Décodeur de la Communication (Laurent FRANCOIS | Agence Maverick)

Après Elon Musk & Tesla, Jean-François Granat et Olivier Cimelière reviennent pour vous parler, cette fois-ci, de Donald Trump. Ou plutôt de la marque Trump.

Une marque avant un homme politique

Donald Trump n’est pas seulement un homme politique, il est avant tout une marque. Dès les années 1980, alors qu’il est en difficulté financière, il comprend que sa valeur repose sur son nom. Il négocie avec ses créanciers pour qu’ils préservent l’image de marque Trump plutôt que de vendre ses actifs. Cette approche se traduit par une diversification extrême : son nom est apposé sur des steaks, des montres, des parfums, des baskets, et même des tests urinaires. Ce positionnement lui permet d’être omniprésent dans la vie quotidienne des Américains et d’associer son image au succès.

L’outrance comme moteur médiatique

La stratégie de communication de Trump repose sur une logique de surenchère permanente. Il sait qu’en multipliant les déclarations polémiques, il capte l’attention médiatique. Cette approche s’applique aussi bien à sa campagne politique qu’à sa gestion du pouvoir. En occupant continuellement l’espace médiatique, il pousse ses adversaires à réagir à ses propos, plutôt qu’à imposer leur propre agenda.

Une campagne électorale basée sur lui-même

Lors de la campagne présidentielle, Trump parvient à centrer le débat sur sa propre personne. Les démocrates, plutôt que de défendre un programme clair, adoptent une stratégie d’anti-Trump qui renforce encore plus son omniprésence médiatique. Kamala Harris, notamment, consacre l’essentiel de son discours à le critiquer, ce qui le maintient au cœur de l’attention. Ce phénomène lui permet de structurer le débat public autour de sa personnalité, rendant toute alternative politique plus difficile à imposer.

Un détournement habile des attaques

Trump sait transformer les critiques en outils de communication. Lorsque Biden déclare que les électeurs de Trump sont des « salopards » ou des « poubelles », il réagit immédiatement en mettant en scène une vidéo où il conduit un camion-poubelle. Cette capacité à détourner les attaques lui permet de renforcer son lien avec ses électeurs, qui le perçoivent comme un homme proche d’eux, capable d’affronter l’establishment avec humour et provocation.

Une communication qui rencontre ses limites

Si cette stratégie lui a permis de mobiliser une base électorale fidèle, elle génère aussi des résistances. La polarisation qu’il alimente entraîne une forte opposition, et certains grands groupes refusent d’associer leur image à la sienne. De plus, des tensions émergent même au sein de son propre camp, notamment avec des figures du monde des affaires qui s’inquiètent des conséquences de ses décisions sur l’économie américaine.

Au fnal, la communication de D. Trump repose sur un rapport de force, une omniprésence médiatique et une capacité à détourner les attaques. Son approche clivante lui permet de fédérer un électorat très engagé, mais elle alimente aussi une défiance à son égard, y compris dans les milieux économiques qui l’ont soutenu. Cette stratégie a prouvé son efficacité à court terme, mais pose la question de sa pérennité à long terme.

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Quel plaisir de discuter avec Pierre Drillon, directeur communication de Storengy France ! Si vous ne connaissez pas l'industrie des énergies, Pierre va vous faire aimer le secteur, tant il en parle avec enthousiasme et ferveur.

Pourtant, rien ne le prédestinait à travailler dans ce milieu, puisque Pierre étudiait les langues. Et puis, comme beaucoup, il est tombé par hasard dans l'industrie, secteur où il s'épanouit pleinement, à la tête de son équipe communication.

Mais au fait, Storengy, késako ? Storengy est une filiale d'Engie. L'entreprise est le premier opérateur de stockage de gaz naturel en Europe et compte 1000 collaborateurs. En d'autres termes, ce sont les équipes terrain de Storengy qui stockent le gaz nat' pour que nous ne mourrions de froid l'hiver !

Durant notre entretien, Pierre et moi avons discuté du monde des énergies, que j'affectionne particulièrement depuis 15 ans. Un monde où l'on peut faire de très belles carrières au marketing, à la com et au digital.

En outre, Pierre revient sur la crise du Covid-19 et les mesures d'urgence qu'il a du prendre en matière de com de crise. Si cette période a été quelque peu difficile à vivre, elle fut paradoxalement excitante. 

Je vous laisse donc écouter le parcours de Pierre et ses excellents conseils de carrière qui sont pleins de bon sens.

Encore une fois, si l'industrie des énergies vous est inconnue, laissez-vous séduire. Ce secteur est vaste, pourvoyeur d'emplois et représente l'avenir !

Très bonne écoute et n'oubliez pas de noter 5 étoiles sur Apple Podcasts ou de laisser un commentaire sympa. Cela fait toujours plaisir !

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la com et féru du secteur des énergies !

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Dans la seconde partie de l'épisode avec Marguerite de Clerval-Parent, à la tête de la com du diocèse de Meaux, mon invitée raconte comment elle s’épanouit dans un univers exigeant, avec des projets à la croisée de la modernité et de la tradition.

La première partie est ici : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/la-dircom-de-monseigneur-marguerite-de-clerval/id1532638419?i=1000678032453

Forte d'une expérience en collectivité, Marguerite a appris à conjuguer rigueur, méthode et humilité. « Dans le service public, comme dans l’Église, tout tourne autour d’un mot : service. Être à l’écoute des attentes des élus, des citoyens, ou des fidèles, c’est finalement très similaire. » « Je suis là pour que prêtres et fidèles aient les outils nécessaires à leur mission », résume-t-elle avec simplicité.

Entre la construction de deux nouvelles églises — fait rarissime en France — et la création d’un complexe éducatif et culturel à Saint-Colomban, le diocèse de Meaux est en pleine expansion. « Ce qui me fascine, c’est la vision à long terme de l’Église. À Saint-Colomban, l’église paroissiale est attenante à un centre culturel qui aborde des sujets sociétaux comme le harcèlement ou les écrans. On montre que l’Église a toute sa place dans les grands débats actuels. »

Si Marguerite insiste sur un point, c’est bien l’importance du temps long. « Dans un métier où tout va vite, il faut accepter de ralentir, de s’immerger, d’apprendre les codes de son environnement. Ce n’est qu’en prenant le temps que l’on gagne la confiance de son boss et qu’on peut vraiment construire. » Une leçon précieuse, dans une époque où les communicants papillonneraient trop souvent d’un poste à l’autre.

Enfin, impossible de parler de communication et de l'image de l'Eglise sans évoquer les réseaux sociaux.

Marguerite applaudit l’énergie des jeunes, qui créent spontanément des contenus dynamiques. Sur Instagram ou YouTube, son équipe se nourrit de cette créativité pour enrichir la communication du diocèse.

Et TikTok ? « On ira, mais avec une vraie ligne éditoriale. Ouvrir un réseau juste pour faire du bruit, ce n’est pas notre style. »

Dans cet épisode plein d’humour et de sincérité, Marguerite nous rappelle que la communication n’est pas qu’un métier : c’est aussi une manière de servir ses publics.

D'ailleurs, si vous voulez aider l’Église, qui ne vit que des dons des fidèles : https://donner.catho77.fr/adm/~mon-don?_cv=1

Ce second épisode avec Marguerite bous prouve que l'Eglise est toujours résolument moderne même si son image peut être encore améliorée par ses communicants !

Pour voir Anthony, l'alternant en com qui décoiffe au diocèse de Meaux : https://www.youtube.com/watch?v=NfOKjRIVgJU

Enfin, les vidéos de marque employeur : https://youtu.be/mTKYT5TULSE?si=CeF_V-9DQI2O2bks

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On enchaîne le Best of du Décodeur de la Communication avec Julien Féré, qui était, à l'époque, Directeur Communication pour les marques TGV Inoui, Ouigo et Intercités chez SNCF. 

Aujourd'hui, Julien a rejoint Onepoint en tant que Partner Marketing et Communication. Bien entendu, il reviendra dans le Décodeur pour parler de son nouveau job.

Très bonne écoute et n'oubliez pas de mettre 5 étoiles et un commentaire sur Apple podcasts.

Laurent FRANCOIS, papa du décodeur de la com, de l'agence Maverick et d'une petite Alice qui aura 10 ans le 1er janvier 😍

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Cet été, vous avez certainement voyagé avec Julien Fere.
Directeur de la communication chez SNCF, il s'occupe de TGV Inouï, OUIGO et Intercités. Des marques qui font partie de notre vie quotidienne.

Et justement, côté marques, Julien en connaît un rayon. En début d'année, il a en effet écrit et supervisé l'ouvrage « Les dessous des marques », paru aux Ed. Ellipses.
Parce qu'il aime également transmettre son savoir, Julien est professeur associé au CELSA - Ecole des hautes études en sciences de l'information et de la communication.

Dès lors, si vous passez l'oral de l'école, vous aurez peut-être la chance de croiser Julien. Vous l'aurez compris, le 28e épisode du Décodeur de la Com est riche.
Car outre les marques, nous avons parlé de compétitions d'agences et de la gestion de votre carrière. Grande première dans l'émission, Julien a abordé l'aspect rémunération.

Très bonne écoute et un grand merci à Julien : tu as été un super invité ! 

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Caroline Philippon est directrice des opérations de l'agence idem, spécialiste de la communication de marque employeur.

Si pour vous, communication RH et de marque employeur sont des termes abscons, Caroline vous explique la différence entre ces deux disciplines cousines.

D'ailleurs, à l'heure du Covid-19, certaines entreprises ont coupé leurs recrutements alors que d'autres continuent d'embaucher. Un paradoxe très bien expliqué par notre seconde invitée du Décodeur de la Communication.

Alors installez-vous confortablement pour écouter le parcours et les conseils de Caro, cette très grande pro du monde de la communication et des RH !

PS : Caroline n'a pas voulu dévoiler sa délicieuse recette du poulet aux mangues 😂😂
 

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Elodie Lemeunier, directrice communication de Nestlé France, c'est l'histoire d'une jeune femme qui veut devenir psychomotricienne. Malheureusement, elle rate le concours. Alors elle s'oriente vers un BTS puis une école de commerce. Et là, tout s'accélère.

Élodie trouve tout d'abord une alternance au service communication d'Air Liquide, fleuron de l'industrie française. Elle poursuit sa carrière dans les spiritueux, chez Elior puis Pepsico, à des postes de communication interne & externe.

Début 2020, Élodie prend la direction de la communication de Nestlé France, qu'il est inutile de vous présenter, tant la marque fait partie de notre quotidien. Pour info, Nestlé, c'est 10 000 collaborateurs en France !

Mais souvenez-vous, début 2020, la crise Covid plonge le monde entier dans une situation inédite. Élodie saute alors directement dans le grand bain. Elle manage sa nouvelle équipe à distance et réussit à faire face aux aléas.

2022 : une nouvelle crise défraie la chronique. Élodie et son entreprise doivent y faire face. De quelle crise s'agit-il ? Pour cela il faudra écouter le 77e épisode du Décodeur de la Com en entier ! Mais croyez-moi, elle fut très éprouvante pour mon invitée. Comment a-t-elle réussi à la gérer HUMAINEMENT parlant ? Elodie vous le dira, sans se cacher derrière son petit doigt.

Elle vous donnera également des conseils de carrière et vous comprendrez qu'il n'est pas nécessaire d'avoir fait les écoles les plus prestigieuses pour devenir une très grande dircom !

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Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Com et de l'agence Maverick

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Le management. Voici une thématique du monde de l'entreprise qui fait beaucoup parler d'elle et ce, à très juste titre.

A l'occasion de la sortie de son livre "L'élégance n'est pas une option" Fred Fougerat, l'homme de Tenkan Paris, partage ses réflexions sur les défis du management moderne. Vous y croiserez le meilleur, comme le pire...

Le Manager Toxique

Fred évoque le manager toxique, ce type de leader qui infantilise ses équipes. Il critique les pratiques de ceux qui utilisent des surnoms dévalorisants, des comportements humiliants et une domination psychologique. Un manager toxique réduit ses employés et ne valorise pas leurs compétences. En revanche, il souligne l'importance de créer un environnement où les équipes se sentent respectées et valorisées, afin de maximiser leur potentiel.

La Diversité, Une Valeur Ajoutée

Contrairement à certains qui considèrent la Diversité comme un sujet à éviter, Fred la défend . C'est un véritable atout pour l'innovation et la créativité. Il plaide pour un recrutement au-delà des cercles traditionnels afin de favoriser des perspectives variées. Fred évoque son propre parcours, où il a activement recherché des profils divers, ce qui a permis à ses équipes de mieux comprendre et se connecter à différents publics.

Le Manager Protecteur : Un Bouclier Contre La Pression

Comme son nom l'indique, le manager protecteur protège son équipe des pressions extérieures. Il défend ses collaborateurs contre les exigences irréalistes, assurant ainsi un climat de travail serein. Selon lui, un bon manager doit savoir différencier la pression constructive de la pression inutile. Cette approche permet aux équipes de rester concentrées sur leurs missions sans être submergées par des contraintes externes qui pourraient nuire à leur bien-être.

L’Onboarding et L’Offboarding

Fred accorde également une importance particulière à la responsabilité du manager, notamment dans la gestion de l’onboarding et de l’offboarding des collaborateurs. Il critique sévèrement les entreprises qui négligent l’accompagnement des collaborateurs lors de leur départ, mettant en lumière l'impact négatif de cette négligence sur l’image employeur. Selon lui, un bon offboarding peut transformer un ancien employé en ambassadeur de l’entreprise, tandis qu’une mauvaise gestion peut ternir la réputation de la marque.

La Culpabilité du Cadre Supérieur

Dans son analyse des cadres supérieurs, Fred évoque la pression constante à laquelle sont soumis ces leaders, souvent perçus comme des super-héros. Il déconstruit l'idée selon laquelle un cadre supérieur doit être infatigable et invincible.

Au final, pour Fred, un manager efficace doit incarner plusieurs qualités : l’écoute, la transparence, le respect et l’engagement. L’élégance dans le management n’est pas une posture mais un véritable outil pour instaurer une dynamique positive au sein des équipes.

🤙 Pour acheter le livre de Fred : https://www.amazon.fr/L%C3%A9l%C3%A9gance-nest-pas-une-option/dp/274955683X

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Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com

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Mathilde Salama est directrice de la communication et RSE d'Ecofi, société de gestion du Groupe Crédit Coopératif, membre du Groupe BPCE.

Dans ce nouvel épisode du Décodeur de la Com, nous allons donc parler d'investissements, de finance et de RSE. 

Mais ne fuyez pas si tout ce qui est financier vous fait froid dans le dos.

Vous allez découvrir l'ISR, ou investissement socialement responsable, qui est très loin des clichés sur les requins de la finance.

Nous allons également aborder le parcours de Mathilde. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que son entrée au Celsa, grande école de la communication, n'a pas été immédiate.

En somme, cet épisode est avant tout humain. Il parle d'une passionnée d'écriture qui rentre dans la finance par le plus grand des hasards et qui, depuis, s'éclate dans son job.

Très bonne écoute et n'oubliez pas de noter 5 étoiles sur votre plate-forme de podcasting préférée.

Laurent FRANCOIS, instigateur du Décodeur de la Com et fondateur de l'agence Maverick Communication

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Dans le 8e épisode hors série du Décodeur, on parle rédaction. Mais sans tabou. Car il faut bien avouer que depuis quelques temps, on voit pululler des ghostwriters, copywriters et autres rédacteurs.

Si certains, comme mes invités, sont de véritables élus du peuple de l'écriture, d'autres sont des charlatants, promettant réussite et gloire en quelques mois.

Alors, parce que tout ça m'agace profondément, j'ai demandé à la crème de la crème des rédacteurs de s'exprimer sur le sujet. Sans blabla, sans filtre et sans tabou.

Commençons par cette ère de la médiocrité digitale qui nous plombe le moral. Non : écrire ne s'improvise pas. Et utiliser des outils – d'IA comme ChatGPT – ne permetpas toujours d'être efficace et de tirer dans le 1000.

Suite à ce constat, pour ne pas dire jugement assumé de ma part, j'ai demandé à Karine Bach, Sébastien Beaujault, Tom Frankson, Patrice Laubignat et Ophélie Poty comment reconnaître un bon rédacteur.

Force est de constater qu'il existe plusieurs familles de rédacteurs et que, au final, écrire n'est qu'une infime partie du travail des professionnels de la plume.

Enfin, actualité oblige, nous nous sommes panchés sur l'intelligence artificielle. Le suscité ChatGPT, qui en est bientôt à sa 4e version, s'avère utile et riche d'enseignement, tuant les mauvais rédacteurs. Une excellente nouvelle !

Bref, ce hors série du Décodeur de la Com prouve à quel point le monde de la rédaction appliqué à la communication est en train de changer.

Alors, ne vous laissez pas berner par les vendeurs de formations en copy et ghostwriting. Car, au même titre que la communication, écrire est un VRAI métier.

Très bonne écoute et please, notez 5 étoiles sur Apple Podcasts et Spotify.

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la com et de l'agence Maverick

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A l'occasion du Podcasthon, événement qui met en avant une association ou une ONG, de j'ai décidé de soutenir la Fondation Abbé-Pierre. Pour faire un don : c'est par ici.

En mars 2022, j'ai interviewé Yves Colin, directeur communication de cette association reconnue d'utilité publique.

Yves est un dircom engagé. En fait, c'est un homme engagé, tout court. A la base, Yves est plutôt un artiste puisqu'il dessine. Il devient directeur artistique avant d'être embauché comme directeur de cabinet d'une ville des Yvelines.

En 2007, c'est le grand saut : Yves devient dircom de la Fondation Abbé-Pierre.

L'Abbé Pierre était un homme d'église. Il a eu un destin hors du commun : résistant, député, entrepreneur social avant l'heure - Emmaüs, c'est lui ! -et figure médiatique. 

Diriger la sa communication est presque un sacerdoce car la cause défendue est noble : celle des sans-abris et des mal logés. 

Au quotidien, Yves manage une équipe d'une dizaine de personnes. Il considère son job comme un combat. Comme quoi, la com est un vrai métier et une noble discipline.

J'espère que vous apprécierez tout autant que moi cet entretien avec Yves. Il parle sans langue de bois de son job.

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Communication et qui a la chance d'avoir un toit sur la tête

PS : l'Abbé Pierre est décédé en janvier 2007. Yves est entré à la Fondation en septembre de la même année. Ils ne se sont donc jamais croisés. Mais je suis certain que l'Abbé regarde avec bienveillance son excellent travail :)

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Philippe Le Meau est directeur de la stratégie, du marketing et de la communication d'ADLPerformance.

Créé dans les années 70, ADLPerformance est un groupe familial. Il compte environ 500 collaborateurs.

Si les activités de l'entreprise sont historiquement basées sur les marketing services, on peut aujourd'hui parler de data marketing au sens le plus large du terme.

J'en veux pour preuve la multitude d'activités d'ADLPerformacce : consulting, publicité, data, communication digitale, IT, etc.

Pour en diriger la stratégie, la com et le marketing, il fallait un homme doté d'une très grande expérience sur le terrain. Cet homme, c'est Philippe.

Passé en agence de communication digitale, où il a occupé des fonctions de conseil et de développement commercial, l'histoire de Philippe est peu commune.

Après un bac scientifique, il enchaîne avec des études littéraires et d'audiovisuel avant de découvrir le web dans les années 90. Ce choix sera le bon et façonnera sa très belle carrière. 

Dans le 19e épisode du Décodeur de la Com, nous allons donc parler de Digital et de Data. Et comme Philippe est un homme réfléchi, écoutez bien ses conseils de carrière.

Car, en pionnier du web qu'il est, vous imaginez aisément qu'il observe les nouvelles tendances des métiers de la communication, du marketing et du digital.

Ah, dernier point et pas des moindres : ADLPerformance recrute 130 personnes en 2021, ainsi qu'une trentaine d'alternants et de stagiaires. Faites passer l'info !

Très bonne écoute et n'oubliez pas de noter 5 étoiles sur Apple Podcasts. Merci d'avance.

Laurent FRANCOIS, fondateur de l'agence Maverick et instigateur du podcast le Décodeur de la Communication

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6 octobre 2024 : le Décodeur de la com fête ses 4 ans. Alors j'ai décidé de rediffuser le tout premier épisode, enregistré avec Christophe Le Vaillant, conteur de management. J'en profite pour le remercier d'avoir accepté mon invitation pour essuyer les plâtres.

Attablés en terrasse du bar près de chez Maverick, nous sortons, à l'époque, du Covid. Nous y reviendrons quelques semaines après.

Et justement, ce que dit Christophe, dont le métier est à la frontière de la communication, des RH et du management, est visionnaire.

Diplômé d'une école de journalisme, mon premier invité est un amoureux des mots. Il a été l'assistant de l'académicien Jean Dutourd et a travaillé à la com d'Arcelor.

Il évoque ses 2 grands patrons avec émotion, sans pour autant mâcher ses mots. Il parle déjà d'un aspect qui m'est cher, à savoir le courage dans nos métiers de communicants.

En outre, écoutez ses conseils de carrière : ils n'ont pris une ride ! Comme vous vous en doutez, ils tournent autour du courage et de l'audace. Sans rien lâcher.

Très bonne écoute de cette rediff anniversaire. Vous le verrez, je suis timoré durant cette interview et l'intro semble dite à 3000 à l'heure, comme si j'avais un train à prendre. J'y vois la peur de parler dans le micro. Mais cela prouve qu'on finit toujours par s'améliorer à force d'essais.

