Radio Leadership (Quantum Consultation & Coaching)

Dans ce podcast, on vous propose de réfléchir autrement à une source de confusion chez bon nombre de gestionnaires: la nuance entre le leadership et l'autorité. Confondre les deux peut avoir de gros impacts sur la manière d'exercer son rôle de gestionnaire et par ricochet sur l'atteinte des résultats. Est-ce que je suis dans l'autorité ou dans l'influence? Est-ce à juste dose? Cela dépend de la nature de l'intention: celle dictée par l'égo et celle dictée par la volonté de faire émerger le meilleur de l'autre.

C'est un grand privilège d'avoir de l'autorité et de l'influence sur une autre personne, voir un groupe, Par-contre, le plus grand des privilèges est d'utiliser cette influence afin d'amener l'autre à découvrir son plein potentiel et à agir comme une personne souveraine. Cela ouvre à de nouvelles possibilités, n'est-ce pas là le plus bel exercice du leadership?

Depuis notre enfance, nous baignons dans un monde de compétition. Cette culture influence notre vision et manière d'exercer notre leadership. Lors de situations chargées émotivement, plusieurs leaders vont passer en mode compétition, voire chercher à convaincre. Cela demande beaucoup d'énergie et à la longue on s'épuise. Est-ce possible que ce vieux schéma de croyances soit appelé à être transformé? Et si on osait remplacer la posture de celui qui sait et qui cherche à convaincre par celui qui découvre et qui accompagne, ne ramènerions-nous pas de l'énergie dans nos équipes?

Au cours des 20 dernières années, le milieu du sport a beaucoup évolué tant au niveau technique que par ses méthodes d'entraînement. Toutefois, la plus grande révolution est l'importance que l'on accorde aujourd'hui au développement du mental, de la relation entre les émotions, les pensées, l'énergie et les performances de l'athlète. Derrière ce concept général de développement du mental, se cache un ensemble de compétences extrêmement pertinentes dans l'exercice du leadership. Tout comme les athlètes, les leaders doivent apprendre à maîtriser la relation entre les émotions, les pensées, l'énergie et la performance. Les bienfaits liés au développement de cette dimension sont à la fois pour le leader et pour l'équipe. Toutefois, pour profiter de ces bienfaits vous devrez développer votre ressenti.

Découvrez à travers mon voyage à Washington deux grands leaders qui ont su puisez dans le pouvoir de l'intention pour maintenir un haut niveau d'énergie afin de transformer la société. Par leur volonté d'agir sur une situation abjecte, ils ont su transcender les valeurs de leur époque et accepter les conflits. Abraham Lincoln et Martin Luther King Jr. nous donne un exemple incroyable du levier de transformation que sont le pouvoir de l'intention et la puissance d'agir. Bonne découverte!

Réussir ses conversations difficiles avec un employé est tout un art. Cela requiert un éventail de compétences relationnelles qui ne sont pas dans les programmes de formation traditionnelle. Dans ce podcast, nous allons explorer les clés nécessaires afin d’éviter les pièges et faire de vos rencontres un véritable levier de transformation positif. ​ Malheureusement, plusieurs gestionnaires de par leur manière de conduire la discussion perdent beaucoup en crédibilité et ce non seulement auprès de l’employé en question mais de l’équipe au complet. Pour bénéficier de l’impact positif de ces rencontres vous devrez développer votre compréhension du processus proposé. ​ La méthode discutée lors du podcast a été prouvée à de nombreuse reprise par Gary lors de gestion de crise, de changement de climat de travail et de redressement d’entreprise. Elle est le fruit de 27 ans d’intervention auprès d’employés difficiles ou en difficulté. Vous découvrirez une manière différente de vous préparer, de vous positionner et d’agir.​ Pour augmenter votre leadership, vous devrez faire preuve d’un bon niveau de gestion des émotions, d’un bon sens de la communication interpersonnelle mais surtout de démontrer de l’intégrité et de l’authenticité tout au long des échanges. Heureusement, ces compétences se développent dans la mesure où l’on met notre égo de côté.​ Bonne découverte!​

La motivation des employés est au cœur des préoccupations de l'ensemble des acteurs du monde du travail. Malgré un nombre incroyable de recherches sur le sujet, de stratégies et modèles proposés aux gestionnaires depuis 20 ans, les statistiques sur la motivation des employés demeurent négatives. ​

