenyang : une ville au Nord de la Chine

Bénédicte est du genre à sauter dans le grand bain sans se poser de questions. Alors quand l'entreprise de son mari leur propose de partir vivre à Shenyang en 2010, ils acceptent avec grand plaisir. Tout est organisé par l'entreprise du mari de Bénédicte : le déménagement, trouver un logement, les écoles pour les enfants. Un départ vraiment facilité par cette entreprise qui a l'habitude d'envoyer des salariés en expatriation. Une fois sur place, c'est l'aventure. Il faut retrouver ses marques, se faire de nouveaux amis. Le contact avec les chinois étant plus difficile, ils trouvent à créer des liens avec la communauté d'expatrié.e.s, surtout français.es et allemand.e.s.

Shanghai : une vie simple

Après 2 ans à Shenyang, Bénédicte et sa famille partent à Shanghai. Cette fois, la communauté francophone est bien plus importante. La vie est simple, ils vivent dans un quartier résidentiel où les enfants peuvent se promener sans être dérangé.e.s par les voitures. L'école se finit tôt donc iels ont tout le temps de profiter des ami.e.s. Iels font également pas mal de voyages pour découvrir les alentours, iels accueillent régulièrement de la famille et des ami.e.s venu.e.s de France. Bref, la vie est belle. Lorsqu'il faut rentrer, c'est la tristesse qui envahit Bénédicte.

Le retour en France

Après 3 années incroyables à Shanghai, il était difficile de se faire à l'idée de rentrer en France et surtout à Roanne. Et pourtant, c'est un superbe souvenir pour toute la famille. Bénédicte met l'accent sur le pouvoir des rencontres humaines qui font totalement oublier l'environnement géographique. Au bout de 2 ans à Roanne, son mari change d'emploi et iels se retrouvent en région parisienne. Iels achètent une maison et s'installent.

Et de 3 expatriations en famille

Iels s'installent mais c'était compter sans une nouvelle proposition d'expatriation, en Inde cette fois. Bien qu'iels aient vécu deux belles expatriations en famille en Chine, iels se posent tout de même des questions. Finalement, c'est peut-être la dernière occasion de partir avec la famille au complet. Iels mettent leur maison en location et les voilà, à 7, arrivés à Bombay en décembre 2019. Malheureusement, le timing ne joue pas en leur faveur et iels se retrouvent confinés drastiquement pendant plusieurs mois. Iels en profitent pour se créer beaucoup de souvenirs en famille.

Outre le confinement et la crise du covid, l'adaptation en Inde ne se fait pas aussi facilement qu'en chine pour les enfants et Bénédicte. Bénédicte arrive, encore une fois, à passer au dessus de l'environnement qui ne lui plait pas en s'accrochant à la beauté et à la joie de vivre des locaux. Malgré de beaux voyages, une fois le confinement levé, le quotidien n'était pas évident pour les enfants et Bénédicte décide de rentrer plus tôt que prévu.

Remplir sa vie en étant femme d'expatrié

Dans l'épisode, Bénédicte raconte comment elle a toujours à coeur de faire de son quotidien quelque chose d'enrichissant. Que ce soit en Chine en multipliant les activités seule et en groupe, ou bien en Inde où elle a trouvé un travail dès son arrivée dans le pays. Dans tous les cas, elle valorise ses activités notamment sur son CV pour trouver du travail en France malgré une carrière professionnelle qui peut paraitre décousue, comme elle dit.

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Amy est une américaine expatriée en France et qui se sent chez-elle à Paris depuis plus de 10 ans. Arrivée en plein pendant ses études, elle les continue à Paris. Elle connaît le salariat puis l'entrepreneuriat. Aujourd'hui encore elle est artiste peintre à son compte. Reconnaissante de tous les avantages qu'offre la France et amoureuse de Pairs, elle s'y installe définitivement et obtient la nationalité française. C'est ce point que l'on développe le plus dans l'épisode.

À la fois rêveuse et pragmatique

Très jeune, Amy voulait être patineuse artistique, puis dentiste, puis professeures pour des enfants. C'est au lycée qu'elle a su qu'elle voulait devenir artiste. Elle se lance dans une école d'arts à Chicago. Au bout de 2 ans, elle se rend compte qu'elle n'y trouve pas sa place. Son art ne correspond pas aux attentes des professeurs. Comme les études coûtent très cher aux Etats-Unis, elle décide de ne pas perdre de temps et de se réorienter en commerce international. Elle choisit d'y étudier le français et est amenée à faire un voyage de 5 semaines à Paris. C'est à ce moment qu'elle tombe amoureuse de Paris.

À la fin de ces 5 semaines, elle se met en tête de revenir pour un échange de 6 mois. Au bout de 2/3 mois en France elle décide qu'elle ne veut pas rentrer aux Etats-Unis alors elle se renseigne sur les études qu'elle peut continuer ici. Aidée par son copain de l'époque et sa famille, elle postule à La Sorbonne pour un Master en communication. Elle obtient une passerelle grâce à ses études faites aux Etats-Unis et ses cours qu'elle a faits traduire et un test de connaissance de la langue française. Elle fait son master en alternance et entre dans le monde du salariat en France.

Salariée puis entrepreneuse mais surtout Française

Trouver du travail en France n'a pas été si difficile, elle dit avoir été privilégiée grâce à sa langue natale : l'anglais. Cela lui a permis de trouver des posts dans des agences de communication qui ont des clients américains.

Mais le sujet que j'ai souhaité aborder plus en profondeur est sa naturalisation. En effet, Amy a souhaité avoir la nationalité française dès lors qu'elle a compris qu'elle ne retournerai pas vivre aux Etats-Unis. Être une américaine expatriée en France c'est bien mais être Française c'est ce qu'elle veut vraiment. Bien qu'elle ait eu accès à toutes les aides et payé des impôts comme tout.e français.e, elle ne pouvait pas voter en France. Son vote aux Etats-Unis impactait plus ses proches vivant là-bas qu'elle-même. Cette année, elle a voté pour la première fois en France et en est très fière.

Les démarches pour la naturalisation ont pris 2 ans. Elle raconte dans l'épisode toutes les étapes par lesquelles elle est passée et donne même quelques conseils.