Néanmoins, soyez indulgents avec moi s'il vous plait 😂

Enfin, un très grand merci à vous, chers auditeurs. Merci à tous les fidèles et à ceux que j'enquiquine en les taguant sur Linkedin et X, mes réseaux sociaux principaux. Quatre ans, ça passe plus ou moins vite.

Les 2 dernières années sont passées à la vitesse de la lumière. La raison ? Maverick, mon agence, renoue avec le succès depuis janvier 2023.

Pourquoi je vous dis ça à l'occasion des 4 ans du Décodeur ? Tout simplement parce que ce podcast est une activité bénévole, en plus de Maverick, son équipe et ses clients. Sans oublier les 2 femmes de ma vie que j'ai parfois délaissées, happé par le travail.

Alors les très belles rencontres professionnelles, vos écoutes et le classement Apple Podcasts m'aident à continuer.

Merci à toutes & tous, une fois de plus. Coeur sur vous !

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Très bonne écoute, encore une fois, et abonnez-vous au Décodeur  !

Laurent FRANCOIS, papa de 3 enfants : l'agence Maverick, qui aura 15 ans en 2025 ; Alice, 12 ans & le Décodeur de la com, 4 ans.

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Comment maîtriser ChatGPT ? Aujourd'hui, Sébastien Beaujault, formateur en IA générative, vous dit tout dans le Décodeur de la Com.

Sébastien, vous le connaissez déjà : c'est une "tête de com" du Décodeur. Il continue de rédiger et de faire du copywriting mais, depuis un an, il est devenu un formateur ChatGPT de renom.

Alors, un conseil : prenez des notes si vous voulez devenir le "goat" de ChatGPT. Rassurez-vous, ce n'est pas si compliqué mais bien prompter est synonyme de travail. Eh oui !

La méthode Beaujault : Structurer et contextualiser vos demandes

Un bon prompt selon Sébastien doit contenir :

- Un rôle précis pour l'IA

- Une tâche définie

- Un contexte détaillé

- Des étapes et des contraintes claires

Cette méthode permet de transformer ChatGPT en un véritable assistant expert, capable de fournir des réponses détaillées et pertinentes.

Bien formuler son prompt

Sébastien, avec son expertise en rédaction et en formation, insiste sur l'importance de la précision dans vos promptes. Un simple "rédige-moi un article sur Bruce Springsteen" ne donnera qu'une réponse générique. En revanche, un prompt bien structuré, avec contexte et détails précis, transforme la qualité du contenu généré.

Personnaliser ChatGPT pour des résultats optimaux

Une des astuces souvent négligées est la personnalisation de ChatGPT. Sébastien recommande d'utiliser la fonctionnalité "personnaliser ChatGPT" pour que l'outil connaisse mieux votre profil et vos besoins. Que vous soyez responsable marketing, communicant ou entrepreneur, cette personnalisation permettra à ChatGPT de fournir des réponses plus adaptées et concrètes à vos demandes.

Diversité des IA génératives : Midjourney, Perplexity et plus encore

Outre ChatGPT, Sébastien mentionne plusieurs autres IA génératives qui méritent votre attention. Midjourney, par exemple, est excellent pour générer des visuels, tandis que Perplexity se distingue dans la recherche et la veille. Gamma, idéale pour créer des présentations PowerPoint, est aussi évoquée comme un outil puissant pour les communicants.

L'avenir de l'IA générative et la nécessité de l'adopter

Le message de Sébastien est clair : ne pas adopter les IA génératives dès maintenant pourrait vous faire prendre du retard. Elles deviendront bientôt des compétences demandées dans les offres d'emploi, au même titre que la maîtrise de logiciels comme Photoshop ou Excel.

Sébastien reviendra très régulièrement vous parler d'IA générative et de ChatGPT car nous vivons une "révolution" qui change TOUS les métiers, y compris ceux de la communication.

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PS : pour contacter et vous faire former à ChatGPT par Sébastien : https://www.linkedin.com/in/sebastien-beaujaultformateuriagenerativesetchatgpt/

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« Je suis passée des guitares au terroir ».

La vie professionnelle de Carine Abecassis est digne d'un roman. Ou plutôt, d'une chanson.

A la fin des années 90, diplôme d'école de commerce en poche, elle débute dans une maison de disques. 

Chef de produit junior, elle gère la carrière d'Isabelle Boulay, Bisso Na Bisso ou encore Billy Crawford, ex-amoureux de Lorie, reine de la « positive attitude ».

Mais si le show biz est sympa, Carine sent rapidement le vent tourner.

Au début des années 2000, elle rejoint alors une agence de RP, où elle apprend les ficelles de la communication.

Après une première expérience chez l'annonceur, Carine pose ses baggages à la Confédération générale des planteurs de betteraves, ou CGB pour les intimes.

A l'époque, Carine connaît peu l'agriculture. Mais comme elle apprend vite, elle décide de lancer une campagne de valorisation du secteur. 

C'est à cette occasion qu'elle crée la fameuse égérie Miss Better, qui compte 172000 fans sur Facebook.

Dans le 26e épisode du Décodeur de la Communication, vous allez découvrir la betterave sucrière. Autant vous le dire de suite : elle n'a rien à voir avec celle de la cantine ! En effet, une fois transformée, la betterave sucrière devient - vous l'aurez deviné - du sucre mais aussi du carburant bio-éthanol et même du gel hydro-alcoolique.

Vous allez également découvrir une directrice communication passionnée, qui travaille avec et pour des agriculteurs, au sein d'une confédération professionnelle.

Ce nouvel épisode sort donc de l'ordinaire de par la structure et les publics mis en lumière au travers du témoigne de Carine. Mais croyez-moi, vous allez vous régaler et apprendre beaucoup de choses !

En outre, esprit terrien oblige, vous découvrirez les conseils pleins de bon sens de ma nouvelle invitée.

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Avec aujourd'hui plus de 100 000 écoutes en mois de 3 ans, le podcast Parlons Cheval de l’Institut Français du Cheval et de l’Équitation (IFCE) est devenu une référence dans le domaine B2B. Derrière ce succès se cache une méthodologie rigoureuse et une équipe engagée. Juliette Diligent, responsable marketing digital de la division Innovation et Recherche, revient sur les étapes du succès de ce podcast B2B.

Étape 1 : Définir une stratégie éditoriale solide
Tout commence par le choix des sujets. L’équipe, composée de Juliette Diligent, responsable marketing digital de l’IFCE, et de Laurent Vignaud, animateur du podcast, travaille en collaboration avec des chercheurs et ingénieurs internes. Ces experts apportent un contenu riche et technique, comme les nouvelles méthodes de reproduction équine ou l’adaptation des selles aux cavaliers. Chaque épisode est soigneusement préparé, avec des réunions en amont pour établir une trame narrative claire et équilibrée, mêlant vulgarisation et rigueur scientifique.

Étape 2 : Une production maîtrisée
L’enregistrement s’effectue en sessions intensives, avec 6 à 8 épisodes produits sur une période courte. Grâce à l’ingénieur du son Lucas Dubosc, le podcast bénéficie d’un design sonore immersif qui renforce son identité. Les sons d’ambiance, comme les bruits de sabots ou de nature, enrichissent l’écoute et captivent l’audience. Chaque épisode passe ensuite par une phase de montage minutieuse pour garantir une qualité optimale.

Étape 3 : Une diffusion et une promotion ciblées
Le succès de Parlons Cheval repose également sur une stratégie de communication agile et testée. Les épisodes sont promus via les réseaux sociaux, newsletters et articles de blog. Des visuels, des citations percutantes, et même des vidéos extraites des épisodes captent l’attention du public. L’équipe ajuste constamment sa stratégie grâce à des tests A/B, ce qui a permis d’augmenter considérablement l’engagement.

Étape 4 : Une régularité et une vision long terme
Avec une diffusion bihebdomadaire et des pauses estivales bien planifiées, Parlons Cheval a su s’inscrire dans la durée. Cette constance, associée à un travail d’équipe sans relâche, explique son rayonnement auprès des professionnels de la filière équine et des amateurs éclairés.

Ce podcast prouve que le B2B peut rimer avec succès, à condition d’y consacrer du temps et des efforts. Une leçon précieuse pour toute marque souhaitant se lancer dans ce format exigeant mais impactant.

🤙 Pour écouter Parlons Cheval : https://podcasts.apple.com/us/podcast/parlons-cheval-le-podcast-de-linstitut-fran%C3%A7ais-du/id1595617979

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Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com

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Cet été la marque Saint-Laurent a créé un défilé dans le désert marocain, non loin de Marrakech. 

Plus de 200 VIP, triés sur le volet, ont assisté à cet événement qui a duré 15 minutes.

Le défilé est un franc succès tant la collection est magnifique. Les moyens mis en œuvre sont considérables. La marque a construit une route de 6 km avec arrosage quotidien menant à un camp équipé de bâtiments éphémères climatisés pour les invités. 

Le clou de l'installation est un bassin aquatique circulaire de 500 m3 d'où émerge un anneau lumineux de 12 tonnes, façon Stargate.

Y a pas un souci là ? Non ? Vous êtes sûrs ? Je récapitule : un défilé de 15 minutes, 500 000 litres d'eau en plein désert et de la clim' à gogo.

Dans une période où la planète brûle littéralement, j'avoue être colère. Comment la marque a-t-elle pu oser ? Est-ce un coup de marketing ou un doigt d'honneur à la planète ? 

Mes acolytes de ce jour, à savoir Karine Bach et Jean-François Granat vous donnent leur avis. Perso, j'avoue avoir été très très très très énervé par cette opération.

Très bonne écoute et n'oubliez pas les 5 étoiles sur Apple et Spotify. 

Rendez-vous à la rentrée pour de nouveaux épisodes du Café de la Com et de son grand frère, le Décodeur de la Com.

Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick en pseudo-vacances :)

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Une fois n'est pas coutûme, c'est moi, Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Com et de l'agence Maverick, qui vais prendre la parole dans ce 73e épisode.

En effet, fin mars, je reçois cet email :

« Bonjour,

Nous vous remercions d'avoir répondu à notre consultation dans le cadre de notre stratégie de contenus.

Si vos propositions nous semblaient intéressantes, nous avons néanmoins reçu d'autres propositions qui nous paraissent mieux convenir à nos besoins.

En vous remerciant d'avance pour votre compréhension.

Bien cordialement »

Vous l'aurez compris, mon agence a perdu une consultation. Ou une compétition, appelez ça comme vous le souhaitez.

Perdre n'est jamais agréable mais fait partie du jeu ; soit. Ce qui me reste en travers de la gorge, c'est plutôt cet email de 6 lignes, alors que j'ai travaillé des heures, avec une amie freelance, sur la recommandation de ce prospect.

Une semaine de boulot qui se termine par un email type, très laconique. No way !

Ce genre de pratiques, de plus en plus courantes, doivent immédiatement cesser.

Alors voici 4 conseils, basés sur 25 années d'expérience, que j'adresse aux annonceurs.

1/ Soyez trans-pa-rent

Combien y a-t-il d'agences ? Qui sont-elles ? Sont-elles de la même taille ? 

Quel est le budget en jeu ? 

2/ Une demande claire, svp

Je ne parle pas de la qualité du brief. Je parle simplement de ce que vous voulez comme rendu : un simple devis ? Une recommandation stratégique ? Des projets graphiques ? 

Vous comprendrez aisément qu'un simple devis prend moins de temps qu'une reco + des projets graphiques, hein.... Alors soyez précis.

3/ Prenez le temps !

Rencontrez les agences. Ne vous contentez pas uniquement d'un email ou d'un coup de fil d'un quart d'heure pour « briefer » les agences.

En rencontrant les participants, vous vous apercevrez du relation des représentants et pourrez vite vous apercevoir si vous souhaitez travailler avec tels prestataires.

Lorsque vous élaborez la « long-list » des agences participantes, soyez sympa : pas plus de 4 agences dans la compétition. Au-delà, c'est la foire d'empoigne.

4/ Le débrief de votre consultation

Soyez humain : ne vous cachez pas derrière un mail de 6 lignes. Prenez le temps, là encore, d'expliquer aux agences non retenues la raison de leur échec. Cela permettra à ces dernières de rectifier le tir et de progresser les prochaines fois.

En conclusion, une consultation n'est pas forcément obligatoire. Si vous savez ce que vous voulez précisément et que vous avez identifié l'agence de vos rêves, contactez-la et faites affaire avec elle sans mettre en place une compète !

Si j'ai oublié des conseils, n'hésitez pas à m'en faire part en commentaire.

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Laurent FRANCOIS

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C'est la star des dircoms. Mais c'est surtout un grand professionnel, doté d'une grande humilité. Cet homme, c'est Frédéric Fougerat, plus connu sous la "marque" @Fredfougerat sur Twitter.

Auteur de plusieurs livres, Fred a sorti au printemps le Dico de la Com. Une grande première, puisqu'il n'existait pas de dictionnaire de notre beau métier.
Vous pourrez ainsi découvrir des mots de l'imprimerie, qui nous replongent dans une ère pas si révolue, des mots du protocole - la fameuse barrette dixmude - sans oublier ceux qui font le numérique.

Mais, au fait, quel est le parcours de Fred ? Eh bien, vous découvrirez dans le 38e épisode du Décodeur de la Communication qu'il est riche et varié, entre sphère publique hier, et privée aujourd'hui. Quant aux conseils de carrière, je ne saurais trop vous conseiller de jeter une oreille attentive. Prenez des notes, elles vous serviront durant toute votre vie professionnelle.

Pour conclure, sachez que ce nouvel épisode a été un véritable plaisir à enregistrer tant mon invité est un mec bien. 

Laurent FRANCOIS, heureux papa du Décodeur de la Communication et fondateur de Maverick Communication

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Comment éviter le plagiat publicitaire ? En voilà une excellente question, n'est-ce pas ?

Joe la Pompe vous donne des pistes, quel que soit votre métier dans la publicité ou la communication. En effet, si personne n'est à l'abris d'une bonne idée, il se peut qu'un autre ait eu la même et sur un sujet similaire.

Fervent défenseur de l'authenticité et de l'originalité, Joe la Pompe est un ancien créatif qui a dédié une grande partie de sa carrière à dénoncer le plagiat dans la publicité. Avec plus de 25 ans d'expérience, Joe a observé et documenté d'innombrables cas de publicités similaires, qu'elles soient le fruit de coïncidences ou d'un plagiat délibéré.

L'entretien révèle d'emblée que seuls 10% des cas de plagiat existent dans la publicité. Une grande proportion de ces cas peut être attribuée à un manque de vigilance ou de compétence dans la vérification des antériorités.

Afin d'éviter toute mauvaise surprise, Joe a créé Anterity, plateforme qui aide les professionnels à vérifier si leurs idées ont déjà été réalisées ailleurs. Cela permet non seulement d'éviter des duplications embarrassantes, mais aussi d'éviter tout problème légal potentiel.

La conversation dérive sur le sujet des "Ghost Ads" – ces publicités créées uniquement pour gagner des récompenses, souvent sans même un vrai client derrière. Joe critique cette tendance, affirmant qu’elle nuit à la crédibilité de notre métier. Je ne peux pas être plus d'accord avec lui.

Avec l’avènement de l’intelligence artificielle, Joe partage ses inquiétudes sur le potentiel de ces technologies à générer des plagiats de manière exponentielle. Il nous rappelle que si l'IA peut faciliter notre travail, elle peut également perpétuer des duplications non intentionnelles.

En discutant avec des étudiants et jeunes professionnels, Joe a remarqué une acceptation inquiétante du plagiat comme quelque chose de mineur. Il a pris sur lui de parcourir les écoles de publicité pour prêcher l'importance de l'originalité et de l'intégrité dans la création publicitaire.

Pour ceux qui débutent dans ce domaine, le conseil de Joe est clair : démarquez-vous, trouvez votre propre voix. L'authenticité et l'originalité ne sont pas seulement des valeurs esthétiques, elles sont au cœur de ce que signifie être un créatif.

L’épisode avec Joe la Pompe est une mine d’or pour tous ceux qui s'intéressent à la publicité, la créativité et l'éthique. Non seulement il partage des anecdotes et des conseils précieux, mais il pose aussi des questions cruciales sur l'état actuel de la publicité et la direction dans laquelle nous nous dirigeons.

Si vous êtes un créatif ou aspirez à le devenir, ou même si vous êtes simplement curieux du monde de la publicité, cet épisode est incontournable.

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Aujourd'hui, vous allez faire connaissance avec Marion Loriot, la très solaire directrice de la communication de l'Université du Mans. Elle témoigne avec enthousiasme de son expérience à la tête de la communication de cette université qui compte 12 500 étudiants.

Marion arrive il y a 6 ans à l'Université du Mans, en tant que responsable communication, forte de plusieurs années d'expérience dans le secteur privé, notamment dans l'automobile.

Au bout de 4 ans, le poste de dircom se libère et ses collègues la poussent à candidater. Commence alors un long parcours de la combattante. Mais, à force d'entretiens, Marion s'impose. Et aujourd'hui, depuis un an et demi qu'elle est dircom, elle porte haut les valeurs de l'institution en instaurant un relationnel solide et une communication ciblée en interne qu'en externe.

Avec une équipe de huit personnes, Marion a su créer un réseau de communication qui valorise la recherche et l'enseignement proposés par l'université. Son job est complexe puisque la faculté du Mans a de très nombreuses parties prenantes et cibles de communication : les étudiants, les collégiens, les parents, les enseignants, le monde de la recherche, les médias et les collectivités. Rien que ça !

Tout au long de l'épisode, ma 92e invitée souligne l'importance de la confiance en soi dans son rôle, tout en maintenant une humilité nécessaire face aux défis quotidiens. Elle insiste sur la polyvalence de la communication, qui requiert une créativité inlassable et une rigueur méthodique.

A la question de savoir comment elle reste informée, Marion explique qu'elle mise sur le relationnel pour être dans la boucle des communications importantes, une tactique renforcée par la présidence de l'université et un réseau de chargés de communication dédiés.

Enfin, Marion aborde la concurrence des villes comme Rennes, Angers, Nantes ou Paris, réputées pour leur vie estudiantine et leurs facultés et rappelle la raison d'être de l'Université du Mans.

En somme, le témoignage de Marion est une source d'inspiration pour quiconque souhaite rejoindre le monde de la communication. Il met en lumière les compétences requises mais aussi les qualités personnelles qui font la force d'un bon communicant. Et si je vous dis que ce que Marion préfère dans son métier tient au relationnel, je crois que je ne trahis aucun secret !

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Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick et du Décodeur de la com et diplômé d'une école de commerce, non loin du Mans !

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Comment créer et lancer une nouvelle banque privée ?

C'est le défi relevé par Catherine Soubirou, directrice Marketing et Communication de Milleis Banque.

Diplômée de l'ESCP, Catherine débute sa carrière chez Disney où elle travaillera durant 5 ans.

Au début des années 2010, Catherine bifurque vers le monde bancaire avant d'entrer en 2017 chez Milleis, jeune banque privée qui compte aujourd'hui 700 collaborateurs.

Là-bas, un défi majeur l'y attend : créer la marque en partant d'une feuille blanche. 

Car figurez-vous qu'aujourd'hui encore, le comité exécutif – dont fait partie Catherine - est réduit à une poignée de collaborateurs de l'entreprise. Et justement, faire partie de cette équipe réduite permet d'avoir une véritable vue d'ensemble sur les enjeux de l'entreprise.

Entre création de son équipe marcom, événements et conquête de clients, Catherine occupe un très beau poste dans une entreprise en croissance. 

Dans ce Best Of N°10 du Décodeur de la Com, vous allez découvrir comment un nouvel acteur s'est lancé sur un marche hautement concurrentiel/

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Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Com et fondateur de l'agence Maverick Communication

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Vacances de Pâques oblige, votre serviteur sera papa à temps plein. Alors, parce que je vous aime chères auditrices & chers auditeurs, revoici Frédéric Fougerat, directeur communication d'Emeria (ex-Foncia Groupe) lors de son tout premier passage dans le Décodeur. 

Rassurez-vous, début mai, de nouveaux épisodes, des hors série sur des sujets brûlants et des conseils très pratiques vous seront proposés.

Enjoy !

C'est la star des dircoms. Mais c'est surtout un grand professionnel, doté d'une grande humilité. Cet homme, c'est Frédéric Fougerat, plus connu sous la "marque" @Fredfougerat sur Twitter.

Auteur de plusieurs livres, Fred a sorti au printemps le Dico de la Com. Une grande première, puisqu'il n'existait pas de dictionnaire de notre beau métier.
Vous pourrez ainsi découvrir des mots de l'imprimerie, qui nous replongent dans une ère pas si révolue, des mots du protocole - la fameuse barrette dixmude - sans oublier ceux qui font le numérique.

Mais, au fait, quel est le parcours de Fred ? Eh bien, vous découvrirez dans le 38e épisode du Décodeur de la Communication qu'il est riche et varié, entre sphère publique hier, et privée aujourd'hui. Quant aux conseils de carrière, je ne saurais trop vous conseiller de jeter une oreille attentive. Prenez des notes, elles vous serviront durant toute votre vie professionnelle.

Pour conclure, sachez que ce nouvel épisode a été un véritable plaisir à enregistrer tant mon invité est un mec bien. 

Laurent FRANCOIS, heureux papa du Décodeur de la Communication et fondateur de Maverick Communication 

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Vous allez ou souhaitez prendre des fonctions de dircom ?