Nous avons intellectualisé à un tel point la motivation au travail, que nous en avons perdu le sens. Ainsi la majorité des entreprises et organisations publiques se retrouvent à vivre une grande confusion entre les facteurs de maintenance et de motivation.​

Cela peut sembler anodin, toutefois, la confusion entre les facteurs de maintenance et de motivation au travail, représente une cause majeure des piètres résultats dans le monde du travail. ​

Le concept de facteur de maintenance a été développé par Frederick Herzberg et représente des éléments tel que le salaire, les conditions de travail qui n'ont en fait qu'un pouvoir de démotivation lorsqu'inadéquats. On constate malheureusement que la grande majorité des organisations y consacrent énormément d'énergie pour peu de résultats ou pas de résultats quant à la motivation des employés. À un point tel, où maintenant on parle de désengagement actif au sein des entreprises et organisations publiques. ​

Les facteurs de motivation au travail les plus puissants sont à la portée des gestionnaires. C'est de par leurs stratégies, méthodes de gestion que les leaders se démarquent. C'est lorsque, dans ses gestes, le manager accompagne ses employés dans leurs recherches à combler des besoins que la motivation augmente. C'est pourquoi la capacité à identifier et répondre aux besoins des employés est une des compétences essentielles chez les leaders.

Plusieurs gestionnaires sont confrontés au cours de leur carrière à des employés soit difficiles ou en difficulté. La gestion de ces employés demande beaucoup d'énergie et de compétences afin d'éviter des débordements et des problèmes en cascade. Toutefois, la confusion entre un employé difficile versus en difficulté fait en sorte que les gestionnaires gaspillent énormément de temps et d'énergie pour peu ou pas de résultats. Pour maintenir sa crédibilité le gestionnaire doit être en mesure, dans un premier temps, de bien saisir à quel type d'employé il a affaire. Pour y arriver, il doit évaluer le caractère situationnel de la problématique. Il doit aussi savoir si l'employé est aux prises avec des problèmes de santé mentale, de consommation, en fait des problèmes qui ne sont pas liés au travail. Enfin, est-ce que l'employé souffre de carences majeures par rapport à des compétences relationnelles primaires. ​ Ces questions simples en apparence sont remplies de nuances et sont d'une importance capitale pour la stratégie à adopter. Aurez-vous avantage à agir à titre de coach ou il sera plus indiqué de prendre la posture du douanier ? La posture du douanier a pour but de protéger le gestionnaire, l'équipe et les clients de comportements inadéquats qui nuisent à la création d'un milieu de travail sain et sécuritaire. ​ La posture du douanier consiste à établir et gérer des frontières claires et précises. Favorisez une attitude directive et factuelle plutôt que d'ouverture permettra de gérer les employés difficiles sans que le gestionnaire s'épuise et éviter les dommages collatéraux au sein de l'équipe.​

Les statistiques concernant la mobilisation et la rétention des employés sont très préoccupantes. Toutefois, cela n’est rien en comparaison de celle portant sur la santé mentale au travail. Cette situation est loin d’être nouvelle. Depuis, plus de 20 ans, nous constatons les mêmes données sans le moindre progrès malgré tous les efforts qui y sont consentis. ​ Changer le climat de travail est toute une aventure et plusieurs gestionnaires s'y épuisent. D’autres y perdent carrément le goût de la gestion. Alors que certain se confondent en analyse et en recherche d’indicateurs afin de définir et rationaliser quelque chose qui au final est de l’ordre du ressenti. ​ Nos 50 années de pratique de la gestion dans des milieux de travail hautement toxiques, nous ont amené à mettre en perspective ce que nous avions appris lors de nos études à la maîtrise dans des grandes écoles de gestion. Nous avons quitté les grandes théories pour appliquer de manière concrète 6 leviers essentiel pour réussir à transformer le climat de travail. Peu importe le secteur d’activité et le niveau hiérarchique où doit s’opérer la transformation, l’application de ces leviers ramènera le plaisir au travail tout en créant les conditions nécessaires à la performance organisationnelle.