Sa vie d'aujourd'hui, plus française qu'américaine

Aujourd'hui Amy est bien installée à Paris, plus du tout dans la broderie. Elle est artiste peintre et peint des fresques murales pleines de positivité et de joie. Elle a toujours la bougeotte puisqu'au moment de l'enregistrement elle est en Italie pour un mois. Mais elle ne se voit pas quitter la France, elle n'arrive d'ailleurs pas à citer une raison qui pourrait la faire rentrer aux Etats-Unis.

Références :

• Instagram d'Amy
• Site internet d'Amy
• Site du gouvernement pour la naturalisation
• Crédit photo : Amelie's Workshop

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Christine est de nature très curieuse. C'est ce trait de caractère qui lui permet de rester à l'affût des opportunités. Et c'est également ce qui l'a menée à emprunter des petits chemins de campagne tout au long de sa carrière. D'infirmière en hôpital à infirmière scolaire puis formatrice, elle ose faire des choix au milieu d'une société qui prône les carrières rectilignes. Dans cet épisode, on parle aussi bien de changement de boulot que d'évolution de la société et d'épanouissement personnel.

Une petite fille heureuse

Née en Belgique, Christine grandit dans un village militaire en Allemagne. Loin de l'image stricte qu'on peut en avoir, c'est surtout un petit village très tranquille, sûr et riche de contacts humains. Elle y évolue en toute liberté, entre voyages et nature. Christine apprend à suivre et approfondir ses passions pendant ses études.

Son premier métier

Pour allier son côté analytique et son côté sociable, elle s'oriente vers le métier d'infirmière. Mais bien consciente qu'il y a un gap entre les études et la vraie vie, elle ne veut pas choisir de spécialisation. Elle demande alors à être infirmière volante et à passer de services en services pour les découvrir tous. C'est au service des soins intensifs et des urgences qu'elle se sent le mieux. Elle s'y investit beaucoup et y reste 9 ans.

Son deuxième métier

C'est lorsqu'elle ne se sent plus aligné avec la direction de son service qu'elle décide de chercher du travail ailleurs. Elle cherche d'abord dans les hôpitaux puis elle est appelée par quelqu'un qui lui propose un poste d'infirmière PMS (psycho-médico-sociale). C'est l'équivalent d'une infirmière scolaire en France. Le poste ne lui convient pas. Mais comme à son habitude, elle reste à l'affût des opportunités et expose sa vision. Une stratégie payante puisque c'est accepté. Pensant faire un essai d'un an, elle restera 15 ans dans cette école. Ce qui l'a convaincue c'est la création de projets avec les professeurs et les élèves. Projets dont elle parle plus en détail dans l'épisode d'ailleurs.

Son troisième métier

Alors que ses projets prennent de l'ampleur et sont reconnus par les écoles aux alentours et les communes, elle est sollicitée pour un nouveau poste. On lui propose cette fois un poste de formatrice en formation continue. Elle n'a jamais fait ça mais piquée dans sa curiosité et à l'affût des opportunités, elle se lance. Tout au long de son parcours professionnel, Christine n'a eu de cesse de se former sur tout un tas de sujets comme l'écoute active, gérer un entretien, etc. Lorsque ce poste lui est proposé, elle cherche alors à se former sur le cerveau, la manière dont l'humain apprend, s'intéresse et retient. C'est encore et toujours son côté analytique qui lui permet d'approfondir son métier avec des approches neuro-scientifiques et neuro-cognitives.

La retraite

Au bout de 35 ans de carrière, après une année de confinements suite à la pandémie de Covid en 2020, Christine demande à partir à la retraite. Comme elle l'a fait à chaque fois, elle a osé demander. C'est accepté et la voilà partie, 2 mois plus tard, vivre au Portugal avec son mari. Elle se lance dans l'aventure du podcasting et crée Initium. Puis, Christine renoue avec une vieille passion qui lui vient de l'enfance : l'écriture. Aujourd'hui elle est alors en pleine écriture de son livre, qui est un conte pour adultes sur l'histoire d'une petite souris qui part à la conquête d'elle-même.

Références :

• Ecouter le podcast Initium de Christine

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C'est avec une grande émotion qu'avec Charline nous avons enregistré cet épisode bilan. Et c'est avec encore plus d'émotion que je vous le partage aujourd'hui. Cela fait 1 an d'entrepreneuriat pour Charline, il est temps de faire un bilan complet. Dans cet épisode on parle des leçons qu'elle a tiré de sa première année en tant que cheffe d'entreprise, des choses qui lui font le plus peur dans ce nouveau rôle mais aussi de sa future année qui s'annonce tout aussi incroyable.

Et si on commençait par le traditionnel bilan des trois derniers mois écoulés ?

Il y a trois mois, Charline projetait de démarcher des chef.fe.s pâtissiers.ères à Bordeaux pour se faire connaître dans sa région mais aussi de créer des collections de moules. Ces objectifs sont en cours de réalisation. Elle n'a pas démarché à Bordeaux mais les chef.fe.s pâtissiers.ères sont venu.e.s à elle via Instagram notamment. Pour les moules, elle a diminué le nombre de collections qu'elle comptait faire pour se consacrer à la saison des mariages et donc à la production de gâteaux. Par contre, une nouvelle collection verra le jour pour Noël !

Et aujourd'hui alors ? Comment elle se sent après 1 an d'entrepreneuriat

Dans la lignée du précédent épisode, aujourd'hui Charline est alignée avec ce qu'elle fait. Elle est heureuse de faire tous les jours un métier qui la passionne. Elle raconte tous les changements persos qu'elle aussi engendré en même temps que son changement professionnel et qui ont fait d'elle une femme épanouie. D'ailleurs en écoutant l'épisode, vous apprendrez une bonne nouvelle la concernant. Côté pro, elle est heureuse d'avoir son Kbis et son numéro de siret pour rendre tout ça encore plus réel. Elle est en ordre de marche et prête à tout donner pour faire avancer encore et encore son entreprise. Entreprise qui n'était encore qu'une idée dans sa tête il y a un an !

