Milkshaker (Charlotte Bergerot Pallisco)

Mona et Katrin, c’est un couple qui décide d’avoir un bébé et de l’allaiter. Jusque-là rien de plus ordinaire.

Quand vous êtes un couple de femmes pourtant, différentes options s’offrent à vous : qui va porter ce bébé et donc qui va accoucher ? et ensuite qui va l’allaiter si vous faites le choix de le nourrir au sein ?

Pour la grossesse, impossible de partager les rôles, alors après réflexions, et un joli geste de Mona, c’est Katrin qui portera leur bébé.

Devenir maman sans porter ni allaiter son enfant était difficilement concevable pour Mona, et c’est ainsi qu’elles décident qu’elles allaiteront toutes les deux Isaïe. Grâce à la lactation induite.

Je vous rappelle que la lactation induite est un processus par lequel vous pouvez mettre en place une lactation sans grossesse au préalable.

On pourrait se dire que cela va être confortable : 4 seins pour un bébé, mais ce double allaitement va passer rapidement au statut d’indispensable pour Isaïe après un accouchement compliqué, et leur choix à toutes les deux va prendre encore plus de sens.

C’est l’histoire de deux femmes, d’un soutien indéfectible à tour de rôle l’une pour l’autre, c’est aussi le récit de l’admiration qu’elles peuvent susciter, tout comme l’incompréhension ou encore la discrimination dans une société qui a parfois du mal à évoluer.

Elles vous raconteront mieux que moi, et ça va Milkshaker comme jamais !

Belle écoute

Charlotte

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Amélie @ameliechalleat est la maman de deux enfants : Léonard qui a 11 ans, et Shéérazade dont on dit l’âge en « réel » et en « corrigé », car cette princesse des 1001 nuits a décidé de pointer son nez dans notre monde à 26 semaines, 1 jour, et un peu plus de 800 grammes. Ce qui faisait d’elle une très grande prématurée. Et Shéérazade est allaitée.

Alors cette histoire a évidemment fait frétiller Milkshaker.

Je voulais recueillir cette incroyable récit : comment passe-t-on d’un bébé dont le pronostic vital est engagé dans les 12 prochaines heures, sondé , scopé durant des semaines, au bébé au sein exclusivement et qui ne veut de surcroit plus prendre de biberon ? 

L’histoire est comme un conte, aussi longue que belle et semée d’émbuches.On y parlera prématurité bien sûr, de tire allaitement, de mise au sein, de peau à peau, de « bêtises » que font les bébés prématurés ; mais aussi de don de lait, de soutien indéfectible, et de congé maternité à rallonger. Mais aussi de force et de courage d’une maman qui prend sa revanche sur son accouchement et décide que cet allaitement sera son lien avec sa fille arrivée trop tôt, comme la garantie qu’elle ne partira pas. 

Place à Amélie, Shéérazade et leurs promesses de faire durer leur histoire bien plus de 1001 nuits. 

Belle écoute,

Charlotte

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Cette semaine épisode spécial pour le Birthday de Milkshaker : je vous raconte mon histoire d'allaitement. 🙃

J'aurais pu le faire il y 1 an pour vous expliquer le pourquoi du comment de Milkshaker, et puis je me suis cachée derrière mon micro durant une année complète ! Double 🙃

Lisez entre les lignes que l'exercice ne me paraissait pas si facile, j'ai donc décidé confié les manettes du podcast à quelqu'un d'autre pour poser les questions. Et c'est @papatriarcat qui a répondu présent. 

Vous le connaissez par son podcast, et parce-que Cédric est déjà venu milkshaker par ici dans l'episode 10. 

Merci encore Cédric d'avoir accepté l'invitation 🙏

Ici je vous raconte donc mon parcours d'allaitement, de mes seins pleins de lait, de fuite, de mon tire lait, bref mes histoires de boobs qui ont duré un an et sont, vous l'imaginez, entre autres à l'origine de Milkshaker. 

Bref, rdv de l'autre côté du micro. 

Belle écoute !

Charlotte

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Tiffany que Milkshaker reçoit aujourd’hui est la maman de deux petites filles qu’elle a toutes deux allaitées.

L’allaitement maternel était une évidence pour elle, alors quand sa première fille arrive un peu plus tôt que prévu, cela lui a apporté son lot de difficultés. 

Mais dans les deux cas Tiffany a réussi à mettre en place des allaitements sereins, c’est la façon dont les sevrages ont eu lieux qui font la particularité de l’histoire. 

Un premier bébé qui refuse le sein à 6 mois, sans explication évidente sur le moment, et un deuxième bébé sevré en « urgence » pour cause de maladie maternelle et de traitement non compatible. Le passage au biberon dans les deux cas s’est fait sans encombre aucune, au contraire. Tiffany décrit même un sevrage libérateur la seconde fois tant elle était épuisée.

Voici le témoignage d’une maman pour qui le sevrage n’a jamais été un réel choix, mais qui l’a accueilli avec légèreté et résilience, sans regrets. Seule ombre au tableau ? les avis non sollicités qu’elle a récolté en partageant son histoire. Je vous demanderai donc d’écouter son témoignage avec bienveillance, il est comme d’habitude celui d’une maman qui a offert le meilleur à ses enfants... bien entendu ! 

Belle écoute.

Charlotte

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Je suis très heureuse de recevoir pour ce dernier épisode avant des vacances bien méritées.... Charlotte alias @lalottes sur les réseaux !

L’histoire qu’elle va nous raconter se déroule sur 11 années et avec 5 enfants. Pour Charlotte c’est autant d’enfants que d’expériences différentes d’allaitement qu’elle a connues.

Allaiter 2 semaines, 2 mois ou 2 ans, en exclusif , en mixte, en tire allaitant, avec bout de sein, sans bouts de seins, en biberonnant, en sevrant un partie du temps, en travaillant, en étant alitée , en se cachant parfois, en assumant ou en s’engorgeant Charlotte a presque tout testé pour vous.

Dans cet épisode elle va vous offrir un panel de ce qu’on peut connaitre, ressentir, comment une même personne peut cheminer au fil du temps, des expériences, des informations dont elle dispose et de l’accompagnement qu’elle reçoit.

A retenir : la nuance qu’elle a su apporter et conserver dans chacune de ses expériences mais aussi les nuances de l’histoire dans sa totalité.

Alors place à Charlotte, et ses 52 mois d’allaitement cumulés pour terminer cette année. 

Je vous souhaite ensuite un très bel été, et une belle écoute.

Charlotte.

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Aujourd’hui je reçois dans milkshaker Anaïs. @anaisxgigi

Anaïs a vécu un post-partum particulièrement compliqué physiquement suite à une césarienne et différentes complications qui l’ont alitée durant de longues semaines.

Et alors que l’allaitement n’était pas une volonté profonde, qu’elle voulait juste « essayer » comme beaucoup, elle en a fait un objectif. Elle avait mal partout, elle ne pouvait pas bouger, l’allaitement lui-même était douloureux aussi, mais elle en a fait une sorte de fil rouge, une façon pour elle de créer du lien avec sa fille dont elle ne pouvait pour ainsi dire pas s’occuper autrement. 

Et tant bien que mal, cet allaitement a duré 6 mois, jusqu’à décider de la nécessité d’un  sevrage pour reprendre le travail. Après moultes rebondissements, proposition de biberon 

infructueuse et privation du sein, Iris a finalement pu être sevrée . Et c’est ainsi qu’Anaïs a connu le Milk blues, cette sorte de dépression qui peut arriver à la suite de l’arrêt de 

l’allaitement et dont peu de mamans parlent.

Dans cet épisode on parle donc de 6 mois d’allaitement intenses à différents points de vue, de quoi agiter Milkshaker qui était impatient de vous retrouver. 

Belle écoute

Charlotte

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Aujourd’hui j’ai le plaisir de retrouver Céline Bourganeuf @celine.ibclc.06.nice qui est déjà venue milkshaker avec nous dans l’épisode 31 pour parler du sevrage. Si vous n’avez pas écouté cet épisode je vous le conseille fortement, il est d’ailleurs l’un des plus écoutés du podcast.

Cette fois ci on ne va pas parler fin de l’allaitement mais démarrages. Démarrages précoces, avant l’heure, avant l’heure qu’on avait imaginé pour notre bébé :  nous allons parler de la prématurité. 

On va pas se mentir, allaiter un prématuré c’est un peu démarrer le marathon avec un handicap. Mais c’est possible. Et Céline est encourageante : si tel est votre choix, l’allaitement est désormais au cœur de la néonatalogie. 

Alors qu’est-ce que c’est que la prématurité ? comment met-on en place un allaitement avec un bébé qui ne peut pas se nourrir seul ? comment ça se passe fonction du stade de prématurité ? Tout y est. 

Céline nous raconte dans cet épisode comment on va pouvoir accorder les violons d’un bébé qui arrive trop tôt et dont les capacités sont pour un temps limitées, et d’une mère qui entame un processus de lactation sans bébé au sein. 

On parlera bien entendu de tire allaitement (et je vous prépare bientôt un épisode spécifique sur ce sujet), don de lait (dont on a dejà parle lors du HS numéro 1), ocytocine, peau à peau, néonat et tant d’autres. 

Et parce que la prématurité c’est aussi la crainte de perdre son bébé, on parlera de  l’impact du stress et de nos émotions sur la lactation.

Bonne écoute.

Charlotte.

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On se retrouve pour un épisode expert. C’est Sonia Aliane @sonia_ibclc, consultante en lactation IBCLC qui nous rejoint pour parler du tire allaitement.

Elle va bien entendu nous expliquer en quoi cela consiste, dans quels cas se tourne-t-on vers le tire allaitement qu’il soit excliusif ou non ? et peut-on changer d’avis au milieu de l’aventure ?

On définira aussi les besoins d’une maman qui tire-allaite, que ce soit coté matériel ou coté environnement, et on se demandera comment se faire accompagner dans cet allaitement.

A vous les mamans qui tire-allaitez : chapeau ! ce n’est pas la façon d’allaiter la plus simple, certainement la plus chronophage, mais c’est un allaitement à part entière.

A vous qui vous posez la question de savoir si c’est une bonne solution où non, j’espère que cet épisode vous donnera des réponses.

N’oubliez jamais que ces épisodes experts sont là pour vous donner des clés, mais ne remplaceront jamais une consultation avec un professionnel formée dans ce domaine.

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Oyé oyé !!

On retrouve aujourd’hui Bérangère @linazzou qui est revenue Milkshaker avec moi. 

C’est bien simple, cet épisode est la suite de l’épisode 29 où elle nous raconte ses 2 premiers protocoles de lactation induite et le début de son troisième, dans le but d’allaiter ses chouchous qu’elle adopte au Maroc.

Je ne vous en dis pas plus, Marya est donc arrivée dans leur vie au printemps 2021 et spolier : elle est allaitée.

Ça a été simple et compliqué à la fois, je suis enchantée de vous proposer d’écouter la suite de cette histoire qui me touche beaucoup. 

On en profite aussi dans cet épisode pour parler des différences culturelles autour de l’allaitement entre France et Maroc, ce que disent les textes religieux et ce que ça implique. C’est passionnant. 

Vous êtes prêts pour les étoiles dans les yeux ?

go !

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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J’espère que vous être en forme, car aujourd’hui c’est double, que dis-je triple dose de Milkshaker !!

J’ai le plaisir d’accueillir sur le podcast Fatimzahra qui est maman de triplés qu’elle a décidé d’allaiter. 

Vouloir allaiter un enfant, cela peut avoir son lot de péripéties, mais quand vous décider d’en allaiter trois, vous augmentez nettement le niveau de difficulté. 

Mais Fatimzahra ne s’est pas démontée. Malgré des démarrages franchement compliqués, elle a tenu le cap et allaite ses trois amours depuis 7 mois. 

Ce que Fatimzarah va vous transmettre est un beau message plein de nuances sur son allaitement. Elle le voulait plus que tout, s’en est emparée, enivrée, s’y est perdue, et est revenue sur ses pas pour trouver l’équilibre entre son envie profonde et la réalité de la vie avec des triplés et l’organisation que cela impose. 

Je vous laisse découvrir son témoignage que j’ai adoré recueillir.  

Belle écoute 

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Bienvenue à Rachel @grainedefiv dans milkshaker.

Avez-vous déjà entendu parler de douleurs aux mamelons durant le syndrome prémenstruel ?

Le SPM comme on l’appelle de son petit nom c’est l’ensemble des symptômes qu’on peut ressentir avant l’arrivée des règles. Et ce n’est pas toujours drôle… Pour Rachel qui allaite son petit garçon, cela se fixe sur ses seins durant les tétées. Des douleurs insupportables qui vont jusqu’à l’aversion, alors que son souhait est de continuer d’allaiter, et lui font alors envisager le sevrage de son bambin. 

Comment a-t-elle compris ce qui lui arrivait ? d’où viennent ces douleurs et qu’a-t-elle pu mettre en place pour y remédier ?

On parlera aussi dans cet épisode allaitement et parcours de procréation médicalement assistée, car Rachel entame son deuxième parcours PMA avec son conjoint. L’allaitement et ces parcours sont-ils compatibles? comment s’est-elle renseignée ? quels choix a-t-elle fait ? 

Je vous laisse découvrir son histoire.

Belle écoute,

Charlotte

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On part aujourd’hui sur un épisode expert. Et pour cette occasion je reçois à nouveau Julie Faurillon qui nous avait raconté son histoire d’allaitement l’année dernière dans l’épisode 20.

Julie est sage-femme, et consultante en lactation, presque IBCLC. Elle nous offre aujourd’hui un épisode bourré d’infos pour comprendre tous les mécanismes qui se jouent au niveau hormonal autour d’un allaitement et qui peuvent affecter ou non vos cycles, vos tétées, un désir de grossesse, une grossesse elle-même. Nombre de sujets qui souffrent souvent des idées reçues qui circulent autour de l’allaitement.

On parlera donc allaitement et syndrome pré menstruel, méthode de contraception MAMA. On reviendra sur les mécanismes qui expliquent les douleurs de Rachel dans l’épisode précédent, on parlera allaitement et désir de grossesse, procréation médicalement assistée, grossesse, aversion à l’allaitement mais aussi reflexe d’éjection dysphorique (non ce n’est pas un gros mot mais je ne vous souhaite pas d’en connaitre les effets).

Et puis on en profite pour prendre des nouvelles de Julie et de sa famille depuis 1 an. Et spoiler, ils vont très bien, ils attendent d’ailleurs leur deuxième enfant et je me réjouis pour eux.

Je vous laisse boire les paroles et les explications de Julie.

Belle écoute

Charlotte

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Pour ce dernier épisode de l’année 2021… et oui les vacances de Noël approchent , je vous propose de découvrir un Papa.

Voilà bien longtemps que je n’en avais pas reçu et on sait à quel point il sont importants pour milkshaker avec qualité.

Alors pour l’occasion je vous propose de découvrir Flo alias @docteur_flo

Il est papa tout d’abord : de deux petites filles mais aussi médecin généraliste.

Il va nous raconter les allaitements de ses 2 princesses, comment il les a vécu, les difficultés auxquelles ils ont fait face avec sa compagne, et les solutions qu’ils ont trouvé « en équipe » comme il le dit.

Flo c’est ce papa qui prend sa place, sa part, qui soutient et qui accompagne. 