Nous vivons à l'aire de l'information. Toutefois, si nous ne sommes pas vigilants cela peut provoquer une surcharge pour le système émotionnel. L'information que nous recevons constamment n'est pas neutre. Nos collègues, nos employés, les médias, les clients nous communiquent constamment leurs émotions ce qui, par effet de résonance, déclenche notre système nerveux. ​

Aujourd'hui, nous vivons dans une société extrêmement anxiogène si bien  que la majorité des travailleurs vivent en état de survie. Les statistiques sur la dépression, le burnout et sur le niveau de bonheur au travail sont dramatiques. Et si nous étions collectivement simplement trop chargés? Est-ce possible que notre système de survie se soit tourné contre nous?​

Nous vous proposons trois pistes afin de ramener votre système nerveux et sortir de l'état de la survie.  Ces trois trucs vous permettront de mettre un terme à l'emprise du stress sur votre quotidien.​

Le portrait de la santé organisationnelle en Amérique du Nord est très préoccupant, d'autant plus qu'on parle de santé mentale et de bien-être au travail depuis des années. Au final, le constat est clair : nous sommes arrivés à terme des modes de gestion des 30 dernières années. Dans cet épisode, on lève le voile sur ce modèle et la mécanique de l'égo qui le sous-tend. On aborde les besoins irrationnels de l'égo et comment, chacun à notre façon, nous contribuons à cette fréquence de détresse dans le milieu de travail. Heureusement, il y a moyen de faire autrement. Avec une compréhension de cette mécanique, on peut choisir de se syntoniser à une autre fréquence - la sagesse - et devenir par le fait même et à petits pas, porteur d'une nouvelle énergie en milieu de travail. Les leaders porteurs de cette fréquence de sagesse seront très forts en intelligence émotionnelle et en compétences relationnelles. Et cette sagesse commence par soi, notre capacité à créer son propre oasis de paix intérieure. Restez à l'affût de notre Trousse de survie émotionnelle en milieu de travail et d'ici là, allez voir nos méditations sur notre site web https://www.quantumconsultationcoaching.com

On reproche souvent aux gestionnaires en entreprise de manquer de courage managérial. Mais c’est quoi, au fond, ce fameux courage managérial ? Et qu’est-ce qui fait que certains en ont, et d’autres moins ?

Dans ce podcast, on met des mots sur cette notion, on la distingue de ce que ce n’est pas - à ne pas confondre avec la colère ! – et on fait valoir l’importance du courage managérial dans le contexte VICA d’aujourd’hui (VICA : volatile, incertain, complexe, ambigu).

Mais surtout, on met en lumière les 3 principales caractéristiques du manager courageux et sa valeur importante autant pour l’entreprise que pour l’équipe.

Par sa conviction profonde, son focus sur le bien-être de l’équipe et sa maîtrise émotionnelle, le manager courageux génère de la confiance et de la collaboration même dans les tempêtes les plus difficiles.

Qui dit courage dit surmonter ses peurs et cela ça s'apprend !

Consulte notre site web pour une gamme d’outils et de services qui fera de toi un manager courageux dans ton organisation :

- Formation en ligne "Activer le potentiel d'une conversation difficile" : https://www.quantumconsultationcoaching.com/enregistrement-aborder-probleme-employe  

- Services de coaching : https://www.quantumconsultationcoaching.com/coaching  

- Méditations en ligne : https://www.quantumconsultationcoaching.com/meditations

Dans cet épisode de Radio Leadership, nous abordons le phénomène peu nommé mais pourtant très répandu de "l'anxiété du dimanche". À partir de notre récit personnel sur la façon dont la surcharge d'obligations et le besoin de performer ont affecté notre qualité de vie professionnelle et personnelle au fil des ans, nous posons un nouveau regard sur ce signal que nous donne "l'anxiété du dimanche". Avec le recul du temps et notre compréhension fine du fonctionnement humain, nous abordons les besoins derrière l'anxiété, les conséquences d'une anxiété non-adressée et comment ramener le contrôle et l'équilibre dans sa vie. Nous abordons entre autres: - Le stress, ennemi public n°1 : bon ou mauvais ? Trop ou pas assez ? - Le système émotionnel est le gardien de notre alignement. - Comment détecter la cause des fissures dans notre coquille. - Quand le corps nous parle : signal, résistance, épuisement. - Rajuster le tir : les circonstances vs les besoins. N’oublie pas de t’abonner à notre chaîne en appuyant sur s’abonner Tu peux aussi nous rejoindre sur notre page Facebook en appuyant sur ce lien: https://www.facebook.com/quantumconsultationcoaching Ainsi que sur LinkedIn en appuyant ici: https://www.linkedin.com/company/quantum-consultation-coaching/

Dans le podcast numéro 12, "L'anxiété du dimanche", nous avons abordé l'anxiété et l'épuisement du point de vue émotionnel. Aujourd'hui, nous poursuivons cette conversation pour vous aider à comprendre la clé d'une vie optimale : notre système énergétique. Nous expliquerons dans un langage simple et pratique les leviers à votre disposition pour accélérer votre chemin vers l'énergie, la joie et la stabilité dans votre vie.  