Un bilan n'est pas un bilan sans leçons

Un bilan d'1 an d'entrepreneuriat ne serait pas complet sans en tirer des leçons. Charline en a appris beaucoup au cours de cette année. Plutôt que de résumer l’épisode dans un long texte, voici quelques-unes des phrases marquantes qu’elle a partagées :

"Quand tu commences, il faut soit savoir gérer, soit savoir s'entourer"

Charline

"Tu peux trouver des millions de raisons pour ne pas avancer"

Charline

"Je pense que tu ne peux pas dissocier fondamentalement le pro du perso"

Charline

"Quoi qu'il arrive, tu trouveras une solution"

Charline

"Peu importe ce qu'il se passe, je ne regretterai jamais"

Charline

"Plus que jamais je me sens bien et en phase avec ce que je fais"

Charline

C'est la fin

Et voilà, cette aventure podcastique est terminée, j'espère qu'elle vous a plu. J'espère qu'elle aura pu vous inspirer à réaliser vos projets quels qu'ils soient. J'espère pouvoir vous faire vivre une nouvelle aventure en 2023.

Références

Instagram @maquettecreme

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Pascaline se reconvertit à 30 ans pour devenir pâtissière à son compte après un début de carrière en tant que cheffe de produit dans l'agroalimentaire. En remontant le fil de sa vie et de son enfance, elle se rend compte que c'était une évidence pour elle d'avoir sa propre entreprise dans ce domaine. Pourtant, le chemin n'a pas été toujours simple et elle raconte ce qu'elle a, concrètement, mis en place aussi bien personnellement que professionnellement pour se faire connaitre dans sa région et vivre aujourd'hui du métier qu'elle a construit.

Une enfance baignée dans la cuisine

Pascaline est une petite fille joyeuse et boudeuse mais surtout pleine d'empathie. Sans vraiment savoir ce que signifiait le travail, elle voyait ses parents faire des métiers qu'ils aimaient et pour lesquels ils se challengent tout au long de leur vie. Elle écrit dans ses dissertations que plus tard elle aura son propre restaurant. Avec un papa professeur de cuisine et une famille qui cuisine beaucoup, la cuisine et la pâtisserie ont toujours fait partie de sa vie.

La passion grandissante pour la pâtisserie

Pourtant, ce n'est qu'il y a huit ans qu'elle a pris une plus grosse place dans sa vie. En effet, après un parcours scolaire pas toujours simple mais bien construit pour arriver à son objectif, Pascaline devient cheffe de produit dans l'industrie agroalimentaire. Ce métier la fait rêver, elle l'adore mais elle ne tombe pas que sur des managers bienveillants. C'est lorsqu'elle ressent le besoin de s'évader de son travail que la pâtisserie devient sa bouffée d'oxygène.

Sa professionnalisation

Elle commence à s'y intéresser davantage et à se perfectionner avec des livres, en rencontrant d'autres amateurs.rices de pâtisserie. Elle va jusqu'à quitter son emploi passer son CAP en candidate libre en 2018 avec la ferme intention de devenir pâtissière. Pour apprendre encore et encore, elle déniche des stages en boutique. Puis elle teste la restauration dans des beaux restaurants dans le centre de Bordeaux. De très belles expériences formatrices pour elle. Mais Pascaline ne se contente pas de raconter son parcours, elle le ponctue de plein de conseils qui font suite à son expérience. Comme la façon dont les établissements recrutent dans le monde de la gastronomie.

Se lancer en tant que pâtissière à son compte

Après ces expériences, elle décide rapidement de se lancer comme pâtissière à son compte. Sa première idée est de faire une formation vidéo pour les personnes qui veulent passer leur CAP en candidat libre. Mais le timing n'est pas le bon car le CAP est réformé. Elle abandonne l'idée et se tourne vers les ateliers après une analyse personnelle de ce qu'elle aime et n'aime pas dans le monde de la pâtisserie. C'est encore un processus qu'elle raconte dans l'épisode. Elle va même jusqu'à expliquer concrètement tout ce qu'elle a mis en place pour limiter ses dépenses d'argent au moment de se lancer.

Aujourd'hui

Aujourd'hui Pascaline est cheffe d'entreprise. Elle fait des ateliers pour les particuliers chez Zodio. Elle fait également de la création de contenu pour des marques d'ustensils ou d'ingrédients de pâtisserie. Ou encore, des ateliers pour des team building et autres démonstrations à destination des entreprises. Elle a écrit un livre et participé à l'émission Le Meilleur Pâtissier les Professionnels. Elle a plus d'une corde à son arc et j'ai hâte de voir la suite car elle dit dans l'épisode qu'elle a des envies de changement.

Références :

• Instagram de Pascaline
• Instagram pro de Pascaline
• Site internet La crème des bordelaises
• Chaîne Youtube
• Chanson A million dreams du film The Greatest Show

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Marion s'est lancée à son compte en tant que spécialiste de l'orga business il y a moins d'un an. Avant cela, elle a fait 15 ans de salariat dans tout un tas de postes et de domaines différents. Loin d'être quelqu'un d'instable, au contraire, elle sait très bien ce qu'elle veut et se donne les moyens de parvenir à ses fins. Cet épisode peut être un bon coup de boost si vous en avez besoin pour déplacer des montagnes. Marion est inspirante de par son parcours et sa détermination.

Un parcours scolaire classique

Dans son enfance, Marion est tête en l'air, elle est capable d'oublier son cartable avant de partir à l'école. Puis, sans identifier à quel moment, elle réalise que le manque d'organisation fait perdre du temps, une hantise pour elle, et c'est un virage à 360° qui s'opère. A tel point qu'elle a fait de l'organisation son coeur de métier.

En grandissant, elle se laisse porter par le parcours scolaire classique de la bonne élève : le collège, puis le lycée, un bac scientifique et enfin médecine. C'est en deuxième année de médecine qu'elle réalise qu'elle adore les matières mais n'aime pas du tout l'ambiance de compétition qui y règne. Elle bascule en fac de bio et au bout d'un an, à quelques jours de la deuxième rentrée, elle décide de tout arrêter parce qu'elle n'aimait pas les matières.

Un parcours professionnel atypique

Dès son enfance, Marion a besoin d'apprendre les choses par elle-même. Elle n'aime pas qu'on les lui apprenne. C'est donc rapidement qu'elle se rend compte qu'elle a besoin de se former sur le terrain. Elle commence par travailler dans la vente et surtout par réorganiser tous les rayons auxquels elle est assignée.