Flo c’est aussi le médecin qui sait où on en est sur les connaissances autour de l’allaitement et le niveau global de formation des professionnels de santé, alors il a accepté de répondre à certaines de mes questions moins personnelles pour savoir d’où viennent les lacunes que l’on peut ressentir quand on consulte en tant que parent allaitant et auxquelles il a lui-même été confronté. 

Attention je vous préviens, il parle vite, très vite, peut-être même plus vite que moi et c’est dire ..!

Vous êtes prêts ? 

Belle écoute !

Charlotte

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Pour ce tout premier épisode de l’année je vous propose de découvrir Elsa et son histoire.

Elsa est Doula, elle a deux enfants et deux histoire d’allaitement avec un point commun : connaitre l’abcès du sein.

L’abcès du sein c’est quand l’engorgement, le placard dans ton sein rougit, s’infecte et se transforme en abcès, qu’il n’est plus possible de drainer grâce à la succion de bébé ou du tire lait.

On n’avait encore jamais traité ici de cette problématique, et Elsa a connu ça à deux reprises, une fois pour chaque allaitement, une fois pour chaque sein. 

Elle va nous raconter comment on passe d’un sein un peu engorgé à cet abcès, comment elle ne l’a pas vu venir, comment cette période du post partum et la façon dont on est accompagné ou non peut faire basculer ce genre de situation.

Elsa a aussi connu deu façons très différentes de traiter ses abcès : l’une chirurgicale et l’autre non, et elle nous explique si elle a pu continuer ses allaitement après ces déconvenues.

Bienvenue donc à Elsa, et à tous et à toutes je vous souhaite une délicieuse année 2022, ça va milkshaker de dingue !!

Belle écoute !

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Pour faire suite à l’épisode 57 ou Elsa nous racontait son expérience et ses 2 abcès du sein, il me semblait important de préciser tout cela avec un expert.

Cet épisode sera donc dédié à l’engorgement, à la mastite et à l’abcès du sein et c’est Céline Bourganeuf @celine.ibclc.06.nice qui nous rejoint aujourd’hui pour décrypter ces différentes étapes.

Pour chacune d’entre elles on s’intéressera aux signes que vous pouvez ressentir ou observer, aux choses que vous pouvez mettre en place pour vous libérer et aux signes d’alerte que vous devez surveiller.

On se demandera aussi pourquoi on se retrouve engorgée, quelles sont les raisons pour lesquelles cela se transformerait en mastite ou encore ensuite en abcès. Enfin, et parce que je ne le dirai jamais assez : si votre allaitement est problématique, pensez à consulter un professionnel formé afin de comprendre pourquoi et surtout d’y remédier.

Belle écoute.

Charlotte

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Pour fêter la sortie du livre de Marie Ruffier Bourdet : « mes premiers repas avec plaisir et sans stress », je vous propose d’écouter ou de réécouter l’épisode tourné avec elle au sujet de la diversification alimentaire.

Marie est ergothérapeute, spécialisée en périnatalité et elle est déjà venue enrichir Milkshaker lors de l’épisode 25 sur les hyper/hyposensibilités. C’était passionnant et je vous invite à l’écouter si ce n’est pas déjà fait.

Cette fois ci on va parler de la diversification alimentaire et il en existe différents types : progressive, mixte ou encore menée par l’enfant.

Elle nous apporte son expertise d’ergothérapeute pour nous expliquer les avantages et les inconvénients de chacune de ces possibilités.

Et ensuite, comment on s’y prend ? quand est-ce qu’on commence ? Est ce qu’un type de diversification conviendrait mieux à un bébé et pas au suivant ?

Marie va nous donner les grandes « règles » et ensuite vous communiquer l’importance de regarder, écouter, ressentir votre bébé pour adapter vos choix à votre situation.

Elle va aussi nous faire un point sur le célèbre « reflexe nauséeux » ou « gag réflexe » qui peut être source d’angoisse en tant que parent lors de cette étape de la vie de votre bébé.

Que votre chouchou soit allaité ou non , vous trouvez dans cet épisode toutes les clés pour diversifier en toute sérénité.

Belle écoute et à très vite, 

Charlotte

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Milkshaker donne aujourd’hui la parole aux sage-femmes, ou du moins à une sage-femme.

Elle s’appelle Charline, vous connaissez probablement son compte qui tente de vulgariser et rendre accessible tout plein d’informations sur la femme, la gyneco, la grossesse, le post-partum et tant d’autres.

Avec Charline on va parler de la place de la sage-femme dans l’accompagnement de l’allaitement. Car ce sont bien elles qui sont en première ligne avec les auxiliaires de puériculture, ce sont elles qui passent vous voir à la maison durant votre post partum immédiat, et elles sont souvent votre référent durant cette période. 

On va rappeler ce à quoi vous avez droit, ce que la sage-femme peut faire ou ne pas faire, et tenter de définir où sont leur limite pour accompagner votre aventure lactée. 

Vous allez vite comprendre que ce n’est pas binaire, la limite est liée à la profession mais il s’agit surtout d’individus, de professionnels en face de vous, et de la capacité de chacun de connaître son champ d’action et donc ses limites. 

Je vous laisse découvrir cette discussion, et bienvenue donc à Charline et aux autres sage-femmes dans Milkshaker.

Belle écoute !

Charlotte

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Repartons pour ce replay de la base, et posons nous la question de ce qui gouverne nos choix en matière d’allaitement. Cet épisode date de l’automne 2020, et je vous invite à l’écouter si ce n’est pas déjà fait 😉

Je reçois aujourd’hui Natacha Butzbach @lacuriositébienveillante, elle est psychologue, spécialisée en périnatalité et en accompagnement parental.

Avec elle nous allons discuter du choix d’allaiter ou non.

Comment choisit-on ? par quoi ou qui est-on guidé dans cette décision?

On abordera ensemble la place de la transmission dans notre société, la place du deuxième parent mais aussi le rapport à notre corps. Tous ces facteurs qui nous influencent dans nos choix consciemment ou non.

Pour se poser les bonnes questions : qu’est ce qui se cache derrière un « je veux allaiter » ou «je ne veux pas allaiter », je vous invite à écouter Natacha.

Dans cet épisode on cite Marie @littlebunbao.

On parle aussi du livre « le concept du continuum » de Jean Liedloff. Et la série "call the midwife".

A bientôt,

Charlotte

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Milkshaker reçoit aujourd’hui Aubrey, maman d’un petit garçon allaité une année et consultante en lactation IBCLC.

Aubrey va nous raconter son histoire d’allaitement, et va nous parler du manque de lait qu’elle a connu pour allaiter son bébé, car elle estime avoir pu lui offrir 10% de ses besoins en lait maternel.

Je ne vous parle pas là de ce bébé qui tète mal, stimule mal le sein et met la lactation en péril.

Je vous parle du Vrai manque de lait, cette situation ou qu’importe la qualité et la quantité de stimulation, la quantité de lait ne sera pas suffisante.

Dans Milkshaker on tente de bousculer les idées reçues et de faire comprendre que manquer de lait c’est très rare et bien voici le témoignage qui apportera de la nuance en attendant d’en savoir plus grâce à Aubrey dans un épisode expert la semaine prochaine.

Elle va donc nous expliquer comment elle a découvert, en tant que maman et avec ses connaissances d’IBCLC qu’elle allait manquer de lait ; comment elle l’a au fond d’elle toujours su, et ce qu’elle a mis en place pour allaiter son bébé malgré la difficulté.

Belle écoute !

Charlotte

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Cette semaine on prend les mêmes et on recommence.

J’accueille à nouveau Aubrey Richardson @aubreyibclc pour parler du manque de lait.

Mais cette fois ci on se met en mode expert et Aubrey enfile sa casquette de consultante en lactation certifiée IBCLC pour nous parler des causes de manque de lait primaire : l’hypoplasie mammaire et l’insuffisance de tissus glandulaire. Cela concerne selon Aubrey bien plus de femmes qu’on ne le pense actuellement.

Elle vous explique ce que c’est, la différence entre les deux, comment on peut les reconnaître, que faire si cela nous arrive, et quelles sont les options pour allaiter même si l’allaitement exclusif est compromis. À chaque mère et chaque famille, une fois informées, de faire des choix en fonction de la situation qui est la leur.

Le diagnostic d’hypoplasie mammaire ou d’insuffisance de tissus glandulaire ne veut pas dire forcément impossibilité d’allaiter, mais cela demande des ajustements, des compromis, et parfois le deuil à faire d’un projet qu’on avait imaginé autrement.

Aubrey vous en parlera bien mieux que moi donc je lui laisse la parole.

Belle écoute !

Charlotte

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Écoutons ou réécoutons Caroline Guillot, @tt.en.tt, nous parler de ses expériences d’allaitement, d’où lui est venue cette envie d’écrire son "manuel très illustré d'allaitement maternel » et le « Guide d’allaitement du prématuré", devenus de véritable bibles pour tout parent qui cherche à se renseigner.

"Caroline GUILLLOT est l’auteure du maintenant célèbre "manuel très illustré d’allaitement" .

C’est sans surprise qu’elle nous raconte comment son histoire personnelle, les difficultés qu’elle a rencontrées, la façon dont elle a voulu et pu vivre son premier allaitement l’ont mené à écrire et dessiner ces livres au service des mamans.

Son fils a été allaité durant 4 ans et sa fille de 6 mois est allaitée au moment même où nous tournons cet épisode, vous l’entendrez réagir de temps à autres.

Elle va vous raconter son cheminement, de mère « novice » en allaitement jusqu’à la maman très renseignée sur le sujet et comment cela leur a permis avec son mari d’évoluer dans leur parentalité.

Vous vous y attendiez : pour Caroline ça a tout changé.

Je vous souhaite une belle écoute.

A bientôt,

Charlotte

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Pour ce nouvel épisode avec une experte, j’accueille Orane Beresford-Wood @parentsboobsetcie qui est consultante en lactation IBCLC. 

Avec Orane nous allons aborder le lien entre allaitement et désordre de la thyroïde.

Cette petite glande qui se trouve dans votre cou est un chef d’orchestre pour votre organisme et bon nombre de ses fonctions, dont la lactation.

On va donc demander à Orane de nous expliquer à quoi sert la thyroïde dans les grandes lignes, en mettant le focus sur la lactation.

Ensuite on se demandera si cette thyroïde fonctionne trop ou pas assez ce que cela peut engendre et comment le prendre en charge pour que votre allaitement ne soit pas victime d’un chef d’orchestre un peu mou ou encore carrément agité.

Les dysfonctions thyroïdiennes sont fréquentes et leurs symptômes peuvent facilement se confondre avec un post-partum délicat… Alors comme d’habitude, le plus important c’est d’être informé, et si besoin…. De consulter.

Belle écoute.

Charlotte

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Cette semaine je vous propose de vous replonger dans l’histoire de Bénédicte @this_perfectday qui fût l’une des premières à rejoindre la team des milkshakeurs.

Elle nous avait expliqué dans cet épisode 6 comment elle avait passé 3 semaines à se bagarrer pour allaiter son premier fils.

Elle se faisait confiance, pensait que ce serait facile, naturel et s’était pris de plein fouet les conséquences du manque d’informations et de transmission autour de l’allaitement maternel.

La semaine prochaine vous aurez la suite de l’histoire.

Cette fois-ci elle m’a raconté comment 3 ans après elle s’est à nouveau bagarrée pour allaiter, mais cette fois ci : c’est elle qui a gagné.

"Je reçois pour cet épisode Bénédicte. Elle va vous raconter son histoire, et l’histoire de son fils, qu’elle a allaité 3 semaines. 3 semaines ça parait court, mais cela peut aussi être interminable surtout quand on souffre à chaque tétée, et qu’on ne voit pas de solution.

Quand l’allaitement qui était censé être naturel vire aux larmes, elle tente de se battre mais en vain.

Bénédicte nous livre dans cet épisode entre rires et émotions pourquoi cela s’est mal passé selon elle, ce qu’elle pense aujourd’hui qui aurait pu se passer différemment, si elle avait été informée correctement. »

Belle écoute,

Charlotte

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Bénédicte alias Denise @this_perfectday est de retour dans Milkshaker.

Son deuxième bébé est né, elle était bien décidée à l’allaiter et contrairement à la première fois, elle s’est renseignée, entourée et elle est confiante : ça va marcher. Et ça a fonctionné, Jules est allaité… mais non sans difficulté. Elle s’était dit qu’elle tenterait tout ce qu’elle pouvait pour que cela se passe bien, mais elle ne pensait probablement pas en tester autant.

Hyperlactation, mastite, et surtout candidose se sont invitées dans la danse et ont fait des démarrages d’allaitement un moment pas particulièrement serein. Je vous dis démarrages, mais Béné a un peu joué les prolongations avec une candidose mammaire tenace qui s’est installée durant plusieurs mois.

Cet épisode est donc dédié à ce deuxième allaitement en mettant le focus sur la candidose mammaire contre laquelle il a fallu batailler. Elle va tout nous expliquer, dans les moindre détails jusqu’au plus ou moins sexy effet Die-off qui a signé la fin de l’incruste de ce champignon tenace. Bref, on va rire aussi.

Je vous présente la Candidose de Denise, sa vie, son œuvre.

Et je vous souhaite une belle écoute.

Charlotte

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Aujourd’hui c’est cadeau, c’est une sorte de bonus de l’épisode 63 que Béné vous propose.

Quelques vocaux de ses démarrages d’allaitement, de ce démarrage de candidose aussi, du post partum avec deux enfants, des joies, des doutes, du ras le bol et des rires aussi que cela peut susciter.

Enregistrés sur le vif, ils reflètent les états d’esprit dans lesquels on peut se trouver quand on allaite et que tout ne se passe pas comme on l’aurait souhaité. 

Belle écoute,

Charlotte

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Vous en rêvez ou plutôt vous en faites des cauchemars : la candidose mammaire a pris ses quartiers dans Milkshaker, et quand ce petit champignon a trouvé un endroit confortable, pas facile de l’en déloger. Alors il mérite de se pencher sur le sujet.

C’est avec Marie Noëlle Lata @marie.noelle_ibclc, consultante en lactation IBCLC, que je vais échanger aujourd’hui. On va reposer les bases: qu’est-ce que c’est que cette candidose, d’où ça sort, pourquoi ça se fixe sur les seins, comment on la détecte, et surtout qu’est-ce qu’on fait pour s’en débarrasser, elle va tout nous expliquer.

Je vous souhaite une belle écoute.

Charlotte

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Je vous propose d’écouter ou de réécouter Cédric Rostein, le deuxième papa qui a accepté de Milkshaker avec moi.

De son podcast @papatriarcat à son livre « tu vas être papa », il est désormais incontournable si vous vous interrogez/ vous renseignez sur la parentalité. Mais ici, il nous raconte son histoire de père autour de l’allaitement de sa fille.

« Cédric est Papa, il a crée un podcast en mars 2020 qui se nomme @Papatriarcat. Il y parle parentalité éclairée et système patriarcal avec différents invités ou en solo. Aujourd’hui pour Milkshaker, il a accepté de nous parler allaitement. Pour sa femme c’était une évidence, mais pour lui aussi très rapidement. Il va vous raconter leur histoire et la place qu’il a pris très tôt dans cette aventure, qui va selon lui bien plus loin que le simple fait de nourrir son enfant. 

