Food Thérapie (Marion Nicault)

Mon invitée, Sophie Janvier, est journaliste culinaire et, depuis peu, elle exerce également le métier de diététicienne. Elle a voulu compléter son riche parcours journalistique par une formation en nutrition. Un BTS diététique et un DU en Nutrition Thérapeutique en poche, elle découvre alors le désarroi d'une catégorie de patients face à l'alimentation.

Elle a voulu remédier à l'absence d’accompagnement en termes de nutrition dans le cadre des MICI - Maladies Inflammatoires Chroniques Intestinales - en créant un outil digital qui aiderait les malades de MICI dans leur quotidien. Une appli - ChroniCoach - qui tiendrait compte des symptômes du jour, de notre état émotionnel, de nos envies culinaires. 

Comment faire de l’alimentation son alliée lorsqu’on souffre d’une MICI ?

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Cet épisode fait suite à l'épisode #36.

Afin de proposer un angle complet de cette thématique, nous avons voulu donner la parole à divers intervenants : des acteurs du marché des compléments alimentaires, des producteurs de spirulines, et un médecin nutritionniste.

C’est d’ailleurs l’objet de cet épisode : c’est Manon, ma collaboratrice lilloise qui s’est rendue dans le service du médecin nutritionniste Jean-Michel Lecerf, à l’Institut Pasteur de Lille.

Après avoir eu l’avis de la fondatrice d’Epycure, et maintenant que nous savons tout sur la spiruline et ses bienfaits, il est temps de connaître l’avis scientifique.

Est-ce que d’un point de vue nutritionnel, nous en avons réellement besoin ? Bien s’alimenter n’est-il pas suffisant pour être en bonne santé ? Sommes-nous en manque ? Si oui, de quoi ? Et depuis quand ? 

Y a t-il des bienfaits et des risques à se complémenter ? Est-ce que vraiment, cela fonctionne, ou peut-on parler d’effet placebo ?

Merci à Manon d’avoir pris les commandes de cet épisode et au Docteur Jean-Michel Lecerf pour cet éclairage.

N’hésitez pas à nous suivre sur Instagram @foodtherapie_ afin d’échanger et débattre sur ces sujets. Belle écoute.

Appelez-moi influenceuse microbiote ! Avec l’épisode d’aujourd’hui, mon invitée nous fait le plaisir de nous offrir un code promo de -10% sur toutes les commandes DIJO. Avec le code FOODTHERAPIE, vous pourrez du coup rendre vos intestins sexy pour la vie.

Vous avez certainement déjà entendu dire que l’intestin serait notre 2^e cerveau. Il existe de vraies études sur le sujet, qui prouvent le rôle de la flore intestinale non seulement dans la digestion, les diverses fonctions métaboliques, les défenses immunitaires, mais aussi sur la santé mentale. Un microbiote déséquilibré entraîne de nombreuses maladies inflammatoires, métaboliques ou neurologiques telles que l’obésité, le diabète, les allergies, l’anxiété, la dépression. C’est le sujet d’aujourd’hui, vous l’aurez compris, et il se résume en une question : Bien manger = Bon microbiote = Moral au top ?

Lisa Souloy est co-fondatrice de la marque DIJO, une jeune marque de probiotiques Made in France, vegan, sans lactose, sans gluten, et c'est mon invitée aujourd'hui.

Elle nous raconte l'origine de la marque, la maladie auto-immune (thyroïdite de Hashimoto) d'Anouk, l'autre entrepreneuse derrière DIJO, et amie d'enfance. Puis avec elle on explore les secrets et le fonctionnement de notre microbiote.

Site de DIJO : https://www.dijo.fr

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Retrouvez dès à présent la recette du plat émotion de mon invitée sur le site : https://www.food-therapie.com

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Diet culture : ou culture de la diète, se dit d’un système, d’une société qui prône la minceur et l’associe à la santé voire à la vertu morale. C’est l’idée qu’être mince veut nécessairement dire être en bonne santé. Et qu’être mince vous rendra heureux(se). 

La diet culture est un système fondé sur la perte de poids. On va donc y accorder beaucoup de temps, d’énergie et d’argent. La culture de la diète repose aussi sur l’adaptation de nos comportements. Cela implique d’être vigilant sur notre alimentation et une certaine diabolisation de certains aliments considérés trop riches en gras ou encore en sucre.

Ces derniers mois, comme beaucoup, j’ai pris un peu de poids. Je le sais parce que mes jeans sont + serrés et que j’ai fini par me peser. Bien sûr, j’ai voulu les perdre, pour moi, pour me sentir bien, pour retrouver “ma ligne” mon poids de forme. Mais aujourd’hui je me pose la question : est-ce que vraiment cette décision, ce mécanisme me poussant à perdre ces 3 ou 4 kilos, vient de moi, entièrement, sans influence ? Est ce que je peux vraiment, objectivement affirmer que je ne le fais QUE pour moi et non pas pour plaire, pour me sentir bien en maillot cet été sur la plage, pour “correspondre” à ce qu’on attend de moi lorsqu’on est la voix d’un podcast sur l’alimentation et le bien-être ? Non.

Il est difficile de se détacher totalement de l’apparence. Notre physique, je m’adresse principalement aux femmes - est conditionné depuis des décennies, modelé telle une pâte à modeler, pour plaire aux hommes. On nous fait croire que c’est mieux pour nous et d’une certaine manière, si on s’y refuse, il y a l’idée que nous finirons soit seule, soit en mauvaise santé, non désirable aux yeux de la société. ou tout cela à la fois. 

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Retrouvez Constance sur : @hungryconsti et @no_diet_club

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Il y a quelques années, en lien avec l’essor d’Instagram, notre jargon alimentaire s’est diversifié. On a commencé à parler de super aliments. En même temps qu’on a scrollé parmi des photos ultra léchées et colorées de bowls tout aussi appétissants les uns que les autres.

Açai, spiruline, chlorela, baies de goji… c’est joli mais c’est quoi en fait ? Et réellement, est-ce que ça nous est utile ? Y a t  il un véritable intéret nutritionnel ou bénéfique pour notre santé ?

Je sais pas vous, mais parfois j’ai un peu l’impression que c’ets un peu du bullshit tout ça. Que le monde instafood nous glisse des tendances, sans reelle explication. Et ça peut etre bizarre, surtout quand c’ets pas très bon. Parce que là, on ne se parle pas d’une burrata à la truffe.

Dans les méandres d’Instagram, heureusement on fait encore de jolies découvertes. Lucile Champy a commencé à partager des contenus intéressants sur son compte, autour de la nutrition, en particulier sur le sujet des superaliments et des plantes adaptogènes. Des infographies riches et pédagogiques, qu’elle appelle “mini stories éducatives”. Parce qu’éduquer, c’est son rôle : elle est consultante en alimentation, son rôle n’est pas de soigner, mais de conseiller et d’expliquer, pourquoi c’est bien pourquoi c’est mieux, pour toi, pour ton corps, pour ton quotidien, d’intégrer tel type d’aliment. 

Avec la superfood, on ne fait pas n’importe quoi. Elle nous explique de quoi il s’agit, comment les utiliser, où les acheter, et pourquoi c’est bon pour nous.

également, parce que la dimension écologique lui tient à coeur, comment consommer des superaliments en faisant attention à la provenance. Super aliments et plantes adaptogènes : de vrais bienfaits ?, c’est le titre de cet épisode. On l’écoute ?

Suivre Lucile sur Instagram : @lucile_champy

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Depuis toujours, Amélie et Fleur, soeurs et Co-fondatrices de la marque Skin & Out, font la guerre aux boutons. Aujourd'hui, elles lancent leur solution globale pour traiter l'acné adulte de l'intérieur et de l'extérieur. Une solution naturelle, pour vivre avec l'acné, en finir avec "les problèmes de peau", et surtout, vous accompagner vers la source de ce dérèglement. COMPRENDRE pour mieux TRAITER.

Dans cet épisode, nous parlons du lien entre acné et alimentation, du rôle fondamental du microbiote, mais aussi de l'acné lié aux règles, de cette fameuse errance médicale et du désarroi des adultes face à ce "problème" associé à l'adolescence. 

Merci d'avance pour vos commentaires et étoiles sur Apple Podcast / iTunes qui aident à faire progresser ce podcast.

La recette du plat émotion de mon invité est disponible sur https://www.food-therapie.com

Retrouvez Skin and Out sur Instagram : @skin.andout

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Dans ce deuxième épisode sur l'expatriation, je reviens côté espagnol pour avoir un aperçu de l'autre côté de la tortilla : quel rôle a l'alimentation pour un français qui installe son business alimentaire en Espagne ?

Benjamin a créé la boulangerie barcelonaise Le Pain d'Eric et Benjamin dans une démarche particulière. C'est l'aboutissement d'une reconversion, d'une quête de sens. Alors est-ce que la boulangerie, le pain, ce symbole français prend une dimension d'ancrage plus que de partage lorsqu'on est boulanger français à Barcelone ?

Elodie nous raconte une histoire de reconversion, une histoire de quête de sens, de retour au travail manuel... elle nous parle du pain qui respire, et de la démarche saine, bio du Pain d'Eric et Benjamin.

Le site de la boulangerie : https://www.lepainderic-benjamin.com

The Serious Gut est est une entreprise spécialiste du microbiote, qui vous aide à améliorer votre santé intestinale, mentale et immunitaire grâce au pouvoir incroyable des bactéries. 

C'est la première société qui se concentre sur une véritable offre de probiotiques de qualité, made in france & vegan, mais surtoutpersonnalisés pour VOS besoins afin d’en maximiser l'efficacité (j’insiste sur ce point, et vous verrez qu’on y reviendra dans cet épisode). Il suffit de remplir un petit quiz en ligne, pour qu'on vous oriente vers la cure adaptée. Pour ceux/celles qui voudraient allez plus loin ils proposent aussi des options pour faire un bilan de l'état de son microbiote. 