Ce Cahier de Vacances de la Com est fait pour vous !

J'ai en effet demandé à Fred Fougerat, boss de Tenkan Paris et associé de l'agence Les Cogiteurs, de donner ses conseils en la matière.

Avant de se lancer dans l'entrepreneuriat, Fred a été le directeur communication le plus connu de France, avec un dernier poste en date chez Emeria, maison mère de la marque Foncia.

A ma connaissance, il n'existe aucun manuel indiquant comment bien prendre ses fonctions de directeur ou directrice de la com. Alors, que vous soyez un.e professionnel.le confirmé.e de la communication ou un.e débutant.e plein.e d'ambition, prenez des notes. Oui, oui, des notes. Car si cet épisode est court, il est extrêmement dense.

Dans cet épisode, vous allez découvrir comment Fred, dont l'expérience de dircom parle d'elle-même (Altran, Elior, mais aussi la sphère publique) prend ses fonctions dans une nouvelle organisation.

Au programme : 

- comment il s'imprègne de sa nouvelle mission,

- sa relation avec les nouvelles équipes,

- la part d'intuition,

- le budget,

- les agences, 

- les prises de décisions,

- etc.

Bref, cet épisode est celui que j'aurais aimé écouter si j'étais étudiant en communication ou futur dircom.

Alors n'hésitez pas à partager, à mettre 5 étoiles sur Apple Podcasts et Spotify ou encore mettre un commentaire dithyrambique. 

Pour vous inscrire à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1   

Enfin, vous pouvez d'ailleurs acheter son dernier livre sobrement intitulé : "La com est un métier". Ou son super dico de la com.

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Com et de l'agence Maverick

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Comment faire cartonner un podcast B2B et réaliser plus de 100 000 écoutes en 2 ans ? C'est ce que va vous expliquer Juliette Diligent, responsable marketing digital du pôle D.I.R de l'IFCE, institut français du cheval et de l'équitation.

L'IFCE est l’opérateur public au service de la filière équine. Situé à Saumur, il abrite, entre autres, le célébrissime Cadre noir, étendard de l'équitation française à travers le monde.

Revenons à Juliette, ma 89e invitée. Agée de 28 ans et diplômée de l'EFAP, elle a d'abord été stagiaire à l'IFCE puis a décroché un CDD de 10 mois avant de devenir responsable marketing digital.

Le podcast dont elle est responsable s'appelle "Parlons Cheval". Il est destiné aux professionnels et aux amateurs éclairés de la filière équine. Nous sommes donc loin d'un podcast pour enfants sur le poney !

Pour info, le podcast est présenté par l'excellent Laurent Vignaud, qui travaille lui aussi à l'IFCE. Avant Parlons Cheval, Laurent n'avait jamais fait de radio ni présenté de podcast. Chapeau bas !!!!

En 2 ans et une quarantaine d'épisodes en ligne, il a déjà dépassé les 100 000 écoutes ! Un carton total en B2B !!!

Les secrets du succès ? L'éditorial, la production, réalisée par Maverick, mon agence, et un marketing au cordeau. Mais rassurez-vous,

Juliette vous explique tout en détails. Sachez néanmoins que c'est un marathon et un travail de longue haleine que faire cartonner un podcast B2B.

Alors, si vous êtes directeur communication d'une marque qui souhaite lancer son podcast, en B2B ou B2C écoutez bien les tips de Juliette.

En outre, si vous souhaitez travailler dans la communication jetez une oreille attentive aux conseils, qui sont pleins de bon sens.

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Très bonne écoute, abonnez-vous, notez 5 étoiles sur Apple et Spotify et profitez de ce bel épisode.

Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick et producteur de "Parlons Cheval", le podcast de l'IFCE aux 100 000 écoutes.

PS : pour écouter "Parlons Cheval", le podcast dont Juliette a la charge : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/parlons-cheval-le-podcast-de-linstitut-fran%C3%A7ais-du/id1595617979

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Imaginez une communicante aguerrie, capable d’orchestrer des campagnes ambitieuses, de jongler entre réseaux sociaux, relations institutionnelles et grands événements, le tout dans un cadre... religieux. Cette communicante, c'est Marguerite de Clerval-Parent.

Elle dirige la communication du diocèse de Meaux depuis 2017 tout en cassant les codes.

Dirigé par Monseigneur Nahmias, le diocèse de Meaux est en pleine expansion. Dès lors, sa communication est riche et ne se limite pas à un bulletin paroissial.

Entourée d’une équipe dynamique, Marguerite pilote de nombreux projets : chaîne YouTube, publications print, les réseaux sociaux Facebook, Instagram, LinkedIn et même... une campagne de marque employeur, première pour l'Eglise !

Sans oublier les grands événements : ordinations rassemblant jusqu'à 1 300 personnes, pose de premières pierres des 2 églises qui sortiront de terre dans les mois à venir et collecte de dons. Car l’Église vit grâce aux dons de ses fidèles.

Autre grand défi : l’image de l’Église. Marguerite le reconnaît : « On se bat encore contre le stéréotype de l’institution poussiéreuse. » Pourtant, en Seine-et-Marne, l’Église attire de plus en plus de fidèles, de jeunes, et même des adultes demandant à être baptisés. « Il y a une vraie quête de sens dans nos sociétés modernes, et l’Église y répond », souligne-t-elle. Sa mission ? Traduire cette dynamique en messages accessibles, sincères et porteurs d’espoir.

Marguerite parle de son évêque comme d’un bâtisseur, au sens propre et figuré. « Lui qui a tout compris à la communication, il m’a donné une consigne : ne jamais mentir. Ce que nous communiquons doit toujours être vrai. » Ce pragmatisme pousse Marguerite à se dépasser chaque jour. « Quand je suis arrivée, je pensais rester 3 ans. Sept ans plus tard, je suis toujours là, portée par des projets qui ont du sens. » Ce sens, c’est le fil rouge de sa mission.

En somme, vous comprendrez, en écoutant cette première partie de l'épisode en compagnie de Marguerite, que l'Eglise bouge en Seine-et-Marne. Et pour accompagner cette évolution, il faut une dircom de choc, à cent lieues des clichés !

Stay tuned pour la seconde partie de l'entretien avec Marguerite.

Pour faire un don au diocèse de Meaux : https://donner.catho77.fr/adm/~mon-don?_cv=1

Pour voir Anthony, l'alternant en com qui décoiffe au diocèse de Meaux : https://www.youtube.com/watch?v=NfOKjRIVgJU

Découvrez le père Jason, qui vient d'être ordonné prêtre, lui aussi loin des clichés : https://youtu.be/bnRe95fu7nk?si=g7zk3R_vUdSLh6L1

Enfin, la fameuse série de vidéos de marque employeur : https://youtu.be/mTKYT5TULSE?si=CeF_V-9DQI2O2bks

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Si vous regardez le profil Linkedin de Sylvain Lepoutre, vous verrez qu'il est consultant certifié en développement d'audience sur YouTube. Dis comme ça, c'est très sérieux et on a l'impression d'un gars sorti d'un cabinet de conseil. 

Alors je vais vous résumer ça à ma façon : Sylvain, c'est tout simplement le champion pour booster vos audiences sur YouTube.
Depuis 2016, il accompagne les entreprises et les particuliers pour accélérer leurs chaînes YouTube. Concrètement, il a généré 10 millions de vues additionnelles sur la plateforme pour ses clients. Le tout en 100% organique. 

En outre, Sylvain anime 2 chaînes : Mon Petit Reflex et Le Coin des YouTubers, que je suis régulièrement depuis son lancement. 

A chaque fois, il donne des tips d'enfer pour comprendre l'algorithme YouTube ou encore améliorer ses miniatures, etc.

Alors, quand ma fille m'a demandé pour Noël un kit de matériel pour lancer sa chaîne YouTube, je me suis empressé de demander conseil au seul expert digne de ce nom qu'est Sylvain.

Vous l'avez compris, dans le 40e épisode du Décodeur de la Communication, j'échange avec un homme aussi cool que crédible et qui va vous faire exploser les scores sur YouTube.

Très bonne écoute et n'oubliez pas de mettre 5 étoiles sur... Apple Podcasts :)

Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick, du Décodeur de la Com et d'une future star de YouTube âgée de 10 ans

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Oh le joli téléscopage créatif entre Grand Frais et Monoprix Qatar !

Si Joe la Pompe avait été des nôtres lors de l'enregistrement, je suis certain qu'il aurait attribué la Palme de la pompe au spot de pub de Monoprix Qatar, tant il ressemble à celui de Grand Frais, sorti quelques semaines avant.

Dans le 4e épisode du Café de la Com on parle d'une chose habituelle en pub et en communication, à savoir les similitudes créatives.

Notons que sur ce coup, Grand Frais, réagit très bien avec Rosa Paris, son agence, en créant la page https://regalezvousfaitesvotrepub.fr/

Au final, Grand Frais sort grand vainqueur de cette drôle d'histoire.

Mes partners in crime ce jour là :

- Karine Bach, rédactrice et plume d'entreprise ;  

- Jean-François Granat, Directeur marketing et communication dans l'industrie ;

- Patrice Laubignat, fondateur de Word About You.

Très bonne écoute et n'oubliez pas : 5 étoiles sur Apple Podcasts et sur Spotifty !

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Com, du Café de la Com et de l'agence Maverick. Oui, la famille s'agrandit !

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2e épisode de la série "Ma première com de crise". Magali Lafleur, aujourd'hui directrice communication de la FNIL, vous raconte comment elle a géré une crise il y a une dizaine d'années.

La crise arrive par une ONG, qui dénonce la stérilisation avec un produit nocif pour la santé des biberons des nouveaux nés.

A l'époque, Magali travaille dans une autre fédération professionnelle. Cette crise sanitaire, devenue médiatique, peut nuire aux entreprises adhérentes du syndicat professionnel.

Dès le départ, le syndicat professionnel agit avec rapidité. Sans attendre, une équipe de crise est constituée. Le responsable affaires publiques du syndicat professionnel, un porte-parole, un expert technique et Magali constituent cette équipe de choc.

Magali insiste sur l'importance d'être "hyper réactif" et de ne pas temporiser. Chaque seconde compte pour éviter que la situation ne dégénère. "La clé est d'identifier immédiatement tous les profils clés nécessaires pour analyser la situation," explique-t-elle.

Cet épisode vous apprend que dans une crise, l'hésitation peut être fatale.

Les informations sur la contamination des biberons relatées par l'ONG s'avérant fausses, cette crise s'est néanmoins complexe à gérer.

Si aucun des adhérents du syndicat professionnel n'était à incriminer, il fallait apaiser les craintes des parents, du grand public et convaincre les médias.

L'un des éléments frappants du récit de Magali est la mise en place d'une "war room" où toutes les personnes clés, précédemment citées, se réunissent pour uniquement travailler sur la crise. Cette stratégie permet une communication fluide, des décisions rapides et une action concertée. "Il vaut mieux être quelques-uns autour de la table plutôt que de disperser les responsabilités," dit Magali.

Quel message à faire passer aux médias ? Pour Magali, l'essentiel était de le simplifier et de le rendre accessible. Travaillant avec une porte-parole au background scientifique doublée d'une excellente communicante, Magali a su établir des messages limpides et rassurants. Les interviews réalisées étaient directes, les éléments de langage précis. Cela a permis de désamorcer rapidement la crise sur le plan médiatique.

Au-delà de la technique pure, c'est la dimension humaine qui ressort de cet épisode. Magali explique que l'empathie est cruciale, tout comme la capacité à garder son sang-froid.

En période de crise, le sang-froid et la distance permettent de naviguer efficacement. "C'est un métier où il faut réussir à gérer son stress et rester concentré," confie-t-elle.

La crise a été maîtrisée avec succès : le message clair de non-culpabilité a été relayé par les journaux télévisés et la vérité vite rétablie.

Sur un plan plus personnel, Magali exprime sa fierté d'avoir su maintenir le cap. Elle salue l'importance de réagir promptement et de manière concertée. "C'est passionnant cette adrénaline... mais il ne faut pas que cela devienne la norme," conclut-elle avec sagesse.

À travers le récit vibrant de Magali, cet épisode du Décodeur est un véritable guide pratique pour les communicants qui pourraient un jour se trouver face à une crise. Que vous soyez un professionnel de la communication, un dirigeant ou simplement intéressé par les coulisses des crises médiatiques, cet épisode vous offrira des enseignements riches et intenses sur l'art subtil et complexe de la gestion de crise.

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Elodie Lemeunier est la directrice communication de Nestlé France.
Une très belle réussite, évidement. Mais j'ai envie de vous dire qu'Elodie est tout simplement une super nana et quelqu'un de très bien.

Dans cet extrait, elle vous parle de sa manière de donner du feedabck et comment elle réçoit, elle aussi, les feedbacks.

En outre, elle vous parle de sa vision du métier de communicant.e.

Comme je le dis ci-dessus, il ne s'agit que d'un extrait de son épisode à venir.

Elodie vous parlera de son parcours bien sûr, mais aussi de la crise qu'elle a du gérer chez Nestlé : une histoire de pizza, dont vous avez forcément entendu parler.

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Dans le 53e épisode du Décodeur de la Com, vous allez faire la connaissance d'un très grand Directeur de la Communication. Cet homme, c'est Pierre Auberger, dircom du Groupe Bouygues depuis 2009.

Le Groupe Bouygues, ce sont, à l'heure actuelle, 5 grandes entreprises et métiers au travers de Bouygues Construction, Bouygues Immobilier, Colas, Bouygues Telecom et, bien sûr, TF1.

Durant cet épisode, qui ressemble, là encore, à une véritable masterclass, vous allez découvrir les missions de Pierre.
Elles sont au nombre de trois : promouvoir et protéger la marque, informer toutes les parties prenantes du Groupe et, enfin, fédérer l'ensemble des collaborateurs Bouygues, qu'ils soient journalistes à TF1 ou ingénieurs du bâtiment.

Vous allez également vous familiariser avec les 4 valeurs du Groupe Bouygues que sont le respect, la confiance, la créativité et la transmission.

D'ailleurs, attardons-nous sur la transmission, mais cette fois-ci au sens management du terme. Pierre dirige une équipe de 25 personnes et anime un réseau de 300 communicants. Au quotidien, il fait rimer exigence avec bienveillance.
Selon lui, un dircom acquiert sa crédibilité grâce à son savoir-faire mais aussi sa fiabilité. Et croyez-moi, lorsque votre groupe est cotée en bourse, vous devez être aussi humble que « carré ».

Côté rigueur, Pierre en connaît un rayon puisque lorsqu'il était jeune, il voulait devenir marin. Mais sa vue en a décidé autrement. Qu'importe : après sa prépa HEC, il intègre l'Essec. Il fera ses armes dans la grande consommation, entre autres chez Danone, avant de devenir le directeur communication de ce Groupe à l'esprit entrepreneurial qu'est Bouygues.

Au passage, l'histoire permettra à Pierre de revenir à ses premières amours en devenant capitaine de frégate réserviste.

Bref, si vous voulez devenir directeur ou directrice d'un grand groupe coté en bourse, écoutez cet épisode du Décodeur de la Com avec Pierre Auberger. Vous avenir vous remerciera !

Très bonne écoute et n'oubliez pas : 5 étoiles sur Apple Podcasts & Spotify. Merci :)

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Com et de l'agence Maverick.

PS : évidemment, nous avons parlé de RSE. Et là encore, c'est du concret. Pas du green washing !

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Le troisième épisode de la série Badass Ladies nous mène au pays des BioTech avec Clothilde Caillet, directrice communication de Moderna France.

Je ne connaissais pas Clothilde, jusqu'à ce que Valentine Noury, dircom de Suntory France, nous présente. Vous pourrez entendre Valentine dans la série Badass très bientôt.

Hasard de la vie, Clothilde et moi avons étudié à Rennes.

Diplômée de Sciences Po Rennes, Clothilde part en Argentine. Toute seule. De quoi faire frémir ses parents. Mais ce départ vers un pays lointain mais pas si dépaysant, au final, est la pose d'une première pierre d'une vie d'engagement.

Revenue en France, Clothilde, forte d'une très belle formation généraliste, rentre chez Danone, à l'événementiel (la Danone Cup). Elle prend par la suite un poste plus généraliste, toujours à la communication, chez le géant du lait où elle restera un peu plus de 5 ans.

2017 : cap vers Novartis, géant mondial de la pharma où elle restera aussi 5 ans. Une autre très belle expérience.

2022 : premier poste de directrice communication dans une bioTech, GenSight Biologics. L'expérience dure un an et demi, mais Clothilde obtient ce "titre" tant convoité, qui vous fait passer dans une autre ligue, celle des Badass. Et ce, à peine âgée d'une trentaine d'années.

Depuis l'été 2023, Clothilde dirige la communication de Moderna France.

Moderna, vous en avez entendu parler durant la pandémie, grâce à ce fameux procédé qu'est l'ARN messager. Mais concrètement, en quoi consiste le job de Clothilde ?

Eh bien ça, vous allez l'apprendre en écoutant cet épisode du Décodeur de la com. Vous comprendrez que mon invitée Badass est très polyvalente : à la fois capable de faire de la stratégie et de mettre les mains dans le cambouis. D'autant plus que, pour le moment, Clothilde est seule à la com. Ce qui ne l'empêche pas d'avoir de très beaux succès sur notre territoire.

En écoutant ce 3e opus de la série Badass, vous comprendrez que la valeur n'attend pas le nombre des années puisque Clothilde est ma plus jeune dircom invitée dans le podcast. Et comme tous les grands de ce monde, Clothilde est d'une très grande humilité...

En outre, écoutez ses conseils de carrière et ceux qu'elle donne à ses 2 filles, en très bas âge. Vous le verrez, c'est très émouvant et pragmatique à la fois.

Enfin, durant la prochaine heure, vous entendrez le nom, certainement écorché de Chantal Friebertshäuser, qui est Senior VP Emea & Canada de Moderna. Une autre Française à la tête de Moderna, après Stéphane Bancel, worldwide boss et basé aux USA.

Pourquoi je vous parle de Chantal, la super boss de Clothilde ? Tout simplement parce que nous nous sommes connus sur les bancs de Rennes School of Business. J'en profite donc pour la saluer même si cela fait "quelques" années que nous ne nous sommes pas parlé.

Quand je vous disais qu'il n'y a que des heureux hasards dans la vie...

Enfin, parce qu'une dircom badass est aussi "rock n roll" dans l'âme, voici la playlist des badass ladies : https://open.spotify.com/playlist/7L22bZbZSdmBz3BXPjmiU8?si=8acee7fed09649db

Les titres de Clothilde : 23/28

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Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com

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Ah ! Quel plaisir d'échanger avec Catherine Soubirou, directrice marketing et communication de Milleis Banque !

Diplômée de l'ESCP, originaire du sud-ouest, Catherine débute sa carrière chez Disney où elle travaillera durant 5 ans.

Au début des années 2010, Catherine bifurque vers le monde bancaire avant d'entrer en 2017 chez Milleis, jeune banque privée qui compte aujourd'hui 700 collaborateurs.

Là-bas, un défi majeur l'y attend : créer la marque en partant d'une feuille blanche. 

Car figurez-vous qu'aujourd'hui encore, le comité exécutif – dont fait partie Catherine - est réduit à une poignée de collaborateurs de l'entreprise. Et justement, faire partie de cette équipe réduite permet d'avoir une véritable vue d'ensemble sur les enjeux de l'entreprise.

Entre création de son équipe marcom, composée d'une vingtaine de personnes, événements et conquête de clients, Catherine occupe un très beau poste dans une entreprise en croissance. 

Quant à l'ambiance chez Milleis, eh bien je peux vous dire qu'en tant que visiteur, je n'ai croisé que des gens charmants qui, à l'instar de Catherine, sont heureux de venir bosser le matin.

Dans ce 46e épisode du Décodeur de la Com, vous allez donc faire connaissance avec une grande pro de la com & du marketing, humble et cool. Dès lors, je ne saurais trop vous inciter à écouter les conseils de carrière de Catherine.

Très bonne écoute et n'oubliez pas : 5 étoiles + commentaire sympa sur Apple Podcasts et Spotify !

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Com et fondateur de l'agence Maverick Communication

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L'intelligence artificielle (IA) générative est-elle en train de tuer les métiers de la rédaction comme le copywriting ou le ghostwriting ?

C'est la question que j'ai posée à 5 plumes que sont Karine Bach, Sébastien Beaujault, Tom Frankson, Patrice Laubignat et Ophélie Poty.

Leurs réponses sont assez surprenantes. Alors je vous conseille d'écouter cet Avent de la Com, qui est mon cadeau de Noel !

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Laurent FRANCOIS, intelligence humaine qui utilise l'IA et qui dirige l'agence Maverick depuis 2010..

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20 minutes pour comprendre ET apprendre l'art du prompt, ça vous dit ?

Sébastien Beaujault, formateur en intelligence artificielle générative, partage son expertise.

Je vous rassure, Seb n'est pas un p*tain de geek. Bien au contraire, c'est un véritable communicant qui vient du monde de l'écriture.

Du copywriting à la formation : un parcours guidé par l’écriture
Sébastien se décrit avant tout comme un homme de mots, un "peuple de l’écriture" comme il aime à le dire. Ancien copywriter, il a bâti sa carrière autour de la précision et de la créativité, deux qualités essentielles qu’il applique aujourd’hui à l’utilisation des outils d’intelligence artificielle comme ChatGPT.
Avec une approche rigoureuse héritée de son expérience de rédacteur, il aide ses clients à structurer leurs prompts pour obtenir des résultats concrets et différenciants.