Cédric a appris en se renseignant, en devenant papa évidemment, et au fil des rencontres qu’il a faites en tant que père et entant que créateur de @papatricarcat, que je vous conseille vivement d’aller écouter si ce n’est pas déjà fait !

Laissez-vous porter par ce Papa d’une grande bienveillance, impliqué et engagé pour l’allaitement, les enfants, et pour rendre ce monde meilleur de façon plus générale. »

Je vous souhaite une belle écoute.

Charlotte

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Cette histoire de candidose mammaire commence à durer, mais je vous préviens de suite, c’est aujourd’hui que cela s’arrête car on a la solution. Et la solution c’est la naturopathie.

La naturopathie, c’est modifier ton alimentation, tes apports, ton hygiène de vie et éventuellement te filer un coup de pouce avec des compléments alimentaires pour t’aider à résoudre une problématique de santé. Et pour la candidose mammaire ça va trouver tout son intérêt. Et oui, on n’y penserait pas au premier abord, mais ce qu’on mange ou non va permettre au champignon se faire la fête en paix, ou bien de mourir de faim et de te laisser tranquille. 

C’est Jessica Santero, la naturopathe qui a accompagné Bénédicte lors de l’épisode 63, qui va nous donner tous les tips possible pour se sortir de la panade.  Spoiler on va arrêter de manger des gâteaux toute la journée, Mais mais mais …. On aura plus mal aux seins, et on pourra allaiter en toute sérénité.

Je vous souhaite une belle écoute. 

Charlotte

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C’est avec plaisir que je vous propose ce replay de l’épisode enregistré avec Illana WEIZMAN @illanaweizman, on y parle ici d’allaitement bien sur, mais on se demande où est la limite au don de soi dans cette aventure.

Et puisque les prochaines semaine nous allons parler de sevrage, il me semblait que démarrer avec ce témoignage nuancé serait bien à propos.

Belle découverte et Merci Illana pour ce moment partagé.

Illana WEIZMAN est sociologue, activiste féministe et maman d’un petit garçon de 3 ans.

Un mot revient souvent quand on décrit l’allaitement : c’est l’ambivalence.

On pourrait couper en deux les 8 mois d’allaitement d’Illana : un début tout en douceur, le bonheur, une évidence, la fusion et une fin nettement moins rose jusqu’à un sevrage libérateur. Elle s’était fait toute une idée de ce que serait sa maternité, son post partum et l’allaitement qui la fascinaient. Elle allait allaiter c’est sûr ; car sans cela sa maternité aurait été tronquée. Et elle a tout donné à son bébé et pour son bébé, jusqu’à s’oublier.

Alors à quel moment ce qu’on a projeté est-il notre réalité ? Comment savoir ce qui nous convient vraiment ? Et par extension ce qui convient à notre enfant ? Le lait maternel est certes le meilleur pour un nourrisson. Mais sans le remettre en cause, comment composer avec, donner « le meilleur » à son enfant quand notre corps et notre esprit ne nous suivent plus ?

Son témoignage se veut déculpabilisant et teinté de jolies nuances qui vous feront comprendre que quel que soit vos choix, vous faites toujours le mieux, pour vous, et pour vos bébés.

Je vous souhaite une belle écoute.

Charlotte

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Cet épisode n’est pas comme les autres, j’ai voulu être au plus près de la réalité en ce qui concerne une étape au combien importante de l’allaitement : le sevrage. Le raconter après coup c’est bien, mais se souvient-on de tout ?

Ophélie @minicoquillette a accepté ma proposition de vous raconter ça au jour le jour, sans filtre pour se rendre compte de ce que cela peut impliquer. Je vous propose donc aujourd’hui à coup de vocaux d’écouter l’histoire d’Ophélie et de son Minimac comme elle l’appelle, l’histoire de leur sevrage, d’abord nocturne.

Elle nous dira des raisons pour lesquelles elle l’entame, ce qu’elle met en place pour y arriver, vous y entendrez des doutes, des victoires durables, d’autre très momentanées, le ras le bol parfois, et aussi cette foutue culpabilité. Mais surtout le témoignage d’un maman qui tente de faire coïncider ses besoin et ceux de son bébés au mieux.

Parfois j’interviendrai, mais peu, j’ai imaginé ce podcast comme un journal intime de son sevrage sur lequel elle pouvait venir déposer à tout moment, toute heure du jour et de la nuit ses ressentis, et ses avancées. On démarre l’histoire tout début mars et Ophélie commence par nous dire pourquoi et comment elle met ça en place, quels sont les objectifs, ainsi que comment se sont passées les toutes premières nuits.

Je vous souhaite une belle écoute.

Charlotte

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Dans le thème du sevrage, je vous propose d’écouter ou de réécouter Sonja @novawithlove et l’histoire de son premier allaitement.

Vous n’y entendrez pas qu’un sevrage , mais bien tout le déroulé des évènements: de la mise en place de l’allaitement jusqu’au sevrage définitif. Oui, car il y a eu plusieurs essais avant avant que le juste timing soit trouvé. Et il me semble que ce témoignage sera interessant à écouter alors qu’on navigue dans cette thématique en ce moment.

"C’est aujourd’hui Sonja qui a accepté de nous raconter son histoire d’allaitement.Vous la connaissez peut être sous le nom @novawithlove sur instagram ou le blog du même nom ou elle partage des bouts de sa vie de maman.

Leur histoire d’allaitement avec sa fille Alexia a duré 33 mois. On pourrait se dire que cela a été un long fleuve tranquille, mais il n’en est rien. De démarrages rocambolesques, en tentatives de sevrage du bambin en passant par une reprise du boulot plus ou moins préparée, Sonja s’est laissée porter par son allaitement, sa fille, ses envies, ses émotions durant ces 33 mois riches en tant de choses, je la laisse vous expliquer ».

Belle écoute !

Charlotte

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Aujourd’hui on continue avec l’histoire d’Ophélie @minicoquillette et de son minimac.

Si vous ne l’avez pas encore écoutée tout se passe dans la partie 1 de l’épisode 66. On se quittait sur un message d’Ophélie en pleine nuit, à 3 h du matin qui était un peu abattue. Elle me disait quelque-chose du style « le sevrage c’est de la merde » et j’en passe. Bon c’est vrai que ce n’est pas facile tous les jours mais je vous l’avais promis, l’histoire ne se résume pas à cette phrase.

Dans cet épisode je vous propose d’écouter la suite, comment Ophélie et Minimac s’en sortent pour accorder leur violons, reporter des tétées, en enlever, qu’est ce qui reste supportable voir ce qu’elle a envie de conserver.

Bref, jusqu’où et comment Ophélie souhaite aller pour se sentir à l’aise avec ce lien qui les unit.

Je vous souhaite une belle écoute.

Charlotte

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On ne pouvait pas naviguer depuis quelques semaines dans le sevrage sans rediffuser cet épisode avec la super Céline BOURGANEUF @celine.ibclc.06.nice, qui dans cet épisode nous parle avec sa casquette d’experte des façons et des raisons de sevrer son bébé.

Cet épisode on l’a tourné un soir en rentrant du travail toutes les deux, on était fatiguées et on ne se connaissait pas bien, mais j’ai tout de suite adoré la sensibilité de Céline et la façon bienveillante qu’elle avait d’aborder ce sujet délicat.

Et si vous l’appréciez aussi, notez qu’elle aborde d’autres thèmes avec moi dans les épisodes 50 et 58. Alors si vous ne l’avez pas déjà écouté, ou si vous avez besoin d’un piqûre de rappel, ne manquez pas cet épisode 31 qui fait partie du top 3 des écoutes de Milkshaker. 

Ce qu’on commence à savoir désormais, c’est que les démarrages d’allaitement ne sont pas toujours un long fleuve tranquille et que parfois il faut se battre pour allaiter sereinement.

Mais une fois que tout est bien mis en place, qu’on a éventuellement balayé toutes les idées reçues pouvant mettre à mal l’allaitement, qu’on a géré les conseils ou remarques non sollicités, et qu’en somme tout va bien, il arrive que vienne le moment où l’on souhaite sevrer son bébé ou son bambin. On pourrait se dire que c’est simple, il suffit d’arrêter. Et bien pas toujours ! Et qui a dit que le sevrage était exempt d’idée reçues ??

Avec Céline nous avons donc décidé d’aborder ce thème.

Je lui ai demandé de nous expliquer dans les grandes lignes qu’est-ce que sevrer son enfant. On a parlé sevrage naturel, sevrage induit du bébé, du bambin, complet ou partiel et comment s’y prendre. Vous comprendrez vite qu’il n’y a pas de recette, pas de protocole et que chaque couple maman bébé est différent et évolue dans un environnement qui lui est propre, influençant ce projet de sevrage comme elle l’appelle.

Les questions qui circulent autour du sevrage sont nombreuses, nous espérons que cet épisode répondra à la plupart de vos interrogations ».

Belle écoute,

Charlotte

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Je suis super contente de recevoir à nouveau Marie RUFFIER BOURDET alias @ergomums dans Milkshaker.

Elle revient aujourd’hui pour nous parler d’un sujet très fréquent : la « préférence sein solide » comme elle l’appelle. Mais pour être précis il faudrait parler de la préférence « lait/solide » car vous verrez que cela ne concerne pas que les bébés allaités. C’est donc le fait pour un bébé de refuser la diversification, pour faire simple. 

Elle va nous expliquer comment on la repère, à partir de quel âge on observe ces signes, ce qu’on peut faire en prévention et si on sent que cela s’installe. 

Car un enfant qui ne veut pas manger on sait tous comment cela peut devenir anxiogène et source de conseils non sollicités, vous aurez dans cet épisode toutes les infos pour comprendre ce qu’il se passe et des pistes pour sortir de ces difficultés. Car oui, ce sont bien des difficultés et rassurez-vous, ce n’est pas une fatalité. 

Donc c’est parti pour tout comprendre à la préférence « sein-solide » 

Belle écoute.

Charlotte

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Aujourd’hui je reçois dans milkshaker Anaïs. @anaisxgigi

Anaïs a vécu un post-partum particulièrement compliqué physiquement suite à une césarienne et différentes complications qui l’ont alitée durant de longues semaines.

Et alors que l’allaitement n’était pas une volonté profonde, qu’elle voulait juste « essayer » comme beaucoup, elle en a fait un objectif. Elle avait mal partout, elle ne pouvait pas bouger, l’allaitement lui-même était douloureux aussi, mais elle en a fait une sorte de fil rouge, une façon pour elle de créer du lien avec sa fille dont elle ne pouvait pour ainsi dire pas s’occuper autrement.  Et tant bien que mal, cet allaitement a duré 6 mois, jusqu’à décider de la nécessité d’un sevrage pour reprendre le travail. Après moultes rebondissements, proposition de biberon infructueuse et privation du sein, Iris a finalement pu être sevrée . Et c’est ainsi qu’Anaïs a connu le Milk blues, cette sorte de dépression qui peut arriver à la suite de l’arrêt de l’allaitement et dont peu de mamans parlent.

Dans cet épisode on parle donc de 6 mois d’allaitement intenses à différents points de vue, de quoi agiter Milkshaker qui était impatient de vous retrouver. 

Belle écoute,

Charlotte

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Vous le savez chez Milkshaker on casse le cou aux idées reçues pour vous rendre la vie plus simple et vous donner toutes les clés pour faire des choix éclairés.

Alors pourquoi se dit-il que ce serait la meilleure méthode ? On la somme même d’être plus respectueuse de l’enfant. Qu’entend-on par là et est-ce vrai ? doit-on choisir entre les purées et les morceaux, au soit-disant risque que mon bébé s’étouffe si je lui donne des deux ?

Marie je vous le rappelle est ergothérapeute et spécialisée dans les difficultés alimentaires des tous petits, et c’est donc elle qui va répondre à ces quelques interrogations et injonctions que l’on voit circuler sur ce mode de diversification.

Belle écoute,

Charlotte

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Aujourd’hui je vous propose d’écouter ou de réécouter cet épisode expert sur la reprise du travail, sujet ô combien important et qui signe souvent un arrêt de l’allaitement, cet épisode vous permettra de connaitre toutes les possibilités qui s’offrent à vous à l’approche du retour au travail. spolier : tout est possible.

Nous retrouvons aujourd’hui Catherine Fontenel, vous l’avez déjà entendu dans l’épisode 9 de Milkshaker où elle nous parlait des démarrages d’allaitement et de l’accompagnement de l’allaitement au sens large.  Aujourd’hui on vous parle de la reprise du travail, et il y en a des choses à dire...

Quel sera votre choix ? Continuer de donner exclusivement votre lait ? Mettre en place un allaitement mixte ? tout arrêter et sevrer votre bébé ?

Quel contenant choisir pour mon bébé ? de quel matériel ai-je besoin ?

Dois-je me préparer et préparer mon bébé en avance ?

Quels sont mes droits ?

Catherine répond aux 1000 question que vous pouvez vous poser à l’approche de cette étape si importante : se séparer de son bébé, le confier, faire confiance, assurer une continuité. On sait au combien les temps accordés aux congés parentaux en France ne vont pas dans le sens d’un allaitement serein, mais dans cet épisode on va tenter de vous rassurer, de trouver des solutions pour que cette transition se fasse le plus en douceur possible.

Je vous laisse écouter Catherine, vous allez voir, à ses côtés, tout se passe bien.

On cite :

• Véronique Darmangeat et son livre « allaiter et reprendre le travail » ;
• Le petit Guide de l’allaitement pour la mère qui travaille de Claude Didierjean-Jouveau ;
• Le petit guide à destination des assistantes maternelle de Marie Claure BOUNOU disponible sur le site de @lalecheleaguefrance ;
• @ergomums alias Marie RUFFIER BOURDET : et sa vidéo sur la prise correcte du biberon.

Belle écoute,

Charlotte

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On va reparler des freins restrictifs buccaux aujourd’hui :

Parce que c’est un sujet important et délicat mais aussi parce que c’est un sujet qui fait débat ces derniers temps et que de mon point de vue les principales victimes de ces débats sont les patients qui ne savent plus qui « croire ». Si je m’imagine moi, en tant que maman entre tous ces discours contradictoires, j’aimerais que quelqu’un m’explique un peu mieux pourquoi et comment on peut penser des choses si radicalement opposées sur un même sujet.

Alors je vais vous parler comme je parlerais à un parent qui me demande ce que je pense de tout ça : pour l’informer, le rassurer et lui permettre de faire un choix éclairé.

Dans cet épisode je vous donne MA version des chose , je ne prétends pas détenir la vérité et d’ailleurs cette vision est peut être évolutive au fil des connaissances et de l’expérience que j’acquière dans le temps. En tout cas, elle se veut nuancée et je l’espère rassurante, vous permettant de faire le tri dans les différentes informations que vous voyez passer sur différents canaux et qui accumulées peuvent devenir déstabilisantes.

Je prends aussi la parole sur ce sujet car je trouve que régulièrement un amalgame est fait entre avoir un trouble de la succion et avoir un frein restrictif, et je pense que là démarre une partie du problème. Pour vous introduire l’épisode je dirai que les troubles de succion sont fréquents, et que les freins restrictifs buccaux constituent une des causes de troubles de la succion. PAS LA CAUSE, UNE des CAUSES.