Je vous partage un code promo - FOODTHERAPIE - pour avoir -20% sur tous les produits, y compris les abonnements. 😉

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J’ai rencontré Anne-Sophie pasquet via Marion Pezard, la voix du podcast Healthy Living et naturo, avec qui j’ai déjà échangé sur son podcast et aussi sur Food Thérapie. 

Anne-Sophie est également naturopathe et a une affinité particulière avec la digestion : ce sujet la passionne et partage tout un tas de bonnes astuces d’hygiène de vie sur son instagram.

On va justement discuter ensemble de ce qu’est la naturopathie, comment un accompagnement naturo peut nous aider lorsqu’on a mal au ventre, et puis on va aussi répondre à la question suivante : à quel moment on consulte un naturopathe ?

On va voir -et c’est important - qu’un accompagnement au naturel n’exclue pas un diagnostic médical, au contraire il en a besoin et s’en nourrit.

je vous laisse avec notre échange sous la chaleur caniculaire bordelaise…

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Si vous suivez ce podcast depuis son début, et que vous n’avez manqué aucun épisode, alors peut-être vous rappelez-vous de mon premier épisode, l’épisode 2 en fait, Ayurveda : l’alimentation pour réguler notre état émotionnel ?

J’avais interviewé mon amie Pauline, qui pratique l’Ayurveda depuis des années à Barcelone.

Depuis, de nombreux épisodes se sont intéressés aux maux du ventre. Nous avons compris une chose : le lien fondamental, prouvé scientifiquement, entre intestins et cerveau. 

Lorsque l’on comprend cela, il est alors pratiquement impossible de revenir en arrière, intolérable de se voir dissocier notre état mental de nos souffrances physiques, lorsque nous consultons un médecin. 

Appréhender l’individu dans sa globalité, de manière holistique, mais aussi dans son individualité et prendre en compte tout ce qui fait qu’il est lui, à ce moment T, c’est le principe de l’ayurveda.

Lorsque j’ai eu entre les mains l’ouvrage de Lucie Joao et Marie-France Farré, équilibrer sa digestion grâce à l’ayurveda, je me suis dit qu’un épisode qui se focalise davantage sur le ventre avec cette philosophie de vie, pourrait être intéressant.

J’ai beaucoup aimé la phrase suivante, dans ce livre plein d’explications intéressantes et de recettes appétissantes : quand un sujet devient mainstream, il est vite résumé à des clichés et diffusés dans sa version caricaturale. Cela part generalement d’une bonne intention : simplifier les concept pour les rendre accessibles au plus grand nombre. Certes ! Mais on se retrouve aujour’hui avec des aberrations érigées en valeurs et appliqueés en dogmes.

Je discute aujourd’hui de digestion avec Marie-France Farré, Accompagnatrice vers la pleine santé et le mieux-être et LUCIE JOAO, praticienne en ayurveda.

Retrouvez-les sur Instagram : @ayurveda.paysbasque et @mariefrancefarre

C'est le troisième volet de ma série sur l'expatriation.

Vanesa Gamero et Eugenio Vitaller ont passé respectivement 6 et 10 ans en France. Ils connaissent aussi bien la culture française que moi je connais l'espagnole et j'avais envie d'échanger avec eux autour de l'alimentation.

Quel rôle joue l'alimentation, la cuisine lorsque l'on débarque dans un nouveau pays ? Est-ce un outil d'intégration ou au contraire un frein ?

Qu'est-ce que la gastronomie d'un pays nous dit sur ce dernier ?

Eugenio et Vanesa nous donnent leur vision de la culture gastronomique française.

Retrouvez les recettes de mes invités ici : https://www.food-therapie.com/recettes/les-recettes-de-mes-invites/

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Cet épisode est sponsorisé par Fabletics.

Pour profiter de l’offre FABLETICS, rendez-vous sur https://www.fabletics.fr/foodtherapie

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je m’étais déjà intéressée à l’alimentation pendant la grossesse, si vous vous souvenez de mon épisode avec Raphaëlle, mais nous avions davantage parlé des envies, des dégoûts, et du rapport au corps, Quant au post partum, avec Zoé, nous avions parlé du mois d’or, de la préparation des petits plats pour le premier mois post partum, de l’importance d’être entourée et de bien se nourrir pour prévenir au maximum une éventuelle dépression.

Aujourd’hui, c’est à mon tour d’attendre un bébé et d’être concernée de pres par le sujet. Evidemment, pendant ma grossesse, l’alimentation tient une grande place : 

• j’ai du m’adapter pendant les nausées du 1er trimestre et manger + qu’à ma faim
• j’ai des envies, aujourd’hui, qui peuvent paraitre bizarres mais j’écoute mon corps, et ce dernier me réclame des boîtes de maquereaux !
• je m’amuse à imaginer ce que mon bébé pense de mes petits plats, car oui, le goût se développe déjà, in utero

mais surtout, je me demande si j’ai bien tous les besoins nécessaires pour moi, pour mon bébé, et ce qu’il va nous falloir, à nous deux, après : pour restaurer mon corps qui aura vécu le plus grand exploit de sa carrière, pour réconforter une maman sujette à la chute hormonale, à l'absence de sommeil, sensible à l’anxiété et à la dépression, pour passer les bons nutriments dans mon lait maternel…. bref, je me pose des questions que beaucoup d’entre vous, j’en suis certaine. peuvent ou pourront se poser.

J’ai demandé à Margaux Cannoni Chevalier, co-fondatrice de Jolly Mama la marque spécialisée dans la nutrition autour de la maternité, de nous parler des besoins en projet grossesse, prénatal, post partum et allaitement.

De quoi avons-nous besoin, convient-il de se supplémenter, que peut-on manger en post-partum pour récupérer et restituer les tissus d’un corps un peu meurtri ?

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Pour participer à la collecte de dons organisée par RUTABAGO à l'occasion du Fair Friday, je vous invite à cliquer ici JUSQU’AU 17 décembre 2021. 

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Si c’est le fondateur d’une marque que j’interviewe, c’est avant tout un sujet que je mets en avant : celui de l’alimentation pour la dignité, pour se réinsérer dans la société, pour agir, pour aider, pour sortir de la précarité. 

Dans la continuité de Jérémie Ballarin et du Wanted Café et ses repas suspendus, ou de Nathalie Georges qui avec zéro moyen cuisine pour tout son pallier du 6e étage dans sa chambre de bonne, Rutabago propose chaque année une campagne pour contrecarrer le Black Friday. Ça s’appelle le FAIR FRIDAY, et ça consiste en une collecte de dons pour proposer des repas avec de bons produits bio, dont des personnes en situation de précarité, adhérentes à une épicerie solidaire, pourront bénéficier à l’année.

Pas du One shot, mais une véritable aide sur le long terme, pour avoir une chance de s’en sortir, et de bien se nourrir.

C'est la semaine pour l'emploi des personnes handicapées. Dans cet épisode, j'interviewe un père de famille, un professionnel en reconversion, un aidant au quotidien : le fils d'Olivier est atteint d'autisme sévère. De la volonté de lui offrir un présent et un avenir est née Biscornu. Une entreprise de restauration qui a vocation à être un employeur de personnes en situation de handicap, presqu'exclusivement.

Certaines personnes naissent en dehors du moule. Et rien n’est fait ou ne sera fait au cours de leur vie pour qu’elles se sentent INCLUSES dans la société.

Mon invité d’aujourd’hui ne rentrait plus dans le moule, et on va parler de ce changement de vie radical qu’il a décidé d’entreprendre, pas seulement pour lui mais aussi pour toute sa famille. Mais on va surtout parler de son élément déclencheur. Cet élément déclencheur c’est son fils Alexandre, âgé de 14 ans, atteint d’autisme, qui lui n’est jamais rentré dans le moule. Il n’est plus scolarisé, et c’est pour lui offrir un présent et un avenir qu’Olivier Tran a lancé Biscornu, un projet gastronomique d’inclusion sociale.

Biscornu, c’est à la fois une histoire de reconversion, d’idéologie, de valeurs, d’éthique, d’handicap, d’écologie, de combat social, et une très belle histoire familiale. 

Retrouvez Biscornu : http://biscornu.org

Sur Instagram : @biscornufamily

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Dans une société validée par Instagram et où l’amour se déroule sur Tinder, où l’on oppose la réalité au monde virtuel, où la photo passe avant la peau, ou le produit n’est parfois jamais vu de nos yeux vus, jamais touché, jamais humé… j’avais envie d’aborder le sujet du beau en cuisine. Pourquoi aime-ton manger « beau » ? Pourquoi préfère-t-on que nos assiettes soient jolies ? Et plus étrangement, pourquoi mettons-nous des likes à des mises en scène culinaires idylliques, voire complètement utopiques comparés aux talents moyens du cuisinier maison. Est-ce que cela voudrait dire que le beau en cuisine nous fait du bien ?

Pour m’aider à explorer l’importance de l’esthétisme en cuisine, je m’entoure aujourd’hui d’une personne qui en a fait son métier. Clélia Hutin est Photographe culinaire, Food Photographer comme on dit sur Linkedin ;) et son job c’est de prendre de jolis plats en photo pour ses clients. Elle est aussi créatrice du blog Fraise Tonka.

Retrouvez Clélia sur Instagram : @fraisetonka

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Retrouvez dès maintenant le plat émotion de mon invité sur mon site Food Thérapie

Ma rencontre avec mon invité n'est pas banale : j'ai rencontré Jérémie lors du 2e confinement, récemment débarquée à Bordeaux. On a été mis en relation lors d'un échange de bonne bouffe ! Il s'avère que nous vivons dans la même rue.