Marion est terrorisée par le fait d'être entrainée dans une spirale dans laquelle elle n'est pas à l'aise et qu'elle ne maîtrise. Et son choix d'arrêter les études lui a permis de développer des bases de confiance en elle et d'analyse de ce qu'elle aime ou non. C'est comme cela qu'elle arrive à quitter ses emplois successifs dès qu'elle sent qu'elle n'est plus dans l'apprentissage mais dans la routine d'exécution.

Elle explique très bien dans l'épisode que chaque changement n'est pas sans stress ni conséquence. N'ayant pas de diplômes, elle doit sans cesse refaire ses preuves et donc sans cesse repartir au bas de l'échelle et avec des CDD qui s'enchaînent. Mais toujours en cherchant des domaines où elle pourrait apprendre.

Puis un jour elle décide qu'elle veut évoluer dans une grande entreprise et en CDI. Elle quitte encore un CDD et se met dans cette posture particulière qui est qu'elle sait exactement ce qu'elle veut et qu'elle ne va pas s'éparpiller à chercher autre chose. Ces différentes situations dans lequelles elle se met la font grandir et travailler sur ses peurs et ses blocages. C'est comme ça qu'elle a pu se lancer dans l'entrepreneuriat en ayant déjà fait un travail sur elle-même tout au long de sa vie professionnelle en tant que salariée.

Aujourd'hui, cheffe d'entreprise

Marion quitte son dernier emploi salarié grâce à un plan de départs volontaires. Ce plan lui assure une sécurité financière, chose qu'elle redoutait le plus dans l'entrepreneuriat. Sans vraiment d'idée à la base, elle utilise ses connaissances en gestion de projet et se lance dans une idée pour tester et améliorer, dévier et itérer selon ses envies. Elle commence par le design d'intérieur avec une branche sur l'organisation de l'intérieur en fonction du mode de vie et sur l'organisation business. Rapidement elle se rend compte que quelque chose coince. Elle achète la formation BSB Academy d'Aline de The BBoost pour formaliser ses envies. Et elle s'oriente vers l'orga business qui est sa vraie zone de génie.

Aujourd'hui elle accompagne les entrepreneurs ou très petites entreprises dans la mise en place ou l'amélioration de leur organisation pour leur business. Elle dévoile d'ailleurs dans l'épisode, son ultime conseil d'orga business, le grand gagnant des conseils qu'elle peut donner.

Références

• Instagram de Marion
• Site internet de Marion
• BSB Academy

Crédit photo : Moments by Marion

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Et si on parlait carrière et reconversion professionnelle avec une pro justement ? Marie est coach dans ce domaine. Elle accompagne les femmes à se dévoiler professionnellement et à vivre pleinement leurs ambitions. Pendant cette conversation on a abordé différents sujets comme les objectifs, la reconversion, la salariat, l’entrepreneuriat ou encore vivre de sa passion.

Sa vie d’avant

Avant d’être coach, Marie a travaillé pendant plus de 10 ans dans la mode de luxe à Paris. Elle était responsable commerciale avant de devenir directrice commerciale et marketing au niveau international. C’est lors de la mutation de son mari en Alsace qu'elle remet en question son parcours professionnel.

À leur arrivée dans cette nouvelle ville où les opportunités dans la mode de luxe se font rares, Marie tombe enceinte. Elle prend le temps de sa grossesse pour réfléchir à ce qu’elle veut faire et met en place plusieurs actions qui peuvent vous inspirer si vous êtes dans une période similaire. Elle en parle en détail dans l’épisode.

Etre coach

Après ce travail d’introspection et d’analyse de son parcours professionnel, elle en arrive à la conclusion que c’est le métier de coach qu’il lui faut. Mais ce métier a une mauvaise image en France et elle ne souhaite pas être associée à cela. Alors elle décide de mettre toutes les chances de son côté pour être prise au sérieux. Mais aussi pour avoir les bonnes méthodes pour accompagner ses clientes. Elle se forme et obtient la certification RNCP reconnue par l’état.

J’ai posé à Marie quelques questions sur le métier de coach en lui-même car c’est un métier qui m’intrigue. Influencée par l’image qu’il a, je ne comprenais pas vraiment l’utilité de ce métier. Et après cette conversation, j’ai vraiment compris ce qu’était le coaching et dans quels cas est-ce qu’il pouvait être utile. D’ailleurs, un peu plus loin dans l’épisode, Marie m’a (presque) complètement décryptée juste avec l’évocation d’une de mes passion.

En écoutant l’épisode, vous aurez même plein de conseils pour choisir le ou la coach qui pourra vous aider selon votre problématique si vous souhaitez vous lancer dans l’aventure.

Evolution professionnelle ou reconversion ?

Qu’est-ce que signifie pour vous l’évolution professionnelle ? De nos jours, ce n’est plus seulement atteindre de nouveaux grades dans une entreprise. Ni même gagner plus d’argent. C’est d’ailleurs en ce sens que Marie définie l’évolution professionnelle.

Avez-vous déjà pensé à vous reconvertir ? Pour quelles raisons ? On a parlé de cette dualité dans l’épisode. A savoir, est-ce qu’on doit se reconvertir ou est-ce qu’un changement de poste peut suffire ? Marie a de beaux exemples de personnes qu’elle a accompagnées qui ont découvert un nouveau métier ou qui ont redécouvert leur métier en changeant de secteur. La reconversion et le virage à 180°C n’est pas nécessaire à tous les coups mais se poser les bonnes questions si. C’est ce à quoi sert un coaching avec Marie par exemple.

Les objectifs

Tout projet, quel qu’il soit, ne se met pas en place sans objectifs. Et c’est assez opportun d’en parler en ce début d’année. Que vous soyez salarié.e, entrepreneur.e, avec une envie de changer de poste ou de reconversion, savoir vous poser des objectifs est essentiel. Ecoutez l’épisode et notez tous les conseils qui peuvent vous servir. Notamment la technique des petits pas qui consiste à, comme Marie l’explique, découper les objectifs en petites tâches atteignables au quotidien pour avoir l’impression d’avancer.

Et si vous pensez que les objectifs ne sont pas pour vous parce que vous êtes salarié.e et que votre métier vous convient, vous pourriez changer d’avis. Je regrette bien de ne pas avoir eu cette conversation il y a quelques années avec Marie. Alors j’espère qu’elle vous apportera toutes les réponses dont vous avez besoin. Et si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à contacter Marie pour lui poser vos questions.