Belle écoute,

Charlotte

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Pour ceux qui débarquent il y a peu et/ou qui se demandent ce que c’est qu’un frein restrictif et d’où sort l’épisode que j’ai tourné seule la semaine dernière, voici de quoi vous informer.

Et la semaine prochaine je vous rediffuserai aussi l’autre épisode qui concerne spécifiquement les freinotomies et la prise en charge que cela représente. Deux rediffusions donc qui sont comme des prérequis à l’épisode 69 pour comprendre ce qu’est un frein restrictif buccal, pourquoi c’est là , pourquoi ça pose problème, et surtout comment on s’en libère… ou non.

Pour ce nouvel épisode avec une professionnelle de l’allaitement , c’est Emilie Chevalier que nous retrouvons.

Vous la connaissez déjà si vous avez écouté l’épisode 4 sur les 11 idées reçues concernant l’allaitement. Emilie est consultante en lactation IBCLC et elle a suivi une formation spécifique sur les

freins restrictifs buccaux. Elle va aujourd’hui nous parler de cette particularité anatomique qui se situe donc dans la bouche de votre bébé, des conséquences sur sa succion, votre allaitement et des manifestations que cela peut induire à court moyen et long terme.

Vous allez me dire “ok et après on en fait quoi ?“ Je vous réponds que suivra un épisode sur la prise en charge de ces freins restrictifs buccaux.

Cet épisode est assez chargé en informations, pour continuer sur ce sujet je vous conseille le livre « freins de langue » de Richard BAXTER , qui vient d’être traduit en français, il est accessible aux professionnels , comme aux parents désireux de s’informer.

Belle écoute,

Charlotte

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Et voilà , chose promise, chose due, voici la rediffusion de l’épisode sur la prise en charge des freins restrictifs buccaux quand on décide qu’il méritent dêtre libérés !

De quoi sur une semaine tout savoir sur cette problématique qui fait souvent débat. Et espérant que cela vous rassurera. On enchaine aujourd’hui sur les freinotomies, c’est-à-dire les sections de freins de langue. Un professionnel a suspecté chez votre bébé ou bambin un frein de langue et ou de lèvre restrictif, alors que faire ?

Noella Rajonson est chirurgien dentiste. Elle s’est spécialisée dans la prise en charge de ces freins restrictifs buccaux.

Elle va donc nous parler aujourd’hui des différentes étapes : Quand couper ? Qui coupe ? Comment on coupe ? Est ce que ça fait mal ? Y a-t-il des risques ? Et après on fait quoi ? Et avant on fait quoi ? Comment je peux être sûr que c’est utile pour mon bébé ? Bref ces 10 000 questions qui viennent vous saisir entant que parent et qui sont bien légitimes alors qu’on parle de sectionner quelque chose dans la bouche de votre chouchou.

On a la chance aujourd’hui que quelqu’un dont c’est le métier réponde à toutes ces interrogations. Peut-être que cela en suscitera d’autres et si c’est le cas on y reviendra, car on sait que ce sujet est délicat.

En attendant, tout ceci est fait pour vous rassurer : à écouter la douce voix de Noella, vous comprendrez vite qu’elle ne veut aucun mal à votre merveille.

Cet épisode est la suite logique de l’épisode 19 avec Emilie Chevalier. Si les freins de langue ont le moindre secret pour vous, je vous conseille vivevemnt d’écouter l’épisode précédent avant celui-ci.

Belle écoute,

Charlotte

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Bienvenue aujourd’hui à Jeanne dans Milkshaker.

Jeanne est la maman de 2 filles qu’elle allaite ou a allaité, et pour qui ce qu’elle pensait être naturel et physiologique comme elle le dit, s’est avéré sacrément complexe. Et ce à deux reprises.

Je vous spoile l’épisode comme une check-list :

Allaitement numéro 1 : douleurs, crevasses, bouts de siens, abcès, chirurgie et arrêt anticipé.

Allaitement numéro 2 : douleurs à nouveau, bébé qui ne s’accroche pas, crevasses, reflexe d’éjection dysphorique, vasospasme, décision de sevrage et contre toute attente allaitement mixte qui permettra de trouver un équilibre tant attendu et de découvrir la beauté et le confort que l’allaitement peut offrir.

Pour résumer Jeanne et ses filles c’est l’histoire du delta entre ce qu’on a projeté, espéré, et ce que la vie nous apporte et ce qu’on se sent capable de faire. C’est une certaine clairvoyance dans la tempête, suffisante pour se rappeler que ce qui importe le plus c’est d’abord de se sauver soi-même, car retenez le plus important : votre bébé a besoin de vous , mais de vous en bonne santé mentale et physique.

Prenez soin de vous et écoutez Jeanne, je sais que son témoignage résonnera pour beaucoup d’entre vous.

Belle écoute,

Charlotte

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Hello Hello ! aujourd’hui c’est dernier épisode de la saison 2 de Milkshaker avant une pause estivale.

Et c’est en lien avec l’épisode 70 que je souhaitais faire intervenir un expert pour nous parler du vasospasme. 

C’est Céline Bourganeuf, IBCLC dans le Sud de la France qui va tout nous décrypter.

Comme d’habitude sur ce style de problématique :

• Qu’est-ce que c’est ?
• Pourquoi ça vient nous embêter durant l’allaitement ?
• Quelles sont les solutions pour s’en sortir ?

Céline va donc vous expliquer d’où viennent ces douleurs, comment les reconnaître et que faire pour les limiter car ; désolée de vous annoncer qu’il n’y a pas toujours de solution définitive ; mais pleins de bons tips comme Céline sait en donner pour se rassurer, s’apaiser, et se soulager.

Comme je vous le disais cet épisode sera le dernier de cette deuxième saison que je vous remercie d’avoir suivi, j’espère que vous y trouvez l’information et la transmission que j’ai à cœur de vous proposer. Pour cet été je vous propose des rediffusions d’épisodes chaque semaine pour continuer de Milkshaker où que vous soyez et autant que vous le voudrez ;)

Je me repose cet été et je reviens en forme en septembre, promis.

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Pour une première rediffusion de cette pause estivale, je vous propose de revenir à l’un des tout premiers épisodes de Milkshaker.

J’avais invité Emilie Chevallier, IBCLC à bousculer avec moi 11 idées reçues qui circulent sur l’allaitement maternel. C’est le coeur du projet Milkshaker et cet épisode est pour moi une superbe base si on a un projet allaitement ou si on souhaite de renseigner et/ou se mettre à jour.

Alors aujourd'hui c'est un épisode informatif +++ !! Je suis ravie d’échanger à cette occasion avec une spécialiste de l’allaitement : Émilie CHEVALIER.

Émilie est consultante en lactation IBCLC : ce qui est un gage de qualité dans la profession. Dans ce tout premier épisode avec une professionnelle, MILKSHAKER passe en revue 11 idées reçues qui circulent sur l’allaitement maternel, et vous explique succinctement ce qui est vrai /faux, et pourquoi.

De mon coté, j’essaie de poser les questions comme si je ne savais pas du tout, c’est mon coté actrice studio 😁Vous pouvez retrouver Émilie sur sa page facebook "allaiter tendrement".

La musique ? La talentueuse @itsema.music.

Belle écoute,

Charlotte

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Dernière rediffusion de cette looongue pause estivale pour Milkshaker, j’ai décidé de vous faire écouter ou redécouvrir l’histoire de Mona et Katrin @monaetkatrin.

Mona et Katrin sont en couple et ont accueilli leur fils Isaïe: l’une le portera et l’allaitera , l’autre l’allaitera aussi. Et quelle chance pour ce bout de chou d’avoir deux mamans pour pouvoir l’allaiter , d’autant que l’histoire ne s’est pas avérée simple avec un post partum très compliqué pour Katrin, alors plus que jamais ce choix est devenu une nécessité.

Belle écoute,

Charlotte

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Pour cette deuxième rediffusion de l’été, c’est Camille dont je souhaitais vous faire écouter ou réécouter l’histoire.

Camille est je crois la première personne que j’ai contacté quand Milkshaker a germé dans ma tête et vous ne la retrouverez malheureusement plus sur les réseaux aujourd’hui car elle a fermé son compte entre temps pour se consacrer à sa vie de famille et professionnelle.

Mais Camille était une de ces mamans qui contribuaient beaucoup à une transmission autour l’allaitement maternel, elle aidait sans compter toute maman qui s’adressait à elle et prenait le temps de lui répondre ainsi que de l’adresser à des professionnels formés dans le domaine pour les accompagner. Vous pouvez néanmoins retrouver tous ses tips et infos sur son site internet https://camille-lolohelpeuse.com.

Dans cet épisode c’est son histoire qu’elle va vous raconter , l’histoire de ses 2 premiers allaitements du moins, je vous souhaite une belle écoute et Camille si tu passes par là, je pense bien à toi. 

Charlotte

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Welcome back dans Milkshaker à Fred alias @vieuxmachinbidule, le Papallaitant par excellence.

Cet enregistrement était le premier avec un Papa, j’ai adoré l’enregistrer et l’écouter ou le réécouter mettra du soleil dans votre été, j’en suis certaine.

Entre temps Fred est devenu papa d’une autre petite fille et il a donc eu son congé paternité d’un mois dont il nous parle dans cet épisode sorti juste au moment de l’évolution de cette loi.

Très belle écoute à tous,

Charlotte

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Dans le thème des idées reçues qui circulent autour de l’allaitement maternel, il est un sujet qui n’est que très peu abordé : la sexualité.

Dans cet épisode avec Camille Bataillon @camilleparelesexe, sexologue et autrice, nous balayons donc le sujet au mieux pour toujours plus vous informer et briser les idées reçues.

Et si il vous reste des questions, venez nous les poser via l’outil speakpipe sur milkshaker.fr.

Et je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Je vous présente Chloé, maman de 3 quand vous écouterez cet épisode, mais maman de 2 quand nous l’avons enregistré. Chloé apprend assez tardivement que le diabète de type 1 va faire partie de sa vie, mais assez tôt pour que cela impacte les naissances de ses enfants.

Un premier enfant qu’elle n’a pas osé allaiter pour les raisons qu’elle vous expliquera, et un deuxième enfant qu’elle allaitera durant un mois jusqu’à l’arrivée d’une mastite qui fera déborder le vase plein de ce post partum délicat. Car allaiter avec un diabète de type 1, c’est possible, mais cela demande quelques précautions, et peut vous mettre des bâtons dans les roues pour différentes raisons .

Spoiler : j’ai trouvé l’expert qui répondra à toutes nos questions dans le prochain épisode.

Belle écoute,

Charlotte

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Je reçois aujourd’hui Caroline de Ville, médecin, consultante en lactation IBCLC et fondatrice de l’institut « au sein en douceur ».

Je l’ai choisie pour nous parler d'allaitement dans le cadre d’un diabète de type 1, mais nous évoquerons aussi le diabète de type 2 et le diabète gestationnel.

La diabète, c’est quand ton pancréas fait la tête, et décide de ne pas bosser correctement pour gérer ta glycémie (le taux de sucre dans ton sang).

Pour la grossesse ça peut déjà se révéler très embêtant, mais aussi pour l’accouchement et donc de façon logique pour l’allaitement aussi.

A quoi sont exposées ces mamans qui souffrent de diabète durant la grossesse, la naissance et le post partum, et comment cela va influer sur la mise en place d’un allaitement ?

On va se poser toutes ces questions avec Caroline et on va bien sûr se demander ce qu’on peut mettre en place pour que ça se déroule au mieux, selon les souhaits de chacune.

On va aussi se demander si l’allaitement en cas de diabète peut d’une façon ou d’une autre présenter un risque pour ces bébés.

Je vous rassure tout de suite : allaiter avec un diabète qu’importe son type est possible, ce n’est pas le chemin le plus facile mais bien entourées, tout peut très bien se passer.

Écoutons donc Caroline qui va tout nous expliquer.

Belle écoute,

Charlotte

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Cette semaine je vous propose d’écouter ou réécouter l’épisode qui raconte la génèse de Milkshaker. Parce que c’est la rentrée, que mon fils est né un 2 septembre et que sans ce petit blond qui est entré dans ma vie, Milkshaker n’existerait pas.

Alors dans cet épisode je vous raconte notre histoire, sous la direction d’un autre podcasteur qu’on ne présente plus :)

Vous l’aurez compris aujourd’hui est un épisode spécial, c’est l’anniversaire de Milkshaker. Le podcast fête sa première année, et pour l’occasion j’ai décidé de vous livrer mon histoire, et de donner les manettes à Cedric Rostein que vous venez d’entendre échauffer sa voix.

J’ai rencontré Cédric via Instagram, il est entré dans le clan des Milkshakeurs lors de l’épisode 10, et je ne vous présente plus son désormais célèbre podcast Papatriarcat qui m’accompagne dans ma parentalité. C’est lui qui va poser les questions aujourd’hui, je passe donc de l’autre coté du micro et j’espère que cela vous plaira.

Je vous livre mon témoignage d’allaitement, qui évidemment a guidé mon chemin vers la création de ce support imaginé pour vous informer.

Allez je lui redonne les manettes de Milkshaker, il a dit de me les rendrai ensuite, j’espère qu’il tiendra promesse … réponse la semaine prochaine.

Belle écoute,

Charlotte

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Je suis très heureuse aujourd’hui d’accueillir Océane @inantesyou sur Milkshaker.

Océane a beaucoup œuvré à son échelle pour démocratiser l’allaitement et pour cause, son premier allaitement a souffert de la désinformation et cette expérience lui a laissé un gout amer. Elle est donc la maman de 2 petites filles qu’elle a toutes deux allaitées : 5 semaines et dans la souffrance pour la première puis 2 ans et demi pour la seconde.

Pour ce deuxième allaitement elle avait tout prévu, elle savait pourquoi cela avait échoué la première fois et elle était armée. Cela a fonctionné mais ne lui a pas évité d’autres difficultés que l’on peut rencontrer avec un bébé. Nuits courtes voire inexistantes et épuisement maternel auront eu raison de son couple et aux 18 mois de Mélina c’est la séparation.

Océane va vous raconter toute son histoire bien sûr, mais en mettant le focus sur cette période où elle a donc allaité en garde alternée.

Comment s’y est-elle prise ? A-t-elle rencontré des difficultés ? Elle va tout vous raconter.

Belle écoute,

Charlotte

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Son premier allaitement c’était il y a 7 ans, et malgré son métier d’auxiliaire de puériculture, elle baignait dans les idées reçues et la désinformation. Cela met à mal cet allaitement ; le tout sur fond de complexe profond autour de sa poitrine et l’impossibilité d’allaiter en société.

Pour la suite, elle avait décidé que ça se passerait autrement : elle s’est renseignée, s’est libérée de ce complexe qui la freinait pour allaiter, et elle a fait confiance. A qui ? elle, et son bébé et cela a fonctionné. Et pour son troisième allaitement ? elle l’aborde sereinement, tout a changé entre temps, @tziganettecréation était né, l’allaitement c’était devenu personnel et professionnel.

Mais malgré toutes ses connaissances et sa confiance, ça n’a pour autant pas été facile tous les jours.