Les clés d’un bon prompt selon Sébastien

1. Donner un rôle clair à ChatGPT : "Imaginez que vous briefez un stagiaire. Plus vous êtes précis, meilleure sera la réponse." Par exemple, lui demander d’agir en tant qu’expert marketing ou conseiller stratégique.

2. Apporter du contexte : détaillez la cible, les objectifs et les contraintes pour guider la réponse.

3. Structurer la commande : Sébastien recommande de fractionner la demande en étapes claires, comme créer un plan, définir des priorités ou exclure certains thèmes.

Un formateur qui prône la personnalisation
Sébastien va encore plus loin en insistant sur l’importance de personnaliser ChatGPT. Une fonctionnalité souvent ignorée permet d’indiquer son métier, son secteur d’activité et ses missions. "Plus l’outil vous connaît, plus il sera pertinent", explique-t-il.

Une réflexion au-delà du contenu
Sébastien ne voit pas ChatGPT uniquement comme un producteur de contenu, mais aussi comme un véritable partenaire stratégique. Lui-même en a fait l’expérience lorsqu’il a utilisé l’outil pour réfléchir à l’évolution de sa carrière. "J’ai demandé à ChatGPT de me challenger sur mes choix professionnels, et il m’a ouvert les yeux sur des opportunités que je n’avais pas envisagées, comme la formation."

Je vous rassure, Seb ne fait partie de ces cinglés qui demandent tout à ChatGPT. Mais je dois vous avouer que c'est grâce à lui que j'utilise l'IA tous les jours désormais. Et ce, pour des tâches pénibles (ex : trier des fichiers) ou du travail de recommandation stratégique...

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Avec ce mois de décembre et les fêtes qui s'annoncent, voici un Best Of du Décodeur de la Communication. L'occasion de (re)découvrir des épisodes qui ont marqué le podcast. On commence par Marie-Doha Besancenot, directrice RSE, communication et marque de l'assureur Allianz France.

Très bonne écoute et n'oubliez pas de mettre 5 étoiles et un commentaire sur Apple podcasts.

Laurent FRANCOIS, papa du décodeur de la com, de l'agence Maverick et d'une petite Alice qui aura 10 ans le 1er janvier 😍

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Si vous avez regardé les Jeux Olympiques et Paralympiques cet été, vous avez probablement remarqué qu'Allianz était le partenaire de ces grands rendez-vous du sport.

Marie-Doha Besancenot dirige la RSE, la marque et la communication de la filiale française de l'assureur. Et autant vous le dire d'emblée, son parcours professionnel mérite une médaille d'or tant il est impressionnant.

Tout commence à l'école, où Marie-Doha étuide les lettres et les langues (elle parle couramment l'anglais et l'allemand). Puis vient Normale Sup, avec une thèse sur la littérature américaine. Et là, retour à l'école, mais cette fois-ci de l'autre côté du pupitre, pour devenir enseignante à la fac de Nanterre.

Fast forward. 

2009. François Fillon, alors Premier ministre, lui demande d'écrire ses discours.

2012 : Marie-Doha part travailler à Londres, à l'ambassade de France. Durant deux ans, elle fait la promotion de nos artistes en Angleterre.

Mais comment Marie est-elle entrée dans les assurances me direz-vous ? Eh bien, par la langue de Goethe !

Le reste ressemble à un parcours sans faute qui, en 7 ans, lui permet aujourd'hui d'être la dircom, marque et RSE d'Allianz France, à la tête d'une équipe de 60 personnes.

En outre, Marie-Doha va vous donner des conseils de carrière de premier plan. A ce titre, je ne saurais trop conseiller aux jeunes femmes qui nous écoutent de jeter une oreille attentive à ses propos.

Bref, ce 32e épisode du Décodeur de la Com est particulièrement inspirant et je suis très heureux de vous le faire découvrir.

Très bonne écoute et n'oubliez pas de noter 5 étoiles sur Apple Podcasts. Vous pouvez également un commentaire, cela fait toujours plaisir. 

Et si vous avez des invité.e.s en tête, n'hésitez pas à me les suggérer.

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Communication et fondateur de l'agence Maverick. Je vous souhaite de très joyeuses fêtes

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A l'âge de 12 ans, Arthur Plantard passe devant le 133 avenue des Champs-Elysées. Il demande quelle est l'entreprise qui y est domiciliée et sa prof de l'époque lui répond qu'il s'agit de Publicis, groupe mondial de communication.

Intrigué, Arthur se renseigne, découvre le monde de la com et décide d'en faire plus tard son métier. Vous me direz qu'il s'agit d'un caprice de gamin ? Non !

15 ans après, Arthur travaille bel et bien pour la maison Publicis, en tant que New Business Manager chez Publicis Média.

Le new business, ou new biz, c'est tout simplement le développement et la recherche de nouveaux clients.

Un métier que j'affectionne particulièrement car, moi aussi, j'ai débuté dans la communication au new biz d'une agence Publicis.

Alors, dans le 41e épisode du Décodeur de la Communication, Arthur et moi avons parlé de stratégie média, de parcours d'achat, de digital et de Rennes School of Business, dont nous sommes tous deux diplômés.

Si vous bien lu ce texte, vous avez compris qu'Arthur est en début de carrière. Il était grand temps de donner la parole à des jeunes du secteur de la com, du marketing et du digital. Je le ferai désormais régulièrement et, si vous avez des gens à me recommander, contactez-moi. 

La relève de la com est déjà là et je l'invite à venir témoigner dans le podcast, car, vous le savez, la valeur n'attend pas le nombre des années !

Très bonne écoute et n'oubliez pas de mettre 5 étoiles sur Apple Podcasts !

Laurent FRANCOIS, fondateur de Maverick Communication, papa du Décodeur de la com et ancien jeune

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Comment rédiger un discours pour une personnalité de haut rang, que ce soit un grand dirigeant ou un politique ?

Frédéric Vallois, directeur communication externe de Prisma Media, vous donne sa "méthodologie".

Quand je parle de méthodologie, sachez qu'il n'en existe pas réellement, au sens académique du terme, même si Sciences Po et Normale Sup s'y sont mis il y a peu.

Ecrire des discours est tout art, surtout quand vous écrivez pour les autres. Les autres, ce sont la personne qui va prononcer le discours ET le public. Comme vous l'imaginerez aisément, les gens qui écouteront le discours peuvent varier : actionnaires, média, collaborateurs, etc.

Comment captiver l'auditoire ? Frédéric vous répond et je parie que vous serez surpris de sa "méthode", qu'il compare à un vol d'avion.

En outre, il vous explique les difficultés à connaître la personnalité pour laquelle il écrit. Je n'en dis pas plus, mais il est question, entre autres, de temps.

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Très bonne écoute et s'il vous plait, abonnez-vous au Décodeur !

Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com

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Aujourd'hui, dans le Décodeur de la com, nous parlons Communication et RSE.

Rien de nouveau sous le soleil me direz-vous, puisque le sujet fait partie des missions des communicant.e.s depuis de nombreuses années ? Que nenni !
En 2024, tendons vers moins de vert pour plus de responsabilité.

Mais, au fait, c'est quoi la RSE ?
La RSE, c'est la responsabilité sociale des entreprises. A moins que le « S » de l'acronyme ne signifie sociétale. Le débat fait encore rage. 

Quelle que soit sa définition exacte, une chose est certaine pour moi : la RSE ne doit pas être rattachée à la communication. Et ce ne sont pas mes acolytes Patrice Laubignat, boss de EforBrands, et Jean-François Granat, directeur marketing et communication de Rhenus France, qui me contrediront. 

Autant vous prévenir, cet épisode est riche. Très riche même.

Nous abordons, pêle-mêle :

- les problématiques de recrutement des entreprises, car oui, la marque employeur fait partie de la RSE, ainsi que le rôle que nous devons TOUS jouer ;

- les parties prenantes ; 

- les mots valises, comme l'engagement ou les valeurs ; 

- la raison d'être ; 

- et, bien sûr, le green washing.

Au-delà de ces thèmes, nous nous attardons sur la notion de responsabilité. 

Car OK, sauver les ours polaires, c'est formidable. Mais est-ce la mission de toutes les organisations ? 

En somme, pour agir de manière responsable, certes tous les gestes comptent, mais il faut aussi choisir ses grands combats. Et on ne peut pas être sur tous les fronts.

Côté communication, la RSE est bien plus subtile qu'une pub produit ou des indicateurs de performance environnementale.

La RSE, c'est communiquer sur ce qu'on fait et aussi sur ce qu'on ne fait pas. On peut même parler de ses échecs en la matière. Si, si ! Et si vous voulez un exemple de communication d'entreprise, attardez-vous sur Patagonia. Je vous rassure, ni Patrice ni Jean-François ni moi ne sommes sponsorisés par la marque ^^

Le reste est dans le troisième Hors Série du Décodeur de la Communication et j'espère qu'il vous ouvrira les yeux sur ce sujet O combien essentiel.

Très bonne écoute et n'oubliez pas : 5 étoiles sur Apple et Spotify aident à booster le podcast ! Merci d'avance.

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Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com

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Vous souhaitez savoir comment lancer une campagne de relations presse ? 

Le premier Cahier de Vacances du Décodeur de la Com est fait pour vous !

Nadjet Boubekeur, directrice des relations presse vous explique tout.

Pour info, Nadjet était jusqu'à très récemment la directrice des relations média d'un ministre. Elle a également travaillé chez Emeria, dans l'équipe de Fred Fougerat.

Au programme de votre cahier de vacances : 

- Comment écrire un communiqué de presse ?

- Quelle différence avec un Dossier de presse ?

- Comment aborder les journalistes et comment avoir des retombées dans la presse et les média ?

Autant de points de douleurs pour celles et ceux qui veulent faire des RP sans s'y connaître, et dont Nadjet vous parle avec toute la passion qui la caractérise.

Dans cet épisode, vous allez aussi comprendre pourquoi on appelle ça les RELATIONS presse.

Un indice : ce n'est pas pour rien si j'ai mis le terme en capitales.

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Très bonne écoute et svp, notez 5 étoiles sur Apple Podcasts et Spotify.

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Com et de l'agence Maverick

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Coralie Cornet dirige la communication d'Argos Wityu, fonds d'investissements présent dans 6 pays d'Europe. Durant 5 à 7 ans, l'entreprise prend des participations majoritaires dans des PME et ETI qu'elle aide à se développer. Chaque année, elle compte une vingtaine de sociétés en portefeuille.

Outre ses missions classiques de directrice communication – développement de l'image du fonds et gestion des différentes prises de parole – Coralie est à la tête d'un club qu'elle a créé avec l'ensemble des communicants et marketeux des entreprises contrôlées par Argos Wityu.

Cette double casquette, associée à une grande diversité de projets, de profils et de cultures, rend le job de Coralie absolument passionnant.

C'est donc avec grand plaisir que je vous laisse découvrir cette femme aussi humaine qu'enjouée, triathlète et maman de 3 enfants.

Restez bien jusqu'à la fin de ce nouvel épisode du Décodeur de la com, car Coralie va vous donner des conseils de carrière. Et ils vont à l'encontre des conventions, croyez-moi !

Enfin, dernier point : vous êtes de plus en plus nombreux à écouter le podcast. Je tiens  à vous remercier de votre fidélité et vous invite à rameuter tous vos amis, à partager, commenter et, bien sûr, noter 5 étoiles :)

Très bonne écoute, vous allez passer un super moment en compagnie de Coralie !  

Laurent FRANCOIS, instigateur du Décodeur de la Communication, boss de l'agence Maverick Communication et papa gaga d'une pré-ado qui veut devenir YouTubeuse. 

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Dans cet épisode du Décodeur de la Com, je reçois Damien de Foucault, fondateur d'Adkemix.

Damien décrypte un pan souvent ignoré de la communication : l'achat média . Et bonne nouvelle, la télé se digitalise. Cela représente pour les marques l'occasion de mieux cibler leurs pubs et, pour les téléspectateurs et consommateurs, moins d'agacement !

De l'achat d'espace à la stratégie média

Commençons par l'achat media. Autrefois, l'achat d'espace publicitaire se limitait à la télé, la radio et la presse, avec des indicateurs comme le GRP (Gross Rating Point). Aujourd'hui, la digitalisation a introduit de nouveaux standards comme le CPM (Coût pour Mille) et a bouleversé les méthodes de mesure et de diffusion. Loin d'être une simple transaction commerciale, l'achat média est devenu un véritable levier stratégique.

L'essor de la publicité adressée et le rôle de la tech

L'un des grands changements du secteur est l'apparition de la publicité adressée, notamment à la télévision. Grâce à des technologies avancées comme l'ad-stitching et les fameux cookies, il est désormais possible de cibler précisément les audiences. Damien explique comment les ad-servers arrivent en télévision, permettant aux marques d'afficher des messages différents en fonction du profil du spectateur.

La télévision se réinvente

Contrairement aux idées reçues, la télévision n'est pas un média en déclin, mais en pleine transformation. L'émergence de plateformes comme TF1+ et M6+ suit le modèle de Netflix, intégrant des solutions de VOD et de replay enrichies par la publicité digitale. De nouvelles formes d'affichage, comme les bannières en L (L-shape), permettent d'intégrer la publicité de manière plus fluide et interactive.

L'équilibre entre publicité et acceptabilité

Face à la montée de la publiphobie, il est crucial de repenser la pub pour qu'elle soit moins intrusive et plus pertinente. Un bon ciblage permet non seulement d'éviter le gaspillage publicitaire, mais aussi d'améliorer l'expérience utilisateur. Comme le souligne Damien, "une bonne publicité est celle qui arrive au bon moment, à la bonne personne".

Adkemix : accompagner la révolution média

Avec Adkemix, Damien accompagne les acteurs du marché dans cette transition numérique. Son objectif ? Aider les diffuseurs et les annonceurs à expérimenter et intégrer ces nouvelles technologies pour une publicité plus efficace et mieux acceptée.

Cet épisode apporte un éclairage passionnant sur un secteur en pleine mutation et montre comment la technologie peut être un formidable levier d'innovation pour la communication et la publicité.

En somme, cet épisode du Décodeur est annonciateur de bonnes nouvelles : en permettant de cibler les pubs, grâce à la digitalisation, la télé se réinvente. Comme quoi, aujourd'hui encore, rien ne se perd et tout se transforme !

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Depuis que j'ai commencé à travailler dans la communication en 1999, j'ai vu très peu de Diversité ethnique dans notre beau secteur.

En effet, a haut niveau, je n'ai rencontré que très rarement des dircom ou dirigeants d'agence qui étaient noirs, maghrébins ou asiatiques.

Quelles sont les raisons de ce manque de Diversité ? 

Je suis allé poser la question à Nadjet Boubekeur et Fawaz Mamah, qui travaillent tous deux au service communication d'Emeria, ex-Foncia Groupe.

La première raison tient, selon eux, au manque d'information sur les métiers de la communication.
J'en suis d'ailleurs le parfait exemple : jusqu'à ce je travaille dans la com, je ne connaissais aucune école ni formation qui préparait au plus beau métier du monde.

Aujourd'hui, à l'heure des réseaux sociaux, l'info est néanmoins plus accessible. A condition, bien entendu, d'être motivé pour aller la chercher.

La seconde raison est quant à elle culturelle : être issu de la Diversité, c'est parfois ne pas s'autoriser à faire des études prestigieuses. Entre les profs pragmatiques qui orientent vers une formation « plus adaptée » et nos croyances limitantes, on peut se retrouver sur une voie de garage.

Troisème raison : les écoles de communication, malgré leurs efforts indéniables, doivent faire encore plus en portant la bonne parole dans des quartiers moins habituels.

Les entreprises ont évidemment un très grand rôle à jouer car les solutions existent et je vous laisse les découvrir dans l'épisode.

A ce propos, on ne peut que saluer l'engagement de Frédéric Fougerat, qui, depuis toujours, lutte contre les discriminations de manière discrète mais diablement efficace. 

La preuve en est : le service communication d'Emeria ne comporte aucun clone. Pas une personne ne se ressemble. De l'aveu de Nadjet et Fawaz, c'est une force indéniable.

Enfin, nous aborderons les Role Models, l'image de la Diversité dans les médias, qui ont une part essentielle à jouer, ainsi que l'entrepreneuriat.

Si la Diversité vous parle, je suis certain que ce 6e hors série du Décodeur vous plaira.

Très bonne écoute et n'oubliez pas : 5 étoiles sur Apple Podcasts et Spotify !

Merci d'avance,

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Com, de l'agence Maverick et issu d'un mélange improbable entre la Martinique, l'Algérie et la région toulousaine !

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Ah la marque employeur.... Pour certaines elle n'existe pas. Pour d'autres, comme mon invitée Christel de Foucault, c'est THE sujet des mois à venir, tant les entreprises peinent à recruter actuellement !

Je connais bien le sujet car figurez-vous qu'à la toute fin de 20e siècle, j'ai fait mes débuts dans la communication chez Publicis, au sein d'une agence spécialiste de la marque employeur.

Aujourd'hui, elle ne se limite plus à des campagnes de com insipides et à des achats d'annonces sur les jobboards.
Bien au contraire, la marque employeur a pris de l'épaisseur, mêlant emploi, recrutement, RSE et business.

Alors, parce que je vous aime chers auditeurs, j'ai demandé à Christel, ex-recruteuse devenue auteure, de me parler de son livre « Entreprises, 7 leviers pour renforcer votre pouvoir d'attraction », qui traite, vous l'avez compris, de la marque employeur.

Dans ce 4e épisode des Cahiers de Vacances de la Com, nous allons débullshiter la marque employeur, voir comment s'y prendre pour tisser à long terme des relations avec les candidats et recruter en période fortes tensions.

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Très bonne écoute.

Laurent FRANCOIS, papa des podcasts Je Suis, Le Décodeur de la Communication et fondateur de l'agence Maverick 

PS : un commentaire + 5 étoiles sur Apple Podcasts et Spotify = ❤️ 

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La communication interne existe-t-elle encore en 2023 ?

Voici une excellente question que j'ai posée à Mary Mackay, responsable com interne à l'agglomération du Pays de Montbéliard et David Bessis, responsable de la communication chez Rubix.

En effet, la communication interne que j'ai connue en début de carrière, que je trouvais assez peu attractive, a beaucoup changé. En partie grâce au Covid, qui lui a donné ou redonné ses lettres de noblesse. Car, souvenez-vous, il a fallu maintenir le lien avec les équipes alors que tout le monde était chez soi.

Pour autant, 3 ans après, est-ce que cette période "dorée" de la com interne perdure encore ? Mes invités vous répondent en toute transparence.

Qui dit communication interne dit collaborateurs ou agents. Comment les accompagner dans leur prise de parole sur les réseaux sociaux ? D'ailleurs, est-ce réellement possible ? Les kits de com internes sont-ils utiles ? Et quid la prise de paroles des équipes ou de l'événementiel ? Autant de sujets abordés avec Mary et David.

D'ailleurs, quand je parle d'événementiel à mes invités, ils avouent que c'est leur grand kiff de com interne.

Au final, la communication interne est un excellent tremplin pour effectuer une très belle carrière dans la communication. Et, croyez-moi, David et Mary ont plus d'un argument pour vous faire aimer la com interne. D'ailleurs, ils vous diront qu'aujourd'hui, les frontières entre la communication interne et externe sont de plus en plus ténues !

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Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick et du Décodeur de la com

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Mal de dos ? Le bon traitement, c'est le mouvement. Je suis certain que vous vu ce superbe spot de sensibilisation de l'Assurance Maladie. Cette campagne, maintes fois primées, nous la devons aux équipes de Stéphane Fouquet et ses agences.

Pourtant, rien ne prédestinait Stéphane au monde de la communication et de la publicité. Bac scientifique en poche, il décide d'étudier l'histoire et la géopolitique. Après un stage au Parlement européen, où il contracte le virus de la com, Stéphane enchaîne sur un Master en communication interpersonnelle. De fil en aiguille, il trouve un premier emploi à la Caisse Primaire d'Assurance Maladie de la Sarthe.

Aujourd'hui responsable du département campagnes et communication relationnelle de la CNAM, Stéphane va vous donner des conseils de carrière très concrets. Selon lui, il ne faut jamais hésiter à demander ce que vous allez faire lors de vos stages ou premiers jobs.

Au-delà du boulot au quotidien, nous allons revenir en profondeur sur la très belle campagne sur le mal de dos, destinée à sensibiliser l'ensemble des Français. 

Dès lors, si vous avez encore des préjugés sur la communication publique, je parie que vous allez vous laisser séduire par l'excellent Stéphane Fouquet. Car oui, la com publique, c'est la Ligue des Champions de la com et la pub.

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Laurent FRANCOIS, fondateur de l'agence Maverick, papa du Décodeur de la Communication et fan de com publique

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Pour ce retour à la série Badass, nous nous intéressons au parcours d'Isabelle Duvernay, dircom, marketing et RSE du Groupe CCF.

Je dois vous avouer que j'ai dérogé à ma règle. En effet, Isabelle est passée en juin dernier dans le Décodeur. Pourquoi ai-je dérogé ? Tout simplement parce qu'Isabelle m'a inspiré la série Badass ! Mais rassurez-vous, cet épisode est totalement inédit.

Isabelle partage son parcours mais aussi les apprentissages tirés tout au long de sa carrière. Entre ligne de production d'usine, vente à New York et monde des assurances, bienvenue dans son parcours Badass.