Liens

• Instagram de Marie : @riseandshinecoaching
• Site internet de Marie : www.riseandshinecoaching.com

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Dans cet épisode, Léo aborde plein de sujets qui peuvent résonner chez les jeunes et moins jeunes. Comment réussir à nouer des liens en société lorsqu’on est timide ? Gérer sa propre déception et celle de son entourage lorsqu’on échoue ? Rebondir après des déceptions humaines ? Comment trouver une sécurité de l'emploi à la suite d’études courtes ?

Son enfance

Léo est un petit garçon calme et timide, qui aime jouer au foot. Il grandit avec une image du travail positive. Pour lui, c’est quelque chose qui permet de s’épanouir dans son quotidien. Léo est d’ailleurs le fils de Pat que j’ai eu sur le podcast dans l’épisode 29. Après avoir abandonné l’idée d’être footballeur professionnel, il veut quand même travailler dans le domaine du sport. Son idée est de faire STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) à la sortie du collège.

Vivre les déménagements

Au milieu de son année de troisième, ses parents lui annoncent qu’ils vont déménager près d’Angers. C’est un choc pour lui qui a toujours imaginé toute sa vie là où il a grandit. Il se pose des questions sur les possibilités après le lycée, alors qu’avec le recul il se rend bien compte que toutes les régions de France proposent les mêmes infrastructures. A Angers il intègre un lycée général où il s’inquiète de ne pas réussir à se faire d’amis. En tant que timide, il partage ses astuces pour se faire des connaissances quand il arrive dans un lieu qu’il ne connaît pas. Le lycée se passe bien, il obtient son bac et part en STAPS.

Mais l’école dans laquelle il est pris n’est pas à Angers et il doit encore partir dans une nouvelle région, dans un nouvel établissement où il ne connaît personne. Il doit vivre dans un appartement tout seul et gérer son budget. Pour Léo, c’est le passage à l’âge adulte.

Les diplômes comme porte d'entrée vers la sécurité de l'emploi

L’année n’est pas simple, il déchante quand aux études. Il n’accroche pas avec les cours théoriques qui représentent la majorité de son année. A la fin de l’année, il passe ses partiels puis retourne vivre chez ses parents car la deuxième année devait se passer près d’Angers. Malheureusement il apprend qu’il ne valide pas son année. C’est la douche froide, il ne s’y attendait pas et n’avait pas prévu ce cas de figure.

Après plusieurs jours à chercher quoi faire par la suite pour avoir un diplôme, il reçoit l’appel qui va changer son année. Une formation, BPJEPS (brevet professionnel de la Jeunesse, de l'Éducation populaire et du Sport), existe pas loin de chez lui. Il ne connaît pas cette formation mais est emballé par l’idée. Il passe les tests sans problème et l’intègre. Cette formation lui correspond mieux puisqu’elle est centrée autour de la pratique. L’année se passe et il valide le diplôme, non sans mal, vous pouvez vous en rendre compte en écoutant l’épisode.

La magie des rencontres continue

Après ça, c’est l’entrée dans la vie active. Et comme beaucoup de jeunes innocents.es qui débutent en entreprise, Léo vit des déceptions humaines dont une promesse de contrat qui, finalement ne se fera pas. Il prend un grand virage et décide de ne plus travailler dans le monde du sport. C’est encore une fois une rencontre qui lui fera découvrir un chemin qu’il adore, celui de la vente d’articles de sport. Il commence par Décathlon qu’il intègre grâce à cette fameuse rencontre et est aujourd’hui chez Adidas. Pour lui c'est important d'avoir un CDI dans un grand groupe car cela est synonyme de sécurité de l'emploi pour lui.

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Cet épisode est produit dans le cadre du Podcasthon 2023. Une semaine pendant laquelle plus de 300 podcasts se rassemblent pour parler d’une cause qui leur tient à coeur et pour soutenir une association en lien avec elle. Pour Maëva, femme trans qui a manqué de figure d’identification, c’est important pour elle de parler de son association Représentrans. C’est une association qui lutte pour une meilleure représentation des personnes transgenres dans le panorama audiovisuel. Pour soutenir cette association, vous pouvez faire un don en vous rendant sur son site internet. Et pour soutenir le Podcasthon, vous pouvez aussi vous rendre sur leur site et découvrir les autres podcasts et associations mises en avant.

Une enfance en marge

Maëva est une enfant assez solitaire. Elle joue beaucoup toute seule et avec son imagination débordante, s’invente des personnages et les interprète. Elle est fascinée par les dessins animés, aime les princesses et développe une passion pour les manches ballons. D'ailleurs, elle sent assez vite que quelque chose cloche bien que rien de tout ça ne lui soit refusé par sa famille.

Un jour, alors que ses parents sont absents, elle tombe sur une émission de télé où elle apprend l’existence des personnes transgenres. À l’époque on parle de personnes transexuelles, rejetées par leur famille et qui ne peuvent vivre que grâce à la prostitution. Elle enfouit cette idée en elle sans jamais en parler.

La crise identitaire comme des murs à passer

En grandissant, Maëva s’identifie comme un homme homosexuel. Elle fait alors un premier coming out.

Mais dans l’épisode, elle décrit son mal-être par des crises qui sont de plus en plus fortes, comme des murs de plus en plus solides à passer. Durant son adolescence elle passe plusieurs crises jusqu’au jour où elle formule sa transidentité à voix haute. Elle raconte dans l’épisode comment elle a vécu cette dernière crise et comment son professeur présent à ce moment-là a réagit.

S’identifier en tant qu’artiste transgenre

Ce n’est qu’à ses 18 ans qu’elle a accès librement à internet et qu’elle peut chercher des figures auxquelles s’identifier. Loin des clichés qu’elle a pu voir dans l’émission télé plus petite, elle cherche des personnalités transgenre artistes. Sachant depuis toute petite qu’elle souhaite devenir chanteuse et comédienne, elle cherche une preuve qu’elle peut vivre son rêve.

Elle commence par découvrir des personnalités étrangères dont une chanteuse qui a gagné l’Eurovision. Mais ce n’est pas évident. Aujourd’hui, nous profitons de cet épisode pour mettre en lumière son association Représentrans qui lutte pour une meilleure représentation des personnes transgenres dans le monde de l’audiovisuel. Cette association fait vraiment écho au vécu de Maëva.