Avec Amélie on va parler de la place de l’entourage, de son regard, du rapport au corps quand on allaite, du manque d’information, et spoiler : contre toute attente, vers 43 minutes, tout le monde pleure. Place à cette wonder maman de 3 qui participe au quotidien à normaliser l’allaitement maternel, le montre, l’habille, le rend stylé…Vous l’aurez compris, Amélie est une Milkshakeuse de qualité ;).

Belle écoute,

Charlotte

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On démarre aujourd’hui une série sur les accessoires d’allaitement.

Toutes ces petites choses dont on entend parler et qui pourraient sembler plus ou moins indispensables à ce que l’allaitement se passe bien, ont leur secrets. Vrais amis de votre allaitement ? faux amis ? C’est ce que nous essaieront de décortiquer avec des experts, de façon à les utiliser correctement, de manière raisonnée et ne pas passer à côté d’une problématique sous-jacente qu’il faudrait prendre en charge.

Pour aujourd’hui on va se concentrer sur les bouts de sein en silicone qui seront donc nos premiers invités.

Ce sont ces petits bouts de silicone que vous placez sur votre sein avant de mettre votre bébé à téter.

On leur prête à la fois l’avantage de diminuer les douleurs voire éviter des crevasses, mais ils sont par ailleurs complètement diabolisés et accusés de diminuer votre lactation, de mettre à mal votre allaitement et de vous créer d’autre soucis type engorgement voire mastite car le drainage des canaux est moins bon. 

Alors à quoi servent-ils vraiment et surtout pourquoi certaines en auraient besoin et pas d’autres ? Rappelons que l’allaitement maternel n’est pas censé être douloureux et que les crevasses ne sont pas normales.

On va se poser les vraies questions autour de ce sujet épineux. Dans quel cas est-ce nécessaire ? si oui jusque quand ? qu’est-ce que cela peut engendrer pour mon allaitement ? Et qu’est-ce que je peux faire pour prévenir les problématiques qui y sont rattachées.

C’est Catherine Fontenel qui va répondre à toutes ces questions. Vous la connaissez déjà, elle n’en est pas à son coup d’essai dans Millkshaker.

Belle écoute,

Charlotte

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J’ai eu le plaisir pour cet épisode d’échanger avec Vanessa Letter Lemaire, consultante en lactation IBCLC.

Avec Vanessa nous avons décidé d’aborder deux sujets essentiels de l’allaitement. J’ai nommé l’hyperlactation et le Réflexe d’éjection fort.

Vous êtes comme moi et vous débordez littéralement de lait, vous faites 5 machines par jour de langes, bodies, t-shirts, coussinets d’allaitement, et tout ce qui a eu le malheur de se trouver proche de votre mamelon ?

Vous arrosez votre conjoint qui vient doucement poser un bisou sur la joue toute chaude de votre bébé qui tète ? vous avez encore les seins comme en pleine montée de lait alors que votre bébé a 6 semaines ?

Votre entourage vous dit « et ben c‘est super tu as plein de lait et ce bébé ne manque de rien, de quoi te plains-tu ? » alors que vous n’osez plus sortir de chez vous ce n’est pas une fatalité.

Et si tata Ginette s’offusque de s’être faite asperger d’un jet de lait bien mérité puisqu’elle a osé venir bisouter de trop près chouchou alors qu’elle renifle un rhume, c’est drôle mais cela peut tourner à la gêne, et ce n’est pas une fatalité non plus.

Vanessa va tout vous dire sur ces 2 manifestations qui peuvent mettre à mal votre allaitement, et vous donner les tips pour survivre en attendant de trouver l’origine du problème et de le régler.

Belle écoute,

Charlotte

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Avant de démarrer cet épisode je t’invite à écouter les épisodes 66 et 66 bis ou tu pourras découvrir le début de l’aventure de sevrage d’Ophélie @minicoquillette et de son minimac.

Car si tu ne les écoute pas avant je crains que tu ne comprennes pas grand-chose à ce qui va se dire aujourd’hui.

Pour aujourd’hui on va se concentrer sur les bouts de sein en silicone qui seront donc nos premiers invités.

Donc reprenons, on s’était laissé sur un sevrage incomplet avec de grandes avancées certes, mais aussi beaucoup d’interrogations et d’ambivalence pour Ophélie. Et là on va la retrouver pour qu’elle nous raconte comment cela s’est fini, et avec un peu de recul elle nous dira quel regard elle porte sur ce sevrage qui n’a pas toujours été facile.

Je ne vous en dis pas plus, à part que je suis ravie de la retrouver et que je vous spoile une dernière fois : tout va très bien pour eux.

Belle écoute,

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Laissez-moi vous présenter Luce et Virginie : deux amies aux vies différentes mais dont les chemins de maternité vont se croiser, que dis-je, s’imbriquer.

Virginie accouche quelques semaines avant Luce de son troisième bébé et pour elle l’allaitement a un goût de déjà vu : on lui explique qu’elle n’a pas assez de lait pour nourrir sa fille.

Et puis c’est tour de Luce d’entrer dans la danse, elle souhaite plus que tout allaiter, mais son bébé ne parvient pas à se nourrir au sein. Très vite elle demande un tire lait et parvient à nourrir son bébé à l’aide d’un biberon.

Ces deux trajectoires auraient pu rester des lignes parallèles: l’allaitement pas comme on l’imaginait, mais c’était sans compter sur l’hyperlactation de Luce.

Et pas n’importe laquelle, Luce tire quotidiennement des quantités astronomiques de lait et décide d’en faire profiter les autres : le lactarium oui, mais aussi la fille de Virginie, faisant de Naïs et Cléo des sœurs de lait, et scellant définitivement cette amitié si précieuse.

Pour cette première interview à 3 voix j’ai donc décidé de les interroger toutes les deux en même temps : place à l’histoire de Cléo, Naïs , Luce et Virginie.

Belle écoute.

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Aujourd’hui on va milkshaker avec Louise et Néo. Louise a allaité Néo durant un an et Néo s’allaite tout seul depuis 7 mois comme elle l’explique.

En tout cas pour eux l’allaitement c’est partout, tout le temps comme le dit le dicton et le parcours n’a pas toujours été simple.

Entre douleurs d’allaitement, candidose mammaire, et sérieux manque de sommeil, Louise a su surfer plus ou moins facilement sur cette vague de l’allaitement et de la parentalité.

Objectif 6 mois s’est progressivement transformé en allaitement d’un bambin, en envie de sevrer parfois, et puis finalement de se laisser porter, sans autre perspective pour cet allaitement qu’une fin toute douce quand leur duo l’aura décidé.

Louise nous livre ici sa version de cette première maternité par le prisme de cet allaitement. Elle revient, non sans émotion, sur ces 19 mois écoulés et le chemin parcouru entre « tétées toutes les deux heures durant des mois » jusqu’à cet après-midi de septembre ou je l’ai retrouvée pour enregistrer cet épisode, belle et bien seule et même sans tire lait. 

Vous y entendrez la voix d’une mère qui certes donne tout pour son bébé, mais le fait avec le recul nécessaire pour s’écouter, se questionner, s’octroyer le droit de faire un jour autrement si nécessaire. Bref, un joli témoignage qui aidera j’en suis sûre à normaliser l’allaitement, qu’importe sa durée.

Belle écoute,

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Amélie @ameliechalleat est la maman de deux enfants : Léonard qui a 11 ans, et Shéérazade dont on dit l’âge en « réel » et en « corrigé », car cette princesse des 1001 nuits a décidé de pointer son nez dans notre monde à 26 semaines, 1 jour, et un peu plus de 800 grammes. Ce qui faisait d’elle une très grand prématurée.

Et Shéérazade est allaitée. Alors cette histoire a évidemment fait frétiller Milkshaker.

Je voulais recueillir cette incroyable récit : comment passe-t-on d’un bébé dont le pronostic vital est engagé dans les 12 prochaines heures, sondé, scopé durant des semaines, au bébé au sein exclusivement et qui ne veut de surcroit plus prendre de biberon ? 

L’histoire est comme un conte, aussi longue que belle et semée d’embuches : 

On y parlera prématurité bien sûr, de tire allaitement, de mise au sein, de peau à peau, de « bêtises » que font les bébés prématurés ; mais aussi de don de lait, de soutien indéfectible, de congé maternité à rallonger, de force et de courage d’une maman qui prend sa revanche sur son accouchement et décide que cet allaitement sera son lien avec sa fille arrivée trop tôt, comme la garantie qu’elle ne partira pas. 

Place à Amélie, Shéérazade et leurs promesses de faire durer leur histoire bien plus de 1001 nuits.

Belle écoute,

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On retrouve aujourd’hui dans Milkshaker Julie Faurillon @milkymidwife. Julie est sage-femme et consultante en lactation IBCLC dans les contrées normandes.

Aujourd’hui avec elle on va parler allaitement et fertilité, nous avions déjà un peu abordé le sujet dans l’épisode 55, mais suite au témoignage de Louise dans l’épisode 77, on s’est dit que cela méritait quelques précisions pour bien comprendre tous les mécanismes en jeu et que vous puissiez savoir ou vous en êtes. 

Donc dans cette épisode Julie va vous expliquer toutes les phases qu’une femme qui allaite peut traverser jusqu’à retrouver 100 % de sa fertilité. 

On va aussi se demander s’il y a des choses qui peuvent nous aiguiller pour savoir dans quelle phase on se trouve et ce qu’on peut entreprendre coté allaitement pour maximiser nos chances. 

Il n’y a pas ici de recette miracle, mais la promesse de la compréhension de vos cycles, et éventuellement l’observation de votre corps et de certains signes qui peuvent vous aider à définir où vous en êtes physiologiquement pour lancer le bébé suivant. 

Belle écoute,

Charlotte

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Marie, vous la connaissez sûrement déjà : on l’appelle @littlebunbao sur les réseaux.

C’est elle qui vous parle avec ses mains sur de jolis fonds colorés, et vous apprend à communiquer d’une autre façon avec votre bébé : en langue des signes française.

Marie est la maman de Bao et Summer, deux petites filles qu’elle a allaitées ou allaite encore.

On dit que deux allaitements ne se ressemblent jamais : c’est le cas dans l’histoire de Marie.

Bao et Summer sont deux enfants nées avec des freins de langue restrictifs qui ont la réputation de mettre à mal l’allaitement. Mais cela s’est passé de façon radicalement différente.

Un premier allaitement qu’on pourrait qualifier d’imparfait certes, mais qui roule quand même jusqu’au sevrage durant la grossesse suivante, et un deuxième allaitement « fragile » comme le décrit Marie ; où Summer, par ses troubles de succion, demande un accompagnement plus important : à la maison comme par les professionnels de l’allaitement.

Vous entendrez aussi Marie vous parler de sevrage, d’aversion à l’allaitement, deux sujets plus délicats mais qu’il est important d’aborder.

Belle écoute,

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Lysa Rose est la maman de Georgia qui a 10 mois quand nous tournons cet épisode. 10 mois d’allaitement tantôt exclusif, tantôt mixte, 10 mois d’une aventure qu’on peut qualifier de sereine désormais. Mais tout n’a pas démarré comme prévu.

Sur le papier tout était évident : Lysa Rose avait un projet bien défini : la mise au monde de sa fille de la manière la plus physiologique possible en maison de naissance, sans péridurale, et l’allaitement qui pour elle en découlait.

Et puis la vie est parfois joueuse, et décide de mettre un peu de bazar dans nos plans pour voir comment on s’adapte.

Ici c’est Georgia, qui, enroulée dans son cordon, n’est jamais descendue dans le bassin de sa maman. Et qui, après un travail interminable, arrivera finalement par césarienne, en maternité. 

Alors l’allaitement qui était évident sur le papier a pris une autre tournure, il est devenu nécessaire, indispensable, salvateur même, pour Lysa Rose qui avait besoin de réparer cet accouchement douloureux.

Et la douleur, elle fait partie du post partum de Lysa Rose, elle la force à s’adapter pour pouvoir allaiter Georgia, qu’elle ne peut ni porter ni bercer en attendant d’aller mieux.

Ajoutez à ça une infection pour maman et pour bébé, et quelques douleurs des mamelons au démarrage...

Fort heureusement Lisa Rose est tombée sur une équipe, ou que dis-je une partie d’équipe à la maternité qui a tout fait pour ne pas mettre à mal cet allaitement devenu si important.

Ajoutez à ça un conjoint au combien impliqué qui prend sa place et ... remuez tous les ingrédients. Vous aurez un milkshake délicieux dont Lysa Rose va vous livrer tous les secrets.

Belle écoute,

Charlotte

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Je reçois aujourd’hui et pour la première fois dans Milkshaker Véronique DARMANGEAT, qui est consultante en lactation IBCLC, créatrice à Paris d’un centre dédié à l’allaitement et enfin formatrice sur tous les sujets attenants à l’allaitement pour les professionnels soucieux se s’informer correctement.

Pour cette première avec elle je lui ai demandé de nous parler d’allaitement en cas de césarienne.

Pour commencer on brise les idées reçues qui circulent sur le sujet : montée de lait plus tardive, moins de lait, est-ce vrai et pourquoi dit-on cela ?

On se demandera ensuite quelle est la conduite à tenir en cas de césarienne qu’elle soit d’urgence ou programmée, pour mettre en place un allaitement sereinement.

Mais aussi comment gérer les douleurs de ce post partum particulier ? Quelles positions d’allaitement adopter par exemple ?

Douleurs liées à la cicatrisation, ou aux tranchées sur cet utérus cicatriciel, en passant par une possible douleur psychique d’un accouchement qu’on avait peut-être imaginé autrement, Véronique vous explique tout et vous donne tous ses tips pour mener à bien votre projet.

Belle écoute,

Charlotte

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On retrouve aujourd’hui dans Milkshaker Véronique Darmangeat, consultante en lactation IBCLC.

Voilà un moment que je voulais aborder pour vous les sujets alcool, tabac et drogue en cas d’allaitement.

Parce-que les discours qu’on entend sont souvent culpabilisants sur le sujet et que cela peut même être un frein pour allaiter ; vous verrez que la réponse est nuancée.

Je vous spoile : pour la drogue il n’y a pas de tolérance.

Le tabac ? Véronique va vous expliquer pourquoi l’allaitement est même recommandé selon les études mais aussi comment faire pour malgré tout exposer le moins possible votre bébé.

Et l’alcool alors ?

Et bien laissez-moi vous annoncer que la soirée entre copines n’est plus très loin, si vous avez la motivation pour sortir de votre canapé et de vous séparer de bébé le temps d’un soirée, c’est POSSIBLE.

Combien de temps dois-je attendre en fonction du nombre de verre consommés ? comment je fais pour ne pas m’engorger en attendant que chouchou puisse retéter ?

Elle va tout vous expliquer.

Je vous souhaite une belle écoute et surtout de très belles fêtes de fin d’année, 

Notez que les épisode de milkshaker, eux, sont à consommer SANS modération.

Belle écoute,

Charlotte

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Samuel est l’un des rares papa que j’ai interrogé dans Milkshaker, et comme cela fait longtemps que je n’ai pas eu un homme au micro, je vous propose une rediffusion de cet épisode que j’ai eu plaisir à tourner.

Je suis ravie de recevoir aujourd’hui un nouveau papa dans Milkshaker : c’est Samuel @samueletgaspard qui a accepté de me répondre.