Diplômée de l'Edhec, Isabelle débute chez Danone. De ses premiers pas dans les usines jusqu'à ses responsabilités de chef de produit en passant par la prévision des ventes, Isabelle dévoile comment cette expérience l'a formée.

Septembre 2001, elle décide de partir aux États-Unis, sans permis de travail, juste après l'effondrement des tours jumelles.

Là-bas, elle apprend la résilience, décroche un poste de vendeuse, avant de travailler chez l'Occitane grâce à sa persévérance.

Cette période est, pour Isabelle, révélatrice de la méritocratie américaine et de l’importance de saisir les opportunités, aussi inattendues soient-elles.

Après 3 années enrichissantes aux States, Isabelle revient en France chez... Danone ! Cette fois-ci pour gérer des marques emblématiques comme Mikado et Pépito. Et puis la vie lui fait prendre un autre chemin : celui d'Axa.

En douze ans, mon invitée occupe divers postes, du marketing à la direction de marque, en passant par des fonctions de Chief of Staff. Cette polyvalence dans ses rôles lui permet de développer de nouvelles compétences mais surtout de vivre une carrière dynamique et épanouissante.

Que vous soyez en début de carrière, senior ou en pleine reconversion, cet épisode est une véritable masterclass sur la résilience, la détermination et l'excellence professionnelle.

Aujourd'hui à la tête du marketing, de la communication et de la RSE du Groupe CCF, Isabelle incarne parfaitement la culture entrepreneuriale de grandes entreprises.

Elle partage également 3 conseils à ceux qui souhaitent se lancer dans les métiers de la communication :

1. Rester ouvert aux opportunités

2. Cultiver la curiosité

3. Construire son réseau

Ces conseils, très pragmatiques, reflètent l’approche d’Isabelle Duvernay : ouverte et tournée vers l’avenir. Pour les jeunes communicants, elle se pose en modèle de réussite, prouvant qu'une carrière dans la communication peut être à la fois passionnante et pleine de rebondissements. Alors, prêts à découvrir un parcours Badass ?

Si vous souhaitez découvrir comment Isabelle remodèle la marque CCF : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/faire-rena%C3%AEtre-une-marque-bancaire-et-s%C3%A9culaire-isabelle/id1532638419?i=1000658865449

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Très bonne écoute, abonnez-vous au Décodeur et très bonne rentrée à tous !

Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com

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La place des femmes dans la communication : vaste sujet.

Cet extrait donne le ton sur la série de discutions qui auront lieu, dans les semaines à venir, avec des femmes et des hommes aux responsabilités dans notre beau métier.

Céline Branaa-Roche et Juliette Roégé ouvrent le bal. Merci à elles de s'exprimer sans langue de bois. L'épisode intégral sortira d'ici quelques jours. 

Dans l'immédiat, écoutez ce qu'elles pensent de la cooptation entre hommes, de la considération de la communication et de celle des femmes dans le secteur.
Et, plus loin encore, de la place de l'éducation.

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Très bonne écoute et n'oubliez pas, s'il vous plait de : de vous ABONNER au podcast de noter 5 étoiles sur Apple et Spotify.

Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick et du Décodeur de la com

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Amélie Marzouk et la photographie, c'est une histoire d'amour qui débute à l'adolescence.

Mais ses parents et la raison ont raison de ses envies de photo. Alors Amélie, qui est une vraie littéraire, opte pour une formation en communication.

Après une première expérience chez Prisma, elle entre dans les assurances. Un secteur auquel elle ne connait rien ; mais vu qu'elle apprend vite, elle finit par s'y plaire en mettant en place de beaux projets. 

Et puis, à la trentaine, sa petite voix intérieure lui rappelle son amour de la photo. 

Quel fut le détonateur de ce changement de vie ? Je vous laisse le découvrir en écoutant le 18e épisode du Décodeur de la Communication.

Mais je peux vous assurer qu'Amélie est une photographe portraitiste de grand talent qui met ses clients à l'aise et sait magnifier leur personnalité. Sa connaissance de la psychologie n'y est d'ailleurs pas étrangère.

Très bonne écoute et n'oubliez pas de noter 5 étoiles sur votre plateforme de podcasting préférée !

Laurent FRANCOIS, instigateur du Décodeur de la Com et fondateur de l'agence Maverick

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"Dites-donc mon petit, vous irez me chercher une coupe de champagne ?" 

"Vous êtes très en beauté ce soir" et hop, une petote main baladeuse...

"Elle a ses règles ou quoi ?"

Dans la communication aussi, les femmes ont encore droit à ce genre de propos ou gestes déplacés. Ca suffit.

Ce petit florilège de beauferies masculines n'a plus lieu d'être en 2023, comme en témoignent Juliette Rogé et Céline Braana-Roche. 

Désolé de casser l'ambiance avec cet avent de la com pas très drôle.

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Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick et du décodeur de la com

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Magali Lafleur est aujourd'hui la directrice de la communication de la FNIL, fédération nationale de l'industrie laitière.

Magali et moi nous sommes connus lorsqu'elle était responsable communication à l'Alliance 7, fédération professionnelle de l'agroalimentaire qui regroupe plusieurs syndicats dont celui du chocolat, du miel ou encore du café, etc.

Magali est une battante : jamais à court d'arguments, elle aime convaincre et lancer de belles campagnes, créatives. Dotée d'un très grand sens du collectif, elle part néanmoins en 2021 chez Nestlé, après onze années de bons et loyaux services à l'Alliance 7.

Aujourd'hui, dircom, Magali vous parle, dans cette première partie, de son ascension et de son amibition. Je vous rassure tout de suite : Magali n'a pas les dents qui raillent le planchon. Mais elle sait ce qu'elle veut dans la vie est ça, c'est une formidable qualité.

Magali reviendra dans une seconde partie où elle parelera de son quotidien de dircom de la FNIL.

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Très bonne écoute et voyez à quel point devenir dircom est loin d'être simple.... Mais le jeu en vaut la chandelle ! 

Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick et du Décodeur de la com

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Comment mettre en place une stratégie de communication sur les réseaux sociaux ? C'est l'épineux sujet que nous abordons avec Fawaz Mamah dans le 56e épisode du Décodeur de la Com.

Chef de projet réseaux sociaux chez Emeria, ex-Foncia Groupe, Fawaz a démarré sa carrière en tant que community manager.

Un apprentissage qui a eu le mérite de le confronter à la dure réalité du métier de CM : modérer le compte d'une entreprise comme Emeria est parfois difficile de par les attaques, voire les insultes, de certaines personnes. Il faut donc avoir le cœur bien accroché.

Fort de cette première expérience, Fawaz, aujourd'hui chef de projet, vous donne des conseils en matière de stratégie sur les réseaux sociaux.

Car lancer une marque n'est pas la même chose que pratiquer les RS comme un simple utilisateur.

Quid de l'image ? Quel réseaux social utiliser pour vendre ? Quelles différences fondamentales entre Twitter, Facebook, Instagram, Linkedin, etc ? 

Voici les questions auxquelles répond Fawaz avec le brio qui le caractérise.

Malgré son jeune âge – 27 ans – Fawaz a roulé sa bosse et connu quelques déboires côté boulot. Il nous en parle et rappelle qu'il ne faut absolument rien lâcher. Vous le verrez, il a su provoquer la chance en rencontrant les bonnes réponses, comme Fred Fougerat, qui a son rond de serviette dans le Décodeur et qui reviendra très bientôt.

Très bonne écoute à tou.te.s et n'hésitez pas à appliquer les bons conseils de Fawaz si vous souhaitez lancer votre marque sur les réseaux sociaux !

Et bien sûr : 5 étoiles sur Apple et Spotify. Merki !

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Communication et actuellement en vacances :)

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En mai & juin, les samedis et dimanches, vous pourrez écouter des capsules de conseils des invités du Décodeur de la Com.

Fred Fougerat, président de Tenkan Paris, ouvre le bal. Il vous explique que pour faire carrière dans la communication, mieux vaut être passionné et engagé.

Alors, si pour vous job rime avec pépère et 9h-17h, laissez les métiers de la com aux autres. Car oui, comme le dit si bien Fred, la com est un métier.
Ou plutôt DES métiers, car un attaché de presse n'a rien à voir avec un graphiste ou un responsable événementiel !

Très bonne écoute et n'oubliez pas de noter 5 étoiles sur Apple Podcasts et Spotify !

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Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Com et de l'agence Maverick 

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Dans le 55ème épisode du Décodeur de la Communication, vous allez faire la connaissance d'une femme engagée au sens le plus noble du terme.

Après un parcours en agence, chez Publicis, puis en collectivité, Hortense Peltier, est aujourd'hui directrice communication de l'Adie, association pour le droit à l'initiative économique.

Sa vie semble guidée par le sens. Rien de plus normal quand on est une tête bien faite me direz-vous ? Oui, évidemment. Mais, déjà, Hortense, lors de son passage chez Publicis, s'investit à la Croix Rouge en tant que bénévole.

Sa carrière prend une autre direction lorsqu'elle rejoint la ville du Pré Saint-Gervais en tant que dircom. Puis vient le tour d'Est Ensemble, établissement public territorial qui regroupe 9 villes du 93, durant 7 ans et demi en tant que responsable de la communication institutionnelle et interne.

Durant cet épisode, vous allez découvrir l'Adie, association reconnue d'utilité publique, qui aide les entrepreneurs grâce à des micro crédits.

Vous allez également comprendre à quel point la com publique et territoriale est passionnante, loin des clichés qui lui collent à la peau.

Enfin, vous comprendrez qu'Hortense rime justement avec sens et que ce n'est pas un hasard.

Très bonne écoute et n'oubliez pas les 5 étoiles sur Apple et Spotify, car ça compte pour booster le podcast. Et ça me file également la pêche.

Laurent FRANCOIS, boss de l'agence Maverick et papa du Décodeur de la Com

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Trop de contenu tue le contenu.

À l’ère de l’hyper-communication, beaucoup de marques inondent les réseaux sociaux d’informations sans grande valeur.

Jean-François Granat et Patrice Laubignat soulignent que la surproduction de contenus a des conséquences : elle fatigue le public et peut nuire à sa santé mentale, notamment chez les jeunes, fragilisés par un flux incessant d’images et de messages.

Pour eux, la responsabilité des marques est donc d’apporter du sens et d’éviter de polluer inutilement l’espace numérique.

Leur appel à « mieux communiquer » passe par une prise de recul et une meilleure compréhension de l’audience.

Plutôt que d’accumuler des publications, privilégions un contenu qui informe et élève. Un contenu qui place le consommateur au centre de la stratégie.

Comme le dit Patrice, le véritable héros d’une marque, c’est le client, et non le produit. Une relation authentique et sincère avec lui repose sur la qualité du message, pas sur sa fréquence. De là à faire "moins mais mieux", comme il le répète, il n'y a qu'un pas...

Cet épisode invite ainsi les marques et les communicants à réfléchir à leur impact et à adopter une démarche de « sobriété » en communication. Parce que communiquer, c’est aussi faire preuve de responsabilité en respectant l’attention du public, leur temps et, en fin de compte, leur bien-être.

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Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !

Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com

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Valérie Guittard est responsable communication chez Orange, division entreprises, en région grand Sud-Ouest. Son épisode a d'ailleurs été enregistré à Toulouse, au siège d'Orange Tolosa où trône, dans l'entrée, une statue de Monsieur Claude Nougaro.

Revenons à Valérie, mon invitée. Arrivée en avril 1997 chez l'opérateur historique, elle vous explique comment et pourquoi tout bon communicant doit se faire connaître du comité de direction. Cela évite d'être sollicité à la dernière minute et permet d'asseoir sa crédibilité ainsi que celle de la fonction.

Et pour cause : la communication est une fonction stratégique ; pas une fonction support.

Elle met en lumière les réussites de ses premiers clients que sont les collaborateurs de l'entreprise.

De là à dire que la communication interne est essentielle il n'y a qu'un pas.

D'autant plus que Valérie a débuté sa carrière de communicante par l'interne.

Toute bonne communication commence donc... par une bonne com interne !

Cet extrait préfigure un épisode très dense où nous aborderons la nouvelle signature de marque d'Orange – que Valérie m'a magnifiquement bien expliquée – ainsi que le rôle du communicant d'aujourd'hui.

Doit-il se montrer ou rester un metteur en scène tapit dans l'ombre ? Vaste question !

A très vite et d'ici là, abonnez-vous au Décodeur de la com et, s'il vous plait, notez 5 étoiles sur Apple & Spotify !

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Laurent FRANCOIS, boss de l'agence Maverick et du Décodeur de la com, né à Toulouse et revenu dans sa ville natale pour enregistrer cet épisode !

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Mona Noujeim est un cas à part dans la communication.

Diplômée de la Rennes School of Business, elle entreprend par la suite une spécialisation à Centrale Supélec. Une double culture qui fait d'elle une championne du marketing et de la communication dans l'industrie.

Pourtant, à la base, rien ne destine Mona à ce secteur. Mais un stage lui fait découvrir le monde des ingénieurs, qu'elle trouve passionnant.

Son parcours l'amène à vivre aux Etats-Unis. Partie seule, elle reviendra avec l'homme de sa vie et un bébé.

Mars 2020, Mona, revenue en France, est embauchée chez Nikon Metrology. 

La France et l'Europe sont confinées ? So what ! Mona est une battante et rien ne lui fait peur.

Alors, si vous êtes jeune - ou moins jeune - et que vous vous interrogez sur votre avenir dans la communication, écoutez l'interview de Mona. Elle vous redonnera la pêche et vous pourrez profiter d'excellents conseils de carrière.

Très bonne écoute et merci encore de votre fidélité. 

Le Décodeur de la Communication poursuit son développement et vos encouragements et idées sont les bienvenus.

Laurent FRANCOIS, instigateur du podcast le Décodeur de la Com et batteur très amateur.

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Joe la Pompe, vous connaissez ? Joe, connu pour son blog éponyme, traque et expose le plagiat dans le monde de la publicité.

C'est un professionnel de la pub mais avant tout un fervent défenseur de l'originalité dans notre métier, sans pour autant jouer les juges ou les flics.

Avant de plonger dans notre discussion, je dois dire quelques mots sur le lieu où s'est déroulée notre entrevue. Les Communicants, ou plutôt l'Association Nationale des Communicants, nous ont accueillis dans un endroit somptueux. Merci à eux et à Audrey, la déléguée générale de l'association.

Revenons à Joe la Pompe. Au delà de ce pseudonyme qui intrigue, c'est est un créatif qui a dédié une grande partie de sa carrière à dénoncer le plagiat dans la publicité. Avec plus de 25 ans d'expérience, Joe a observé et documenté d'innombrables cas de publicités similaires, qu'elles soient le fruit de coïncidences ou d'un plagiat délibéré.

Dans cet extrait, nous abordons le sujet des "Ghost Ads" – ces publicités créées uniquement pour gagner des récompenses, souvent sans même un vrai client derrière. Joe critique cette tendance, affirmant qu’elle nuit à la crédibilité de notre métier.

Avec l’avènement de l’intelligence artificielle, Joe partage ses inquiétudes sur le potentiel de ces technologies à générer des plagiats de manière exponentielle. Il nous rappelle que si l'IA peut faciliter notre travail, elle peut également perpétuer des duplications non intentionnelles.

En discutant avec des étudiants et jeunes professionnels, Joe a remarqué une acceptation inquiétante du plagiat comme quelque chose de mineur. Il a pris sur lui de parcourir les écoles de publicité pour prêcher l'importance de l'originalité et de l'intégrité dans la création publicitaire.

Par ailleurs, nous abordons le sujet O combien épineux de la médiocrité créative que nous vivons actuellement. Plusieurs pistes l'expliquent.

De même, le manque d'attractivité des métiers de la publicité s'expliquent de diverses manières.

Je n'en dis pas plus et vous laisse écouter cet extrait qui préfigure un épisode qui sortira en juin.

Si vous êtes un créatif ou aspire à le devenir, ou même si vous êtes simplement curieux du monde fascinant de la publicité, cet épisode vous est destiné.

Très bonne écoute et, svp, abonnez-vous au podcast et notez 5 étoiles sur Apple et Spotify !

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Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la com et de l'agence Maverick Communication

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Mardi 13 février 2024, j'aurai le très très grand plaisir, que dis-je, l'honneur d'interviewer Jacques Séguéla. Oui, le S de RSCG, qui a donné ensuite naissance à Euro RSCG puis Havas.

Alors, parce que ce jeune homme a bientôt 90 ans, et que je vais rencontrer un monument de la communication & de la publicité, j'ai décidé de vous faire participer.

Si vous avez une question à poser à Jacques - et je vous conseille de le faire - envoyez-moi un WhatsApp vocal au 06 25 85 17 80.

Faites court et faites simple. Commencez par vous présenter en disant, par exemple : « bonjour Jacques, je suis Laurent François de l'agence Maverick, voici ma question... ». Laissez un petit blanc, puis posez votre question en allant droit au but.

Si votre question n'est pas redondante, je me ferai un très très grand plaisir de la poser durant l'enregistrement. Mais surtout votre message audio, grâce à la magie de la technique, sera dans le décodeur de la com et vos nom & prénom seront cités dans l'épisode. Vous pourrez ainsi dire que vous avez interviewé Jacques Séguéla !

Vous avez jusqu'à dimanche 11 févier, minuit, pour m'envoyer votre question par message audio WhatsApp.

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Je compte sur vous !

Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick, du Décodeur de la com et qui a lu des bouqins du grand Jacques Séguéla comme tout bon communicant qui se respecte !

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Dans le 3e Hors Série du Décodeur, on parle Communication et RSE.

Rien de nouveau sous le soleil me direz-vous, puisque le sujet fait partie des missions des communicant.e.s depuis de nombreuses années ? Que nenni !
En 2022, tendons vers moins de vert pour plus de responsabilité.

Mais, au fait, c'est quoi la RSE ?
La RSE, c'est la responsabilité sociale des entreprises. A moins que le « S » de l'acronyme ne signifie sociétale. Le débat fait encore rage. 

Quelle que soit sa définition exacte, une chose est certaine pour moi : la RSE ne doit pas être rattachée à la communication. Et ce ne sont pas mes acolytes Patrice Laubignat, boss de EforBrands, et Jean-François Granat, directeur marketing et communication, qui me contrediront. 

Autant vous prévenir, cet épisode est riche. Très riche même.

Nous abordons, pêle-mêle :

- les problématiques de recrutement des entreprises, car oui, la marque employeur fait partie de la RSE, ainsi que le rôle que nous devons TOUS jouer ;

- les parties prenantes ; 

- les mots valises, comme l'engagement ou les valeurs ; 

- la raison d'être ; 

- et, bien sûr, le green washing.

Au-delà de ces thèmes, nous nous attardons sur la notion de responsabilité. 

Car OK, sauver les ours polaires, c'est formidable. Mais est-ce la mission de toutes les organisations ? 

En somme, pour agir de manière responsable, certes tous les gestes comptent, mais il faut aussi choisir ses grands combats. Et on ne peut pas être sur tous les fronts.

Côté communication, la RSE est bien plus subtile qu'une pub produit ou des indicateurs de performance environnementale.

La RSE, c'est communiquer sur ce qu'on fait et aussi sur ce qu'on ne fait pas. On peut même parler de ses échecs en la matière. Si, si ! Et si vous voulez un exemple de communication d'entreprise, attardez-vous sur Patagonia. Je vous rassure, ni Patrice ni Jean-François ni moi ne sommes sponsorisés par la marque ^^

Le reste est dans le troisième Hors Série du Décodeur de la Communication et j'espère qu'il vous ouvrira les yeux sur ce sujet O combien essentiel.

Très bonne écoute et n'oubliez pas : 5 étoiles sur Apple et Spotify aident à booster le podcast ! Merci d'avance.

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Com et fondateur de l'agence Maverick Communication

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Seconde partie du 6e Café de la Com, où nous continuons d'aborder les Tops et les Flops des campagnes de communication de cette rentrée 2022.

Dans cette partie, nous évoquons les cinq campagnes suivantes : 

- Damart, qui se renouvelle ; 

- Les experts comptables qui "parlent jeune".
Désolé de m'être énervé, alors que j'adore cette profession, mais là, franchement, cette campagne de communication est une bouze intersidérale ! 

- Le nouveau logo de La Redoute, qui fait couler tant d'encre ; 

- Groupama et les gestes qui sauvent  ; 

- et, enfin, Octobre rose qui, m'est très particulier cette année.

De nouvelles têtes de com font toujours leur apparition pour votre plus grand plaisir, à savoir :

- Ophélie Poty, rédactrice SEO,

- Kossa Camara, responsable de la communication de la ville de Lectoure,

- Christelle Evita, communicante dans le CAC 40 et autrice, 

- Claire-Estelle Gourinat, responsable communication du Groupe SOS Santé.

Je suis toujours accompagné des piliers du café que sont Jean-François Granat, Karine Bach, Sébastien Beaujault et, bien sûr, Patrice Laubignat.

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Laurent FRANCOIS, barman en chef du Café de la Com

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Jérôme Josseaux est directeur de la communication de l'Association Générale des Producteurs de Blé (AGPB).

Et dans sa vie professionnelle, il n'a jamais choisi la facilité. De là à dire que c'est un homme de défis, il n'y a qu'un pas. Je vous explique son parcours.

Après avoir obtenu son bac, Jérôme décide de devenir ingénieur agronome. Dans sa famille, pas d'ingénieurs ni d'agriculteurs.

A force de travail, il obtient son diplôme et commence à travailler comme tel.