C'est dont la nourriture qui nous a créé ce premier contact.

En plus de nos mets, on s’est échangés quelques mots et c’est là que j’ai appris qu’il était à la tête de la communauté Wanted, le plus gros réseau d’entraide français de Facebook. Et puis, on a évoqué la précarité alimentaire des étudiants. Les repas préparés dans son café, du même nom, et destinés aux sans abris.

En fait, à travers un repas, on transmet plus que ce que l’on croit. 

Alors je m’interroge : qu’est-ce qu’on donne, vraiment, quand on donne à manger ?Est-ce que la chaleur d’un plat ne viendrait pas un petit peu du regard chaleureux qui l’accompagne ?

Alimentation et solidarité, c’est le sujet que nous allons explorer aujourd’hui avec Jérémie Ballarin, Co-fondateur de la Wanted Community et du Wanted Café. 

Rejoindre les groupes Wanted sur Facebook: tapez "Wanted Community".

Sur instagram: https://www.instagram.com/wantedcommunity/

Le café à Bordeaux : https://www.instagram.com/wantedcafebordeaux/

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Pour vous expliquer comment est né Food Thérapie et ce que vous allez y trouver, Je ne savais pas trop par quoi commencer, alors je me suis dit : pourquoi ne pas débuter par une question ? : 

• Qu’est-ce que la nourriture, pour vous ?
• Quelle place prend l’alimentation, la nourriture, la cuisine dans votre vie ?

Ce sont les questions que j’avais envie de soulever avec ce podcast. 

Si pour moi, la food prend cette place si importante et peut aussi conditionner mon état mental, psychique, pour certains, je me dis que ça peut encore aller plus loin.

Dans ce podcast, j’invite des personnes pour qui la nourriture a un rôle clé dans leur vie. Qu’il s’agisse de leur profession, que ça leur ait sauvé la vie, qu’il s’agisse d’une expression de leur créativité, d’un outil d’intégration, d’un engagement, d’un acte militant… j’avais envie d’entendre leur histoire et de faire un peu la psychologue de comptoir, sans divan, mais avec des questions un peu plus poussées que ce qu’on a l’habitude de demander.

À chaque épisode, je partagerai ma recette ou celle de mon invité que vous pourrez retrouver directement sur mon site food-therapie en français .com

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L’alimentation intuitive. J’ai réfléchi au terme, sans aller vérifier la définition. Je me suis interrogée sur ma propre alimentation. 

Alicia Sicardi, neuroendocrinologue, Diététicienne, chercheuse et autrice “L’alimentation intuitive - le grand livre”, m’a vraiment fait prendre conscience de la source de mon stress actuel. 

J’essaye de faire bien, de prendre soin de moi, pour ma santé, par l’alimentation. Et du coup je suis tombée dans un hyper control healthy. 

Lui reste-t-il alors quelque chose d’intuitif ? C’est presque ironique quand on sait que les maladies chroniques touchent des personnes anxieuses et hyper sensibles, et que le stress est délètere. Alors on fait comment ?

J’ai demandé à Alicia qu’elle nous en parle. Vous verrez que la définition est finalement assez ouverte, et que c’est finalement une alimentation qui requiert une connexion à soi, à son corps et donc à sa tête, à ses sensations. Et ça, c’est quand même très food thérapie.

Alimentation intuituve, avec Alicia Sicardi, c’est l’épisode 50 du podcast. Belle écoute !

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*** Cet épisode est réalisé grâce à la collaboration de ID Swiss Botanicals***

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Face aux problèmes respiratoires et moteurs engendrés par le covid 19, qu’est-ce qu’une perte de gout ou d’odorat ?

Une perte de repères, déjà. L’odorat est un sens foncièrement animal, qui nous permet d’éviter le danger, le poison, les produits périmés. Un repère social aussi : c’est comme cela qu’on attire ou on est attiré par certaines personnes, certains lieux, et des aliments.

Et puis, le goût ? Le goût, c’est le plaisir. Dans des circonstances, en confinement, où l’on nous demande de nous raccrocher aux petites choses de la vie, qu’est-ce qu’il nous reste, si, en plus d’être isolé, seul, on a plus de goût ?

Lorsque j'ai été confrontée à l'agueusie et à l'anosmie, j’ai rassemblé les idées qu’on m’a soufflées, les recherches qui ont abouti, et je me suis dit : il faut que je mette à disposition une véritable information pour les personnes qui comme moi, ont ou seront atteintes d’agueusie et anosmie.

La bonne nouvelle, c’est que des solutions, il y en a ! J’ai même découvert une nouvelle profession : le praticien OSTMR. C’est Félicie Codron, experte de cette discipline et parfumeur de formation, qui nous raconte comment se passe une rééducation olfactive. Et puis nous sommes allées chercher un ORL, le docteur Jérôme Lechien, professeur à l’hopital FOCH, pour comprendre ce qu’il se passe : pourquoi on perd le goût et l’odorat, ou pas, et pourquoi ça revient, comment, ou pas.

Qu’est ce qui se passe dans nos neurones ? Quelles sont les conséquences physiques, mais surtout psychologiques, d’une perte totale ou partielle, de ces sens ?

Enfin, on vous présente une application, Covid Anosmie, un vrai coach virtuel pour vous aider à traverser cette épreuve.

J’espère que cet épisode vous sera utile, et si vous l’écoutez aujourd’hui atteint d’agueusie et d’anosmie, soyez patient et mettez en place rapidement toutes ces astuces.

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Au travers de mes rencontres, je me suis rendu compte que beaucoup de femmes ont eu un déclic par rapport à l’alimentation lorsqu’elles sont devenues mères.

Certainement parce que c’est le moment où l’on prend l’ampleur de sa responsabilité quant au bien-être d’une autre petite personne qui dépend entièrement de nous.

Je me suis demandée comment une femme enceinte vivait son rapport à l’alimentation : cette période est plein de paradoxes !  Entre les interdits alimentaires, les mythes autour du “je peux manger tout ce que je veux”, les injonctions à “Ne pas prendre de poids”, à prendre du poids aussi, les hormones et les envies de réconfort, je me suis dit que cela devait être difficile de se lâcher la grappe. 

Et puis, est-ce que toutes les femmes sont conscientes d’alimenter leur enfant, vraiment, surtout lors d’une premiere grossesse ? Aujourd’hui, la future mère se documente sur ce qu’elle doit amener à la maternité, sur la préparation à l’accouchement, depuis peu, sur la dépression post-partum, mais est-ce qu’elle se soucie de son alimentation ?

Puisque chaque personne et future maman est différente, cet épisode prend la forme d’un témoignage : j’avais envie de connaître l’expérience d’une amie, actuellement enceinte et de discuter de son rapport à l’alimentation avant la grossesse, pendant le projet de grossesse, pendant la grossesse et de l’interroger sur l’après. Nous verrons aussi ensemble quel rôle joue l’alimentation au-delà de l’aspect nutritionnel pendant cette période qui, quoi qu’il arrive, est un chamboulement dans notre vie. 

Je reçois Raphaëlle Orenbuch, journaliste et future maman. Elle est la créatrice du podcast Moi, journaliste, et du plus récent “Nés confinés” dans lequel elle donne la parole à des jeunes mères ayant accouchés hors de France, pendant le confinement. 

Cet épisode est le premier des 2 épisodes autour de la maternité : dans le prochain, nous nous pencherons sur l’alimentation post-partum et nous y évoquerons son lien dans la prévention de la dépression.

Retrouvez le podcast de Raphaëlle ici : anchor.fm/nes-confines

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*****Star des magazines et des réseaux, le jeûne intermittent est à la mode. Et pourtant, jeûner, ce n’est pas nouveau. C’est pour cette raison que j’ai voulu decrypter le jeûne dans sa globalité : distinguer le jeune intermittent du jeune long, déjà. Le jeune du jeune thérapeutique, ensuite.

Pour cela, je souhaitais avoir une approche à la fois nutritionnelle, aux côtés d’un collègue podcasteur bien connu des réseaux, Charles Brumault, diététicien et créateur du podcast Dans la Poire ! Et puis un regard historique, avec des explications qui contextualisent ce phénomène du jeûne, grâce à Pierre Leclerq, historien de l’alimentation, membre du Centre de Gastronomie Historique de Bruxelles.

L’objectif ? vous fournir une vue d’ensemble du jeûne, pour que vous ayez une base et que vous puissiez vous faire votre propre opinion, engager vos propres recherches et puis, pourquoi pas, le tester, si le foi vous en dit. 

N’hésitez pas à venir en discuter avec moi sur le compte insta du podcast, @foodtherapie_, belle écoute !

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Le kéfir, la kombucha… on en voit partout, mais au fait, c’est quoi tout ça ?

Un effet de mode ? Encore un truc de bobo-ecolo ?

Après plusieurs épisodes sur le sujet, mes troubles digestifs ne sont plus un secret : j’ai appris à prendre soin de mon microbiote intestinal, à faire fi des aliments et des cuissons agressives qui auraient tendance à accentuer l’irritation, je fais des cures de probiotiques… et puis, il y a la lacto-fermentation. Comme vous, sûrement, j’en entends beaucoup parler, mais je ne sais pas vraiment ce que c’est. Quels en sont les bienfaits ?

Vous le savez, dans mon monde, la curiosité n’est pas un vilain défaut. Je me suis dit que la meilleure façon de savoir, et bien c’est de demander ! Aujourd’hui, je reçois Julie Maenhout, fondatrice d’une entreprise bordelaise, « Les Jarres Crues ». 

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De la spiruline fraîche cultivée à Paris. Plus d'infos : https://www.algorapolis.fr

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En constante augmentation depuis 10 ans, le marché des compléments alimentaires ne s’est jamais aussi bien porté.