Samuel est père au foyer. Il a décidé d’interrompre ses études de médecine pour accompagner Gaspard, son fils.

Samuel va vous raconter depuis sa place de père comment il a vécu l’allaitement de son fils, les démarrages compliqués, les doutes, comment il se sont heurtés avec Léa à un corps médical pas toujours à l’écoute, et comment s’être informés en amont leur a permis de le traverser.

La place du papa ? pour lui une évidence, cela ne se résume pas à donner des biberons, il va vous confier tout ce qu’il pense essentiel outre la nourriture physique, et comment il a accompagné Léa et Gaspard dans cette aventure.

Samuel c’est aussi ce Papa engagé, pour un congé paternité plus long avec le #1moisminimum qu’il partage avec 9 autres pères, et Ce papa Cusinier, qui sort bientôt un livre dont il va vous parler.

Je vous laisse découvrir ou redécouvrir Samuel.

Belle écoute,

Charlotte

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Juliette est la maman de deux enfants qu’elle aura tous les deux allaités et pourtant Juliette savait à peine ce qu’était l’allaitement et que cela existait ; pour elle nourrir son bébé c’était au biberon.

Mais sur son chemin, la vue de mères allaitant tout naturellement leurs bébé a semé les graines de cette normalité qui s’est imposée à elle.

Cette normalité, les seins qui se remplissent et se vident, l’un, puis l’autre, sous peser pour savoir quel sein donner à la prochaine tétée, c’est ce qui lui aura permis de palper et sentir cette boule de plusieurs centimètres qui est venue se loger dans son sein droit.

Pour démarrer, peu d’inquiétude alors que ce sein est nourricier et que cette masse pourrait ressembler à une « boule de lait ». Mais quelques mois plus tard le diagnostic tombe : Juliette a un cancer du sein.

Une mastectomie et des semaines d’angoisse plus tard, Juliette est guérie, ou plutôt en rémission et continue son allaitement, sur son sein gauche.

Pas question que la maladie lui enlève ces moments privilégiés.

Ce témoignage c’est aussi celui d’un allaitement écourté pour de mauvaises raisons, sur fond de troubles de l’oralité souvent incompris par le corps médical.

Alors quand elle tombe enceinte la deuxième fois, c’est une évidence, ce deuxième bébé sera allaité aussi et sur son sein gauche uniquement bien sûr.

L’histoire de Juliette c’est l’histoire de ce cancer du sein qui vient jouer les trouble-fête, mais c’est aussi plus généralement l’histoire d’une maman qui rencontre des difficultés à mettre en place ses allaitements, que ce soit sur un ou sur deux seins, parfois l’envie d’arrêter et finalement deux allaitements différents mais ô combien importants.

Je vais maintenant laisser Juliette vous raconter son histoire, mais avant laissez-moi vous rappeler -même si le mois d’octobre est derrière nous- de vous autopalper.

C’est simple, et ça sauve des vies.

Je vous souhaite une belle écoute,

Belle écoute.

Charlotte

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Suite à l’épisode 82 où Juliette vous évoque les difficultés de diversification de son premier enfant, il me semblait logique de vous rediffuser cet épisode au combien nécessaire :

Je suis super contente de recevoir à nouveau Marie Ruffier Bourdet alias @ergomums dans Milkshaker. Elle revient aujourd’hui pour nous parler d’un sujet très fréquent : la « préférence sein solide » comme elle l’appelle.

Mais pour être précis il faudrait parler de la préférence « lait/solide » car vous verrez que cela ne concerne pas que les bébés allaités.

C’est donc le fait pour un bébé de refuser la diversification, pour faire simple.

Elle va nous expliquer comment on la repère, à partir de quel âge on observe ces signes, ce qu’on peut faire en prévention et si on sent que cela s’installe.

Car un enfant qui ne veut pas manger on sait tous comment cela peut devenir anxiogène et source de conseils non sollicités, vous aurez dans cet épisode toutes les infos pour comprendre ce qu’il se passe et des pistes pour sortir de ces difficultés. Car oui, ce sont bien des difficultés et rassurez-vous, ce n’est pas une fatalité.

Donc c’est parti pour tout comprendre à la préférence « sein-solide ».

Belle écoute,

Charlotte

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Dans l’épisode précédent avec Juliette, les troubles de l’oralité de son premier enfant ont été évoqués à différentes reprises. 

Comme cette problématique est très fréquente et qu’on l’a déjà en partie abordée avec Marie Ruffier Bourdet dans les épisodes autour de la diversification (42 et 67 particulièrement), j’ai eu envie de creuser le sujet avec Juliette. Savoir comment se passe le quotidien avec un enfant qui mange peu voire très peu et est très sélectif dans le choix des aliments. 

Comment s ’est-elle rendue compte qu’il y avait un problème ? Comment s’y est-elle prise ? Où a-t-elle pris de l’aide ? Qu’est-ce qu’elle a pu mettre en place à la maison lors des repas pour que son fils mange ?

Un épisode court pour faire le focus sur cette partie de l’histoire de Juliette. Parce-que les problématiques de succion peuvent être associées aux troubles de l’oralité, il me semblait important de développer.

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Mayane du compte @apasdemoa est maman de deux enfants.

Ses expériences d’allaitement ont été pour elle une révélation et ses vies personnelle et professionnelle en ont été transformées.

Mayane est aujourd’hui facilitatrice d’allaitement, elle accompagne les familles et les oriente correctement vers des professionnels formés en allaitement. Elle va vous confier avec sincérité et beaucoup d’humour son histoire, depuis son premier accouchement jusqu’à l’allaitement de ses bambins, allaitement et co-allaitement qui, somme toute, après des débuts rocambolesques, se sont déroulés plutôt facilement.

Laissez-vous porter par ce bout de femme et son énergie débordante, le long du «fleuve » comme elle l’appelle, de ses allaitements.

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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On se retrouve aujourd’hui pour parler des troubles alimentaires pédiatriques, plus communément appelés troubles de l’oralité.

Et pour décortiquer ce sujet qui mériterait un podcast à lui tout seul, j’ai demandé à Marie, orthophoniste et créatrice du site et compte « Parents équipés » de répondre à mes questions.

Le sujet a déjà été évoqué dans les épisodes sur la diversification avec une autre Marie alias @ergomums qui est ergothérapeute. Je vous renvoie donc vers les épisodes 42 et 67 que je vous recommande vivement si le sujet vous intéresse voire vous concerne. 

Cette fois ci c’est Marie, orthophoniste et spécialisée dans les troubles alimentaires pédiatriques qui va nous expliquer quels signes sont peut déjà observer chez nos bébés durant la phase lactée, puis autour de la diversification et qui pourraient nous laisser penser qu’il présente des difficultés. Elle nous expliquera qu’est-ce que la néophobie alimentaire ? Cette phase normale que les enfants rencontrent et comment faire la différence avec de vrais troubles alimentaires ?

On va aussi se demander ce qu’on peut mettre en place et les stratégies à suivre à la maison pour contourner les difficultés, éviter d’aggraver les problèmes, et qui sait les régler si cela n’est pas trop installé. On se demandera bien entendu si c’est une bonne solution d’arrêter d’allaiter si notre bébé a des difficultés alimentaires et que fait-on quand on ne s’en sort plus.

Bref un épisode très riche et qui j’en suis sure vous aidera à vous aiguiller pour prendre en charge cette problématique si fréquente et pourtant encore trop peu accompagnée.

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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J’ai l’immense joie aujourd’hui de vous faire peut-être découvrir Clémence @doula_clemence

Clémence est de ces wondermamans qu’on peut qualifier de battante, sous catégorie warrior et tendance acharnée.

Clémence le dit ouvertement, l’allaitement la rebutait jusqu’à en avoir des symptômes physiques. Mais un jour une petite voix lui a dit de garder l’esprit ouvert, c’est ce qu’elle a fait et elle allaite encore aujourd’hui sa jolie Elise de plus de 2 ans. 

Et non sans mal : crevasses, douleurs, lactation en berne, aversion à l’allaitement, entourage pas du tout conciliant, les galères d’allaitement n’ont pas épargné Clémence, on pourrait même croire qu’on a essayé de la décourager.

Mais sa confiance en elle, en sa fille , en son allaitement et beaucoup de persévérance plus tard, Elise et elle ont su s’adapter, parfois trouver des compromis pour que cette aventure ne s’arrête pas. 

Elle va vous raconter cela sans filtre, et vous livrer comment cela l’a transcendée, lui permettant l’ascension, comme elle le dit si bien. C’est beau , et c’est puissant.

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Pour cet épisode un peu spécial, le premier en son genre : Je vous avais posé une question sur les réseaux il y a quelques semaines, et je vous demandais de me laisser votre avis dans un vocal.

La question c’était « est ce que selon vous l’allaitement long à la demande c’est anti-apprentissage du consentement ? » et ça vous a fait réagir, surtout en MP, de plein de manières différentes. Mais comme vous savez qu’ici c’est un podcast, j’y ai compilé les différentes réflexions qui m’ont été déposées à l’oral via la boîte vocale de Milkshaker.

Allez c’est parti, vous verrez que les avis divergent, il ne s’agit pas ici de dire qui a raison ou qui a tort, plutôt de laisser les différents points de vue s’exprimer et faire ses propres choix… comme d’habitude, en conscience, bien entendu !

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Voilà bien longtemps que je n’en avais pas reçu et on sait à quel point ils sont importants pour milkshaker avec qualité.

Alors pour l’occasion je vous propose de découvrir Flo alias @docteur.flo, il est papa tout d’abord : de deux petites filles mais aussi médecin généraliste.

Il va nous raconter les allaitements de ses 2 princesses, comment il les a vécus, les difficultés auxquelles ils ont fait face avec sa compagne, et les solutions qu’ils ont trouvé « en équipe » comme il le dit.

Flo c’est ce papa qui prend sa place, sa part, qui soutient et qui accompagne.

Flo c’est aussi le médecin qui sait où on en est sur les connaissances autour de l’allaitement et le niveau global de formation des professionnels de santé, alors il a accepté de répondre à certaines de mes questions moins personnelles pour savoir d’où viennent les lacunes que l’on peut ressentir quand on consulte en tant que parent allaitant et auxquelles il a lui-même été confronté. 

Attention je vous préviens, il parle vite, très vite, peut-être même plus vite que moi et c’est dire.

Vous êtes prêts ?

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Aujourd’hui on se retrouve pour un épisode expert. C’est Sonia Aliane, consultante en lactation IBCLC qui nous rejoint pour parler du tire allaitement.

Elle va bien entendu nous expliquer en quoi cela consiste, dans quels cas se tourne-t-on vers le tire-allaitement qu’il soit exclusif ou non ? Et peut-on changer d’avis au milieu de l’aventure ? On définira aussi les besoins d’une maman qui tire-allaite, que ce soit côté matériel ou coté environnement, et on se demandera comment se faire accompagner dans cet allaitement.

A vous les mamans qui tire-allaitez : chapeau ! Ce n’est pas la façon d’allaiter la plus simple, certainement la plus chronophage, mais c’est un allaitement à part entière.

A vous qui vous posez la question de savoir si c’est une bonne solution ou non, j’espère que cet épisode vous donnera des réponses.

N’oubliez jamais que ces épisodes experts sont là pour vous donner des clés, mais ne remplaceront jamais une consultation avec un professionnel formé dans ce domaine.

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Laissez-moi vous présenter Julie LONGY, elle est consultante en lactation IBCLC et se situe en Charentes Maritimes.

C’était elle que je voulais spécifiquement interroger pour cet épisode car le sujet lui-même est très spécifique : on va parler des fentes labio-palatines.

C’est une malformation faciale qui peut prendre différentes formes, atteint de la lèvre au palais de votre bébé de façon plus ou moins importante. Et vous l’imaginez bien ce n’est pas le genre de chose qui vous promet un allaitement serein.

C’est tout de même un bébé sur 700 qui nait avec une fente labio-palatine, et par leur sensibilité au niveau ORL, ces bébés auraient d’autant plus besoin de lait maternel pour les aider à se protéger des infections.

Alors j’ai voulu tout savoir sur le sujet, et c’est Julie LONGY que j’ai choisie car elle est très renseignée sur le sujet et a accompagné de nombreuses familles autour de cette problématique.

Alors comment on fait pour allaiter un bébé avec une fente labio-palatine ? Quelle est la prise en charge que ces bébés vont avoir au niveau médical ? A quelles difficultés est-on confronté pour allaiter ? Et comment y remédier ?

Et bien c’est parti pour ce nouvel épisode expert, bienvenue donc à Julie pour cette première fois pour elle dans Milkshaker.

Belle écoute, 

Charlotte

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Louise est une de ces mamans qui ont une furieuse envie d’allaiter, mais la vie leur a réservé quelques surprises.

Après deux allaitements franchement écourtés trop tôt pour elle, pour son troisième enfant elle décide qu’il en sera autrement. Elle se renseigne et cette fois elle s’est parée à toutes les éventualités. Mais douleur et fatigue lui font la vie dure et elle décide de sevrer son troisième bébé.

Ce bébé, lui, en a décidé autrement : il veut son lait, elle le sait, elle le sent et elle décide de changer le cours des choses. Après deux semaines de sevrage, Louise décide de tenter une relactation.

Qu’est ce qu’une relactation? comment elle s’y est prise Louise pour relancer la machine et faire téter son bébé?

Laissez vous emporter par la volonté de cette maman, sa persévérance, la confiance qu’elle a eu en son bébé et en elle.

Je vous spoile : elle y est arrivée, et son bébé est allaité exclusivement au moment où vous lisez ces mots.

Je vous souhaite une très belle écoute,

Charlotte

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On démarre aujourd’hui une série de 3 épisodes pour découvrir les expériences de mamans dont les bébés sont nés porteurs de fentes labio-palatines.

C’est dans l’épisode 85 que vous retrouverez les informations d’une consultante experte dans le domaine pour vous donner les clés pour allaiter un bébé qui est porteur d’une fente.

Mais dans cet épisode et les suivants, ce sont donc des mères que vous entendrez, j’ai voulu donner la parole à plusieurs d’entre elles d’abord au sien d’un même épisode mais le 3 voix était confusant pour la compréhension.

Donc je suis revenue au bonnes vieilles méthodes, une petite interview chacune pour ne pas s’emmêler les pinceaux, le sujet en lui étant déjà assez complexe.

C’est donc aujourd’hui Madleen qui prend la parole pour vous raconter son histoire, et celle de Julia, 11 mois et de leur allaitement.

Cet allaitement, c’est une histoire de famille comme dit Madleen, une aventure à qui fonctionne tant que ses 4 membres s’y retrouvent.

Et comme régulièrement dans les allaitement de bébé porteur de fente labio-palatine, c’est aussi l’histoire d’un tire-allaitement que Madleen va vous raconter, qui on le sait , ne sont pas de tout repos.

Place à Madleen, Julia et leur famille dans Milkshaker.

Je vous souhaite une belle écoute

Charlotte

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On continue aujourd’hui sur cette série concernant les fentes labio-palatines et je vous présente Sarah ainsi que sa fille Eléonore née avec une fente labiale.

Le diagnostic tombe durant la grossesse comme très souvent, et Sarah le sait elle veut allaiter malgré cette difficulté.

On le sait maintenant les fentes labio-palatines entrainent des défauts d’étanchéité et un manque de maintien en bouche du mamelon qui rend le transfert de lait compliqué. 