Dans le précédent podcast, nous avons expliqué que le système nerveux est conçu pour assurer notre survie, mais il est également conçu pour assurer notre bien-être. Face à deux choix, survie ou bien-être, il choisira toujours la survie. Pour cela, il coupera ou réduira le volume des fonctions autres que celles liées à la survie immédiate. Cela explique pourquoi, après une période de stress élevé, nous pouvons tomber malades (gravement ou pas) car la gestion de l'énergie allouée aux fonctions du système immunitaire est moindre. 

Nous avons également expliqué que notre système ne fait pas la différence entre ce qui est réel ou imaginaire. Autrement dit, la direction et l'intention de nos pensées conditionnent notre perception de la réalité par nos cinq sens et captées par nos cellules. En d'autres termes, la gestion de l'énergie suit l'attention, comme le confirment les principes de base de la science quantique. 

Considérons l'image que nous sommes un contenant à travers lequel notre énergie vitale circule en tout temps. Lorsque nous dirigeons notre attention sur les événements, circonstances, personnes extérieures à nous qui sont source de stress, notre énergie fuit vers l'extérieur. En revanche, si nous dirigeons notre attention vers l'intérieur de notre corps, nous conservons notre énergie. 

Cette image simple nous aide à comprendre l'étroite collaboration qui se joue en tout temps entre nos pensées, nos émotions et la gestion de notre énergie. En comprenant le fonctionnement de notre système énergétique, a priori très simple mais puissant, nous avons les clés pour agir dès maintenant sur notre capacité à nous régénérer et même à diriger le cours de notre vie. 

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Notre société va tellement vite, on ne s'en rend même plus compte. On oublie le "slow life, slow work" . Avec la révolution industrielle, première accélération - on a adapté l'homme à la machine avec des quarts de travail, la spécialisation des tâches. C'est un long processus qui s'est amorcé ou on s'est de plus en plus coupé avec notre rythme naturel. Cela a amené une confusion entre l'énergie et l'énervement. C'est pas parce que tu t'agites plus que tu produis plus et que tu produis plus que c'est plus de qualité. Deuxième accélération : la révolution technologique. Ca devait être la fin du travail (Rappelez-vous le livre "choc" des années 90 The end of Work écrit en 1995 par Jeremy Rifkin). L'impact de la révolution technologique sur les humains c'est dans l'accélération du rythme au travail. C'est aussi avec l'avènement des nanotechnologies et de l'automatisation qu'on commence a voir une fusion de plus en plus grande entre l'humain et la machine. Évidemment l'ascension actuelle de l'intelligence artificielle s'inscrit dans ce mouvement. Mais le travail n'a pas diminué - au contraire, son rythme s'accélère toujours. Ce rythme, c'est comme une rivière, tu es emporté par le courant. Surtout si tu n'es pas équipé pour naviguer la rivière, tu ne seras pas mieux qu'un bâton de bois qui se fait balloter au rythme des vagues, des roches, des seuils et des tourbillons. Pensons à ces gestionnaires constamment en mode urgence, qui mangent en travaillant, envoie des courriels la fin de semaine, change de priorités et d'urgence aux heures. Tout ce contexte crée un effet massif de résonance auquel notre système réagit. Nous sommes à la fois victime mais acteur de ce système. Cet énervement, course à la performance nous anime, et nous donne un sentiment d'être en vie à la surface. Mais sur la trame de fond, cela nous mine. Nos indicateurs de santé mentale nous le prouve que ce rythme là n'est plus viable sur le plan humain. D'ailleurs depuis la covid on constate l'exode des gens notamment des professionnels de carrière de ce modèle là. On appelle ça le Grand Départ. Regardons les GENZ, dans un prochain podcast, qui amène des nouvelles valeurs, sont en train de transformer le monde du travail. On doit donc tranquillement commencer à ralentir le rythme. Vous n'arriverez pas à faire face à la déferlante seule mais vous pouvez dans l'immédiat ralentir votre rythme intérieur. : Méditation, respirations abdominale. En conclusion, C'est un changement de paradigme qui s'est enclenché. Nos croyances anciennes nous dictaient la chaîne causale du bonheur suivantes : Agir pour Avoir pour Être. Example je dois travailler fort pour avoir la belle maison qui va me rendre heureux. La nouvelle chaîne causale en émergence - et on vous parle d'expérience personnelle et observé à grande échelle - est : Être pour Agir pour Avoir. Exemple : je dois être heureux pour m'attirer le bonne opportunité d'emploi pour moi qui me permettre d'avoir la maison que je veux. "SLOW LIFE, SLOW WORK." Les implications de ce renversement entre l'importance d'Agir et Être sont énormes et passionnantes. Certains appelleraient cela la Loi de l'attraction, d'autres l'émergence du ressenti. Quoi qu'il en soit, c'est une réelle révolution humaine qui est en cours ! Restez à l'affût de nos prochains podcast pour un regard plus profond sur ce nouveau paradigme, comment ça impact la gestion de nos personnes et comment les GENZ tracent le chemin.