Une transition en douceur

C’est pendant ses années de fac que Maëva commence une transition sociale. Elle commence par demander à ses ami.e.s de l’appeler Maëva et de la genrer au féminin. Elle se rend compte que ça se passe très bien. Ça lui fait beaucoup de bien pendant cette période plus que compliquée sentimentalement et amicalement parlant. Malgré cela, elle échoue à sa dernière année de licence et décide de partir dans une école en Bretagne.

Elle intègre cette école en se présentant comme Maëva et se genre au féminin. À nouveau tout se passe bien. Elle en profite pour commencer sa transition médicale. Elle va consulter un psychiatre spécialisé dans le genre, obtient une attestation pour entamer une hormonothérapie. C’est seulement à ce moment qu’elle fait son coming out de femme trans à sa famille. Et encore une fois, elle est surprise de leur réaction. Persuadée que tout le monde réagit avec violence et rejet, elle n’avait pas pensé que cela pourrait bien se passer.

Le message à faire passer

Maëva a accepté de me faire confiance et de raconter son histoire avec pleins de messages forts à faire passer. Son témoignage et ceux de toutes les personnes transgenres aident les personnes qui se posent des questions à se projeter. Mais surtout, ça aide à faire avancer les mentalités et à faire accepter les personnes transgenres dans notre société.

Au delà de ça, cette histoire pleine de positivité est la preuve que tout peut bien se passer lorsque l’amour et le respect sont là. Il y a encore plein de combats à mener comme l’égalité d’accès aux soins pour les femmes et hommes transgenres, la lutte contre les discriminations à l’emploi et bien sûr la lutte contre la transphobie et les violences faites aux personnes transgenres. Maëva parle de tous ces combats à la fin de l’épisode. On a aussi rapidement parlé de l’art de Maëva : le drag si cela peut vous intéresser.

Photo : Jean Ranobrac

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A propos de l’épisode avec Anne-Claire

Anne-Claire est une personne qui a traversé plusieurs vies et vécu plusieurs changements de vie au fil des années. Depuis son enfance, elle a toujours été animée par de grands rêves : devenir exploratrice, "inventeuse", ou encore voyageuse. Cependant, pendant longtemps, elle a cru qu’elle n’avait pas les capacités de réaliser ses rêves. Mais au fil du temps, elle a commencé à se prouver à elle-même qu’elle était en mesure de concrétiser ses aspirations et de faire des choix qui lui semblaient impossibles auparavant.

Parfois il faut faire des grands détours pour revenir à la case initiale.

Anne-Claire

Cette phrase, qu’Anne-Claire partage à la fin de notre conversation, reflète parfaitement son parcours. Elle a eu besoin d’un tour du monde de plusieurs milliers de kilomètres pour comprendre qu’elle était capable de réaliser ses rêves. Même si cela signifiait s'installer à 1000 km de Paris. De même, ses deux années d'entrepreneuriat, en dehors de sa zone de confort, lui ont fait prendre conscience que sa véritable place se trouvait dans son domaine d’expertise, là où elle pouvait pleinement s’épanouir.

J’adore mon boulot, j’adore ma vie mais ce n’est pas du tout ça que j’ai envie de vivre donc je me dis “Souviens-toi de tes rêves”.

Anne-Claire

Ce que j'aime dans l’histoire d’Anne-Claire, c’est qu’elle la raconte avec un grand recul, une belle analyse et une franchise touchante. Elle nous montre qu’il n’est pas nécessaire d’être profondément malheureuse ni de vivre un drame pour décider de changer de cap et de réaliser ses rêves. Il suffit parfois de s’écouter et de se laisser la liberté d'explorer de nouvelles pistes.

Les références citées dans l'épisode

• Le compte Instagram de Lauren Bastide
• Le compte Instagram de Charlotte Pudlowski
• Le compte Instagram d'Alice Zagury
• Retrouvez Anne-Claire sur LinkedIn
• Et sa formation Puzzle pour amener votre podcast à un autre niveau sur son site

Vous pouvez aussi vous inscrire à sa newsletter en bas de page du site internet d'Anne-Claire.

Crédit photo : Clémentine Laurent

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À propos de l'épisode avec Sarah

Saviez-vous que quitter l'éducation nationale est souvent un véritable parcours du combattant ? C’est le cas de Sarah, notre invitée dans cet épisode. Enfant timide et hypersensible, elle a suivi un parcours scolaire classique, comme beaucoup de personnes. Après des études d'anglais à la fac, elle s'oriente naturellement vers l’enseignement en école primaire, pensant y trouver sa voie.

Cependant, avec sa personnalité entière et ses fortes convictions, Sarah ne fait pas partie de celles qui passent inaperçues ou qui acceptent les choses telles qu'elles sont. Dès ses débuts dans l'éducation nationale, elle entre assez rapidement en conflit avec sa hiérarchie. Elle se lance alors dans un engagement syndical pour défendre ses valeurs et celles de ses collègues. Mais, malgré tous ses efforts pour faire bouger les choses, elle se retrouve dans une impasse. Un jour, tout bascule : c’est le burn-out.

Pour Sarah, l’éducation nationale, c’est fini. Après cette période difficile, elle se consacre à sa reconstruction personnelle. À l'aide d'outils de développement personnel, elle redécouvre ce qui la fait vibrer et trouve une nouvelle voie qui l’épanouit. Mais, quitter l'éducation nationale ne se fait pas sans difficultés administratives. Sarah doit se battre pour officialiser son départ et obtenir ses indemnités, ce qui ajoute une couche supplémentaire de stress à un parcours déjà éprouvant.

Aujourd'hui, tout cela appartient au passé. Sarah profite pleinement de sa nouvelle vie. Elle est désormais cheffe d’entreprise et enseigne une de ses grandes passions : la cuisine japonaise. Une véritable renaissance après des années dans un système qui ne lui correspondait plus.

Les liens pour retrouver et contacter Sarah

Retrouvez Sarah sur Instagram @osara_lacoste et sur son site internet https://www.osara.fr/ où vous retrouverez ses cours de cuisine japonaise ainsi que ses formations en ligne.

Bonne écoute !