Pour Eléonore, qui présente « par chance » simplement une fente labiale, ça complique la tâche certes mais ne la rend pas impossible et Sarah et elles vont réussir tant bien que mal à mettre en place un allaitement au sein.

Dans leur cas ce sera à l’aide de bouts de seins, si souvent diabolisés mais ici bien utiles pour plier à leurs difficultés.

Cet allaitement ça fait 21 mois que ça dure, c’est du solide, comme quoi elle a bien fait d’y croire, Sarah. 

A elle de nous raconter son histoire désormais.

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Place aujourd’hui à la troisième et dernière maman de cette série consacrée aux fentes labio-palatines.

C’est Eve et son fils Oscar qui vont nous livrer leur histoire.

On le sait allaiter est un don de soi, tire allaiter exclusivement votre bébé l’est encore plus mais c’est une option largement envisageable quand vous apprenez lors de votre grossesse que votre enfant sera porteur d’une fente labio-palatine. Parce que pour lui : tenir le mamelon en bouche et tracter le lait depuis votre sein peut être particulièrement compliqué voir impossible.

Eve savait que c’était une possibilité, mais malgré toutes les difficultés qu’elle va rencontrer, elle y croit, elle garde cet espoir qu’un jour Oscar puisse s’alimenter directement au sein. D’ici-là, elle décide de ne pas se laisser le choix, elle tire-allaitera son fils, avec « discipline » comme elle l’explique, et lui offrira le meilleur et ce quoi qu’il en coûte pour elle. Car ce mode allaitement qui dure maintenant depuis 15 mois est le seul moyen de se nourrir d’Oscar qui n’a pas encore pu être diversifié.

Je vous laisse avec le joli témoignage d’Eve, sa fatigue palpable, sa ténacité qui pourrait parfois ressembler à de l’acharnement, mais dont on retiendra l’amour pour son bébé et l’envie de lui donner ce qu’elle considère être le meilleur pour lui : son lait.

Oscar quant à lui s’excuse d’avance d’avoir gratouillé non loin du micro de sa maman durant les quelques minutes où il nous a rejoint :).

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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J’espère que vous être en forme, car aujourd’hui c’est double, que dis-je triple dose de Milkshaker !!

J’ai le plaisir d’accueillir sur le podcast Fatimzahra qui est maman de triplés qu’elle a décidé d’allaiter. Vouloir allaiter un enfant, cela peut avoir son lot de péripéties, mais quand vous décidez d’en allaiter trois, vous augmentez nettement le niveau de difficulté.

Mais Fatimzahra ne s’est pas démontée. Malgré des démarrages franchement compliqués, elle a tenu le cap et allaite ses trois amours depuis 7 mois.

Ce que Fatimzarah va vous transmettre est un beau message plein de nuances sur son allaitement. Elle le voulait plus que tout, s’en est emparée, enivrée, s’y est perdue, et est revenue sur ses pas pour trouver l’équilibre entre son envie profonde et la réalité de la vie avec des triplés et l’organisation que cela impose.

Je vous laisse découvrir son témoignage que j’ai adoré recueillir.

Belle écoute,

Charlotte

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Dans une boite à question récente sur les réseaux sociaux la question des baisses de lactation est ressortie à plusieurs reprises.

Ce sujet a en fait déjà été abordé dans différents épisodes du podcast, mais je me suis dit que ça méritait bien un petit topo et au fur et à mesure de votre écoute je vous renvoie plus spécifiquement vers les épisodes liés dans lesquels cela a été évoqué.

Alors qu’est ce qui me laisse penser que ma production de lait baisse ?

A quoi cela peut être dû et qu’est-ce que je fais pour y remédier ?

Dans cet épisode je vous fait un résumé des choses auxquelles penser, ce que vous pouvez mettre en place et qui peut vous accompagner si durant votre allaitement, alors que vous pensiez avoir des quantité suffisantes de lait , votre production semble diminuer, votre bébé se retrouve éventuellement à moins prendre de poids etc..

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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On revient loin loin en arrière pour la rediffusion de cette semaine et c’est dans les tout démarrages de Milkshaker que je suis allée chercher pour remettre en avant cet épisode. 

Doux souvenirs de ces premiers enregistrements entre deux consultations, premiers montages et cafouillages aussi :).

Merci à Nadège et tant d’autres de m’avoir fait confiance.

Dans ce deuxième épisode, je reçois Nadège Petrel @unamouraunaturel. Nadège nous raconte deux histoires d’allaitement qui auraient pu se ressembler, mais qui diffèrent par la qualité de l’accompagnement qu’elle a reçu entre la première et la seconde fois. Elle vous dit l’importance du Papa, de la confiance en soi, et en son bébé.

Elle nous parle de l’allaitement du bambin, normal, fluide et beau, et ça fait du bien :)

Je la remercie de m’avoir raconté ses histoires, de m’avoir fait confiance pour ce second épisode de Milkshaker.

Belle écoute,

Charlotte

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Aujourd’hui on va se parler allaitement et féminisme.

Ou plutôt VOUS allez parler allaitement et féminisme, et la question que je vous avais posée c’était : est-ce que c’est compatible d’être féministe et d’allaiter. Tantôt vu comme un asservissement de la femme et anti émancipation, tantôt vu comme une reprise de pouvoir des femmes sur leur corps et la société, l’allaitement déchaîne les passions et divise au sein même des féministes.

Et comme je pense qu’un avis ne suffit pas sur ce genre de sujet, il me semblait plus intéressant de vous donner la parole à vous qui écoutez Milkshaker, et de vous le compiler sans filtre. Mon avis a moi ?

Il se résume en une phrase :  qu’on laisse les femmes décider pour elles même ce qu’elles font de leur corps, quand et comment… me semble assez féministe.

Ce sujet a en fait déjà été abordé dans différents épisodes du podcast, mais je me suis dit que ça méritait bien un petit topo et au fur et à mesure de votre écoute je vous renvoie plus spécifiquement vers les épisodes liés dans lesquels cela a été évoqué.

Alors qu’est ce qui me laisse penser que ma production de lait baisse ?

A quoi cela peut être dû et qu’est-ce que je fais pour y remédier ?

Dans cet épisode je vous fait un résumé des choses auxquelles penser, ce que vous pouvez mettre en place et qui peut vous accompagner si durant votre allaitement , alors que vous pensiez avoir des quantité suffisantes de lait , votre production semble diminuer, votre bébé se retrouve éventuellement à moins prendre de poids etc...

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Pour cette rediffusion écoutons ou réécoutons Mathilde que j’avais eu plaisir à interroger dans les début de Milkshaker et j’en profite pour vous dire que son CD est sorti il y a peu après des mois de travail. Rdv sur son compte @laurelbang pour plus d’infos. 

Je vous propose aujourd’hui pour cet épisode « maman » d’écouter Mathilde, que vous connaissez peut être déjà sous le compte instagram @laurelbang. Et si vous ne la connaissez pas encore, je vous invite à aller l’écouter chanter avec vos enfants, ses berceuses sont entrées chez nous et n’en sont pas ressorties.

Mathilde est la maman d’Andrea, 4 ans ,allaité au sein depuis sa naissance.

Pour elle allaiter était une évidence, et pas vraiment besoin de se préparer. En dehors de l’anxiété des débuts de vie d’un nourrisson, Mathilde, son mari et Andrea ont eu la chance de connaître un allaitement sans grande difficulté, et ça fait du bien à entendre. 

Andrea boit donc le lait qui vient exclusivement de sa maman depuis 4 ans, durant desquels l’allaitement a évolué au gré des besoins et des envies d’Andrea, et de sa maman.

On finit cet épisode avec une chanson de Mathilde : « j’ai tété » bien sûr ;)

Belle écoute,

Charlotte

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On aborde aujourd’hui et à nouveau dans Milkshaker la fin de l’allaitement.

Le sevrage, qu’il soit voulu, imposé, naturel, induit, peut laisser place à différentes émotions plus ou moins faciles à accepter et intégrer.

Alors j’ai décidé de dédier un épisode à son accompagnement. On ne va pas insister ici sur les explications de comment sevrer son bébé ou bambin, mais plutôt se pencher sur les différents types de sevrage et comment la façon dont ils interviennent dans vos vies peut les rendre plus ou moins faciles à digérer.

On se demandera aussi quels sont les mécanismes hormonaux en jeu et comment cela influe aussi sur votre mental. 

Pour évoquer tout cela c’est Céline Guerrand : infirmière, consultante en lactation IBCLC et plus encore qui a accepté pour la première fois de répondre à mes questions.

Elle va vous expliquer avec beaucoup d’expérience, et toute la bienveillance nécessaire pour traiter ce sujet sensible, ce qui se passe et ce que vous pouvez mettre en œuvre pour être accompagnée au mieux dans cette étape. Vous verrez que cela diffère beaucoup d’un type de sevrage à un autre, surtout d’une cause de sevrage à une autre. 

N’oubliez jamais de vous faire accompagner, qu’elle que soit l’étape difficile que vous traversez.

Prenez soin de vous et je vous souhaite une très belle écoute,

Charlotte

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Alors qu’on parlait du deuil de l’allaitement la semaine dernière dans l’épisode 91, je vous propose aujourd’hui d’écouter ou réécouter le témoignage d’Aubrey qui a connu un véritable manque de lait et pour qui cela a été difficile à accepter. Sujet qui est évoqué dans l’épisode précédent, et développé spécifiquement dans l’épisode expert 61 de Milkshaker.

Milkshaker reçoit aujourd’hui Aubrey, maman d’un petit garçon allaité une année et consultante en lactation IBCLC. 

Aubrey va nous raconter son histoire d’allaitement, et va nous parler du manque de lait qu’elle a connu pour allaiter son bébé, car elle estime avoir pu lui offrir 10 pourcent de ses besoins en lait maternel. 

Je ne vous parle pas là de ce bébé qui tète mal, stimule mal le sein et met la lactation en péril.

Je vous parle du Vrai manque de lait, cette situation ou qu’importe la qualité et la quantité de stimulation, la quantité de lait ne sera pas suffisante. 

Dans Milkshaker on tente de bousculer les idées reçues et de faire comprendre que manquer de lait c’est très rare et bien voici le témoignage qui apportera de la nuance en attendant d’en savoir plus grâce à Aubrey dans un épisode expert la semaine prochaine. 

Elle va donc nous expliquer comment elle a découvert, en tant que maman et avec ses connaissances d’IBCLC qu’elle allait manquer de lait ; comment elle l’a au fond d’elle toujours su, et ce qu’elle a mis en place pour allaiter son bébé malgré la difficulté.

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Welcome back à Béné dans milkshaker.

Béné c’est un peu le fil rouge de ce podcast, c’est certainement un de mes comptes préférés sur instagram tant je la trouve simple et sincère. Alors même si déjà 3 épisodes lui sont consacrés (mais autant vous dire que ses péripéties d’allaitement le méritent largement), j’ai décidé de recueillir encore une fois son témoignage pour qu’elle nous parle cette fois ci de sevrage.

Car le sevrage de Béné et Jules, on peut dire que c’est un sevrage qui se passe très bien , en tout cas il se passe comme elle l’avait imaginé : doux et progressif. Son secret? une parfaite alliance entre le respect des besoins de son bébé et le respect de ses propres besoins pour trouver le timing idéal.

Dans cet épisode elle va vous dire comment elle a opéré pour mener à bien ce sevrage. Comme elle dit : ça a presque commencé le jour ou elle a démarré son allaitement et elle nous racontera comment son mari a joué un rôle majeur dans la réussite de ce projet.

Je vous avertis que dans cet épisode Béné évoquera des histoires de sevrage plus difficiles à mener, dont elle s’est surtout inspirée et sur lesquels elle s’est, en toute bienveillance, appuyée pour définir son projet à elle.

Si votre sevrage ressemble ou a ressemblé à l’un de ces sevrages difficiles, écoutez Bénédicte jusqu’au bout et ne vous sentez en aucun cas jugée dans vos choix et votre façon de mener cette expérience.

Rappelons nous que chaque mère et chaque dyade mère bébé fait au mieux à un instant T dans le contexte dans lequel il évolue, et que ce qui a fonctionné pour Béné n’est pas une vérité universelle mais bien un témoignage d’un sevrage qui s’est déroulé sans encombre.

Une fois que cela est dit, ça fait du bien d’entendre que cela peut être fluide, alors je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Rediffusion cette semaine de l’épisode avec Laureen, juste pour le plaisir de l’écouter ou de la réécouter. Au programme galères d’allaitement pour démarrer, ténacité et bébé puis bambin allaité! 

"Aujourd’hui pour ce nouvel épisode ou je rencontre une maman, découvrez avec moi Laureen alias @lalotte83 sur Instagram.

Laureen nous raconte ses deux expériences d’allaitement, de celle qui dure 24 h ,à celle qui n’est probablement pas prête de s’arrêter. Elle nous explique ses difficultés, comment elle s’est battue pour pouvoir allaiter, et comment cela l’a transcendée, avec douceur, justesse et intensité.

Belle écoute,

Charlotte

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Depuis le temps que je voulais l’interroger, qu’on parle du BN dans différents épisodes qu’ils soient témoignages ou experts, il était grand temps que Suzanne Colson débarque au micro de Milkshaker et c’est chose faite.

Je suis allée la rencontrer chez elle pour qu’elle nous parle du biological nurtering : plus souvent appelé « BN » de son petit nom. Et ce qui est souvent assimilé à une position d’allaitement est en fait bien plus que ça, Suzanne va vous l’expliquer au travers des réponses aux quelques questions que j’avais à lui poser.

Pas de technique particulière, pas d’injonctions mais simplement comprendre la physiologie pour ne pas l’entraver.

Permettre à tous ces mécanismes qui rendent l’allaitement naturel d’opérer. Pour prolonger ce podcast je ne peux que vous conseiller le livre de Suzanne « l’allaitement instinctif ».

Installez-vous bien confortablement comme Suzanne le préconise et préparez-vous à plonger dans le bain d’ocytocine dont vous avez besoin pour allaiter.

Je vous souhaite une belle écoute. 

Charlotte

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Je me suis rendue au lactarium régional d’ile de France, à l’hôpital Necker. 

J’y ai rencontré Virginie Rigourd qui est pédiatre et responsable du lactarium. La but de cet épisode est de vous informer sur le don de lait. Donner son lait c’est comme donner son sang : ça sauve des vies. Car en dessous d’un certain âge, les prématurés ne peuvent pas recevoir autre chose que du lait maternel.

Alors comment faire ? qui donne ? y-a-t-il des contre-indications ? toutes les questions que vous vous posez trouveront, je l’espère, réponse dans les explications de Virginie. 

Je vous invite à partager, relayer cet épisode au maximum, encore trop de monde ignore la possibilité de donner son lait. Et je vous le rappelle, ça sauve des vies et ce n’est pas compliqué, promis.

Alors profitez-en pour milkshaker…. Plus encore que vous le voudrez ;)

Belle écoute,

Charlotte

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Laissez-moi vous présenter Sophie. 

Sophie est chanteuse à l’opéra de Paris et la maman de 3 enfants dont 2 jumelles qu’elle a allaitées durant tout pile 3 ans.