Mentionné dans le podcast
Livre de Deepak Chopra L'âme du leadership https://www.amazon.ca/L%C3%A2me-leadership-Lib%C3%A9rez-potentiel-leader/dp/2894363184

The end of Work écrit en 1995 par Jeremy Rifkin https://www.amazon.ca/End-Work-Jeremy-Rifkin-1994-12-28/dp/B01K3P8B16/ref=sr_1_1

Malgré les avancées des ressources humaines au cours des années, malheureusement plusieurs employés se retrouvent confrontés à des gestionnaires toxiques. Dans cet épisode, on vous partage une histoire vécue pour illustrer comment la réalité des opérations et les besoins de performance dictent plus souvent qu'autrement la motivation de la haute direction à intervenir ou non auprès d'un gestionnaire toxique. Le processus d'appréciation du rendement, les énoncés de valeurs, les définitions des compétences, les structures de gestion de la discipline, les politiques contre le harcèlement sont très importantes pour intervenir. Toutefois, ce sont les aspects légaux qui viennent chercher la motivation de la haute direction à intervenir et mettre de côté la performance. La loi 51 de la CNESST impose aux patrons de prendre les mesures nécessaires pour protéger la santé et assurer la sécurité et l'intégrité physique et psychologique du travailleur. Dans ce contexte, un patron peut être tenu criminellement responsable s'il connaît une situation à risque pour la santé d'un employé et qu'il ne prend pas les mesures pour la corriger. Cette loi est bien connue lorsque la situation implique la santé physique des travailleurs. Toutefois, pour le cas où la santé mentale des travailleurs est en jeu, elle reste moins considérée voire même inconnue des gestionnaires. C'est pourtant en brandissant cette loi que nous allons chercher la motivation de la haute direction à intervenir auprès d'un gestionnaire toxique et ce, malgré la performance du gestionnaire en question. Écoutez le podcast pour comprendre, au final, quel critère doit vous guider pour gérer un gestionnaire toxique.

Lors de la dissolution de mon équipe de l’époque, le contexte était très chargé émotivement parlant. Le contexte d’incertitude face à la perte d’emploi et à la relocalisation des ressources était très difficile à vivre pour les gens. De plus, nous avons dû composer avec un nouveau patron. Enfin, il n’y avait pas de communication officielle de l’organisation. Toutefois, le nouveau patron était un exemple de résonance. Il était tellement stable émotivement et les gestes étaient en cohérence avec ses paroles. De plus, il était vraiment dans son cœur. Nous sentions qu’il travaillait vraiment pour nous. Il mettait toutes ses énergies à nous relocaliser. Les communications étaient précises et sans manipulation. Nous avions toujours l’heure juste. Plus de 20 années ont passé, et je me souviens encore de lui comme d’un excellent leader.

Le déni de réalité est très présent dans la gouvernance des organisations. Ce mécanisme de protection psychologique nuit énormément à la mobilisation, aux efforts de changement en plus de générer du cynisme chez les employés. Il est facile au niveau stratégique de gestion de manipuler les objectifs et les indicateurs de performance afin de donner une meilleure image que la réalité vécue sur le terrain. Découvrez comment!