Il est loin le temps où seule une marque trônait sur les étagères de la pharmacie. Où l’offre s’arrêtait aux gélules brules-graisse, à la preparation au bronzage et au renforcement des ongles.

Aujourd’hui, on trouve de tout : des compléments - probiotiques - pour le microbiote intestinal, pour renforcer le cuire chevelu, pour le sommeil, une belle peau, l’immunité, la vitalité, le cycle menstruel, les rides…

On en trouve aussi sous toutes les formes : gélules, et puis des gummies, des petits bonbons, des infusions, de la poudre de collagene sous forme de macha ou cacao à boire...

La consommation de ces produits s’étend et les consommateurs en redemandent.

Afin de décrypter ce thème et ce marché, ce sujet fera l’objet de 2 épisodes. Aujourd’hui on ira tendre le micro à deux intervenants dans le secteur : d’abord, Angélique d’Esclaibes, fondatrice de la marque de complements alimentaires en vogue: EPYCURE, puis Gabriel et Colin Fagedet, Co-fondateurs d’Algorapolis, la marque de spiruline fraîche made in Paris.

Que sont les complements alimentaires ? À quoi servent-ils ? Même question pour la spiruline : est-ce une algue ? Une superfood ? Un colorant pour faire de jolies smoothies pour instagram ?

Redonner aux légumes leur place dans l’assiette, c’est le titre de cette épisode et c’est aussi la mission de La Popote Compagnie, une start-up lyonnaise qui compte bien faire sa place dans l’industrie agroalimentaire et surtout dans l’assiette des français. La notion de plaisir est centrale pour la Popote, et pour Selma Lazreq, la fondatrice. C’est en effet en voulant offrir à ses enfants une alimentation plus végétale que La Popote est née. 

Si cet épisode n’est là pour faire l’apologie de la carotte – on sait tous désormais combien il est important pour la santé de manger des légumes et d’adopter une alimentation variée et équilibrée – il est en revanche intéressant de se demander comment on va changer les mentalités. Comment on va s’immiscer dans la vie des gens pour leur faire manger des légumes : sans les tromper, sans leur faire croire que c’est de la viande, mais tout simplement en faisant en sorte qu’ils y prennent goût. 

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Suivez La Popote Compagnie sur Instagram : @lapopotecompagnie

et leur site : https://www.lapopotecompagnie.com/carte/

Retrouvez la recette du plat émotion de mon invité sur https://www.food-therapie.com

Si on est certain d’une chose, c’est que pendant ces deux mois de confinement, on a plus cuisiné que jamais. Entre LIVES Instagram, ateliers virtuels, partages de recettes de Grands Chefs, émissions culinaires à foison, on a même pu se sentir un peu envahis- comme moi – par cette déferlante de cuisine maison.

Si certains y ont trouvé un nouveau rapport au produit, une manière de se reconnecter à la terre, à la matière brute, la plupart y ont trouvé du réconfort. C’est le sujet de cet épisode : Pourquoi cuisiner nous remonte le moral ?

Pour décortiquer nos habitudes alimentaires en confinement, tenter de comprendre le pourquoi du comment de cette habitude parfois devenue addiction, et analyser s’il s’agit d’une tendance, d’une thérapie passagère ou d’un changement fondamental de nos habitudes alimentaires, j’accueille Liguori Lecomte, Chef du Site CUISINE AZ, appartenant au Groupe M6, Auteur et Chroniqueur culinaire.

Retrouvez la recette du plat émotion de mon invité sur mon site https://www.food-therapie.com/recettes/les-recettes-de-mes-invites/

Retrouvez Liguori sur Instagram : chef.liguori.caz

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Aurore est aujourd'hui Coach de vie, mais il y a quelques années encore elle était Directrice Commerciale et avait une vie à cent à l'heure. Elle tombe malade, on lui annonce qu'elle a une tumeur aux ovaires et qu'elle est atteinte d'endométriose. Son état de santé se dégrade rapidement, elle se retrouve en fauteuil roulant.

Maladie chronique incurable, infertilité, elle a tout entendu.

Elle décide, comme elle peut, de se prendre en main afin d'atténuer ses symptômes et de pouvoir se nourrir. Grâce à une alimentation anti-inflammatoire spécifique, elle parvient à éliminer toute trace de maladie chronique et tombe même enceinte.

Vous pouvez retrouver Aurore sur son site https://wakeyourginger.com et ses conseils pour les femmes atteintes d'endométriose ici : https://endoblog.fr

Retrouvez la recette de cet épisode ici : http://www.food-therapie.com/les-pancakes-daurore-boucher-ep-03/

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Force est de constater que notre alimentation est intimement liée à… et bien à notre intimité !

Pourquoi j’ai davantage faim avant mes règles ? Pourquoi j’ai ces envies bizarres lorsque je suis enceinte ? Pourquoi il m’est conseillé de manger tel ou tel aliment ?

L’alimentation a-t-elle réellement un impact sur le cycle hormonal féminin ? Est-ce que le cycle hormonal a un impact sur notre alimentation ?

Pour répondre à cette question, j’ai le plaisir d’échanger aujourd’hui avec Margaux Aliamus, Fondatrice de Circles, une start-up berlinoise mais surtout féminine, fondée sur le bien-être gynécologique, qui s’est donnée la mission d’apporter une solution naturelle à notre équilibre hormonal. On discute cures anti-SPM, anti-douleurs, et anti-tabous, et puis FOOD.

Retrouvez Circles https://wearecircles.com

Suivez Circles sur Instagram : @circles_fr

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Si on sait aujourd’hui que le sucre blanc est mauvais pour la santé et est plus addictif que la cocaïne, pourquoi continue-t-on d’en manger ? 

Avec 3 millions de diabétiques en France, ça en fait du monde que l'on prive de dessert ! La gourmandise existe-t-elle sans le sucre ? Est-ce qu’on peut prendre du plaisir, envisager une pâtisserie, tromper notre cerveau avec des substituts SAINS ? Est-ce qu’on peut maintenir le niveau de la Pâtisserie française, casser ses codes, tout en proposant une alternative moins nocive pour la santé, et accessible aux malades du sucre ?

Cécile Engrand est de ces personnes qu’il est difficile de présenter, car impossible à mettre dans une case. Curieuse de tout, douée dans tant de disciplines, travailleuse, ce serait vous spoiler l’épisode que de vous dire comment elle en est arrivée à se lancer le défi de réaliser des pâtisseries françaises traditionnelles à faible glycémie aux Etats-Unis. De Ducasse à son atelier maison à Boston, aux Etats-Unis, Cécile nous raconte son parcours de reconversion professionnelle, son burn-out, sa thérapie par la pâtisserie.

Elle a créé Odette, une plate-forme de partage de recettes de desserts à faible glycémie.

Retrouvez Odette : https://odettedesserts.com

Sur Instagram : @odette.desserts

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Après un premier épisode sur « l’Alimentation et la Sexualité » (épisode #28) aux côtés du Dr. Waynberg, Sexologue, j’avais envie de creuser un peu plus le sujet en m’arrêtant sur l’alimentation aphrodisiaque. Si tout porte à croire que l’alimentation aphrodisiaque n’existe pas, je m’interroge : pourquoi y croit-on depuis des millénaires ? Pourquoi, dans l’Histoire, avons-nous utilisé l’alimentation comme vecteur de désir ou de plaisir ? Quel rôle aurait eu, à l’époque, l’alimentation dans la performance, la fertilité, la montée ou la prolongation du désir ?

Si ce ne sont qu’idées reçues et légendes, alors d’où viennent-elles ? 

Quoi qu’il en soit, la relation entre alimentation et sexualité est ancestrale. Je reçois Jean-Christophe Courtil, maître de conférences en langue et littérature latines à l'Université de Toulouse-Jean Jaurès, historien se consacrant aux recherches sur les rapports entre philosophie et médecine antiques, et qui, parmi ses thèmes de recherches, s’intéresse à La sexualité et la santé dans l’Antiquité.

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Food Thérapie, ce n’est pas Sport Thérapie mais c’est bien une vision de vie holistique, qui prend la santé dans sa globalité : mentale et physique.

C’est vrai que je n’ai pas beaucoup parlé de sport dans ce podcast, à part sur le rôle de l’alimentation de la performance.

En fait, c’est bien cet aspect “performance” que je voulais éviter : je trouvais qu’Instagram était déjà suffisamment culpabilisant, avec ce culte du corps ou tout simplement cette injonction à faire du sport, à avoir une vie dite “saine”.

Je me suis même posée la question du podcast : est-ce qu’il ne serait pas un peu contre-productif, est-ce qu’il ne créerait pas cette comparaison inévitable chez certain ?

J’ai découvert, comme beaucoup de femmes, les bienfaits de travailler l’hypopressif pour le confort digestif, menstruel.

Et surtout, j’ai découvert Anaïs Jazmine et son très médiatique Stomach Vaccum. Une sorte de danse du ventre qui permettrait d’obtenir un “Ventre plat”. 

Si l’esthétique est importante pour se sentir bien, se trouver jolie et avoir confiance en soi, c’est cette nouvelle vision du sport qui m’intéresse : nous sommes de plus en plus à faire du sport pour se faire du bien. Point. Pas pour “MAIGRIR".

C’est donc Anaïs Jazmine, que j’accueille aujourd’hui, pour parler du rôle du sport sur notre santé, et en lien avec l’alimentation.

Après une pause nécessaire, je suis RAVIE de relancer le podcast avec cet épisode, cette thématique, cette invitée.

Venez me dire sur Instagram ce que vous en avez pensé !

Cet épisode, il est un peu différent : cette fois-ci, je suis seule !

Enfin, pas tout à fait.

Pour m'aider à dresser le bilan de cette première année de podcast - 24 épisodes ! - je suis accompagnée de Manon Serenne, journaliste en devenir, et désormais Assistante en Charge des partenariats et des Relations Presse pour Food Thérapie.