Puis, au fil des ans, ses fonctions deviennent de plus en plus transverses. Et c'est là qu'arrive la communication.

Tout d'abord dans une coopérative agricole puis, en 2012, à l'AGPB.

Certes, être ingénieur agronome et connaître le monde agricole aide grandement à comprendre les problématiques des producteurs de blé. Et qui comprend bien, communique bien.

Mais, comme je vous le disais, Jérôme est un homme de défis. Alors, en 2020, il décide de reprendre les études. A Sciences Po Executive, il obtient un Master en communication l'année suivante. Tout ça pour se perfectionner. La classe absolue.

Dans le 49e épisode du Décodeur de la Com, vous allez découvrir que le monde agricole est passionnant, et pas uniquement lors du salon de l'agriculture.

Défendre les producteurs de blé, élément incontournable de notre alimentation, est un travail de longue haleine. Et pour ce faire, il faut un homme d'action et de réflexion comme Jérôme.

Nota : à l'époque où nous avons enregistré le podcast, il n'était point de crise en Ukraine. Sachez que depuis le début de ce conflit, le prix de la tonne de blé s'est momentanément envolé. Espérons que cela ne soit que passager. Néanmoins, cela prouve à quel point le blé est aussi un élément essentiel de notre économie.

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Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Communication qui sera présent au salon de l'agriculture (eh oui !)

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« L'idée qui tue ». C'est le titre du dernier livre de Nicolas Bordas, Vice-Président International de TBWA/Worldwide et boss, en France, de TBWA/Corporate.

Cette version amplifiée, parue aux éditions Eyrolles, est un magnifique voyage au pays des idées. Elle est diablement importante pour tous ceux qui souhaitent travailler dans la communication. 

Durant ce nouveau numéro du podcast, nous avons parlé des idées qui tuent – évidemment – mais aussi de l'insight, de l'ikigaï et, bien sûr, de la disruption.

Quant aux conseils de carrière de Nicolas, ils tiennent à 3 C. 

Bien entendu, je vais vous laisser écouter l'épisode pour les découvrir !

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PS : n'hésitez pas à demander Nicolas en connection sur Linkedin 

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Comment célébrer l'histoire & la mémoire à l'heure du digital tout en intéressant les jeunes générations ? 

C'est le défi relevé par Pascal-Louis Caillaut, directeur marketing et communication de la Commonwealth War Graves Commission, et son équipe !

La CWGC célèbre la mémoire des soldats du Commonwealth tombés au champ d'honneur durant la première et seconde guerre mondiale. Plus de 500 000 d'entre eux sont décédés en France et, de fait, leurs tombes, sont sur notre sol.

Alors c'est vrai qu'en novembre, Pascal-Louis et son équipe ne chôment pas, pour des raisons que vous comprenez avec évidence.

Néanmoins, tout au long de l'année, ce sont des événements et des visites dans les collèges et lycées pour célébrer la mémoire des combattants décédés pour notre liberté.

Comme vous pouvez l'imaginer, Pascal-Louis et son équipe doivent intéresser les jeunes à des événements survenus il y a plus d'un siècle. Pas facile. Mais c'est sans compter sur l'ingéniosité  de la team communication de la CWGC France ! 

Et qui dit jeunesse, dit évidemment digital.

Pascal-Louis vous en parle avec brio et lui qui a fait une partie de sa carrière dans l'industrie automobile ou chimique, va vous faire aimer l'histoire.
Petit-fils de resistant, il se définit d'ailleurs comme un passeur de mémoire et d'histoires.

En outre, Pascal-Louis ayant travaillé dans les RH après son diplôme à Sciences Po, je vous conseille d'écouter avec attention ses tips de carrière. 

Et si l'Histoire n'est pas votre tasse de thé de prime abord, imaginez-la sous l'angle communication. Je parie que Pascal-Louis va vous convertir à cette discipline que j'adore.

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L'employee advocacy, késako ? Agathe Weil, présidente de l'agence Les Cogiteurs, vous explique tout sur ce concept.

L'employee advocacy, c'est faire de ses collaborateurs des ambassadeurs et des porte-parole de son entreprise.

L'objectif est très souvent de mieux recruter en diffusant une parole plus authentique et sincère.

Agathe vous donne un exemple de réussite lorsqu'elle travaillait chez Altran, aujourd'hui racheté par Cap Gemini, fleuron technologique de notre beau pays.

En outre, elle aborde un versant de l'employee advocacy qu'est la communication interne. Et, vous le verrez, elle a un avis bien tranché sur le sujet.

Cet extrait préfigure un épisode intégral sur le plan de communication. Eh oui, après nous avoir parlé de stratégie de communication en janvier dernier, la grande Agathe revient pour parler des actions de com qui suivent une stratégie.

Pour ceux qui l'ont manqué, l'épisode avec Agathe sur la stratégie de com est ici : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/la-strat%C3%A9gie-de-communication-expliqu%C3%A9e-sans-blabla/id1532638419?i=1000640764118

Autant vous le dire, cet épisode à venir sur le plan de communication est passionnant. Vous devrez néanmoins patienter jusqu'à la rentrée pour l'écouter.

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Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick et du Décodeur de la communication

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Comment les collectivités peuvent-elles collaborer avec des influenceurs ?

Quand on pense influenceurs - ou plutôt créateurs de contenu - on imagine des gens qui vivent à Dubaï et qui travaillent avec des grandes marques. Or, il n'en est rien : les collectivités, qu'elles soient grandes ou petites, peuvent collaborer avec ces personnes. Un grand merci à l'équipe de Cap Com, qui a permis cette rencontre en décembre dernier.

Baptiste Bruzel, chargé de com numérique à Bordeaux Métropole, Armelle Cunego dircom de Savigny-le-Temple et Nicolas Nowaczyk, dircom de la ville et agglo de Cergy, vous expliquent comment faire.

Une collaboration à fort potentiel

Baptiste partage une expérience exemplaire avec l’influenceuse Lenna Vivas, forte de 8 millions d’abonnés sur TikTok. Cette dernière a mis en lumière un projet d’aménagement de pont à Bordeaux, atteignant 250 000 vues avec une vidéo engageante, sans frais pour la collectivité. Ce succès illustre que, même pour des sujets techniques, les influenceurs peuvent amplifier la portée des messages institutionnels.

Comprendre l’influence locale

Armelle et Nicolas, bien que n’ayant pas encore franchi le pas, reconnaissent l’importance de cette stratégie pour toucher un public jeune, souvent absent des canaux traditionnels. Ils soulignent la nécessité d’identifier les influenceurs pertinents, ceux qui résonnent avec les valeurs du territoire et ses enjeux.

Les 6 étapes pour une collaboration réussie

1. Fixer des objectifs clairs : Qu’il s’agisse de sensibiliser à un projet ou de promouvoir un service, définissez ce que vous attendez de la collaboration.

2. Identifier les influenceurs : Recherchez des créateurs de contenu alignés avec vos valeurs et vos cibles. Osez explorer les talents locaux, y compris parmi vos agents ou jeunes habitants.

3. Évaluer l’engagement, pas seulement l’audience : Comme le rappelle Baptiste, le nombre d’abonnés ne garantit pas la pertinence. Privilégiez les influenceurs ayant un lien authentique avec leur communauté.

4. Établir une relation humaine : Prenez le temps d’analyser leurs contenus et personnalisez votre approche. L’authenticité de votre démarche est essentielle pour établir la confiance.

5. Contractualiser avec souplesse : Privilégiez des contrats basés sur le nombre et le type de contenus plutôt que sur des promesses de résultats (vues ou likes).

6. Évaluer et apprendre : Comme le souligne Nicolas, l’évaluation est cruciale. Tirez les leçons des succès et des échecs pour optimiser vos futures collaborations.

   
   

Oser pour se démarquer

Au final, cet épisode met en lumière le potentiel de l’influence, bien au-delà des clichés liés à Dubaï ou à des collaborations onéreuses. Les collectivités, souvent frileuses, gagneraient à adopter cette stratégie, à condition de bien la réfléchir.

Oser collaborer avec des influenceurs, c’est avant tout faire preuve de créativité et de stratégie. Une voie nouvelle pour les collectivités, qui doivent à la fois moderniser leur communication et renforcer leur lien avec les habitants.

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Véronique Dubois est directrice de la communication de l'Apec, structure incontournable de l'emploi. 

Son parcours dans le monde de la publicité et de la com ressemble à un sans faute.

Arrivée de l'île de la Réunion, elle obtient son diplôme à Dauphine puis décroche un stage en agence. Elle enchaîne par la suite chez TBWA, DDB ou encore Australie.   
Passée chez Lowe, elle découvre alors les métiers de la communication au sens large : éditorial, événementiel, digital, corporate, etc.

Comment est-elle devenue dircom de l'Apec me direz-vous ? Eh bien ça, vous le découvrirez en écoutant le 17e épisode du Décodeur de la Communication !

La seule chose que je peux vous dire, c'est qu'il n'existe pas de hasard dans la vie. Et Véronique nous le prouve une fois de plus.   
D'ailleurs, écoutez bien ses conseils de carrière. Ils sont d'autant plus importants que Véronique travaille dans l'emploi ^^

Très bonne écoute et n'oubliez pas de noter 5 étoiles sur Apple Podcasts afin que d'autres auditeurs puissent rejoindre la communauté du Décodeur ! 

Vous pouvez désormais nous suivre sur Twitter et Instagram : @decodeurdelacom   

Laurent FRANCOIS, instigateur du Décodeur de la Communication et fondateur de l'agence Maverick 

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Pour ce Cahier de Vacances de Noel, voici les conseils de carrière des 7 dircoms de la série Badass, lancée à la rentrée dernière.

Je les ai regroupés par thèmes et par intervenante.

1. Oser et être exigeant (Constance Wiblé, aujourd'hui dircom d'Allianz France )

2. La passion et la foi en la communication (Séverine Alfaiate, agglo Paris Saclay)

3. Rester soi-même et cultiver la sororité (Clothilde Caillet, Moderna France)

4. Explorer la richesse de la communication publique (Béatrice Déon, ville de Neuilly sur seine)

5. Avoir du cran et valoriser ses convictions (Valentine Noury, Suntory France)

6. Endurance et alignement avec ses valeurs (Florence Delorme, ville de Gif sur Yvette)

7. Ouverture, curiosité et réseau (Isabelle Duvernay, groupe CCF)

Je n'en dis pas plus car cet épisode est aussi court que percutant.

Un conseil, prenez des notes.

Joyeuses fêtes à toutes et tous !

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Dans ce Best Of du Décodeur, Frédéric Vallois, directeur de la communication du groupe Prisma Média et ancien speechwriter, dévoile les 5 étapes essentielles pour rédiger un discours percutant pour une personnalité influente, comme, par exemple, un grand patron ou un politique.

Comprendre le cadre et l’audience
Avant d’écrire, il est crucial d’identifier le contexte du discours : combien de temps l’orateur aura-t-il ? À qui s’adresse-t-il ? Un dirigeant ne parlera pas de la même manière à ses actionnaires qu'à ses collaborateurs.

Choisir l’angle et la structure
Un discours peut être rationnel, avec des chiffres et des faits, ou émotionnel, en intégrant du storytelling. Le choix dépend du message à faire passer et de l’impact recherché.

Soigner l’introduction et la conclusion
Frédéric compare un discours à un vol en avion : le décollage (introduction) doit capter immédiatement l’attention, et l’atterrissage (conclusion) doit laisser une impression marquante. L’entre-deux déroule les arguments, mais ce sont ces deux moments critiques qui garantissent l’efficacité du discours.

Adapter le texte à l’orateur
Un bon speechwriter ne se contente pas d’écrire : il incarne la voix de celui qui parlera. Il faut connaître ses forces, ses tics de langage et ses préférences pour lui proposer un texte qu’il pourra s’approprier naturellement.

Anticiper les ajustements de dernière minute
Un dirigeant ou un politique peut modifier son discours en fonction du contexte, de la réaction du public ou d’un événement imprévu. Il faut donc préparer plusieurs variantes et accepter que seul « le prononcé fait foi ».

Au-delà des techniques, Vallois insiste sur l’importance de la lecture et de l’inspiration. Un bon discours ne se rédige pas en vase clos : il se nourrit de culture, d’actualité et d’une fine compréhension du monde.

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Il y a 2 jours, j'ai vu sur Linkedin le post de Mme Elodie Perthuisot, chief e-commerce et digital transformation chez Carrefour. Il relatait le projet réalisé dans le metaverse avec Procter & Gamble.

Ce post a fait couler beaucoup d'encre et les commentaires, pour la plupart négatifs, ont pointé du doigt l'inutilité dudit projet.

Alors, pour ce premier Café de la Com, j'ai demandé à mes acolytes Patrice Laubignat et Jean-François Granat ce qu'ils pensaient de ce mini événement.

Car c'est ça le Café de la Com, on discute de l'actualité de la communication, du marketing et du digital en toute décontraction et sans langue de bois.

Si aucun de nous trois n'est fan de l'opération, notons que Carrefour a le très grand mérite d'essayer le metaverse. En d'autres termes, seuls ceux qui ne font rien ne sont jamais critiqués. Gageons que le grand distributeur fera mieux la prochaine fois. 

A ce propos, si Elodie Perthuisot, le DG et le DirCom de Carrefour veulent nous parler de l'opération, ils sont plus que les bienvenus !

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Com

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Ce cahier de vacances s'adresse à tous les dircoms, actuels ou futurs. En effet, 7 dircoms expérimentés vous donnent leurs conseils pour bien prendre ce poste si convoité.

Je prête exceptionnellement ma voix à Séverine Alfaiate, Guillaume Aper, Olivier Cimelière, Béatrice Déon, Isabelle Duvernay, Marc Thébault et, enfin, Frédéric Vallois.

Voici donc leurs 6 étapes & conseils :

1. L'écoute et la compréhension des attentes

Séverine Alfaiate dit : "Écouter avant de décider. Chaque membre de l'équipe. Sur ses missions, ses outils, les projets, ses ressentis."

Frédéric Vallois souligne : "La tentation immédiate est de vouloir faire des choses pour montrer qu'on sait faire, qu'on a eu raison de nous recruter... Or c'est certainement la meilleure manière de se tromper car on ne connaît rien ou si peu de l'organisation, de ses codes, des personnes qui y travaillent... Écouter donc, ce qui veut dire rencontrer pas mal de gens. Ça peut prendre un peu de temps mais cette première étape est précieuse pour la suite !"

Guillaume Aper ajoute : "Résister à la tentation de la nouveauté, de vouloir montrer tout de suite ce qu’on sait faire et marquer son territoire."

Marc Thébault explique que la première phase doit être "une d'écoute, d'analyse et de compréhension", avant de passer à la construction des propositions.

2. Présentation et prise de contact avec l'équipe

Pour Séverine, il est essentiel de "se faire connaître" et de "présenter son parcours, pourquoi ce poste vous plaît et comment vous fonctionnez".

Isabelle Duvernay complète en recommandant de "rencontrer les collaborateurs, les écouter, faire un rapport d’étonnement au bout de 1 mois / 2 mois / 3 mois par thématique qui amènera ensuite à un plan d’actions."

3. Acclimatation et gestion des premières urgences

Frédéric Vallois précise : "Dans un monde idéal cette phase d'acclimatation se fait AVANT la prise de fonctions... de sorte à être (plus) opérationnel quand on commence officiellement. Mais dans les faits, peu d'entreprises le proposent. Les premiers temps ne sont de toute façon pas uniquement consacrés à l'écoute puisqu'il y a des dossiers à reprendre et des urgences (et parfois des crises déjà !) à traiter."

Marc Thébault note que ces phases d'écoute et de construction "ne sont pas à envisager en cascade mais plutôt en parallèle les unes des autres".

4. Stratégie et gains tactiques rapides : Quick Wins

Olivier Cimelière explique : "De la stratégie au bout de 2 mois ? Je n'y crois guère. En revanche, des Quick wins bien pensés aident à gagner en crédibilité. Par exemple, une opportunité RP qui était jusqu'à présent compliquée à décrocher, une optimisation de certaines fonctionnalités d'un site Web, etc."

Guillaume Aper propose de visualiser la gouvernance en analysant des projets passés qui ont été "enterrés ou enlisés" et de les "upgrader" pour en faire des Quick wins.

5. Compréhension des jeux d'influence et de la gouvernance

Olivier Cimelière conseille d'"observer et comprendre les Jeux d'influence qui ne sont jamais réellement expliqués mais qui sont fatidiques si on n'en tient pas compte".

Guillaume Aper recommande de "demander à l’équipe com et à certains DG de parler des projets qui ont été enterrés, enlisés et qu’ils auraient aimé voir sortir".

Marc Thébault ajoute : cette analyse doit permettre de "décrypter acteurs, enjeux ou procédures" avant de proposer un plan de communication adapté.

6. Conclusion générale et passion du métier

Béatrice Déon rappelle l'importance de "vivre avec passion son métier" et de "ne pas renier les fondamentaux".

Pour aller plus loin :

• Le livre d'Olivier Cimelière : https://tinyurl.com/5743a5fp

• Celui de Marc Thébault : https://tinyurl.com/2mby5mdt

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Très bonne écoute et très bonne rentrée à tous !

Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com

C'est avec une très grande tristesse que j'ai appris le décès d'Arnaud le Mérour.

Arnaud a été un super dircom et marketing de mon école, Rennes School of Business.

Alors permettez-moi de rediffuser son épisode du Décodeur de la Com en hommage à sa mémoire.

Arnaud est parti un soir, en dansant. Lui qui était batteur, comme moi, je suis certain qu'il tape le boeuf avec John Bonham et Keith Moon, là-haut.

Tu vas nous manquer. Une très grande pensée pour ta famille et tes proches.

Laurent

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Déjà le 20e épisode du Décodeur de la Communication. Que le temps passe vite.

Alors, pour fêter cet anniversaire, j'ai eu le plaisir d'interviewer Arnaud Le Mérour, directeur de la marque, du marketing et de la communication de la Rennes School of Business.

Je vous le dis d'emblée : Arnaud est un chic type !

A la fois manager et créatif, il dirige une équipe de près de 20 personnes.

Créatif, il l'est évidemment car dans un monde où les écoles de commerce, il est difficile d'émerger. Et sa créativité bouillonnante lui permet de s'adresser avec intelligence aux parties prenantes de l'école : étudiants, parents, entreprises, etc.

Et aujourd'hui, la Rennes School of Business tire très bien son épingle du jeu puisqu'elle se classe aujourd'hui Top 10 des écoles de management en France. 

Ses atouts ? Une école tournée vers l'international depuis ses débuts. Des profs et des élèves du monde entier et ce petit je-ne-sais-quoi de breton qui la rend si attachante. Et puis, avouons-le, mentionner la ville dans la marque permet de sortir du lot.

A la rentrée 2021, l'école ouvre un campus à Paris. Vous pouvez compter sur moi pour y traîner mes guêtres et peut-être mon micro. Car, en tant qu'alumni, j'avoue qu'elle a changé ma vie tout en me permettant d'améliorer considérablement mon jeu de batterie.

Très bonne écoute et n'hésitez pas à commenter, partager et noter 5 étoiles sur votre plateforme de podcasting préférée.

Laurent FRANCOIS, instigateur du Décodeur de la Com et fondateur de l'agence Maverick Communication

PS : Arnaud est batteur, lui aussi. Quand je vous disais que c'est un chic type ! 

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Les samedis de mai & juin, vous pouvez écouter des capsules de conseils des invités du Décodeur de la Com.

Aujourd'hui, place à Samy Thuillier, expert SEO. Il vous donne 6 conseils de carrière, depuis l'île Maurice. Et ils déchirent. Vraiment !

1/ Apprendre, tout le temps

Le monde de la communication et du marketing est en mouvement perpétuel, ce qui veut dire qu'on n'arrête pas d'apprendre. Ça en épuise certains. D'autres, au contraire, ça les motive. Choisissez votre camp et ne vous reposez jamais sur vos lauriers.

2/ FAIRE !

La théorie c'est bien mais, très vite, il faut FAIRE. Oui, faire : un side-project, du freelance, etc. C'est en faisant qu'on devient autonome. Et ça tombe bien : les clients ou les employeurs veulent des gens autonomes et orientés résultats. Qui n'a jamais fait n'a jamais de résultats.

3/ Etre organisé, discipliné et proactif

Samy a deux méthodes : les OKR et le 1/3/5. Un gros objectif / 3 moyens / 5 petits.

4/ Ecouter, comprendre et laisser parler

Ces soft skills sont fondamentales.

5/ Prévoir l'étape suivante

Au billard, il faut avoir 3 coups d'avance dans la tête. Au travail, un coup, c'est déjà très bien. Faites de la veille ; ça aide pour voir l'étape d'après.

6/ Faites-vous confiance !

C'est de loin le conseil le plus important que vous donne Samy. Le jour où il a enfin décidé de se faire confiance, sa carrière a décollé. Et quelle carrière : Samy a été entrepreneur dans la mode, puis a bossé dans le conseil, a donné des cours en école de commerce et, aujourd'hui, après un passage en agence, il est expert du SEO !

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Aujourd'hui, nous fonçons tout schuss au cœur de la Haute-Savoie, à Arâche-la-Frasse, rencontrer Reynald Tuillet, son responsable communication.

Reynald est un véritable homme-orchestre. Il élabore les stratégies de communication de la commune, qui compte 1800 habitants, mais aussi la création, la rédaction et même les photos des différents supports. Des défis que seul un professionnel expérimenté pouvait relever au quotidien.