Sophie avait déjà allaité son fils, et quand elle tombe enceinte pour la seconde fois et qu’elle découvre qu’il y a 2 bébés : c’est d’abord un coup de massue. Elle se demande comment elle va pouvoir allaiter, porter et mener son post partum comme elle l’entendait.  Mais qu’à cela ne tienne, après une phase de désespoir elle se reprend et décide qu’elle fera tout comme prévu. Son projet d’allaitement ? Elle le mènera à bien quoi qu’il en coûte. 

Et comment ajouter un niveau de difficulté ? Accoucher à quelques jours du premier confinement, alors que l’avenir est flou et que tout le relai qu’elle avait prévu pour son post-partum ne pourra pas arriver. 

Sophie c’est l’histoire d’une motivation et d’une détermination sans faille pour mener à bien son projet, mais vous y entendrez aussi l’importance d’un soupçon de lâcher prise pour se préserver. 

Je la laisse vous raconter comment elle y est arrivée, les tips qu’elle a à vous donner et comment, finalement, cette période de pandémie lui aura servi à prolonger son allaitement comme bon lui semblait. Résultat : 3 années d’allaitement de ses jumelles et un belle histoire à transmettre. 

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Cette semaine écoutez ou réécoutez le tout premier épisode de l’histoire de milkshaker :))

Laurie , c’est l’histoire de deux allaitements qu’on qualifierait de plutôt faciles et longs, parfois un peu trop longs pour son entourage. Elle nous explique avec son regard de maman mais aussi de professionnelle comment elle a vécu l’allaitement de ses bébés puis bambins dans deux cultures différentes, et comment cela l’a faite évoluer de la plus belle des façons.

Belle écoute, 

Charlotte

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Suite à l’épisode 94 ou Sophie nous raconte son expérience d’allaitement avec ses jumelles, voici l’épisode expert qui va vous donner tous les tips pour vous orienter dans cette aventure. 

On retrouve aujourd’hui Céline Bourganeuf, qui est consultante en lactation IBCLC et que j’avais déjà choisie de par son expérience en néonatalogie pour vous parler de prématurité dans l’épisode 50. Aujourd’hui elle va donc vous dire tout ce que vous devez savoir sur l’allaitement des multiples, jumeaux, triplés et plus si affinités.

Comment cela se met en place ?

Comment je m’y prends ?

De quoi j’ai besoin ?

Un seul mot d’ordre : le confort à tous niveaux de la maman pour que l’aventure puisse se dérouler sereinement.

Aucune notion de performance et on prend soin de soi, on s’entoure pour pouvoir s’occuper de ces multiples merveilles qui viennent de débouler dans notre vie.

Je vous souhaite une belle écoute,

Charlotte

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Aujourd’hui on revient sur les démarrages d’alalitement et comment on accompagen l’allaitement tout court à l’aide de professionnels formés spécifiquement ; on revient sur ce qu’est une consultante en lactation IBCLC et comment elle va pouvoir intervenir pour vous accompagner dans votre aventure.

« Je vous présente aujourd’hui si vous ne la connaissez pas déjà Catherine Fontenel. Catherine est consultante en lactation IBCLC, ce qui je vous le rappelle est gage de qualité dans la profession. 

Pour ce deuxième épisode de professionnelle de l’allaitement, elle va vous raconter quand et pourquoi vous pourriez faire appel à une consultante en lactation. Et elle va en profiter pour nous donner plein d’astuces et les grandes lignes pour bien démarrer son allaitement. 

En complément de cet épisode, je vous suggère d’aller regarder sur mon compte personnel ou sur mon site internet le tutoriel  YGY FOR YOU : Saison 2 épisode 2 où elle vous parle des démarrage d’allaitement »

Belle écoute,

Charlotte 

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Aujourd’hui Milkshaker a le plaisir de recevoir Carla Ferrari, que vous connaissez peut-être déjà car Carla était l’une des concurrentes qui aura laissé sa trace dans le TOP CHEF 2023.

Alors quand, durant l’épisode ou elle est malheureusement éliminée du concours, Carla nous fait un dessert intitulé « Milktamère », évidemment le lien avec la Mif @Tajinebanane est très vite fait, et moi ça me donne envie de l’interroger alors que je comprends qu’elle allaite depuis le début du concours son fils et s’arranger pour mener de front sa vie de maman allaitante et sa carrière professionnelle.

Alors Carla va vous raconter toute son histoire d’allaitement qui est terminée le jour où nous enregistrons cet épisode, comment cela a démarré, comment elle s’est retrouvée à participer à Top chef en plein post partum, sans renoncer à son projet  d’allaitement qui lui tient à cœur. 

Au programme démarrages d’allaitement pas si faciles, remarques non sollicitées, Top chef et tournage intensif durant des semaines, tirages de lait insolites au Crillon et sevrage tout en douceur.

Bref une belle histoire qui aidera j’en suis sûre à normaliser l’allaitement et à se dire qu’allaiter et reprendre le travail : c’est carrément possible.

Belle écoute,

Charlotte

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Pour ce nouvel épisode où je suis accompagnée d’une maman, c’est Anaïs, mieux connue sous le compte @mafamilleauvégétal qui me rejoint. 

Anaïs, n’a pas forcément confiance en elle, mais pour ce qui est de l’allaitement, tout lui semble plus évident. C’est naturel, elle va y arriver et elle se fait confiance. Mais cela ne l’a pas empêchée de vivre 3 allaitements tout à fait différents. 

De démarrages plutôt faciles, en passant par une aversion à l’allaitement durant la grossesse, jusqu’à l’allaitement écourté par manque d’information. Mais aussi la reprise du boulot plus ou moins évidente, Anaïs vous raconte tout au fil de ses 3 expériences. 

Belle écoute,

Charlotte

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Julie @mamanchouke est maman d’une petite Rosalie de 2 ans. Ça vous dit quelque-chose ? probable, Fred, le Papallaitant de l’épisode 5 est le papa de Rosalie et le mari de Julie.

Julile est sage-femme et apprentie consultante en lactation IBCLC comme elle le dit. Elle a accepté de me raconter son histoire et celle de sa famille, vue coté maman cette fois. Après des démarrages d’allaitement plutôt simples, Julie a dû faire face entre autres à une dépression du post partum, qui aurait pu mettre à mal son allaitement, mais qui s’est avéré être l’obstacle que l’allaitement lui a permis de surmonter.

Allaiter sa fille c’était « Son Phare dans la nuit ». Julie nous livre avec beaucoup de sincérité comment elle a traversé ces différentes épreuves, grâce à elle-même, l’allaitement, et son mari (il ne nous avait pas menti ;) ) qui a été son plus grand soutien.

Elle nous explique aussi comment cela a transformé sa vie et l’a guidée en tant que maman,  mais aussi en tant que sage femme pour accompagner les couples différemment.

Belle écoute, 

Charlotte

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Marie RUFFIER BOURDET @ergomums est ergothérapeute, spécialisée en périnatalité.

Elle définit l’ergothérapie comme une profession de santé qui est en lien avec l’occupation humaine. L’ergothérapeute va donc faire une évaluation organique, sensorielle, motrice et cognitive pour comprendre pourquoi une des occupations de la personne dysfonctionne. Et les occupations chez les bébés sont nombreuses : sommeil, alimentation, change, toilette et jeux entre autres.

Nous allons nous intéresser dans cet épisode plus particulièrement à l’alimentation et l’allaitement. Marie va vous expliquer dans les grandes lignes les signes ou symptômes pouvant vous laisser penser que votre bébé présenterait une hypo ou une hypersensibilité et comment cela peut mettre à mal votre allaitement ainsi que les autres occupations de votre enfant.

Aujourd’hui, j’apprends avec vous, et je vous souhaite une belle écoute.

Dans cet épisode on a parlé de :

• De ce qu’est l’ergothérapie (2’30)
• De la définition des troubles sensoriels/sensitifs chez un bébé (5’01)
• De l’origine de ces troubles (7’57)
• De ce qu’on observe chez le bébé et dans le cadre de l’allaitement (9’20)
• De l’intervention de l’ergothérapeute (22’)
• De la particularité des bébés prématurés (27’10)
• De l’âge pour consulter (36’15)
• Des liens avec les freins de langue restrictif (38’45)
• Des seuils d’habituation progressifs (43’)

Prenez soin de vous et belle écoute, on finira comme à notre habitude avec la douceur de « i’ll be there » avec Ema @itema.music.

A bientôt,

Charlotte

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Marie est la co fondatrice de Jolly mama, elle a créé avec Margaux sa collègue des encas de qualité pour les femmes, les mamans. Et ses histoires d’allaitement n’y sont pas pour rien dans son parcours professionnel.

Marie est de ces femmes qui ne voulaient pas allaiter.

Elle avait des à priori, des croyances bien ancrées, amis allez savoir comment, elle a allaité sa première fille 14 mois, et la suivante l’est encore à 18 mois.

Alors comment passe-t-on de l’un à l’autre ?

C’est l’une des magies de l’allaitement et de la maternité au sens large.

Marie l’a vécu, et on sent l’intensité de ce qu’elle a ressenti au ton de sa voix. C’est surprenant, c’est doux, c’est riche, et c’est parsemé d’un peu de chance, comme elle le dit.

Je la laisse vous expliquer.

Merci à toi Marie @jollymama de m’avoir confié tes histoires et tes émotions pour cet épisode touchant de Milkshaker.

Dans cet épisode on a fait référence :

Aux comptes Instagram @inantesyou et @tajinebanane comme modèles d’allaitement (39’20)

Dans cet épisode on a parlé :

• De la création de Jollymama (4’30)
• De sa vision bizarre, voire négative, de l’allaitement avant de devenir maman (6’)
• De l’influence des réunions de préparations aux US (7’)
• De l’accompagnement de sa doula (8’)
• De l’aide de sa boss pour poursuivre l’allaitement en travaillant (12’30)
• De la normalisation de l’allaitement au travail aux US (14’)
• De sevrage en douceur (16’)
• De l’évidence de l’allaitement pour son deuxième enfant (17’50)
• De lâcher-prise, d’instinct et de confiance (18’45)
• De cododo (20’)
• De l’importance de prendre soin de soi (22’30)
• De la présence et du soutien du papa grâce à une politique d’entreprise favorable (23’)
• De troubles de la succion (27’)
• De s’entourer de professionnels informés et bienveillants (28’30)
• De la spécificité suisse dans la maternité et les modes de garde (29’50)
• De la flexibilité au travail qui favorise l’allaitement (32’)
• De la confusion sein/tétine (34’50)
• De DME (Diversification menée par l’enfant) (36’)
• De l’influence de sa maternité sur son projet entrepreneurial (40’)
• De l’importance de la nutrition de la maman (41’15)
• De confiance en soi (43’15)
• De l’expérience relationnelle de l’allaitement (43’55)
• Les conseils de Marie (44’50)
• L’interview Fast Milk (47’43)

Belle écoute,

Charlotte 

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Je vous présente aujourd’hui Ludivine Baubry, Accompagnante en intégration motrice primordiale et en allaitement.

Nous allons parler aujourd’hui pour cet épisode expert des réflexes archaïques. Vous avez probablement déjà entendu ce mot, voir vous connaissez quelques réflexes archaïques que le pédiatre de la maternité a pu tester lors d’une consultation.

Aujourd’hui nous allons plus précisément parler de l’intégration motrice primordiale (IMP de son petit nom) : Ludivine utilise cette approche qui s’appuie ces réflexes archaïques, pour accompagner bébés enfants et adultes. Elle va vous expliquer ce qu’est un réflexe, quand il apparait, l’intérêt de sa présence, de son inhibition ensuite et vous expliquer pourquoi il est important que ces reflexes soient bien « intégrés » comme elle le dit.

On va bien sûr parler plus spécifiquement de l’allaitement.

Cet épisode s’adresse aux parents comme aux professionnels, qui seraient désireux de comprendre ces mécanismes, et comment ils peuvent influer sur l’allaitement maternel.

Le sujet n’est pas toujours très connu, c’est pourquoi il nous semblait important d’aller plus loin que les seules notions attenantes à l’allaitement maternel.

Cela en fait un épisode assez riche en informations. Et cette fois-ci encore : j’apprends en même temps que vous, et c’est passionnant. 

Dans cet épisode on fait référence :

• À Suzanne Colson
• Aux travaux de Jean Piaget
• À l’annuaire des professionnels formés en IMP
• À des ouvrages sur les réflexes
• À la chaine YouTube de l’IMP

Dans cet épisode on a parlé :

• De l’expertise de Ludivine en réflexes archaïques et de son activité professionnelle d’accompagnement et de formation (3’45)
• De ce que sont les réflexes archaïques (6’30)
• Du moment où ils apparaissent (8’26)
• De leur rôle pour créer de la croissance nerveuse (12’08)
• Des grains de sable dans les rouages qui peuvent survenir (15’06)
• Du rôle des réflexes après la naissance (17′)
• Des réflexes archaïques testés par les pédiatres (19′) 
• De la spécificité de l’IMP (20’35, 51′ et 1’01’30)
• De la vie d’un réflexe (21’40)
• De motricité réflexe et allaitement (24’23 et 28’13)
• De l’inhibition et l’intégration des réflexes (26’40) 
• Des signes d’un dysfonctionnement (41’08)
• Des périodes sensibles (51’30)
• De freins de langue et réflexes (1’04’30)
• De la complémentarité avec les thérapeutes manuels (1’12’30)
• Des professionnels formés (1’16’10)

Belle écoute,

Charlotte

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Lindsay tient le compte instagram @Boobz.fr (tout est dans le nom).

Son compte, il a évolué avec elle, avec sa grossesse, son allaitement et sa maternité. Parti d’une frustration, d’incompréhension et d’une envie de revendication, il a évolué vers plus de bienveillance, d’accompagnement, et d’inclusion.Elle qui ne voulait pas allaiter, pense aujourd’hui aller vers un sevrage naturel ou son fils décidera du jour où il voudra arrêter de téter.

Elle va nous raconter son histoire, ses convictions, ses choix, guidés par un soutien sans faille de son conjoint et un caractère bien trempé 😉

Je vous laisse la découvrir. 

Lindsay merci ton accueil à Milkshaker, nos échanges, ton franc parlé, et ton engagement.

Dans cet épisode on a parlé :

• De la création de son compte Instagram (3’20)
• Des idées reçues autour de l’allaitement (5’20)
• De sa prise de conscience des difficultés de certaines femmes (7’50)
• De non-jugement et d’inclusion (9’15)
• De sa position sur l’allaitement avant d’être enceinte (10’)
• Des enfants et des mamans des années 80 (11’20 et 28’)
• De la sexualisation de la poitrine (12’)
• Du déclic de la première tétée (14’15)
• De la fluidité de son allaitement (16’)
• De fatigue, de pression et de responsabilité (17’13)
• Des nuits de bébé (20’20)
• Du soutien du papa (22’50)
• D’équilibre à ajuster en permanence (23’30)
• De violences éducatives ordinaires (VEO) (26’30)
• D’allaitement exclusif pendant 2 ans (28’20)
• De travailler avec son bébé (31’30)
• De sevrage naturel (33’40)
• D’acceptation de soi et de no bra (37’10)
• D’allaitement en public (40’12)
• Les conseils de Lindsay (43’)
• L’interview Fast Milk (50’55)

Belle écoute,

Charlotte

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