Je lui laisse le micro et répond à ses questions : on parle de l'origine de Food Thérapie, de mon ressenti sur cette année de lancement et de confinement, de ma vision de la food, et un peu de mon parcours.

J'espère que vous aimerez cet hors-série !

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Sur : dlabparis.com, birdienutrition.com et shop.claudeparis.com

Il paraît que c’est la beauté intérieure qui compte. Il y a encore quelques années, entendre cela dans les magazines était inenvisageable. Et pour cause : on le prend rarement pour un compliment. 

Alors que ce soit le credo d’une marque beauté, c’est finalement carrément osé.

Alors oui, c’est vrai : on prend de plus en plus conscience de l’importance de soigner notre intérieur pour être en bonne santé à l’intérieur ET à l’extérieur.

En réfléchissant à comment aborder le sujet des compléments alimentaires, j’ai voulu m’intéresser à la nutricosmétique.

Je suis assez fan de cette vision de la beauté. Celle qui consisterait en fait, tout simplement, à être en bonne santé.  

Ai-je raison de différencier la cosmétique alimentaire des compléments alimentaires ? C’est ce que nous verrons avec mon invitée : Fleur Phelipeau, Fondatrice de D-lab Nutricosmetics. 

Suivez-moi sur Instagram: @foodtherapie_

D-Lab sur Instagram : @dlabnutricosmetics 

***** Cet épisode est sponsorisé par KoRo ****

KoRo est une startup basée à Berlin, spécialisée dans la vente en ligne de fruits secs, de noix, d’épices, de snacks, de super aliments, de pâtes, de riz, de sauces et de purées d’oléagineux.

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Je sais que parfois, il y a des “mouvements” food, et ce régime à base de produits bruts, crus ou peu cuits, bien évidemment bio, vient directement de Californie. 

Mais ce mouvement est probablement davantage qu’une mode new age popularisée par des stars américaines.

D’ailleurs, « Raw » ne doit pas se traduire par cru, mais plutôt comme brut, non raffiné, non industrialisé. La « raw food » n’est pas le crudivorisme même s’il en partage quelques notions. Il s’agit de privilégier des aliments non transformés, le moins cuits possible, afin de préserver l’apport en vitamines et nutriments, et certains éléments comme les enzymes.

Vous savez qu’ici sur Food Thérapie, je ne donne pas ou peu mon avis. En revanche, j’aime donner la parole : pour qu'on nous explique, de manière scientifique ou holistique, basée sur l’expérience ou sur des etudes, ce qu’on a vécu et comment on le vit.

Alors, si le contenu de cet épisode vous plait, et que vous êtes curieux de tester la raw food, je vous encourage à vous informer davantage, comme sur tous les sujets partagés dans ce podcast.

J’accueille aujourd’hui la reine de la raw food, Marie-Sophie L. Naturopathe- Naturaw chef, une gourmande qui forme de jeunes recrues à l’école Ferrandi.

Le site de Marie-Sophie L : https://mariesophiel.com/blog-raw-food/

Sur Instagram : @mariesophiel

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Quel rôle jouent les réseaux sociaux et les "influenceurs" sur les conduites alimentaires, l'apparition de TCA et la santé mentale ?

Anorexie, boulimie, orthodoxie (l'injonction à manger SAIN)... les maladies sont nombreuses et on observe des modifications comportementales depuis l'arrivée et l'ultra-exposition aux réseaux sociaux.

Je me suis demandée ce qu’il en était pour les adolescents, exposés chaque jour à des images léchées, photoshoppées, des modes de vie « de rêve », des filtres… s’il m’arrive à moi, du haut de ma petite trentaine, et travaillant dans le milieu du marketing de contenu, de me comparer aux autres, alors comment font ces jeunes adultes en devenir, exposés en permanence à un culte de la perfection, à une injonction à manger sain, ou moins, à boire du thé minceur, à faire du sport, à ne pas manger de viande, à ingérer tant de grammes de protéines… etc ?

Les images, les injonctions à « aller bien », malgré le confinement, malgré les difficultés de la vie, le « fais du yoga, ton pain, et lève-toi tôt », les codes promo pour des produits miracle… quelles conséquences ont-ils sur la santé mentale et sur notre alimentation ? 

Dans cet épisode et pour parler de ce sujet contemporain, je reçois Caroline Gauvreau, Psychologue clinicienne à Tours, exerçant auprès des adolescents atteints de TCA.

Caroline exerce à Tours : https://caroline-gauvreau.business.site

Retrouvez l'association Hébé sur Facebook : https://m.facebook.com/pages/category/Community/Association-Hébé-111126892293040/?locale2=fr_FR

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Cet épisode a été enregistré lors du webinar organisé par Agence Urbaine, agence de communication spécialisée Street Food.

Dans ce webinar, Marion anime le débat avec 3 invités : @foodeaseparis, influencer Food à Paris, The Grilled Cheese Factory - restaurant de grilled cheese à Paris, et Père & Fish, restaurant de street food poisson à Paris et Lille.

Nous débattrons autour de la problématique suivante : La street food est-elle la grande survivante de cette crise ?

Retrouvez Food Thérapie sur Instagram : @foodtherapie_

Père & Fish : @pereetfishrestaurant

Foodease : @foodeaseparis

The Grilled Cheese Factory : @tgcfactory

Agence Urbaine : @_agenceurbaine

Laura Palous, c’est ma première fan. Elle m’a contactée via Instagram quelques jours à peine après le lancement du podcast. Puis on a discuté. Elle m’a parlé de son cancer, du rôle qu’elle a donné à l’alimentation dans sa guérison, de ce que la nourriture représente pour elle aujourd’hui, de sa reconversion… et ça a juste fait tilt. 

Laura travaillait dans l'industrie agro-alimentaire - les snacks sucrés ! -lorsqu'elle a été diagnostiquée d'un cancer du sein à l'âge de 26 ans. Elle a subi plusieurs opérations, des traitements lourds, qu'elle a accompagnés de changements dans son alimentation.

Aujourd'hui, elle va bien et ouvre sa pâtisserie à Toulouse !

Un épisode passionnant et un parcours inspirant.

Retrouvez toutes mes recettes sur mon site : https://www.food-therapie.com

La suivre sur Instagram : @magdalatoulouse

Me suivre sur Instagram : @foodtherapie_

Cet épisode, c'est l'épisode central de Food Thérapie. Le lien entre les souvenirs et l'alimentation, c'est un sujet qui me passionne, et c'est cette question qui est à l'origine du podcast.

Pourquoi les plats peuvent être chargés d'émotion ? Qu'est-ce qui fait qu'on a de la tendresse pour un plat ? Qu'on ne puisse plus le voir en peinture ? Que notre plat doudou soit quasiment systématiquement un plat de notre enfance ? Qu'il puisse nous relier automatiquement à un souvenir, à un moment, à une personne ?

C'est Amandine Colin, Psychologue Clinicienne et Psychothérapeute qui m'aide à décortiquer ces mécanismes.

Amandine exerce à Barcelone : https://amandinecolinpsychologue.wordpress.com

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Est-ce qu'avoir un bon équilibre alimentaire c'est voir un bon équilibre psychique, mental ? Il s'agit d'une vaste question à laquelle nous ne répondrons certainement pas en un seul épisode, mais pour aujourd'hui, j'avais envie de tenter de répondre à cette question en interrogeant mon invitée.

Pauline Des Accords est Professeure de Yoga, Accompagnatrice Bien-Être et Nutrition, et fondatrice de la méthode OME https://www.methodeome.com

Avec elle, nous parlons ayurvéda, cette médecine indienne, philosophie de vie, qui tend à atteindre l'équilibre psychique et physique grâce à une alimentation et un mode de vie équilibrés.

Retrouvez la recette de cet épisode ici :

http://www.food-therapie.com/recette-golden-milk-pauline/

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Cet épisode est sponsorisé par Puissante, créatrice du vibromasseur Coco, actuellement en précommande sur Ulule. Pour chaque commande, 1€ est reversé à l’association Les Orchidées Rouges, luttant contre l’excision. Courez vous faire du bien sur ulule.com/puissante et suivez Puissante sur Instagram

L’avez-vous peut-être remarqué, la nourriture a sa dose d’érotisme : texture, odeurs, goût, l’ouïe… en fait, tous nos sens sont sollicités lorsque nous mangeons. Il n’est pas rare d’avoir recours à la nourriture dans l’intimité d’un couple, puis il y a ces aliments dits aphrodisiaques, ou encore ceux qui symbolisent les parties intimes : si je vous dis pêche et aubergine, vous pensez à quoi ?

Est-ce que l’alimentation et le sexe, ce ne serait pas un peu la même chose ? Est-ce qu’ils ne déclencheraient pas des émotions et des sensations similaires ?

On peut manger pour se nourrir.

On peut aussi coucher sans désir. 

Mais sans plaisir, quelle saveur a la nourriture ? Quel goût a le sexe ? 

Je reçois le Dr. Jacques Waynberg, Docteur en médecine, sexologue, psychothérapeute et criminologue, Cofondateur de la Société Française de Sexologie.

L'institut de Sexologie: https://sexologies.fr

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*** CET ÉPISODE EST SPONSORISÉ PAR BABYLON SCIENCES ***

Babylon Sciences est un groupe basé en suisse, qui produit sur place pour créer des huiles et tisanes à base de CBD avec les marques Avengarde et Dear Life, mais aussi des produits pour nos chats et chiens et apaiser leurs moments de stress intense, ainsi que des produits cosmétiques avec ID Swiss Botanicals. La compo est clean, les produits sont naturels et l’équipe de Babylon Sciences est toujours prête à répondre à vos questions et à clarifier vos doutes.