Dans ce podcast nous abordons les trois types de gouvernance. Nous allons décrire le modèle de gouvernance légal et comptable en plus d'expliquer pourquoi les organisations ont tant de difficulté à passer en mode qualité. La gouvernance en mode qualité contribue à la performance des organisations plutôt que de lui nuire. Elle facilite la mobilisation, la motivation et la collaboration. Elle évite de dépenser 4 $ en contrôle pour 1$ en prestation de service. Le système de gouvernance en mode qualité repose sur des processus, des procédures et des aides à la tâche alignés sur les besoins réels des clients et leur appréciation de la prestation de service. C'est nécessaire la gouvernance en mode légale et comptable mais cela devient vite infobèse et énergivore sans la gouvernance en mode qualité. C'est en appliquant un sytème qualité rigoureux à la gouvernance qu'on s'assure d'atteindre les 7 buts de la gouvernance: Clarté, Cohérence, Stabilité, Pérennité, Mobilisation, Collaboration et Performance. Petit rappel que la performance est de faire la bonne chose avec le moins d’énergie possible. Est-ce que nous en sommes au point où la gouvernance nuit à la performance de nos organisations et à la satisfaction des contribuables et clients? #leadership #gestiondesemotions #management #gouvernance #motivation #mobilelegends #améliorationcontinu #motivationdéquipe #Performance

Les psychopathes au pouvoir Le pouvoir pour les psychopathes est associé au prestige. Pas surprenant qu’ils soient aussi nombreux en politique, à la tête des grandes entreprises et sociétés d’états. La structure de caractère psychopathe est une des 5 employées par l’être humain afin de passer à travers les situations stressantes de la vie. Nous avons tous à des niveaux divers du schizo, de l’oral, de la victime, du rigide et du psychopathe. Les structures de caractère sont comme des masques que nous mettons à l’occasion mais nous ne sommes pas le masques. Toutefois, pour certains en fonction de leur histoire personnelle, ils sont devenus le masque à un niveau ou cela devient anti social. C’est le cas de nombreux pseudos leaders. Je vous présente diverses clés pour les reconnaître tel que leurs phrases clés, comment ils se comportent lors de conflits, leur type d’énergie. Ils utilisent le pouvoir pour combler leurs besoins au détriment de la population, des clients et des travailleurs. Vous découvrirez comment la circulation des élites leur permet d’atteindre les plus hauts sommets de notre société mais assurément pas pour le meilleur développement de cette dernière. Absence d’empathie, incapacité à ressentir la honte et la culpabilité, agressif et narcissique, ils n’hésitent pas à détourner des missions, visions et des budgets. Ils ont toujours un narratif pour justifier le contournement des règles et même des lois. Nous aborderons les stratégies pour ne pas être aspiré dans leur énergie. Nous avons besoin d’élever notre niveau de conscience. Lorsque nous regardons l’état des routes, des services publics et les statistiques sur la santé mentale au travail, il est plus que temps que des leaders en conscience prennent les devants.

Pour faire suite au psychopathe sont au pouvoir, nous abordons comment faire pour réussir à survivre à un psychopathe. La structure de caractère de psychopathe peut être très énergivore pour les personnes qui les côtoient. Pour réussir à survivre à ces personnes sans vivre un niveau de stress démesuré voir même tomber en dépression, vous devez comprendre les comportements et les besoins derrière la structure de caractère. Bien que côtoyer un psychopathe peut sembler la pire chose de votre vie, cela peut être le point de départ d'un cheminement intérieur. Vous devrez apprendre la gestion des émotions, à libérer les besoins psychologiques et surtout à changer d'énergie.

Nous vivons une période très chargée sur le plan émotionnel. L'environnement VICA (Volatil Incertain Complexe et Ambigu) est propice à la prolifération des conflits. Toutefois, vivre un conflit est une excellente occasion de croissance. C'est une période difficile pour l'ensemble des acteurs. Vivre un conflit est énergivore. Nous avons beaucoup de conditionnement par rapport au conflit. Je vous propose de découvrir la face cachée des conflits. Nous aborderons les structures de caractères, les jeux de rôle et les étape pour agir et vivre autrement les conflits. Vous comprendrez qu'il y a toujours un conflit dans le conflit.

Le contexte VICA (Volatile, Incertain, Complexe et Ambigu) est très difficile pour les nerds. Les structures de notre société, nos organisations et les égos des personnes sont mis à rude épreuve. Dans un tel contexte, il est facile de se position en victime. Notre système émotionnel réagi aux menaces par rapport à nos besoins. Les besoins sont à la base de la motivation. Nous cherchons constamment à combler nos besoins de sécurité, d'affection et biologique. La particularité du contexte actuel, c'est qu'il est très déstabilisant. Les structures de caractère et les besoins irrationnels ressortent. Le niveau de stress des leaders est très élevé. Les attentes envers eux le sont tout autant. Sortir de l'effet sandwich, se libérer de la structure de caractère de victime redonnent beaucoup d'énergie et de joie de vivre.

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