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À propos de l'épisode avec Laura

Plonger dans l’inconnu, c’est parfois la meilleure manière de se découvrir soi-même. Laura en est la preuve vivante. Dès ses études en école de commerce, elle goûte à l’expatriation et commence à sortir de sa zone de confort. Avec trois expériences internationales à son actif — 6 mois en Floride comme étudiante, 2 ans à Hong Kong en tant que salariée, et 3 ans à Dubaï comme entrepreneuse — Laura a appris à s’adapter, à affronter les défis et à grandir personnellement et professionnellement.

Dans cet épisode, Laura partage son parcours hors du commun. Elle raconte comment sortir de sa zone de confort l’a menée à de nouveaux horizons. Mais aussi à repousser ses limites et à se découvrir sous un jour nouveau. Que ce soit seule ou avec sa famille, elle a su affronter les moments difficiles. Trouver un logement à l’autre bout du monde ou s’adapter à des cultures totalement différentes : autant de défi que tout expat rencontre. Mais elle parle aussi des moments les plus enrichissants : la découverte de soi, les rencontres, et l’apprentissage de nouvelles compétences.

Je suis bien hors de ma zone de confort.

Laura

Cette citation que je retiens de Laura résume bien son état d’esprit. Dans cet épisode, vous découvrirez comment l’expatriation et les expériences à l’étranger peuvent être un véritable tremplin pour sortir des sentiers battus et oser le changement.

Si vous cherchez des conseils pour sortir de sa zone de confort, que ce soit pour une expatriation ou simplement pour oser un nouveau projet, cet épisode est fait pour vous. Laura vous prouve qu’il est possible de se réinventer, de dépasser ses peurs et de vivre des expériences riches et transformantes.

Les références citées dans l'épisode

• Le média DubaiMadame : https://www.dubaimadame.com/
• Le podcast ExExpat : https://www.exexpat-lepodcast.com/

Bonne écoute !

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À propos de l'épisode avec Constance

S’expatrier sans son mari, c’est le choix audacieux qu’a fait Constance. Originaire d’un petit village d’Alsace, elle pensait y passer toute sa vie. Mais sa curiosité et son goût pour l’aventure l’ont conduite à découvrir le monde. Après avoir visité l’Italie et quelques pays d’Afrique, c’est pendant ses études qu’elle a saisi une première opportunité de partir vivre à l’étranger pendant un an. Une expérience marquante, pleine de découvertes mais aussi de peurs, comme elle le raconte dans cet épisode. Si vous avez envie de sourire, Constance partage une anecdote amusante qui montre à quel point les enfants peuvent être injustes avec leurs parents !

Après cette première expatriation, Constance n’a cessé de saisir les opportunités de voyage, s’installant dans différentes régions de France avant de faire le grand saut vers l’international.

Aujourd’hui, elle vit en Côte d’Ivoire. Mais cette expatriation a quelque chose de différent : elle a choisi de s’expatrier sans son mari. Dans cet épisode, elle nous explique pourquoi elle a pris cette décision et comment elle vit cette expérience unique.

Moi j’avais envie de bouger et mon mari non.

Constance

Cette phrase illustre parfaitement l'état d’esprit de Constance, celui d’une femme qui suit ses envies tout en respectant le choix de son conjoint.

Cet épisode est une source d’inspiration pour toutes celles qui se demandent s’il est possible de s’expatrier sans leur mari. Constance montre qu’il est possible de suivre ses rêves tout en préservant son couple, et que l’expatriation peut prendre de nombreuses formes. Entre découvertes personnelles et défis du quotidien, elle partage avec nous son expérience de vie en Côte d’Ivoire.

Bonne écoute !

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On entend souvent dire qu’autrefois, les salariés restaient dans la même entreprise toute leur vie. Lucette et Jack sont l’exception qui confirme la règle. Entre entrepreneuriat, salariat, travail en couple ou en famille, ils ont tout exploré. Aujourd'hui, leur transition vers la retraite réussie, ils sont convaincus d'une chose : "Il faut s'éclater dans le boulot." Leur capacité à rebondir face aux difficultés fait d’eux un modèle pour leur entourage. J’espère que vous trouverez dans leur récit des conseils précieux et une bonne dose d’énergie.

Le premier métier

Lucette et Jacky sont tous deux nés de parents agriculteurs et apprennent le métier et le travail en famille chacun de leur côté. C’était alors comme une évidence de créer leur propre univers à eux et en famille à leur mariage. C’est à ce moment que commence leur première aventure entrepreneuriale, et ce n’est que le début d’une longue succession d’aventures. Quand celle-ci prend fin, ils ne se laissent pas abattre pour autant, ils rebondissent immédiatement.

Le second métier, les suivants et la transition vers la retraite

Lucette et Jacky basculent alors tous deux dans le salariat. C’est à ce moment que leurs chemins professionnels se séparent. Lucette intègre une usine de cosmétiques et grimpe les échelons petit à petit jusqu’à finir directrice de production.

“Ça ne m’a pas effrayé” Lucette

nous dit-elle. Pendant ce temps, Jacky ne peut s’empêcher de monter une nouvelle société qui prendra fin une dizaine d’année plus tard. Retour au salariat pour lui mais pas que, parce qu’il construit et gère des appartements, une activité qui le suivra encore longtemps à la retraite. Lucette et Jacky sont pour moi un exemple de ténacité. Vous l’aurez compris, ils sont hyperactifs et ne comptent plus les projets qui animent leur quotidien. 

Des différences générationnelles

Lucette et Jacky ont vécu à une période où tout a évolué à une vitesse phénoménale. Ils ont vécu l’introduction de des nouvelles technologies dans leur quotidien, d’autres façons de travailler et de vivre. D'ailleurs, ils sont catégoriques sur le fait que l'entrepreneuriat était bien plus facile à leur époque grâce à la croissance. Ils me confient même que selon eux, l'administratif était bien moins contraignant, ce qui rendait l’entrepreuneuriat plus accessible aux personnes n’ayant pas fait de grandes études supérieures. Je reste cependant persuadée que leurs nombreux succès sont dûs à leur force de travail et leur ténacité. Ils sont d’un telle humilité qu’ils n’osent pas tellement donner de conseils en se basant uniquement sur leur vécu. J’ai quand même capté une petite phrase de ma grand-mère qui dit

“Il faut s’éclater dans le boulot sinon ce n’est pas la peine.” Lucette

Je vous conseille d’écouter l’épisode jusqu’à la fin rien que pour entendre leur conclusion parfaite. De mon côté je suis hyper heureuse d’avoir fait cette interview et de garder une trace orale de leur parcours de vie incroyable.