Dans une commune où le nombre d'habitants fluctue fortement selon les saisons, la communication revêt un aspect fondamental. Reynald s'est adapté à cet environnement en déployant une stratégie sur les différents canaux, particulièrement sur les réseaux sociaux. Son engagement et sa réactivité brisent les barrières entre la mairie et les citoyens. Cette interaction continue, enrichie par un contenu varié et inclusif, crée une communauté engagée autour de la vie locale.

Mais ce métier n'est pas sans défis. Face aux doutes et aux a priori sur son rôle, Reynald a dû faire preuve d'innovation et de persuasion. Par des exemples concrets et un travail acharné, il a réussi à prouver la valeur ajoutée de son travail, transformant même les plus sceptiques en alliés.

C'est par cette approche ouverte et constructive qu'il a été possible d'établir une communication publique efficace, essentielle pour une gouvernance transparente et participative.

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Charlotte Létondot est directrice de la communication interne et externe d'ING France. 

Passée par le développement en agence durant une quinzaine d'années, elle a aujourd'hui un spectre d'actions très large au sein de la banque à la couleur orange comme la Hollande, pays d'origine d'ING.

Dotée d'un excellent relationnel, humaine et ultra pro, Charlotte revient donc sur son parcours de championne de la communication corporate et vous donne des conseils de carrière. Spoiler : pensez à votre réseau, dès l'école !

Très bonne écoute et à très bientôt pour un nouvel épisode du Décodeur de la Communication, podcast des métiers communication, marketing et digital !

Laurent FRANCOIS

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Quel plaisir de s'entretenir avec Arnaud Rolland, Directeur RSE chez CCEP France !

CCEP, c'est Coca-Cola Europacific Partners, à savoir l'embouteilleur des sodas Coca-Cola, Fanta et des autres marques du Groupe, qui font partie de notre quotidien.

La RSE est un vrai sujet chez CCEP France. L'entreprise, présente dans notre pays depuis un siècle - eh oui ! - est confrontée aux problématiques d'un industriel, puisqu'elle compte 5 usines sur notre territoire.

Comment booster la consigne ? 

Comment réduire les emballages ? 

Comment réduire les émissions de CO2 ? 

Autant de sujets que nous abordons avec Arnaud dans le 67e épisode du Décodeur de la Com. Vous l'aurez compris, la RSE et Coca-Cola, c'est du sérieux.

En outre, avec plus de 20 ans de maison et plusieurs postes occupés au sein de l'entreprise, Arnaud va vous donner d'excellents conseils à vous qui souhaitez travailler dans la RSE. Et vous allez voir, il n'est vraiment pas langue de bois.

En somme, j'ai adoré m'entretenir avec Arnaud. Mais ça, je crois que je vous l'ai déjà dit !

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Laurent FRANCOIS, boss de l'agence Maverick Communication et papa du Décodeur de la com 

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C'est une femme exceptionnelle que je reçois dans le 79e épisode du Décodeur de la com. Mercedes Erra, boss de BETC, est en effet considérée, à très juste titre, comme la reine de la publicité et de la communication.

Alors je ne vais pas aller par 4 chemins : écoutez attentivement cet épisode.
Nous parlons de la vision de la com de Mercedes, de la place des femmes dans notre métier, de la diversité mais aussi des réseaux sociaux ou encode de la bonne ou mauvaise pub.

Mercedes reviendra très vite lors d'une prochaine émission, tout aussi passionnante.

D'ici là, n'oubliez pas de noter 5 étoiles sur Apple Podcasts et Spotify, de partager et de laisser un commentaire dithyrambique.

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Laurent FRANCOIS, fondateur du Décodeur de la com et de l'agence Maverick

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Un dircom n'est pas un démocrate. Et pour cause, c'est un décideur.

Un vrai, comme vous l'explique Fred Fougerat, boss de Tenkan Paris et associé chez Les Cogiteurs.

Car soyons clair, un.e dircom n'est pas celui ou celle qui organise des événements sympas ou qui gère les couleurs d'une campagne de communication digitale ou print.

Dircom, c'est un métier complexe, qui nécessite une grande agilité et de véritables capacités d'adaptation.

Il faut savoir manager son équipe, prendre des décisions parfois difficile, trancher, tout en ménageant les susceptibilités.

Merci encore à Fred de rappeler, dans cette nouvelle masterclass accélérée, que la communication est un vrai métier.

Si vous avez raté les 2 autres épisodes de ce Cahier de Vacances avec Fred, c'est par ici :

Prendre ses fonctions de dircom

Les 5 qualités des dircoms

Enfin, pour retrouver les écrits de Fred sur notre beau métier, c'est par ici.

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A la cinquantaine, Jean-Michel Rallet a décidé de changer de vie.

Diplômé en finance à l'EM Lyon, il entre dans un fonds d'investissement avant de fonder le sien au début des années 2000.

S'il ne lâche pas le monde du business, la fin des années 2010 le voit devenir humoriste. Et comme Jean-Michel est un sportif dans l'âme, il lance également son podcast « Changement de Vie (In)volontaire ».

Quel rapport avec la communication me direz-vous ?

Eh bien figurez-vous qu'être humoriste, c'est écrire et jouer un spectacle mais c'est aussi faire de la promotion. De là à dire qu'on est une marque, il n'y a qu'un pas.

Alors, pour ce nouvel épisode du Décodeur de la Com, vous allez découvrir un artiste/entrepreneur/philanthrope. Cela fait beaucoup pour une seul homme ? Tant mieux ! L'interview de Jean-Michel en est d'autant plus passionnante.

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Le 14 juin dernier se tenait Le Lab, événement sur la com publique, organisé par l'excellent Franck Confino.

Cette soirée m'a enfin permis de rencontrer Nicolas Nowaczyk, dircom de la ville & de l'agglomération de Cergy.

Dirigeant une équipe d'une quinzaine de personnes, Nicolas est un homme pressé mais absolument passionné par son métier.

J'en ai donc profité pour lui demander en quoi consistait la Participation Citoyenne.

Certes, vous avez compris ce dont il s'agit mais, concrètement, comment ça se passe ? Quels sont les bénéfices et comment éviter de tomber sur les citoyens "professionnels" de la participation ?

Autant de question auxquelles répond Nicolas. Autre fait essentiel, mon invité vous parle de sa relation de travail avec M. le maire de Cergy qui était, auparavant, un homme de... marketing !

Enfin, en ces temps institutionnels difficiles, Nicolas vous donne son point de vue sur la place du communicant public. Sans oublier ses excellents conseils de carrière qui sont résumés en une phrase que je dis souvent : "nous autres, les communicants, faisons le plus beau métier du monde".

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Lorsque j'ai monté Maverick Communication, il y a près de 15 ans, je n'avais pas un centime. Il m'a fallu taper dans un vieux crédit à la consommation - que j'avais oublié même si je le payais depuis plusieurs années - pour déposer le capital de l'entreprise à la banque.

A l'époque, j'aurais bien aimé avoir l'aide de l'ADIE. Association créée il y a une trentaine d'années, l'Adie aide, comme son nom l'indique presque, les entrepreneurs qui ont besoin d'un capital financier pour se lancer.

Il ne s'agit de pas d'un prêt à 6 chiffres, mais plutôt de quelques milliers d'euros. Je peux vous l'assurer, ces fonds sont bien utiles pour vous lancer.

Reconnue d'utilité publique, l'Adie a aidé des dizaines de milliers d'entrepreneurs depuis sa création. Pour diriger la communication d'une aussi belle association, 170 agences et 1 200 bénévoles en France, il fallait une femme comme Hortense Peltier.

Passée par Publicis, en collectivité et aujourd'hui dans l'associatif, Hortense illustre l'importance de donner du sens à ses actions et sa carrière. La communication, pour elle, va bien au-delà de la promotion d'une marque, c'est un véritable levier pour transformer des vies, notamment grâce à l'entrepreneuriat.

Elle évoque également sa fierté de travailler dans un environnement où la mission sociale prime, tout en valorisant l’importance d’une communication authentique et ancrée dans les territoires.

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Patrice Laubignat est CEO du cabinet EforBrands. En France, c'est LE spécialiste du marketing émotionnel.

Mais c'est quoi le marketing émotionnel, me direz-vous ? Eh bien c'est comprendre comment l'humain ressent les choses, comment il désire une marque, l'achète et la consomme. La réalité est évidemment plus complexe et Patrice reviendra sur le concept durant le 8e épisode du Décodeur de la Communication.

Côté parcours, Patrice débute comme prof de maths (!) Un peu par hasard, il monte une agence de communication puis s'investit dans le marketing. Aujourd'hui à la tête du cabinet EforBrands, il a écrit 2 livres et prépare un troisième pour 2021.

Enseignant en école de commerce, Patrice va vous donner des conseils de carrière qui vont vous surprendre. Sans pour autant les dévoiler, il vous invite à développer votre côté iconoclaste.

Très bonne écoute de ce nouvel épisode du Décodeur de la com. 

Préparez-vous à réveiller le punk qui est en vous et restez jusqu'à la fin pour découvrir la campagne la plus "marketing émotionnel" de ces derniers temps. Un indice : la marque tient en 2 lettres ^^

Ah, un dernier point : vous êtes de plus en plus nombreux à écouter le podcast. Je vous remercie et vous invite à rameuter tous vos amis, à partager, commenter et, bien sûr, noter le podcast 5 étoiles sur vos plateformes favorites :)

Laurent FRANCOIS, instigateur du Décodeur de la Communication, boss de l'agence Maverick Communication
  
PS : les livres de Patrice sont disponibles ici : http://bit.ly/LivresPatriceLaubignat

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Deuxième partie du 8e Café de la Com consacré à la musique et la publicité.

Tom Frankson, copywriter, ouvre le bal avec la pub de la barre chocolatée Stratos et sa musique signée The Wanadies. 

Grâce à la magie du montage, Jeanne Lesbordes, l'English Teacher de Linkedin, nous parle d'une vieille pub pour Chambourcy, chantée par Sandie. Elle date de 1988 et si vous l'avez oubliée, c'est celle qui se termine par le redoutable "Chambourcy, oh ouiiiiiiiii !".

Enfin, une fois n'est pas coutume, votre serviteur Laurent FRANCOIS, vous parle du tout premier tube de l'été avec la pub Schweppes. Ce spot, qui date aussi de 1988, est le tout premier co-branding réalisé entre un média (TF1), une marque (Schweppes) et une maison de disques (Sony ?) représentée par le grand Chico Buarque.

Alors, pour le premier Café de la Com de 2023, les têtes de com ont choisi une pub dont la musique les a touché.

Bien entendu, nos têtes de com de la première partie s'en sont données à coeur joie pour dire ce qu'elles pensaient de ces pubs et musiques.

Vous entendrez donc aussi : Karine Bach, rédactrice ; Patrice Laubignat, co-fondateur de Word about you ; Ophélie Poty, rédactrice web SEO et Jean-François Granat, directeur marketing et communication.

Très bonne écoute et n'oubliez pas de noter 5 étoiles sur Apple Podcasts et Spotify !

Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick et batteur depuis 30 ans. 

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Si vous croisez Violaine Pogeant dans les locaux de la Rennes School of Business, elle vous dira qu'elle organise un événement à Mexico, Paris, Barcelone, Londres ou encore New York. Et tout ça en même temps !

Violaine est en effet responsable du pôle Alumni de l'école. En d'autres termes, elle anime la communauté des diplômés de la Rennes School of Business, qui compte de plus de 20000 personnes à travers le monde.

L'école fêtant ses 30 ans en 2021, elle ouvre un campus à Paris en septembre. Alors, parce que Violaine fait un travail absolument fantastique, j'ai voulu lui rendre l'hommage qu'elle mérite en l'interviewant lors du 16e épisode du Décodeur de la Communication.

Vous le verrez, Violaine est une experte de l'événementiel. Elle débute dans le tourisme avant d'enchaîner dans le marketing. Puis, il y a 6 ans, elle se pose à la Rennes School of Business, qui est aujourd'hui Top 10 des écoles de management françaises.

Outre son parcours, écoutez ses excellents conseils de carrière. Ils vous amèneront à toujours vous dépasser.

Très bonne écoute en compagnie de Violaine. 

Laurent FRANCOIS, instigateur du podcast Le Décodeur de la Communication, fondateur de l'agence Maverick Communication et 123e - sur 135 ! - de la promo 1996 de la Rennes School of Business

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Aujourd'hui, j’ai l’immense plaisir d’accueillir Samya El Kyas, directrice marketing, communication et développement chez Sofac, société de crédit et de financement au Maroc. Une rencontre marquante car Samya est la première invitée du continent africain.

Un rôle stratégique et multicasquette
À la tête d’un département alliant marketing, communication et développement, Samya explique avec humilité comment ces 3 volets s’interconnectent pour répondre aux ambitions de Sofac. Son quotidien est rythmé par la gestion de campagnes variées, la recherche de partenariats stratégiques et le suivi de la satisfaction client. Elle démontre ainsi que dans un groupe en pleine transformation, tout part d’une compréhension fine des besoins du marché.

De la communication au marketing : une transition naturelle
Communicante dans de grandes institutions financières comme la BMCI et la Banque Centrale Populaire, Samya a su faire de son expérience un véritable atout. Passer au marketing s’est fait naturellement, grâce à une curiosité insatiable et un esprit de collaboration cultivé tout au long de sa carrière. Ses années dans des structures de grande taille lui ont permis d’affiner sa capacité à travailler avec des équipes pluridisciplinaires, tout en s’adaptant aux réalités d’une entreprise de taille plus humaine comme Sofac.

Une communication au service de l’humain et de la responsabilité
Au fil de l’entretien, Samya partage sa vision d’une communication responsable et inclusive. Elle met un point d’honneur à faire de Sofac un acteur engagé dans l’éducation financière, la durabilité et l’accompagnement de ses clients. Ce positionnement reflète une volonté claire : aller au-delà des stéréotypes associés aux métiers du financement pour se poser en véritable partenaire de vie et de projets.

Manager et mentor : une double casquette
Samya incarne également un style de management moderne, fondé sur l’écoute et la bienveillance. Perfectionniste qui se soigne, comme elle aime se définir, elle valorise l’humilité et la transparence, que ce soit avec ses équipes ou ses pairs. Ce n’est donc pas un hasard si elle est également vice-présidente du Groupement des Annonceurs du Maroc (GAM), où elle contribue à professionnaliser davantage le secteur.

Pour conclure, ce tout premier épisode du Décodeur en compagnie d'un communicant du continent africain place très haut la barre grâce à Samya. Je suis certain qu'elle inspirera de très nombreux auditeurs du podcast !

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Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !

Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com

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J'ai rencontré Jean-François Granat lorsqu'il était directeur marketing marketing et communication de Kone, n°4 mondial de l'ascenseur. Une marque que j'ai accompagné durant 15 ans.

Parti vivre à Lyon, Jean-François devient par la suite dircom et marketing de Bluestar Silicones. A peine arrivé, il gère une crise avec brio. A tel point qu'il enseignera la communication de crise en école.

Puis arrive Les vergers Boiron, entreprise familiale leader européen de la purée de fruits surgelés. Une très belle aventure.

Aujourd'hui, dans le 25e épisode du Décodeur de la Com, j'échange avec un super professionnel de la communication et du marketing, capable de s'adapter à n'importe quel environnement technologique.

Il vous parle de sa formation – à la fois technique & école de commerce, ce qui est rare – et vous donne d'excellents conseils de carrière. Spoiler : si vous rêvez d'événementiel, gare à la réalité du secteur qui est parfois bien rude. 

Enfin, sachez que Jean-François est un des dircoms les plus créatifs que j'ai eu le plaisir de croiser dans ma carrière. A l'heure où tout le monde parle de sens, de raison d'être, qui sont certes essentiels, on oublie trop souvent l'art de la stratégie. Et pour moi, c'est une des facettes de la créativité des métiers de la communication.

Très bonne écoute et merci encore de votre fidélité. Le podcast a en effet dépassé les 50 000 écoutes cumulées. Que cela ne vous empêche pas de noter 5 étoiles sur Apple pour autant ;)

Laurent FRANCOIS, instigateur du Décodeur de la Com et fondateur de l'agence Maverick Communication

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« Mon fils, fais des études. Comme ça, tu ne travailleras pas en usine. »

Ca, c'est ce que répétait son père à Christophe Neugnot, directeur de la communication d'Orano.

Si bien qu'une fois son diplôme de sciences politiques en poche, Christophe commence sa carrière en agence de communication de crise. 

Il hérite d'ailleurs de la vache folle en guise de baptême du feu.

Les années passent et Christophe se retrouve chez l'annonceur.

Il entre par la suite chez Areva, spécialiste du nucléaire.

Il côtoie d'abord le terrain et travaille, je vous le donne en mille, en usine ! Certes, pas à la chaîne, mais il développe son goût des autres et de la précision.

Là-bas, il gravit tous les échelons pour être aujourd'hui le directeur de la communication.

Mais quel rapport entre Areva et Orano me direz-vous ? Eh bien Orano est le nouveau nom d'Areva depuis 2018. Tout simplement.

Le parcours de Christophe est un très bel exemple de progression et de réussite. Je vous invite à le découvrir en écoutant le 13e épisode du Décodeur de la Communication.

En outre, lui qui dirige une cinquantaine de communicante.s vous donne des conseils de carrière pleins de bon sens. Alors ne vous privez pas pour noter 5 étoiles, partager et commenter !

Très bonne écoute,

Laurent FRANCOIS, instigateur du Décodeur de la Communication et Fondateur de l'agence Maverick

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Un jour d'octobre 2020, Samy Thuillier a tout plaqué pour aller travailler à l'île Maurice. Une envie d'aventure ? Oui, sans doute. Mais aussi un super job de CMO et Head of Growth chez LeHibou.com, LA plateforme de freelances IT.

Lui qui a déjà connu plusieurs vies professionnelles, entre le conseil, l'entrepreneuriat et un passage en agence de communication, vous raconte son très riche parcours.

Il aborde également son quotidien bien rempli, entre stratégie, création de contenus et développement de communautés.

Alors, chers auditeurs, restez bien jusqu'au bout du 10eme épisode du Décodeur de la Communication.

Car, Samy va en effet vous donner d'excellents conseils, à vous, chère jeunesse, qui souhaitez embrasser les métiers du digital, de la communication et du marketing.

Bien entendu, si l'épisode vous a plu, n'hésitez pas à partager, commenter et noter 5 étoiles sur votre plateforme de podcasting préférée.

Très bonne écoute,

Laurent FRANCOIS, instigateur du Décodeur de la Communication et fondateur de l'agence Maverick Communication  
 

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Pierre Auberger, directeur communication du groupe Bouygues, est un grand capitaine de la com.

Quoi de plus normal, me direz-vous, quand on travaille dans un groupe comme Bouygues, à la culture entrepreneuriale aussi forte.

Pierre partage son expérience de navigateur des mers du business, faites de complexité et de défis.

Notre conversation explore également les valeurs cardinales que Pierre et le groupe Bouygues maintiennent au cœur de leur éthique : le respect, la confiance, la créativité et la transmission.

Je vous rassure, ce ne sont pas de simples mots mais bel et bien les piliers sur lesquels reposent le management et l'innovation du groupe Bouygues.

Pierre aborde également le management. Un aspect fondamental quand on dirige la communication d'un groupe lui-même composé de grandes marques comme TF1, Bouygues Télécom ou encore Bouygues Construction.

Et qui dit grandes marques dit aussi dircoms que Pierre coordonne. Un sacré défi, comme vous l'imaginez aisément.

Ce best of du Décodeur est une source d'inspiration pour tous ceux qui aspirent à comprendre les complexités du management dans la communication.

En d'autres termes, si vous cherchez à profiter des conseils d'un leader expérimenté en communication, cet épisode est fait pour vous.

Très bonne écoute et, s'il vous plait, abonnez-vous au podcast et notez 5 étoiles sur Apple & Spotify !

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Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick Communication & du Décodeur de la com

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Le bon sens et la communication font-ils bon ménage ?

Guillaume Aper, ex-dircom adjoint de JCDecaux vous donne son point de vue sur ce sujet O combien épineux.

Guillaume qui a géré de très belles campagnes de communication et qui a été jury du tout dernier Grand Prix Stratégies aborde le bon sens dans notre beau métier.

Il explique pourquoi certaines campagnes se vident de leur substance, parle du risque inhérent à notre métier et ce... avec beaucoup de bon sens !

Cet extrait préfigure l'interview à bâtons rompus avec Guillaume, qui m'a reçu à l'association française de la communication interne.

Une discipline de la com qu'il adore et dont nous parlerons plus en détails.

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Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick et du Décodeur de la Com

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Yves Colin est un directeur de la communication engagé.
En fait, pour être plus exact, c'est un homme engagé, tout court, qui est à l'honneur du 51e épisode du Décodeur de la Com.

Car diriger la communication de la Fondation Abbé-Pierre est presque un sacerdoce. Certes, vous aurez noté le jeu de mots quelque peu facile. Mais au-delà de ce trait d'humour, Yves est un homme sensible doublé d'un communicant qui se bat pour une cause noble : celle des sans-abris et des mal logés.

A la base, Yves est plutôt un artiste puisqu'il dessine. Puis il devient directeur artistique avant d'être embauché en tant que directeur de cabinet d'une ville des Yvelines.