Plus d'infos sur:

Les gouttes et tisanes : https://avengarde.ch et https://dearlife.ch

Pour la peau : https://idswissbotanicals.com

Pour nos animaux : https://naturalshelter.ch

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Le problèmes de sommeil ont toujours existé, et ce phénomène semble s'être étendu depuis le début de la pandémie.

Une anxiété qui nous atteint différemment tous, à notre échelle. Le sommeil, au même titre que manger et respirer est un besoin VITAL.

Si votre repas influe sur votre sommeil, ce que l'on mange n'aurait-il pas aussi un lien direct sur la qualité de notre sommeil, notre capacité d'endormissement ?

Pour explorer l'univers passionnant du sommeil et comprendre son lien avec l'alimentation, j'interroge Christophe Sureau, Somnologue à Bordeaux. Afin de compléter son propos et comprendre la tendance autour du CBD, présenté comme nouveau remède à l'anxiété et aux troubles du sommeil, je reçois Cédric Rimella, Co-fondateur de Babylon Sciences, qui produit des produits à base de CBD.

***** Cet épisode est sponsorisé par KoRo ****

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Il y a quelques années, j’ai pris conscience du rôle de l’alimentation dans notre place à nous les femmes, dans la société. Parce que manger gras et trop, c’est permis, mais en cachette, comme Bridget. Et avec chéri, la salade, c’est tellement plus chouette. 

Cliché vous me direz ? Oui et non. Si vous observez un peu la pub, encore aujourd’hui, ou les produits alimentaires du quotidien, vous remarquerez qu’on continue de genrer - et de surtaxer - les produits dits “pour femme”. Et que tout un ecosystème se met en place autour de cela: les magazines qu on achete, les courses que l’on fait, nos comportements relationnels avec le sexe opposé….et le pire, c’est qu’on est les premières - premiers à suivre ces normes, sans même s’en rendre compte.

L’alimentation est-elle genrée ? Mieux: est-elle sexiste ? Et si oui, depuis quand et pourquoi ?

Pour trancher, mon invitée est Nora Bouazzouni. Elle est autrice et journaliste (elle a collaboré avec France TV, Ciné+, Libération, Slate, Le Fooding, Marie Claire...). Elle a également participé à la création du podcast « Plan culinaire » que j’aime beaucoup, et du programme court « Fine bouche » un de mes kiffs instagram. Féministe passionnée par le contenu de nos assiettes, elle sort son deuxieme ouvrage Steaksisme, après Faiminisme paru en 2017.

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Moi, je ne suis pas maman, mais bien évidemment, je me suis demandée comment elles mangent, les nouvelles mamans. Et est-ce qu’elles font ATTENTION à leur alimentation, autrement que pour perdre “les kilos de grossesse ?

Est-ce que vous, futures mamans, ou jeunes mamans, vous vous demandez quels sont vos besoins nutritionnels, alors que votre corps traverse le changement le plus important de sa vie ? 

À l’heure où l’on connaît le rôle de l’alimentation sur notre microbiote et le rôle du microbiote sur notre santé mentale et son lien avec la dépression, est-ce que vous vous dites : tiens, ce serait peut-être pas mal que je m’alimente correctement pour agir en prévention d’une depression post-partum ou tout simplement pour que mon corps récupère, que j’aie l’énergie suffisante malgré le manque de sommeil, etc ? 

J’entends pas beaucoup de “Oui” dans la salle, et autant vous dire que je ne m’attends pas à en entendre. Parce que quand on vient d’acoucher, la priorité c’est pas soi-même, c’est pas son assiette, On n’a “pas le temps”. 

Mais… si on anticipait un peu, pendant la fin de grossesse ? Si on tenait compte du facteur alimentation ? Si au lieu de faire des baby showers, si au lieu de recevoir des fleurs et des cadeaux, on demandait un bon plat de lasagnes maison, un gratin de légumes, un dahl de lentilles à nos proches ? 

Revoir notre vision des choses, remettre en question les traditions, exprimer un vrai besoin : c’est de là que vient SOROR ; l’entreprise créée par Zoé Colombie, mon invitée. Elle propose une solution simple pour aider la future mère lors du post-partum, une démarche à la fois centrée sur el partage, la sororité, le “care”, et la nutrition, et moi, j’adhère.

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Comment on crée une communauté en ligne autour du manger sain ?

Comment utilise-t-on le marketing et comment fusionne-t-on communication et nutrition ?

En 2017, j’ai contacté Sarah Marin, alors la seule diététicienne de l’équipe de Make Me Healthy. Avec ses conseils simples, j’ai réappris à manger. J’ai acquis des habitudes alimentaires saines et pour la vie.

3 ans plus tard, Make Me Healthy, c’est une équipe de plusieurs diététiciennes, une appli mobile, et une communauté Instagram de près de 60 K followers.

Derrière les écrans et à la tête de cette énorme communauté en mal de bonne bouffe, se cache Colette Friedrich, Co-fondatrice et Directrice Générale de Make Me Healthy.

Infos : Visiter Make Me Healthy

Instagram : @makemehealthy_bypowerdiet

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Cet épisode est sponsorisé par Fabletics.

Pour profiter de l’offre FABLETICS, rendez-vous sur https://www.fabletics.fr/foodtherapie

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Quand on est une femme, les hormones, le cycle menstruel, les symptômes, les courbes de poids… tout ça, c’est notre quotidien, du début de la puberté jusqu’à la fin.

On nous demande pas si l’on mange bien ou à notre faim, on nous demande de rester dans les clous, dans les standards. On se construit comme ça, avec les médias, mais aussi, il faut le dire, avec le corps médical. Pas étonnant, alors, que des troubles du comportement alimentaires apparaissent quand on est encore une ado, sans même qu’on s’en rende compte, parfois. 

On se met à faire du sport pour “compenser”.

On fait des régimes à répétition. On suit des fitgirls sur Insta, et on entend parler que de l’aspect nutrition ou forme physique… mais est-qu’on sait comment se porte leur cycle menstruel ? 

Vous me direz, c’est intime… oui et non. C’est le signe que tout fonctionne bien. Parce qu’avoir ses règles, et ne pas les avoir, ce n’est pas anodin. Une aménorrhée, c'est le signe que quelque chose cloche. Et parfois, c’est une piste essentielle de diagnostic, dans certains parcours liés à la fertilité. 

C’est justement l’une d’entre vous, qui a découvert qu’elle souffrait d’aménhorrée hypothalamique alors qu’elle était en parcours PMA, qui m’a suggéré cette thématique et mon invitée. Florence GILLET est coach en nutrition corps-esprit et elle accompagne les femmes qui souffrent d’aménhorrée, qu’elle connaît bien.

Dans cet épisode, on va voir qu’il ne s’agit pas que des femmes souffrant d’anorexie ou des sportives de haut niveau, on va parler de l’erreur de diagnostic de l’amenhorree hypothalamique souvent confondue avec le syndrome des ovaires polykistiques, et on va voir en quoi consiste la méthode ALL IN. Car oui, bonne nouvelle, l’aménhorrée hypothalamique se soigne et sans picouse ! 

Cet épisode est sponsorisé par Fabletics.

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Food Thérapie, c'est bientôt fini.

Dans cet épisode, je vous partage mon petit bilan après 3 ans à la tête de ce podcast, ainsi que ma gratitude envers vous, chers auditeurs, pour avoir écouté et enrichi son contenu.

Un épisode bonus vous attend le mois prochain avec une chouette invitée !

Renée est née à Buenos Aires, a grandi à Barcelone, et vit à Poitiers depuis 17 ans. C'était l'invitée idéale pour le premier épisode de ma série sur l'expatriation et l'alimentation pour le podcast de Food Thérapie.

On va discuter du rôle de l'alimentation dans l'ancrage dans un pays étranger. Est-ce que l'alimentation sert d'outil de partage ? Est-ce qu'il s'agit d'un pilier d'intégration dans une nouvelle culture ? Est-ce qu'on exporte sa gastronomie pour s'ancrer ou pour la partager ? Renée me donne son opinion sur le sujet.

Elle est propriétaire de Rocinante, une cave à vins, porte-parole tout désigné du bien-manger et du bien-boire, dans un parfum d’Espagne.

Pour réserver chez Renée et découvrir ses vins et tapas de passage à Poitiers : http://cave-rocinante.fr

Retrouvez Rocinante sur Facebook et Instagram

La recette de l'épisode est à retrouver ici : http://www.food-therapie.com/les-gnocchis-de-renee-ep-05/

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La peau assure 4 rôles importants impactant l’ensemble de notre santé :

-   Protection contre le milieu extérieur (bactéries, virus…)

-   Rôle immunitaire

-   Régulation thermique grâce aux poils

-   Synthèse hormonale

Notre corps, truffé de capteurs sensoriels, peut grâce à cet organe explorer le monde par l’intermédiaire du sens du « toucher ».

Mais alors, que se passe-t-il quand notre peau nous tiraille ? Quand elle rougit, picotte, brûle, nous fait mal ? Quel message nous envoie-t-elle ?  D’où vient l’eczéma ? Peut-il se soigner ?

En fait, l'organisme en fonctionnant produit des déchets acides, des déchets colloïdaux...qui peuvent s'accumuler à long terme et diminuer le fonctionnement des organes émonctoires. 

On sait aujourd’hui que l'alimentation raffinée, les graisses, les polluants, les médicaments...passent aussi par ces filtres naturels et peuvent à long terme les encombrer. Alors, apaiser, soulager, gérer son eczéma grâce à l’alimentation, c’est possible ?

Pour répondre à cette question, j’ai demandé à Saskia, eczéma warrior, et à la tête du compte insta Sask and the cities, de nous parler de sa propre expérience. Elle est atteinte d’eczéma depuis toute petite et elle a tout essayé. Grâce à sa curiosité et aussi grâce aux bons conseils de sa mere, médecin nutritionniste, il semble qu’elle ait trouvé la recette qui lui convienne. On en discute dans cet épisode.