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Dans cet épisode vous découvrirez le parcours de Chloë qui a fait une pause dans les études pour s’occuper de sa fille. C’est pendant cette pause qu’elle est devenue, de fil en aiguille, pâtissière, photographe culinaire et créatrice de contenu.

Une artiste dans l’âme

Petite, Chloë aimait dessiner, peindre, créer des choses de ses mains et trainer dans la cuisine de sa grand-mère. En grandissant elle se passionne pour l’histoire et ne cesse de voguer entre ces deux passions. Elle fait un Bac L puis une prépa littéraire pour devenir prof d’histoire. A la fin de sa licence, elle fait une pause dans les études pour s’occuper de sa fille. Ce moment lui permet de renouer avec la passion transmise par sa grand-mère, la pâtisserie. Elle ouvre alors un blog pour partager ses recettes avec sa famille. Puis elle se lance, sur un coup de tête, dans un CAP Pâtissier en candidate libre. A force de partages sur son blog et sur Instagram, elle se passionne pour la photographie. Une passion pas si anodine car elle s’était déjà essayée à cette pratique lorsque ses parents lui ont offert son premier appareil à l’obtention de son bac. C’est à ce moment de la discussion qu’elle se rend compte qu'

“En fait tout est lié !”. 

Chloë

De la passion au métier de photographe culinaire

Le parcours de Chloë peut en faire rêver plus d’un, à commencer par moi. Et pourtant, rien de tout ça n’était prémédité. Chloë est de ces gens qui restent ouverts aux opportunités et qui savent les saisir. Son leitmotiv depuis le début est le partage, elle n’avait jamais imaginé que tout cela puisse devenir un métier. Et pourtant, c’est au bout de 2 ans, seulement, qu’elle décroche son premier gros contrat : une photo par jour pendant 1 an pour La Fabrique Cookies. La Fabrique Cookies est une marque qui vend des cookies à tomber, en livraison partout en France ou via des petits shops dans certaines gares parisiennes. Tout est fait maison et les ingrédients sont d'une qualité rare. Chloë raconte également comment elle a appris la photo et comment elle a développé son propre style. Elle nous livre avec philosophie le pourquoi de l'arrêt d'un de ses projets .

"Il faut essayer, arrêter, recommencer encore et encore. C'est comme ça que l'on avance"

Chloë

Les conseils de Chloë

Vu son parcours, je ne pouvais pas m’empêcher de demander à Chloë un conseil pour tous les étudiants qui se posent des questions à faire une pause dans les études ou non. Elle nous livre également son conseil quand on a envie de tout abandonner. Je ne m’attendais pas à ce que ça résonne autant en moi. Son conseil est un peu à l'opposé de ce que je pensais. Ça fait du bien d’entendre des choses différentes et qui nous correspondent peut-être plus. Comme ça chacun peut y piocher ce qu’il a envie et c’est bien le plus important.

Contacts

• Blog de Chloë : Le Tablier de Chloë
• Instagram de Chloë : Le tablier de Chloë
• Recette des muffins aux pommes : Le Tablier de Chloë

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Après une belle carrière dans une entreprise internationale, Solenne décide de changer de carrière. Elle quitte tout pour monter sa boîte. Sa vocation : rendre la société meilleure en passant par l’éducation des enfants. Dans cet épisode on a abordé beaucoup de sujets tous passionnants. De comment se faire une place en entreprise, à comment créer une équipe 100% en télétravail en passant par l’utilité des soft skills pour les enfants comme pour les adultes ou encore la tolérance.

Les études

Solenne se lance dans deux années de droit avec pour objectif d'intégrer Science Po et devenir journaliste politique. En parallèle de ses études (et de ses nombreux engagements associatifs) elle travaille pour être indépendante financièrement. Durant ces années de droit, c’est le droit du travail et les ressources humaines qui la passionnent. Elle finit donc ses études avec un master en ressources humaines. A la fin de ses études, ce sont 6 mois qui l’attendent. Elle doit arrêter tous ces engagements associatifs et trouver un travail. C’est un long parcours compliqué. Mais comme elle sait ce qu’elle veut, elle n’hésite pas à refuser des opportunités car elle sait qu’elle veut trouver la bonne entreprise pour elle. Et elle la trouve finalement puisqu’elle y restera 13 ans.

Une carrière phénoménale en tant que salariée avant de changer de carrière

Au sein des ressources humaines, Solenne ne fait que grimper les échelons un à un dans cette entreprise qu’elle a choisi pour sa dimension internationale. Et pourtant les débuts ne sont pas facile. À peine 1 an après son arrivée on lui propose de prendre la place de sa cheffe. Puis c’est la crise qui frappe la société en plein coeur et elle passe 2 ans à licencier des gens. Finalement elle reste dans l’entreprise. Elle obtient 5 promotions en 8 ans puis finit par se poser pendant 5 ans en tant que responsable RH Monde pour les centres de service partagés de Shell. Ce sera qu’au bout de 13 ans, grâce à un plan de départ volontaire qu’elle quittera son poste pour changer de carrière et monter son entreprise.

L’idée révolutionnaire

Solenne a toujours été en quête de l’idée révolutionnaire qui n’avait jamais été mise en place par quelqu’un d’autre. C'était pour elle le bon signal qui lui permettrait de changer de carrière. C’est lorsqu’elle apprend que son fils aîné est précoce et qu’elle s’intéresse alors au fonctionnement des enfants qu’elle a cette idée. Il n’existait aucune application ludique pour cultiver les soft skills des enfants. Les soft skills sont les compétences comportementales, ou le savoir être, qui seront les armes essentiels à ces enfants d’aujourd’hui qui feront un métier de demain qui n’existe pas encore. L’idée est née en 2018 et l’application Soft Kids sort en 2020, c’est un long chemin mais couronné de succès par un démarrage qui promet un bel avenir à cette entreprise.

Contacts

• Site internet : Soft kids
• L’application sur Apple : Soft Kids
• LinkedIn : Solenne Le Goaziou-Bocquillon

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