Et puis, en 2007, c'est le grand saut : Yves devient dircom de la Fondation Abbé-Pierre.
L'Abbé Pierre, si vous ne le connaissez pas, c'est un homme d'église qui a eu un destin hors du commun : résistant, député, entrepreneur social avant l'heure (Emmaüs, c'est lui !) et figure médiatique inconstestable. 

Chaque année, la Fondation Abbé-Pierre part en campagne de communication. Certains pourraient croire que son agence travaille gratuitement. Or, il n'en est rien : la Fondation rémunère ses prestataires, certes à un prix inférieur au marché, mais tient à être un véritable client. D'où le paiement d'honoraires. Une pratique que l'on ne peut d'ailleurs que saluer.

Au quotidien, Yves dirige une équipe d'une dizaine de personnes. Il considère son job comme un combat. Comme quoi, la com est véritablement un métier - vous en doutiez encore ???? - et une noble discipline.

J'espère que vous apprécierez tout autant que moi cet entretien avec Yves. Il parle sans langue de bois de son job, des difficultés de la Fondation et d'ailleurs, à ce propos, n'hésitez pas à faire un don en cliquant ici.

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la Communication et qui a la chance d'avoir un toit sur la tête

PS : l'Abbé Pierre est décédé en janvier 2007. Yves est entré à la Fondation en septembre de la même année. Ils ne se sont donc jamais croisés. Mais je suis certain que l'Abbé regarde avec bienveillance son excellent travail :)

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L'agglomération de Paris-Saclay, ça vous parle ? Non... ? Ok, je vous explique : Paris-Saclay, c'est l'équivalent de la Silicone Valley. Ouep, rien que ça !

Alors, quand cette agglo de 27 communes et 318 000 habitants a eu besoin d'une directrice communication, il fallait une sacrée Badass.

Cette dircom Badass, c'est Séverine Alfaiate.

Forte d'une expérience dans le privé et en mairies du 91, Séverine a pris la direction du service communication de l'agglomération Paris-Saclay il y a 6 ans. A la tête d'une équipe conséquente, mon invitée vous explique à quoi sert une agglo.

Croyez-moi, pour une communicante, cela veut dire parler à des cibles très différentes : les habitants, les entreprises et les start-ups ainsi que... les élus !

Comment faire quand les publics auxquels ont s'adresse sont aussi disparates ? Séverine vous l'explique avec brio dans cet épisode.

Notre discussion à bâtons rompus révèle également l'importance économique du territoire. Comme je le disais, Paris-Saclay est riche d'entreprises innovantes comme EDF Lab, Danone, IBM, et des start-ups prometteuses comme Candela.

Paris-Saclay s'impose comme l'un des principaux clusters technologiques de France. Séverine nous rappelle également l'influence académique du territoire, avec des institutions de premier ordre comme l'Université Paris-Saclay et l'Institut Polytechnique de Paris.

Au-delà de la description du territoire, l'épisode met en lumière le rôle de Séverine en tant que directrice de la communication. Elle explique avec passion son métier, soulignant l'importance de la pédagogie, de la transparence et de la médiation dans la communication publique.

Avec son franc-parler, Séverine vous explique, s'il était encore nécessaire, la différence entre la com publique et la com privée. Spoiler : il n'y en a quasiment pas !

Je n'en dis pas plus car cet épisode est vraiment Badass ! Et comme toutes les invitées de la série, Séverine partage 5 titres dans la Playlist des Badass Ladies. Les titres : de 11 à 16. Oui, vous avez bien lu : la bougresse a ajouté un 6e titre. Quand je vous dis que Séverine n'a peur de rien et que c'est une dircom Badass !

Voici la playlist : https://open.spotify.com/playlist/7L22bZbZSdmBz3BXPjmiU8?si=8d851cf1eb5d4ad5

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Le 18 septembre 2023, la Poste a lancé son premier timbre NFT via Philaposte.

Ce NFTimbre est émis en digital, NFT oblige, mais aussi en physique. Et ce dispositif "phygital" est une première mondiale.

Ségolène Huchez Godeluck, directrice communication de Philaposte, filiale de la poste en charge de l'émission des timbres, nous dit tout sur cette première mondiale.

Par ailleurs, si vous écoutez cet extrait qui préfigure son épisode entier, vous vous apercevrez que Ségolène est la soeur d'un héro de l'univers qui m'a fait rêver lorsque j'étais enfant.

Un indice : ce super héro a aussi son timbre, of course !

Très bonne écoute et n'oubliez pas de noter 5 étoiles sur Apple et Spotify !

Laurent FRANCOIS, papa du Décodeur de la com et de l'agence Maverick

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Agnès de Ribet est directrice de la communication et du marketing de Grant Thornton, cabinet d'audit international qui compte 2000 collaborateurs en France.

Après avoir passé son enfance en Italie, Agnès fait des études de communication. Passionnée d'art, elle nous raconte comment elle a trouvé son boulot chez Grant Thornton. Et on peut dire qu'elle a eu du nez en intégrant ce grand de l'audit qui, avant son arrivée, se faisait très discret sur le front de la communication.

Qui dit communication dit relations humaines. Dans un monde bouleversé par la crise du Covid-19, Agnès revient sur le management de son équipe, composée de 7 personnes. Elle aborde également sa relation avec sa Direction générale et les associés de Grant Thornton.

Enfin, vous pourrez profiter de ses conseils pour réussir dans la communication.

Très bonne écoute de ce nouvel épisode du Decodeur de la Communication ; prenez soin de vous ❤️

PS : vous ne trouvez pas qu'Agnès a une voix de radio ? Pour nous, "la question est vite répondue" 😂

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Aujourd'hui premier épisode de la série BADASS Ladies. C'est Constance Wiblé, directrice Communication d'Abeille Assurances et coprésidente de l'Association nationale des communicants, qui ouvre le bal.

A la tête des 45 super collaborateurs que compte son équipe communication chez Abeille Assurances - écoutez l'hommage que Constance leur rend - mon invitée Badass est animée par le goût des autres et l'Humain depuis le tout début de sa carrière.

Que ce soit lorsqu'elle travaillait pour les professionnels de santé chez MACSF ou en tant que dircom ET 'intrapreneuse chez Oui Care, Constance a toujours mis l'accent sur le service rendu aux autres. Elle nous raconte avec une grande sincérité comment ses aventures professionnelles l'ont rendue véritablement "people-driven,"

En juin 2023, lorsqu'elle rejoint Abeille Assurances, marque séculaire en pleine renaissance, Constance part sur le terrain afin de comprendre les tenants et aboutissants de l'entreprise. Une démarche d’écoute attentive cruciale pour construire un récit d'entreprise authentique.

Avec sa signature de marque "Donnez des ailes à votre avenir" et des publicités imprégnées d'une symbolique de confiance et de durabilité, Abeille Assurance sort clairement du moule des assureurs traditionnels. Si Constance n’a pas initié ce slogan, elle le porte avec passion et détermination.

Intervenante à Audencia Sciences Com, Constance connait bien les futures générations de communicants. Ses conseils de carrière BADASS sont donc d'autant plus précieux.

Enfin, vous pourrez entendre ses propos sur la communication interne. Et ils me font jubiler...

Inutile de vous dire à quel point je suis fier d'ouvrir cette série Badass avec Constance Wiblé.

D'ailleurs, comme toute dircom Badass, elle vous partage 5 titres dans la playlist des Badass Ladies de la com : https://open.spotify.com/playlist/7L22bZbZSdmBz3BXPjmiU8?si=2fa97cb7a14e45b8

Les titres de Constance : de 29 à 33 :)

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Septième et dernier épisode de la série Badass. Je vous emmène chez Suntory Beverage & Food France rencontrer Valentine Noury.

Directrice communication, RSE et affaires extérieures, Valentine incarne à merveille l’esprit "badass".

Mais, au fait, connaissez-vous Suntory ? Je parie que non. Et pourtant, sans le savoir, vous adorez déjà ses marques.

En effet, si je vous dis Orangina, Schweppes, Oasis, Pulco ou encore Champomy, vous comprenez désormais que ces marques iconiques appartiennent à Suntory, entreprise Japonaise.

Revenons à Valentine. Avec une transparence rare et un courage sans faille, elle partage son expérience et sa vision dans le secteur des boissons, souvent scruté par les pouvoirs publics et les associations.

Tout au long de l'épisode, Valentine aborde des sujets complexes tels que les affaires publiques et la RSE. Elle parle avec franchise des défis auxquels Suntory fait face, notamment en matière de développement durable et de réduction du sucre dans les boissons comme Oasis (-38% de sucre depuis 2006).

Le courage de Valentine transparaît dans sa manière d’aborder la réalité du métier. Elle évoque sans hésitation les difficultés liées à son rôle, mais aussi les grandes responsabilités qui l’accompagnent.

Dans ce dernier épisode de la série, elle prouve qu'être communicant.e, c'est aussi savoir affronter les idées reçues, défendre ses convictions et avancer avec une vision claire.

Bref, vous l'aurez compris : Valentine est une vraie Badass et vous allez l'adorer !

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C'est quoi un business developer ? Un commercial ? Un communicant ? Un marketeux ? Si vous vous posez toutes ces questions, Waldy N'zembele va enfin vous apporter les réponses lors du 15e épisode du Décodeur de la Communication.

Fondateur du Nice to meet you Club, Waldy s'est très tôt lancé dans l'entrepreneuriat. Après avoir planté une de ses entreprises, il décide de reprendre les études en cours du soir, pour devenir Biz dev.

En discutant avec lui, je me suis aperçu qu'il ressemblait plus à un communicant qu'à un commercial au sens strict du terme, même s'il garde à l'esprit, lorsqu'il conseille ses clients, qu'il est là pour générer du chiffre d'affaires.

Alors, si vous êtes plus ou moins jeune, que les métiers du digital, du marketing et de la communication vous intéressent, jetez une oreille attentive à l'échange avec Waldy. Vous apprendrez beaucoup. C'est promis.

Très bonne écoute et n'oubliez pas de noter 5 étoiles sur Apple podcasts, de partager, de commenter... Bref, de nous envoyer de l'amour !

Laurent FRANCOIS, instigateur du Décodeur de la Communication et fondateur de l'agence Maverick.
 

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Aujourd'hui, dans le 110e épisode du Décodeur de la com, vous avez rendez-vous avec un amoureux des mots, à savoir Frédéric Vallois, directeur de la communication externe de Prisma Media.

Après Sciences Po, Frédéric entre en cabinet de conseil, chez Deloitte, où il travaille avec des acteurs publics. Puis son amour des mots l'amène à travailler dans la communication.

Dès ses débuts dans les cabinets ministériels, il exerce le métier de plume, cette voix de l'ombre qui façonne les discours et les éléments de langage des politiques.

Il écrit pour 3 porte-parole du gouvernement Sarkozy : Valérie Pécresse, François Baroin et Luc Chatel. Un défi quotidien où urgence rime avec adrénaline et précision, dans un environnement où chaque mot compte. Frédéric décrit cette période comme un véritable « accélérateur d’expertise »

De l'adrénaline politique à la communication d’entreprise

Après ces 2 années en politique, Frédéric entre chez Vivendi où il restera près de 10 ans. Là-bas, il travaille aux côtés de grands dirigeants, rédigeant leurs discours.

Aujourd’hui à la tête de la communication externe de Prisma Media, Frédéric continue d'explorer sa passion pour l'écrit, mais avec une approche différente.

Il aime rappeler que « dans la communication, il faut aimer l’humain », une phrase qui résonne comme un mantra. Pour lui, écrire, c’est aussi savoir écouter, comprendre, et adapter son style à la personne pour qui l'on écrit, qu'il s'agisse d'un ministre ou d'un PDG.

Écrire pour inspirer et persuader

Ce qui anime mon invité, c’est cette capacité à donner vie à une parole, à créer une connexion entre celui qui parle et son audience. Son parcours témoigne d’une curiosité insatiable pour les mots et d’une capacité rare à transformer des idées complexes en messages accessibles.

Dans un monde où la communication évolue à une vitesse vertigineuse, il rappelle que l’essence de ce métier réside dans la passion de l’écrit et la conviction que les mots ont le pouvoir de changer les choses. Un message inspirant pour tous ceux qui, comme lui, croient encore à la puissance des mots dans un monde hyperconnecté.

Frédéric reviendra très vite dans le Décodeur. Nous aborderons, cette fois-ci, son job de dircom externe de Prisma Media, dont vous connaissez les titres comme Capital, Femmes Actuelle, Harvard Business review ou encore National Geographic.

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Aujourd'hui Jean-François Granat et Olivier Cimelière abordent le branding d'une marque et de son patron, à savoir Tesla & Elon Musk. En l'occurrence, il s'agit d'un échec, en raison des frasques du sud-africain. Décryptage.

Une marque en crise

Tesla, symbole de l’innovation automobile électrique, connaît aujourd’hui une chute brutale de ses ventes, notamment en Europe et aux États-Unis. En cause ? Son patron emblématique, Elon Musk, qui a toujours misé sur sa propre image pour incarner la marque. Mais aujourd’hui, cette stratégie semble se retourner contre Tesla.

Quand l’image du patron plombe la marque

Jusqu’ici, Musk avait su fédérer une communauté de fans passionnés, séduits par l’image d’un entrepreneur visionnaire défiant les géants de l’automobile. Tesla, c’était l’avant-garde technologique, l’engagement environnemental et une rupture avec les codes du secteur. Sauf qu’avec ses prises de position politiques de plus en plus marquées et controversées, Musk a fracturé son propre public. Son soutien affiché à Donald Trump et ses sorties radicales sur X (ancien Twitter) ont fait fuir une partie de ses acheteurs traditionnels, notamment démocrates et urbains.

Une communication à sens unique

Problème majeur : Tesla n’a jamais développé une communication institutionnelle indépendante de Musk. La marque n’a ni publicité classique, ni département relations presse. Pendant des années, cette approche a fonctionné grâce à la hype autour du fondateur. Mais aujourd’hui, quand son image se détériore, Tesla n’a aucun filet de secours. Résultat : aux USA, la revente de Tesla explose et les prix de l’occasion chutent de plusieurs milliers d’euros. En Allemagne, les ventes s’effondrent de 70 %, et en France de 62 %.

Une concurrence plus forte que jamais

À cela s’ajoute la montée en puissance des concurrents. Les constructeurs allemands, coréens et chinois ont désormais des modèles aussi performants, voire meilleurs, et bien moins chers. Et contrairement à Tesla, ils investissent massivement dans la publicité et les relations publiques, occupant l’espace médiatique que Musk a déserté… ou plutôt qu’il a monopolisé à son détriment.

L’avenir de Tesla en question

Le danger d’une marque trop centrée sur un individu est évident : si ce dernier devient un repoussoir, c’est tout l’édifice qui vacille. Tesla paie aujourd’hui le prix de cette stratégie risquée. Seul un changement radical dans sa communication pourrait inverser la tendance. Mais Musk, habitué à jouer les provocateurs, est-il seulement prêt à se mettre en retrait pour sauver sa propre entreprise ?

Dans très peu de temps, nous aborderons la communication de Donald Trump avec JF et Olivier. Et ce sera tout aussi gratiné !

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Dans le 75e épisode du Décodeur de la com, nous parlons de marque employeur public avec Marc Thébault, fondateur de Marc Thébault Conseil. 

A  priori, marque employeur et secteur public ne font pas bon ménage. Or, il semblerait que ça bouge du côté de la communication, des RH et du management.

En effet, les employeurs du privé et du public sont actuellement confrontés à des difficultés de recrutement, ce qui les force à se bouger pour attirer des talents (désolé pour ce mot valise).

Mais commençons par le commencement : d'après Marc, la marque employeur, est avant tout synonyme de réputation et non de « com' » ou de plateforme, comme Choisir le service public.

Si nous nous arrêtons un instant sur l'image, le cliché du fonctionnaire qui baille au corneille est encore tenace dans les esprits. L'attractivité des métiers du secteur public s'en trouve entachée, malgré les campagnes de certaines collectivités ou de grands corps d’État comme l'armée.

Alors, que faire pour devenir attractif quand seuls 36% des fonctionnaires se disent prêts à recommander leur employeur à un proche ?

Selon Marc, il est temps de faire une révolution : fini le management à l'ancienne, dont les nouvelles générations ne veulent plus. Les cadres ou « managers » qui ont peur de perdre  leur autorité doivent changer. Et vite.

Les RH l'ont bien compris mais doivent elles aussi innover en osant sortir du cadre administratif très contraignant. En outre, la promesse employeur, véhiculée dans les annonces de recrutement, doit être alignée avec la réalité du terrain.

Le rôle des communicants dans la marque employeur

Lancer une campagne de marque employeur est une co-production entre les RH et la direction de la communication. Deux profils de communicants doivent être impliqués selon Marc : les communicants externes, puisqu'on s'adresse à des candidats, et les communicants internes, qui font passer les messages auprès des agents.

Notons qu'une campagne de marque employeur public comporte souvent un volet d'attractivité du territoire. En d'autres termes, le combo un endroit sympa où vivre + un bon job est la martingale pour attirer les candidats.

La deuxième partie de l'entretien avec Marc touche justement aux métiers de la communication. Tout d'abord, pour celles et ceux qui se questionnent quant à faire carrière dans la com publique, Marc vous donne 3 arguments de poids.

1. Travailler dans la communication publique, c'est être proche de la chose publique. Les élus locaux jouissent encore d'une bonne réputation et leurs actions, orchestrées par les communicants sont immédiatement mesurables. Et je peux vous assurer que vous êtes sacrément fier quand des citoyens vous disent que votre dernière campagne leur a plu !

2. Travailler dans la com publique, c'est travailler pour l'intérêt général. Et quoi de plus noble, au final ?

3. Un communicant public n'est pas un 'sous-communicant' : il utilise les mêmes stratégies, les mêmes outils et mêmes supports que dans le privé.  Par ailleurs, il existe toujours une adrénaline au boulot tant il se passe des choses dans les collectivités.

Enfin, nous terminons notre entretien en parlant des communicants politiques.
Dernièrement, les média ont mis en lumière la valse des pros de la com travaillant avec des ministres du gouvernement.

Marc souligne que ces conseillers ont besoin d'un cap pour pouvoir exercer leur métier.

Très bonne écoute et n'oubliez pas de noter 5 étoiles sur Apple Podcasts et Spotify.

Si vous souhaitez écouter le tout premier épisode avec Marc, diffusé fin 2021, c'est par ici .

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Laurent FRANCOIS, voix du Décodeur de la Com et de l'agence Maverick

« Le paradis, c'est les autres » : cette phrase résume parfaitement le 6e épisode de la série Badass avec Florence Delorme, directrice communication de la ville de Gif-sur-Yvette.

Florence débute dans l'humanitaire chez Caritas - le Secours Catholique - en tant que JRI. Elle se rend à Haïti ou au Bangladesh. « J'ai rencontré des gens extraordinaires dans des conditions extrêmes. Chaque interaction humaine était riche de sens. »

Ces expériences ont influencé sa manière de concevoir la communication : un échange avec les gens, et non une simple transmission de messages.

Après 10 ans dans l'humanitaire, Florence ressent le besoin de se poser, notamment pour raisons familiales. La transition n'est pas évidente, surtout au début, lorsqu'elle intègre le secteur public à Dourdan (91). Habituée au rythme effréné des voyages à travers le monde, elle confie avoir été plus fatiguée au bout d'un mois à Dourdan que durant toutes ses années Caritas !

À Dourdan, Florence découvre l'univers des collectivités territoriales. Elle réalise que la richesse de ce métier réside dans la rencontre avec les citoyens. Ce sont les interactions humaines qui donnent du sens à son travail. « Ce n'est pas un hasard si ceux qui travaillent dans la communication publique parlent souvent de l'humain. La communication publique, c'est être au service des citoyens. »

Florence évoque les défis de son métier, notamment les feedbacks des citoyens. « Dans la com' publique, on entend beaucoup les gens qui râlent, rarement ceux qui sont satisfaits. Mais, au fond de nous, on sait que l'on travaille pour eux. »

Aujourd'hui dircom à Gif-sur-Yvette, dans l'Essonne, Florence joue un rôle crucial dans le développement de la ville. Son quotidien est rythmé : événements, crises, ou encore valorisation du patrimoine local. Mais ce qui lui tient à cœur, c'est de rendre la communication accessible et transparente.

Elle explique que son approche consiste à être « vraie » avec les citoyens : « Il faut expliquer les choses simplement, sans détour. Oui, on va les embêter pendant un mois avec des travaux, mais c'est pour améliorer leur cadre de vie à long terme. »

Ce discours de vérité est au cœur de sa pratique, y compris avec les élus. Florence insiste sur l'importance du dialogue avec le maire et l'élu en charge de la communication. Ces discussions informelles permettent de faire avancer les projets plus rapidement.

En plus de son rôle de dircom, Florence est aussi une manager. Travailler dans la communication est un métier où la charge de travail est intense, notamment en période d'événements. Florence le sait, et c'est pourquoi elle attache une grande importance à créer un environnement de travail positif et solidaire.

Son équipe est soudée : « On rit beaucoup, on s'entraide, et on se fait confiance. J'aime l'idée que nous travaillons dans la bonne humeur, même quand la charge de travail est énorme. »

Loin des clichés d'un métier figé dans des procédures administratives, Florence voit la communication publique comme un levier d'innovation et de créativité. Elle n'hésite pas à proposer des idées décalées, même si elles ne sont pas toujours retenues. « Il faut oser, tenter des choses nouvelles. Parfois, cela ne passe pas, mais au moins, on essaie. » Badass, tout simplement !

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Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com

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