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Qu'est-ce que le CBD alimentaire ? Consommer du CBD peut-il nous aider à gérer nos troubles liés à l'anxiété, la dépression et la douleur ?

Dans cet épisode de Food Thérapie, je réponds à cette question aux côtés de Flora Bourlionne, fondatrice de Kwé Kwé, la marque de pâtes de fruits artisanales à l'huile de chanvre.

Elle nous explique en quoi le CBD constitue un remède anti-stress redoutable, un anti-douleurs efficace.

Découvrez Kwé Kwé ici : https://www.kwe-kwe.com et sur Instagram : @kwekwe.naturel

Retrouvez la recette de cet épisode ici :

http://www.food-therapie.com/laloko-de-flora-ep-04/

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Quand Capucine Epagneau m'a parlé de sa marque, Petit Côté (clin d'oeil à son poste de demie de mêlée sur le terrain de rugby et à sa personnalité stratège et maligne), la première marque de pâtisseries à base de légumes, j'ai tout de suite fait "ding ding" dans ma tête. Elle a du culot, Capucine !

Mais, au fait, une pâtisserie saine, c'est possible ? N'est-ce pas antinomique ? Révolutionner les codes de l'Industrie, est-ce que c'est pas aussi un peu thérapeutique ?

Sortie il y a peu d’HEC, elle est déjà dans l’incubateur de la Station F à Paris, à peaufiner son plan d’attaque pour révolutionner les codes des goûters vendus dans le commerce. Ce sera pas du gâteau, mais elle est habituée aux mêlées, et elle a déjà une belle armée de courgettes et betteraves à ses côtés.

On parle gourmandise. Desserts. Entrepreunariat. Thérapie en cuisine. Émotions et sourire. Yeux qui pétillent. Trouver sa voie. Industrie Agro-alimentaire. Végétalisme. Saisonnalité. Retour aux sources. Ecologie. Mentors et obstacles. Rugby. 

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Encore un truc d’hurluberlu vous allez me dire ? Et pourtant, si l’alimentation est le bon carburant que l’on peut décider de mettre dans notre moteur, il va de soi que c’est aussi du côté des produits naturels et des bons vieux remèdes de grand-mère qu’on peut dénicher de véritables pépites, qui ont l’effet d’une baguette magique sur notre bien-être !

Aujourd’hui, j’avais envie de me pencher sur le vinaigre de cidre : peut-être que, comme moi, vous utilisez du vinaigre pour faire le ménage ou que vous êtes un fan de vinaigrette maison. Et peut-être que, comme moi - parce que maintenant aucune astuce bien-être de vous échappe ! - vous avez remarqué qu’on parle beaucoup du vinaigre de cidre comme un atout santé. 

Rien de nouveau sous le soleil: c’est vraiment THE remède de grand-mère par excellence.

Puisqu’il y a une marque, en particulier, qui revient beaucoup sur nos réseaux, j’ai décidé de lui parler tiens !

C’est Marina Lemaire, co-fondatrice d’Archie, une marque de vinaigre de cidre bio, fabriqué en Normandie, et non filtré, que j’accueille à mon micro.

Ensemble, on fait le point sur cette potion magique, ses usages, ses vertus,avec un focus sur les bienfaits digestifs, le microbiote mais aussi le microbiome.

Bref, un épisode ARCHI sympa (il fallait que je la fasse), que je vous laisse découvrir. Belle écoute !

C’est Sofiane, alias So_foodiee sur Instagram, qui nous dit tout sur le fonctionnement de l'indice glycémique et surtout quelle alimentation adopter, quelles astuces mettre en place pour éviter les poussées glycémiques, et l’hypoglycémie. 

Comment ça marche ? Pourquoi l’ordre dans lequel nous mangeons les aliments est important ? Qu’est-ce que le vinaigre de cidre vient apporter dans tout cela ? Pourquoi cet indice doit être surveillé pour notre santé ?

Je vous laisse découvrir notre échange !

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Nathalie George est l'auteur de "La cuisine du 6e étage".

Quand je l’ai vue en vidéo en octobre, je me suis jurée de l’interviewer. J’aime les personnages. De ces rencontres qui sont uniques, dont on se souvient toute sa vie, parce qu’ils nous mettent une claque, nous donnent une leçon, portent un message et souhaitent le transmettre.

Le message de Nathalie George est fort et pourtant d’une simplicité étonnante: c’est peut-être pour cela que la vie l’a posée au 6e étage d’ailleurs: parce que d’en haut, on prend de la hauteur sur la vie, on observe et on transmet plus facilement. Comme les antennes, vous savez.

Quand on vit dans un espace aussi réduit, on vit avec moins. Mais pas “moins bien”, c’est ce que s’entête à répéter Nathalie. 

Elle cuisine pour ses voisins, souvent étudiants, crée du partage, du lien.

Pour Nathalie, cuisiner, c’est partager. C’est une thérapie. Même si là, elle prêche une convaincue.

Pas la langue dans sa poche, Nathalie aurait bien changé le nom de ce podcast en “bouffe thérapie”, comme un hommage à la grande bouffe. En fait, la place qu’elle n’occupe pas dans Paris, elle l’occupe dans la vie de tout ceux qui croisent son chemin.

J’aurais aimé que vous soyez tous là, au 6e étage, avec vue sur la Tour Eiffel, le rouge aux joues grâce aux rires, au four qui chauffe à 50 cm et au vin rouge. J’espère que vous vous y transporterez un petit peu, en écoutant cet épisode, la cuisine contre l’isolement.

Suivez la cuisine du 6e sur Instagram: @lacuisinedu6emeetage

et Food Thérapie : @foodtherapie_

Dans ce podcast, je traite des sujets selon un concept qui correspond à ma vision de l’alimentation : je la vois comme un alicament, une thérapie, le bon ou le bien en somme.

Mais pour certaines personnes, l’alimentation, c’est le mal. Ou bien un outil pour se punir. Quand on est atteint de TCA - Troubles du comportement alimentaire, on ne voit pas la nourriture comme je la vois moi. On a un rapport conflictuel avec elle, on est amené à la contrôler, à aller dans les excès : soit en s’alimentant trop, ou bien trop peu. 

Du coup, me voilà à repenser ma vision des choses. Je me suis demandée si on pouvait guérir des TCA, ou en tous cas, s’il existait la possibilité de renverser la balance, c’est à dire de voir l’alimentation comme une alliée, et non plus l’ennemie. 

Dans cet épisode, je vous propose une conversation à coeur ouvert avec Anaïs Da Silva, blogueuse et freelance dans la communication. Sur son compte Instagram, elle parle ouvertement de son anorexie, comment elle la gère au quotidien. Je l’interview alors qu’elle est enceinte de plusieurs mois et lui demande quel impact a ce changement de corps sur elle. On discute des origines de sa maladie, de son cadre familial, de ses expériences de vie, de son passage à l’hôpital Sainte Anne en psychiatrie, de son rapport aux autres, à l’amour, à elle, au corps, à l’amour de soi. Et puis bien sûr, son rapport à la nourriture. 

Que se passe-t-il lorsqu’on comprend que la nourriture c’est ce qui nous maintient en vie ? Et surtout, je voulais discuter avec Anais de la notion de plaisir : parvient-elle aujourd’hui à profiter, savourer, se régaler ?

Suivez @foodtherapie_ sur Instagram !

La vocation, la reconversion, la mission de vie, la quête de sens. Des sujets qui me passionnent et que j'avais envie d'évoquer dans ce podcast.

Comment peut-on se reconnecter à soi, embrasser son chemin de vie en se consacrant à la cuisine ? Quels sont les obstacles rencontrés, les joies ressenties, lorsqu'on décide de faire le rand saut ?

Mon invitée s'est reconvertie il y a deux ans. Stéphanie Guillemette est une jeune Chef veggie-friendly auto-didacte. Elle débute sur Instagram, en postant ses plats ultra colorés et sains, puis décide d'en faire son métier.

Suivez Stéphanie sur Instagram @stephanieguillemette

Et Food Thérapie : @foodtherapie_

Retrouvez la recette de mon invitée : https://www.food-therapie.com/le-porridge-gourmand-de-stephanie-ep-07/

C’est assez fou qu’aujourd’hui encore, on ait honte de parler de nos soucis digestifs, de nos ballonnements, de problèmes de transits.

Dans la famille des maladies chroniques instestinales, MICI, l’errance médicale est bien connue. Il est tellement difficile de trouver des informations, de l’aide, une oreille attentive, un simple diagnostic ! 

Audrey LNRD, avec son compte Insta du même nom, contribue à rendre visible le quotidien des malades atteints du Syndrome de l’intestin Irritable - SII - mais aussi de « simples » soucis de transits ou ballonnements, dont nous pouvons tous souffrir. 

Parce qu’aimer la bouffe c’est toujours possible, même avec le SII, je lui ai demandé de nous parler de sa maladie, de son régime alimentaire dit « pauvre en FODMAP »… de sa vie, en somme, en espérant que cela puisse aider beaucoup d’entre vous.

Retrouvez Audrey LNRD : sur Youtube Sur Instagram @audreylnrd

Retrouvez dès à présent la recette de mon invitée sur https://www.food-therapie.com

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Pauline, du compte Instagram @vivre_healthy est passée au végétarisme il y a quelques mois. Une transition qui s’est opérée en plusieurs temps, avec un partage quotidien de ses repas, associé à son mode de vie, « healthy » donc.

Qu’en est-il de l’acceptation de sa communauté ? Et de son entourage ? Car si nos followers nous ressemblent, ce n’est pas toujours le cas de notre famille, de nos amis. Quelles sont les réactions qui reviennent ? Est-ce qu’on crée des liens sociaux ou on en perd lorsque l’on fait un choix alimentaire ? 

Est-ce qu’on devient soi-même, un gourou du tofu, un prêcheur de son propre mode de vie, mettant de côté les « autres » ceux qui continuent à manger de la viande ?

Pour ce sujet, Alimentation végétarienne et acceptation sociale, J’ai demandé à Pauline, alias @vivre_healthy, comment s’est passée la transition auprès de ses 60000 followers et de son entourage.

@foodtherapie_

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Il est de ces rencontres qui semblent tombées du ciel.

Enfin, si vous croyez comme moi, aux signes, et que vous suivez votre intuition, alors c’est ce que vous auriez pensé aussi, de ma rencontre avec Marion.

Là est notre premier point commun, un prénom. Marion Pezard pour moi, c’est avant tout une voix, comme moi je le suis sûrement pour vous, chers auditeurs. Une voix sans visage d’abord, qui accompagne des moments ou activités particulières, selon nos habitudes, nos journées ritualisées… Marion est créatrice du podcast Healthy Living, dans lequel elle décrypte les tendances bien-être. Certains des sujets qu’elle aborde font d’ailleurs écho à ceux de ce podcast, rien d’étonnant puisque Marion est naturopathe et c’est surtout une grande curieuse à la voix apaisante, aux questions pertinentes.

Nous venons toutes deux du monde du marketing, et si moi je ne l’ai pas complètement quitté, j’ai remarqué que nous avons eu un cheminement similaire dans notre évolution de vie - je n’aime pas parler de changement de vie, car cela implique que les choses resteraient figées alors que tout est toujours mouvement, évolution.

À mesure que je prépare notre rencontre, je me rends compte que les points communs défilent : elle vit désormais dans la région bordelaise, depuis 2020, comme moi. Lorsqu’elle me donne rendez-vous pour l’interview, je m’aperçois que son cabinet se trouve dans la rue voisine à mon domicile. et puis, quelques jours avant, j’écoute un de ses épisodes sur l’endométriose, qu’on vient de me diagnostiquer, et m’aperçois qu’elle mème en souffre et s’est formée dans l’accompagnement des femmes endométriosiques. 

Avant d’enregistrer cet épisode, on a beaucoup blablaté, c’est de ces rencontres, non préparées, dont vous ressortez enrichi vous savez ? Je ne pouvais pas passer à côté de tous ces signes et je souhaitais vivement échanger avec Marion autour de son activité de podcasteuse, et surtout, de son rapport au bien-être. Je vous laisse avec notre discussion, et si vous ne le faites pas déjà, à écouter son podcast.

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Le podcast : https://www.healthyliving-podcast.com

Après une longue pause, je suis heureuse de vous retrouver pour ce qui sera la dernière saison de Food Thérapie avec quelques épisodes venant boucler 3 années de contenus autour de ce sujet passionnant (en tous cas, il l’a été pour moi). Merci à chacune et chacun d’entre vous de votre écoute et d’avoir contribué à faire vivre ce podcast qui m’a tant apporté.

Vous n’avez pas pu passer à côté du phénomène Matcha : il a envahi Instagram avec le fameux “latte art” ainsi que nos cafés et salons de thé préférés. Pour autant, j’observe que d’un matcha à l’autre il semble y avoir un monde. Pas si simple de tomber sur le bon thé matcha ! Son amertume excessive ou encore son aspect verdâtre peuvent décourager les moins téméraires. 

Et question bienfaits, si on entend dire que c’est du café en mieux, qu’en est-il vraiment ? Existe-t-il de réels bienfaits sur la santé ? Le rituel de préparation a-t-il des vertus apaisantes ? Est-ce qu’il y a plus qu’une boisson chaude dans le fait de préparer, offrir et boire un thé matcha ? 

Camille Becerra est la fondatrice de la marque ANATAÉ, du thé matcha produit au Japon. Elle répond à mes questions et nous dit tout sur la boisson qui révolutionne nos habitudes sociales et aussi, vous le verrez, gustatives.

Je ne me suis jamais trop posé la question de la cuisson en-dehors de sa finalité gustative ou bien de l’obtention d’une texture particulière, d’une certaine tendreté. Et puis, quand j’ai commencé à m’intéresser à l’alimentation d’un point de vue nutritionnel et thérapeuthique, pour moi mais aussi dans le cadre de ce podcast, j’ai réalisé qu’on l’oubliait souvent et que pourtant elle jouait un rôle fondamental dans notre assimilation des aliments, de notre digestion, et donc de notre bien-être et notre santé.

Il suffit d’observer comment on se sent lorsqu’on mange des légumes crus : est-ce qu’on est ballonné ? Ou est-ce que ça va ?

Et puis, même si on ne souffre pas de troubles digestifs ou de pathologies liées à la digestion, est-ce que finalement c’est la même chose de manger un poisson au barbecue et un poisson vapeur ? 

S’il est entendu que les ondes du micro-ondes ne sont pas forcément bonnes pour nous, pour quelle raison ? En quoi la cuisson peut-elle détruire nos aliments ? Quelle est la meilleure façon de préserver les vitamines, les sels minéraux des nutriments ? 

Comment s’assurer que nos légumes bio, que nous choisissons avec soin, ne perdent pas leur qualités et propriétés nutritionnelles lors de la cuisson ?

En quoi la cuisson, ce phénomène découvert à la préhistoire avec la découverte du feu, joue-t-elle un rôle fondamental dans notre bien-être digestif et notre santé ?

Pour répondre à cette question, je reçois une autre Marion. Elle est l’inventrice d’une revolution culinaire avant même que je naisse. Le Vitaliseur de Marion est un produit breveté, et bien plus qu’un cuit vapeur. Marion Kaplan est une gourou de la cuisson et de ses bienfaits et je suis ravie de la recevoir pour cet épisode intitulé Les pouvoirs et bienfaits de la cuisson sur notre santé.

Profitez des frais d'envoi offerts grâce au code FOODTHERAPIE pour tout achat d'un vitaliseur de Marion sur le site du 10 juin 2021 au 10 juillet 2021.

Suivre @foodtherapie_ sur Instagram et Le Vitaliseur

Mathilde Bourge est Journaliste Gastronomique : un métier souvent fantasmé par les amateurs de bonne bouffe, comme moi. Grâce à son activité, elle est amenée à rencontrer de nombreux Chefs et à manger dans de grands restaurants. Elle commence à s'intéresser à la cuisine anti-gaspillage après une rencontre avec un Chef étoilé engagé puis elle décide de rendre accessible cette cuisine au plus grand nombre.

Avec son site https://cuisineantigaspi.com et ses ateliers anti-gaspillage en Bretagne, elle démocratise les astuces des grands Chefs pour une cuisine plus éco-responsable. Elle transmet ses connaissances et crée également du lien social.

Une thérapie à la fois contre l'isolement mais aussi contre l'éco-anxiété, la déprime liée à la crise climatique. Et surtout, POUR la planète.

Suivez-la sur Instagram : @cuisine_anti_gaspi

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Retrouvez la recette du plat émotion de mon invitée ici : https://www.food-therapie.com/le-gratin-de-coquillettes-au-jambon-de-mathilde,-ep-08/

Quand on imagine des bactéries, on pense plutôt à un manque d’hygiène, aux maladies… à faire le ménage ! Et pourtant, si on associe bactérie à microbes ET à du négatif, on passe à côté d’une grande vérité : les bactéries, c’est littéralement la vie !

Ces micro-organismes vivants sont présents dans notre microbiote (oui, la racine est la même que microbe !) et sans elles, mes chers amis, nous ne sommes RIEN.

C’est de leur bonne santé, de leur bonne alimentation, de leur diversité, que dépend notre santé à nous, dans sa globalité. 

Si vous écoutez souvent Food Thérapie, alors vous savez de quoi je vous parle : on a déjà évoqué le microbiote en long en large et en travers !

Le lien entre ce dernier et la santé mentale n’est plus à prouver, et cet axe bidirectionnel est aussi fondamental que passionant.

C’est fou de se dire qu’en mangeant de bonnes choses, on peut potentiellement améliorer son état de santé de base, non ?!

Aujourd’hui, on va rentrer encore plus dans le vif du sujet puisque j’accueille Emilie Maret à mon micro. Emilie est Co-fondatrice de The Serious Gut, une plateforme à vocation scientifique qui utilise la technologie, des chercheurs du CNRS, pour étudier notre microbiote afin de nous aiguiller sur nos besoins. En effet, en terme de bactéries, on nait et on n’est pas tous égaux ! Chaque individu a son ADN et son microbiote différent, il est donc logique de se dire que nos besoins diffèrent. Emilie va étudier notre profil, nos besoins, afin de proposer une cure de probiotique adaptée. Attention, on rentre vraiment dans le vif du sujet, on va même parler d’analyse de selles. Alors si vous êtes sensibles des oreilles, vous êtes prévenus, en revanche si vous êtes sensibles du bidou : cet épisode est fait pour vous.

Pour cet épisode intitulé : Le rôle de l’alimentation dans la performance : dans l’assiette d’un sportif de haut niveau, je reçois Terry Bouhraoua, demi de mêlée, joueur de l’équipe de France de rugby à 7, ancien capitaine de l’équipe de France notamment aux derniers JO de 2016, et détenteur du record de nombre de points marqués en équipe de France.

Privé de JO cette année pour cause de covid, il a réussi à dégager un peu de temps pour me parler de ce qu’il pense du rôle de l’alimentation dans sa préparation physique (et mentale ?), bref, dans son quotidien de grand sportif. 

On discute ensemble de son alimentation, de ses recherches personnelles sur la nutrition, mais aussi d'un débat actuel : la protéine animale est-elle la clé d'une alimentation pour la performance ? Ou au contraire, est-ce le véganisme ?

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